La comparaison cause beaucoup de mal-être et de souffrance !

Pourquoi vouloir comparer à tout prix ce qui n’est pas comparable ! Si on arrêtait de se comparer et d’être comparé aux autres !

Que signifie comparer ? Ce terme évoque l’idée de « Mettre en parallèle des choses, des personnes pour faire apparaître les similitudes ou les différences », c’est-à-dire en clair comparer ou se comparer signifie chercher des points communs dans la manière d’être ou dans le caractère comme pour attester d’une certaine légitimité de chaque individu.  En se jugeant ou en jugeant l’autre on cherche à savoir si l’on est conforme ou non conforme  à une norme, à des principes, à des croyances, comme pour « entrer dans le moule des convenances » !  La comparaison permet ainsi de décider du droit d’être  ou non d’une personne.

Chaque être humain est unique dans sa singularité et son authenticité. Vouloir comparer les uns aux autres, c’est réduire tout le potentiel humain à une seule et unique façon personnelle de voir la vie.  C’est surtout et avant tout  nier la liberté d’être de chacun !

On vient par l’acte de comparaison influencer l’idée même de ce qu’est la nature humaine comme pour réduire l’individualité de chaque être à notre jugement et à notre regard. Nous sommes tous différents, c’est ce qui fait notre grande richesse ! Vouloir à tout prix dresser des listes de critères pour décrire quelqu’un, c’est forcément à terme générer beaucoup de mal-être car on finit inévitablement par reprocher à l’autre sa manière de vivre, son attitude, son propre mode de fonctionnement, ce qui va forcément générer des incompréhensions !

Quand la comparaison empêche le plein épanouissement !

Dès le plus jeune âge, les parents ont la fâcheuse tendance de vouloir comparer à tout prix leurs enfants que ce soit dans une même fratrie, au sein d’une famille, avec des proches ou avec d’autres enfants de l’entourage ou des connaissances. On retrouve à chaque fois, comme un besoin de validation pour pouvoir autoriser l’enfant à exister  selon son appartenance  à une catégorie, à une classe d’âge, à une famille,  à un modèle préétabli ou à des critères conventionnels. Dès lors que cet enfant s’avèrera différent, sur lui s’abattront malheureusement toutes les critiques, aussi bien des parents eux-mêmes mais également de tout un chacun qui décidera de le juger comme hors norme !

Comme si le fait de ne pas être comme les « autres », le rendait imparfait et inintéressant aux yeux de ceux qui le côtoient et qui ne vont même pas apprendre à découvrir sa singularité plurielle! De même, on peut constater que même à l’école, la comparaison sévit comme critère de réussite des élèves. On  les classe par rapport à leurs notes et à  leurs résultats, c’est-à-dire par rapport à leurs performances scolaires.

Même si cela tend à évoluer, il reste encore beaucoup de chemin à faire pour considérer davantage l’individualité comme élément essentiel de l’évolutivité d’un être.  Ainsi lorsqu’on compare, on prend en considération uniquement l’idée de performance et on oublie que ce qui compte c’est la croissance personnelle d’un individu, comment il va effectuer son parcours.  La comparaison est devenue un repère de la réussite ! Mais peut-on comparer des personnes comme on compare des prix, des objets, … Où se situe la valeur réelle et intrinsèque d’un individu ?

Quand les comparaisons deviennent affligeantes !

Ainsi l’identité d’un être se construit de plus en plus, dans la société actuelle, uniquement à partir des comparaisons : autant d’étiquettes qui stigmatisent les individus depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte jusqu’à parfois détruire  l’estime de  soi qui est le socle même de la confiance en soi  ! Vous rappelez-vous toutes ces fois, où on vous a comparé à vos frères et sœurs, à vos amis, aux autres…? Toutes ces fois, où vous vous êtes senti mal de ne pas être comme eux ! Et bien, il faut reconnaître aujourd’hui que c’est vous qui aviez raison de vouloir rester comme vous êtes, de ne pas chercher à imiter les autres ou à vous enfermer dans un rôle imposé. Toutes vos révoltes, toutes vos crises et toutes vos oppositions témoignent de votre respect de vous-même, et du fait que vous avez à cœur de vouloir vous développer selon votre singularité !

