Et si on vous parlait de notre nouveau livre « Sur le fil de l’équilibre : Comment ne pas perdre pied dans nos relations aux autres?

« Laissez-vous immerger dans cette déambulation où les mots seront des guides vers une nouvelle approche plus conscientisée et plus sensible des relations humaines. « 

Maryse et Louna-Muse

Comment est née cette collaboration pour MMDV?

Ce livre symbolise la fusion de deux sensibilités : celle des mots et celle des images symboliques. Et c’est au cœur de ce nectar sacré que nous avons choisi de plonger la plume fine et délicate de notre inspiration pour tracer les lignes de nos histoires relationnelles intenses et fondatrices. Et comme il faut tirer des leçons de chaque expérience, nous avons choisi de revisiter à travers différents volets, les grandes leçons de vie et les belles découvertes pour suivre le fil des nos relations aux autres.

Ce livre se lit comme une déambulation dans le jardin de la vie qui parfois prend des formes de labyrinthe pour nous emporter au-delà de nous-mêmes, dans des couloirs sombres où seule la lumière de notre Amour de soi sacré nous permet de ne pas nous égarer. Et c’est en suivant le fil de notre cœur que nous pouvons accueillir chaque relation comme un parcours initiatique pour apprendre de Soi, de ses émotions, de ses incompréhensions, de ses malentendus, de ses petits bonheurs, de ses joies, de ses peines, du Tout de la vie qui se résume en un seul et unique mot : Equilibre.

Nous vous offrons un extrait d’un des textes que vous trouverez dans notre fabuleux livre. Il est illustré de magnifiques visuels inspirants, avec des mots vibrants et énergiques, écrits sur du papier glacé brillant pour une expérience poétique exaltante. Ce recueil s’habille d’une sublime couverture dure au dos arrondi pour parfaire son élégance. Et pour finir son signet satiné vous permettra de marquer des pauses méditatives au cours de votre lecture, pour prendre le temps de savourer la beauté des mots pour apaiser les maux.

Extrait offert page 68 du chapitre 13 « Le jeu de la vie » à retrouver dans le volet 1 du livre qui s’intitule « Déambulation »

Sur la Terre des Hommes, nous sommes des barques, des
navires, des voiles qui ont besoin de communiquer avec la vie,
en devenant qui l’on est vraiment sans exil, sans fuite, sans
départ. Nous sommes des Terres d’asile, au milieu de nulle part,
pour héberger d’autres êtres, d’autres âmes, des esprits et des
corps, des cœurs et des émotions, des pensées et des idées.
Nous avons tellement de combats à mener ensemble, pour
évoluer vers la plus belle part de nous-mêmes, celle qui atteint
tous les sommets, notre part sensible au cœur de notre
humanité.

Sur le fil de l’équilibre écrit par Maryse et Louna-Muse

Les autres volets du livres sont : Volet 2 « L’Équilibre en action : l’écriture de Soi » avec un patchwork de timbres de Mots Sensibles, Volet 3 « Activation positive » avec des Lettres d’Amour de Soi à laisser infuser pour des bienfaits immédiats et Volet 4  » Intégration » avec des mantras à répéter tout au long de la journée pour faire rayonner son estime de soi renouvelée.

N’hésitez plus pour pré-commander votre exemplaire dédicacé pour suivre le fil de l’équilibre des relations humaines.

Avec tout notre Amour,

MMDV

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Le poids des émotions est un fardeau qui nous abime intérieurement

Quand la gestion de nos émotions nous apporte un confort de vie…

MMDV

Goutte à goutte, se remplit le vase de nos situations de vie compliquées, au rythme du temps et au fil de l’âge, puis arrive inévitablement le moment où ce vase menace de plus en plus fréquemment de déborder, à travers les influences émotionnelles négatives, qui nous submergent de plus en plus facilement, comme si l’on était resté trop longtemps en eaux troubles. On comprend alors que si ce flot torrentiel n’est pas maîtrisé, au plus vite, il finira par déferler violemment, pour nous mettre en difficulté et nous amener à regretter par la suite la dernière goutte d’eau qui a fait déborder le vase, pour nous entraîner trop loin de nous-mêmes.

Un rééquilibrage émotionnel est par conséquent absolument nécessaire, à chaque instant de notre existence. Comme on fait du sport pour maintenir sa santé physique et mentale, on se doit de mettre en place une routine pour filtrer ce qui demande à s’évacuer régulièrement, surtout quand on sent peser à l’intérieur de nous comme un sac trop lourd à décharger, avec une envie de se délester de ce fardeau épuisant mentalement qui nous empêche de vivre sereinement, pour accepter les contraintes du quotidien sans les considérer  à chaque fois négativement.