Combien de fois avez-vous vu un enfant blessé par les remarques d’un adulte qui maladroitement insiste pour le comparer à un autre enfant du même âge par exemple comme pour lui dire « Tu n’es pas normal, regarde l’autre ! » , sans se rendre compte des conséquences néfastes de cette attitude ! C’est à travers ce regard malveillant et critique que cet enfant se jugera lui-même toute sa vie ! Les comparaisons laissent hélas des marques profondes, comme de véritables humiliations.

Comparer, c’est infliger une blessure terrible à n’importe quel être en devenir ! C’est comme le marquer au fer rouge de la dévalorisation en lui reprochant ce qu’il est naturellement! Comme si on lui demandait de se fabriquer une identité en respectant un cadre imposé. Même quand la comparaison est valorisante, cela ne fait qu’enlever à la personne tout son mérite personnel.

C’est à cause des comparaisons injustifiées que l’on aura du mal ensuite à prendre sa place parmi les autres car c’est comme si on continuait à se comparer soi-même et à se juger et à se déconsidérer tout le temps à cause de ses prétendues « différences »!

La singularité est la plus noble des valeurs de l’être humain.  Chacun existe comme il est dans son unicité à travers sa relation aux autres à partir de son individualité!

Quand les comparaisons ciblent le physique, elles sont consternantes car elles ne peuvent que faire du mal à celui qui sera comparé ! Les traits physiques sont les marques mêmes de   l’incarnation d’un individu et quand on les désapprouve, c’est comme si on lui enlevait son identité propre ! Connaissez-vous deux personnes parfaitement  identiques ? Il y a forcément des différences ! Pourquoi donc vouloir réduire la beauté infinie de la vie, à un espace figé dans sa  manière de regarder ? Comparer et être comparé est réducteur ! Cela se passe souvent quand on a du mal à accepter les autres comme ils sont. On va forcément les comparer comme pour dire qu’ils ne correspondent pas à nos attentes. Mais qui a raison ? Certainement pas celui qui compare et qui fixe des limites à la vie!

Pourquoi chercher à uniformiser les gens, alors que nous avons la chance de pouvoir cueillir dans chaque personnalité différente, une façon de se découvrir soi-même à travers d’autres manières d’être ? Plus on est bien dans notre tête, plus on s’entend bien avec soi-même, il n’y aura alors plus aucune raison de chercher à vouloir comparer à tout prix !

On ne compare pas le soleil à la lune ni la lune au soleil !

A chaque fois que nous admirons ces deux astres dans toute la splendeur de leur majesté, on s’incline respectueux devant leur éternelle beauté. La nature nous offre ici la plus belle leçon de vie que nous nous devons de respecter dans la sagesse de notre dignité. Il en est de même à chaque fois qu’on cherche à comparer un être à un autre. On nie leur identité, on leur enlève le droit d’être différent. On les réduit aux limites des esprits trop étriqués. On les ramène à la mauvaise perception que nous avons-nous-mêmes de la vie. La vie est plurielle et multicolore ! Il n’y a jamais de comparaison possible quand on accueille ce qui est ! C’est  l’amour qui nous apprend à accepter la singularité des destinées et à voir avec le cœur.

La liberté d’être de chaque individu ne se résume pas à des comparaisons hasardeuses. Elles sont au contraire des freins et des grilles qui enferment ceux qui en sont victimes dans des critères sans justesse ni valeur !

Il n’y a pas de chemin à suivre, pas de modèle à imiter. Pas de destinée parfaite, nous sommes tous des apprentis de la vie ! Il y a juste des êtres humains libres qui cultivent leur présent pour aller vers leur avenir. La nature n’a pas de maître, sa richesse demeure dans sa diversité. Il n’y a que l’amour qui nous sert de parcours. Il y a devant nous un immense espace de tous les possibles. C’est en acceptant ceci qu’on s’enrichit ! C’est sur ce modèle que la vie nous éduque : rien ne sert de vouloir comparer le soleil et la lune, le soleil finit toujours par se lever et la lune n’a pas peur de briller !

Pour un monde aux mille visages, ne soyons pas fermés à la beauté de la singularité. Cultivons nos diversités, c’est là la plus belle marque de notre authenticité. Autorisons-nous à être complètement différent ! Fuyons les personnes trop conformistes qui nous enferment dans leur jugement sans valeur ! Ouvrons-nous à l’expression et à l’incarnation de nos différences !

Maryse de Mes Mots de vie

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Douceur et bienveillance

Lorsque je m’observe de l’intérieur les yeux fermés, je me vois comme je suis dans l’instant.

L’instant qui est alors la photographie exacte de ce qui m’anime, dans mes émotions, mes ressentis, mes humeurs.

Lorsque je contacte ma météo intérieure, je sais ce qui est agité en moi. Je découvre la couleur de mon humeur. Je prends alors la décision de déposer ce lourd fardeau émotionnel avant de me lancer dans mon quotidien afin de ne pas faire rejaillir vers les autres ce qui me déborde à l’intérieur de moi.

C’est à partir des variations de tonalités que je perçois de mon intériorité que je me recentre progressivement sur ce qui m’apaise grâce à mon attention bienveillante à mon relâchement corporel dans l’immobilité, à l’écoute du silence qui dilue mes pensées et à l’accès à mon mouvement interne qui anime de sa lenteur la vie qui respire en moi et qui me rappelle que je suis vivant.

Si la tempête gronde en moi et que je ne fais rien pour la calmer, l’orage relationnel risque de s’abattre sur ma vie avec ses conséquences les plus néfastes.

Savoir prendre le temps de sonder son état d’âme avant de se projeter vers les autres est indispensable pour ne pas gâcher les relations humaines.

Combien de fois, vous sentez-vous agressés par la mauvaise humeur de ceux qui déversent leur état tensionnel sans crier gare ? Cela démontre que communiquer, c’est faire attention à l’impact de ce qu’on transmet aux autres de nos humeurs . « Parlons peu mais parlons bien », ce proverbe rempli de sagesse est la base de toute bonne entente. « Bien » sous-entend, pour moi, ici, en étant présent à soi dans le moment qui se donne.

Quand quelqu’un vous reproche quelque chose, c’est son état réactionnel qui s’exprime en focalisant sur ce qui ne va pas. C’est sa part négative qui prédomine.

C’est pourquoi, méditer chaque jour est une manière de s’offrir un temps de décantation nécessaire pour se retrouver, intact et stable.

Lorsque l’on perçoit la chaleur de la vie qui circule en nous, on est au cœur de notre humanité, du vivant au cœur de nous. Et c’est de cette chaleur qui se diffuse que l’on cueille la bienveillance envers soi que l’on pourra ensuite tourner vers le Monde.

La bienveillance, c’est cette attention douce que je me porte et que je peux offrir aux autres naturellement dans une intention de réciprocité.

Vivre dans cette qualité de présence, c’est être conscient du caractère précieux de la vie qui s’écoule en nous à chaque seconde. On goûte alors à la chaleur humaine en soi avant de la désirer à l’extérieur de soi.

Les yeux fermés ou les yeux ouverts, on reste entier dans notre globalité intérieure où plus rien ne prédomine, on s’apaise, on s’autonomise, on devient plus grand, plus ouvert, plus rayonnant.

Lorsqu’une problématique émerge, on se recentre avant d’agir, pour trouver la solution. On apprend ainsi à gérer ses émotions, c’est indispensable, si on veut mieux vivre ses relations aux autres, car c’est ce qui nous empêche souvent d’apprécier les beautés simples de la vie.

Laissez briller votre soleil intérieur sans lui faire de l’ombre alors vous vivrez toujours au zénith de vos potentialités et dans la douceur et la bienveillance nécessaires pour rester libre de vous-même.

Au coeur du Vivant
Maryse de Mes Mots de vie

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Mood-board ou Move-board : journal pour un confinement épanoui et en mouvement…(5ème partie)

Plantez des petites graines de bonheur dans votre pépinière intérieure et vous récolterez un meilleur équilibre de vie.

Maryse de Mes Mots de vie

Les petits bonheurs finissent par devenir grands…

Le Bonheur ? Un concept ? Ou une création de soi ? Souvent, on entend des débats, ou des chansons sur cette sempiternelle question : mais il est où le Bonheur ?
Et si on prenait ce temps dont on dispose actuellement pour y réfléchir plus intérieurement et plus profondément ?
Éparpillés dans nos vies, nous menons cette
course vers le bonheur insatiablement, sans savoir ce que l’on cherche vraiment, emprisonnés dans un mental prédominant .
Arrêtons-nous et profitons de l’instant présent dans la lenteur incarnée qui se donne pour répondre à cette question avec notre Sensible : Qu’est-ce qui nous fait du bien et qui nous rend heureux ?
L’idée du bonheur ou son expérience ?


Pause méditative…

Se recentrer pour mieux se connaître et se reconnaître enfin !

Recentrage !

Lorsqu’on laisse le silence nous déposer dans notre intériorité corporelle, on n’a plus à réfléchir mentalement à la philosophie du bonheur mais juste à ressentir ce qui émerge pour percevoir ce flow qui nous anime, cette substance active en mouvement. On devient une formidable caisse de résonance de ce qui nous fait vibrer, de ce qui nous motive, de ce qui nous rend heureux et nous donne de l’élan. On peut alors accueillir la vie autrement en tirant le meilleur de chaque situation, de chaque événement, de chaque petit détail. Par exemple, de ce temps libre qui déborde dans notre vie de confiné, qu’est-ce qu’on en fait ?
Peut-être est-ce le moment de renouveler son rapport à ces petits plaisirs du quotidien qui ont aujourd’hui une autre saveur et que l’on ne considère plus comme des acquis mais comme un nouvel espace qui s’offre à nous pour découvrir, pour explorer, pour apprécier jusqu’à mieux se connaître soi-même… Ses goûts ? Ses envies ? Ses besoins ? Se voir comme on ne s’est jamais vu encore, … Ainsi se construit sous nos yeux un nouveau projet d’Être, plus en accord avec notre Authenticité, comme si on s’était oublié trop longtemps, jusqu’à se perdre complètement. Quand la vie se remet à pulser comme le rythme des battements de notre cœur, on se rend compte à quel point tout est précieux et nous en premier. Ne plus se forcer et se faire du mal, ne plus se presser et se vider de sa nature, créer son bonheur dans l’instant, et rêver qu’il devienne l’axe du temps. Et y croire, chaque jour, un peu plus fort, encore et encore et souffler sur cette petite flamme qui se rallume en nous pour faire pétiller nos aspirations.
Se remettre au centre de notre vie, n’est-ce pas cela le vrai Bonheur ?

Le bonheur , un espace de création de soi ou de récréation avec soi …

La Nature récréative…

Comment transformer son temps libre en création d’expériences qui nous rendent plus vivants?
Quel est le défi du jour ou la nouveauté du moment qui vous inspire ? Qu’est-ce que vous avez découvert comme nouveau savoir-faire ou comme passion oubliée?
En sortant de l’ombre de l’enfermement d’un quotidien trop asphyxiant, on s’allège mentalement en regardant la vie comme un nouvel espace de déploiement de soi.
Depuis ces 40 jours de confinement, qu’est-ce qui a changé dans votre manière de penser? Quelle est à présent votre priorité ?
Faites un journal de bord de votre confinement et listez tout ce que vous avez vécu comme anecdote positive qui restera pour l’après comme souvenirs heureux ou projets de vie…
Peut-être cette chanson que vous adorez chanter à tue-tête en duo ou cette chorégraphie hilarante , ou ce gâteau que vous avez confectionné avec amour, ou cette nouvelle recette qui a été une explosion de saveurs inconnues ou encore ce temps passé avec vos enfants, cette série que vous avez adorée, ce livre qui vous a enchanté, ce cappuccino qui a un goût intense de vie et surtout ces belles méditations partagées comme appui et stabilité…. ?
Qu’avez-vous eu envie d’essayer ou d’approfondir ?
La liste serait tellement longue si on prenait le temps de s’attarder sur les détails qui peuvent paraître banals aujourd’hui mais qui renferment pourtant le sens même de votre personnalité. Qui êtes-vous vraiment au fond de vous quand vous vous laissez vivre?
Si au contraire vous n’arrivez pas à créer cet espace , c’est qu’il y a des choses à faire évoluer, des problématiques cachées à résoudre, des imperçus qui doivent être démasqués, vous ne pouvez pas vous empêcher vous-même de vivre !
N’est-ce pas cela la vie au final, un terrain inconnu où on a comme mission chaque jour, de faire de notre mieux en cultivant la joie de vivre comme moteur de notre bonheur ?
Avec les difficultés, souvent on se laisse entraîner dans des ruminations qui nous égarent très loin de nous-mêmes. Le cœur, lui a besoin de rayonner, même de petites choses, quand notre sourire intérieur voyage, il nous donne des ailes.
Faites le plein d’énergie de vie créatrice, en admirant les ballons multicolores qui flottent au vent, en contemplant la guirlande festive qui clignote dans la nuit, en dénichant cette aquarelle au fond d’un vieil atelier, ou en lançant cette pluie de pétales sous un ciel lumineux. , croquez dans la vie comme dans cette pomme que vous prenez le temps d’apprécier en écoutant le chant des oiseaux tout simplement…
Oui , le bonheur est là , juste à côté, encore faut-il prendre le temps de s’arrêter pour le voir, pour le percevoir avec tout de nous !

Émerveillement

Cadeau de la vie

Je compte, 1, 2, 3, ………………………15 secondes
J’apprécie la saveur exquise de la lenteur qui danse à l’intérieur de moi
1,2,3………………………15 secondes
Je respire l’odeur de cette joie qui s’invite pour me tendre les bras
1,2,3……………………….15 secondes
N’est-ce pas le rythme et la cadence de mon cœur qui bat
1,2,3………………………..15 secondes
Viens bouger et voyager avec Moi, je sens le mouvement dans mes pas

Regarde Mademoiselle Libellule qui se dore la pilule
Pendant que Miss Tourterelle fait sa belle
Admire Mr Gecko qui se délecte en se prélassant au soleil
Alors que Dame Arc-en ciel repeint les nuages de merveilles
Hé, n’est-ce pas La lune qui flirte avec les oiseaux !
Et là, le vent et les nuages qui dansent un tango !

Mes sens endormis s’éveillent au Monde…
Le ballet de petites ailes me pousse à m’envoler tout là haut
Je souffle pour rallumer le feu et l’éclat des étoiles dans les cœurs en détresse
J’ouvre la fenêtre de mon esprit en grand pour contempler la vie telle une œuvre d’art

Qui chante là-bas près des roses? C’est la Déesse Espoir qui ne craint pas le mauvais temps
Je trouve ma paix intérieure dans les yeux du Silence
Je crée un autel pour honorer la vie avec quelques brins de verdure, des petites graines, quelques plumes, …
Je vois apparaître le bonheur auréolé de lumière, dépoussiéré des misères
Je caresse les blessures de la Terre, et je vois couler la sève qui ensemence la Nature
Je distille son essence pour éveiller les autres au doux parfum de l’instant
Je colore mes pensées qui deviennent des petites fées pour m’aider à créer un festival de petits bonheurs.

1, 2,3 ……………………………..15 secondes, je chante sous une cascade qui rit
Il est temps de s’aimer, il est temps de plonger dans la vie
1,2,3 ………………………………15 secondes je danse sous une pluie de confettis
Il est temps de s’accepter, il est temps de nourrir son esprit

Le pouvoir de l’imagination nous permet de faire du bonheur un espace de création de soi, en relience avec le Monde.
Guérissez-vous pour le guérir à son tour.
Le Monde souffre quand vous refusez de changer vos vieux schémas de pensée obsolètes en vrais projets de création de soi.
Il est temps de Changer, en ne posant plus de limites à votre propre Bonheur ainsi vous redonnerez à la vie le souffle de l’Espoir, la chaleur humaine et la douceur de l’Amour…

Pour un Monde Plus Sensible

Maryse de Mes Mots de vie










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Mood-board ou Move-board : journal pour un confinement épanoui et en mouvement…(4ème partie)

Capturer intérieurement la photographie de l’instant : un moment de grâce à savourer à l’infini.

Maryse de Mes Mots de vie

Se Relâcher en Soi

Et si on s’accordait un temps de vacances intérieur en arrêtant de trop penser? Pendant le confinement, on constate de manière désagréable qu’ on est souvent en proie à nos pensées trop nombreuses qui nous déstabilisent, comme si le fait d’être moins actifs, les rendaient encore plus envahissantes. Comment sortir de cet état anxieux, qui génère des insomnies ou des tensions internes? Lorsqu’on se sent à l’étroit dans nos envies, tout se crispe dans notre corps. Apprendre à se relâcher et à respirer profondément peut ouvrir alors un espace de possibles…

Regarder la Nature autrement

Le miroir de nos pensées

La Nature nous ressemble

A chaque situation difficile que nous traversons, nous avons du mal à prendre de la hauteur pour porter un regard plus panoramique sur ce qui nous arrive. Immédiatement, l’attention est hyper-focalisée sur des détails et ferme l’esprit en générant des réactions émotives contre-productives. La tendance la plus facile et la plus courante sera de pointer le doigt vers une responsabilité extérieure directe ou indirecte. Nos pensées, à ce moment-là deviennent des ennemis si nous les laissons nous enfermer dans le négatif.
Revenir à soi pour accueillir la difficulté, permet de la regarder en face sans la fuir afin de laisser apparaître le sens qui se donne dans le silence de nos pensées parasites et ainsi pouvoir trouver une voie de passage vers une solution.
Méditer peut apporter une aide considérable. Lorsqu’on se pose à l’intérieur de notre corps dans le silence, on dépose également nos fardeaux, pour s’alléger dans le calme intérieur, on retrouve alors un espace plus serein et plus disponible à la gestion de toutes les crises.
En se recentrant sur soi, on chasse la prédominance du mental trop agité pour trouver un apaisement dans l’accordage corps et esprit.
La vie devient alors un miroir parfait de cet équilibre, on peut davantage s’appuyer sur soi-même pour devenir le maître de nos choix.

Laisser agir…

Le vide est toujours plein…

Même quand tout semble figé, rien ne s’arrête, le mouvement de la vie continue… Et actuellement, c’est la meilleure manière d’accueillir la situation, sans se prendre la tête inutilement avec les inquiétudes.
Quand on renouvelle notre regard sur ce que l’on voit, on respire autrement, plus profondément, plus intensément. Quand on écoute autrement, tout prend plus de consistance, quand on vit l’instant comme si c’était le premier, un autre goût apparaît, celui de l’inédit, du singulier, de l’extra-ordinaire.
Et les choses se passent comme elles doivent se passer. On cesse de croire que l’on peut remplir tous les vides avec du superficiel, de l’artificiel et du superflu.
Le Plein naît de cet espace Vide, puisque tout paraît possible.
D’autres horizons se profilent, d’autres projets se dessinent. Il n’y a plus une seule direction mais une infinité de possibilités.
Et dans l’attente d’un avenir plus souriant, on se nourrit de chaque petit plaisir, de chaque petite fleur, du bruissement du vent dans les arbres, du chantonnement des oiseaux avant leur envol majestueux, du contact sensoriel avec le Vivant en chaque être qui nous entoure.
Et l’on peint sur notre toile vide, le plein de nos aspirations, de nos souvenirs heureux, de nos précieux moments partagés, de nos belles surprises. Et on laisse cette énergie de la vie nous envelopper de ses couleurs du temps, de l’Amour et de l’Espoir. Le vide est toujours plein de notre Présence. Il suffit juste d’apprendre à le percevoir, le cœur ouvert, les pieds ancrés dans le présent, la tête couronnée d’étoiles…

Si je m’aime…

Invitation à s’aimer

Si je m’aime, je ne me fais pas de mal
Si je m’aime, je garde le moral
Si je m’aime, je soigne mes pensées
Si je m’aime, j’apprends à m’accepter
Si je m’aime, je guéris mes ressentiments
Si je m’aime, je chasse mes tourments
Si je m’aime, j’embrasse mes blessures
Si je m’aime, je répare mes fêlures
Si je m’aime, j’apaise mes émotions
Si je m’aime, je relâche la pression
Si je m’aime, je respecte mes fragilités
Si je m’aime, je sais me consoler
Si je m’aime, je me souris
Si je m’aime, je me choisis

Car la vie, Elle m’aime…

Alors est-ce que vous vous aimez? C’est le moment de vous choisir et de vous accorder du temps pour prendre soin de vos désirs, et pour nouer avec vous une meilleure relation basée sur la confiance et la douceur. Soyez davantage à l’écoute de vous-même….

Maryse de Mes Mots de vie




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