Si notre sensibilité est de plus en plus à fleur de peau, alors il y a une urgence à se détoxifier  de nos émotions, qui ont pris semble t-il les commandes de notre vie. Si l’on est hypersensible, la tâche est ardue mais possible pour ne jamais entrer dans la zone rouge de nos réactions vives ou démesurées qui nous causent d’affreux tourments.

Chacun peut choisir sa façon de restaurer son équilibre intérieur, mais il convient d’avoir quelques habitudes bénéfiques. Qu’est-ce qui peut nous aider à faire de la place, quand on se sent encombré intérieurement et qu’on n’arrive plus à réfléchir de manière neutre et objective ? Pourquoi avons-nous comme l’impression de laisser des détails sans importance impacter notre humeur ? Qu’est-ce qui nous amène à ressentir la vie comme un enfer de problématiques à résoudre ? Pourquoi sommes-nous si inquiets pour tout, comme si rien n’était positif dans notre vie ? Comment en vient-on à nous laisser emporter par des tornades de colère dévastatrice ou à nous effondrer à travers un brouillard de tristesse qui nous accable ?

Sommes-nous arrivés à tous ces sentiments négatifs par hasard ou avons-nous juste oublié de prendre soin de nous, au cœur des problématiques de notre vie, pour réajuster notre regard et changer notre angle de vue? Si nous laissons s’accumuler autant de chagrins et de désespoirs comment avoir le cœur heureux malgré des brefs instants de bonheur ?

Certes, la maîtrise de soi s’acquiert  après des longues années d’entraînement, soit à travers la pratique d’ un sport où l’on apprend à développer sa force mentale, soit à travers des pratiques méditatives où l’on déploie l’acuité de nos sens pour mieux se ressentir,  soit à travers l’art thérapie où l’on se met en mouvement à travers une activité créative, mais parfois nous constatons que malgré tous ces beaux et courageux efforts, les éléments extérieurs continuent à se déchaîner malgré tout, en nous, pour nous faire sortir de nos gonds et nous déstabiliser.

C’est à ce moment précis que l’on prend conscience que l’on a peut-être oublié d’appliquer les principes à nous-mêmes avant de vouloir les conseiller aux autres, pour ne plus entretenir  nos émotions, comme s’il s’agissait de nœuds indénouables. On se doit de changer notre façon de les ressentir, sans nous blâmer ou faire porter la responsabilité aux autres. Quand on cesse de se plaindre ou de se sentir déçu, on supprime de nos pensées toutes les attentes vaines comme si les solutions devaient venir des autres.

Nos émotions vives sont les traces de notre mauvais rapport à notre vie. Quand on ramène au centre de nos préoccupations, uniquement ce dont on a la responsabilité, on arrête de regarder l’autre en se comparant ou en lui reprochant de ne pas être comme on voudrait qu’il soit.

Qui sommes-nous d’ailleurs pour juger si l’on ne veut pas que l’on nous juge ?

Malheureusement, on constate que pour réguler rapidement nos émotions, pour revenir au calme intérieur, il est indispensable de cesser les reproches pour suivre comme guide de vie notre propre bien-être intérieur ,qui n’est pas d’être aimé des autres mais bien d’être apte à nous auto-satisfaire dans nos besoins essentiels. Ce n’est pas être égoïste ou égocentrique, on comprend juste que le concept du bonheur se cultive en premier lieu à l’intérieur de soi dans la magie de chaque seconde que l’on honore avec reconnaissance, pour apprendre à valoriser et à conserver ce que l’on a déjà, sans chercher à courir après le « toujours plus », avec excès et sans goût véritable.

Quels que soient les rituels pour assainir nos émotions, il convient de comprendre que sans une remise en question sur notre manière de penser  ou d’agir, rien ne peut vraiment nous débarrasser de nos amertumes, de nos aigreurs, de nos douleurs liées au passé, qui se réactivent à chaque mauvaise expérience, parce qu’on sort de l’instant présent,  pour ressasser ou pour anticiper.

Lorsqu’on fait une liste des points positifs dans notre vie, on se rend compte que ce qui nous fait souffrir est souvent en lien avec notre égo blessé, qui mène le jeu dans notre vie et qui n’arrive jamais à fixer des limites à ses insatisfactions.

Alors si on n’apprend pas à vider le vase de nos émotions, rien ne pourra vraiment nous empêcher de les subir de plein fouet. Oui, nous sommes responsables de notre hygiène émotionnelle comme nous le sommes pour notre hygiène corporelle ou alimentaire, c’est à considérer comme un besoin vital qui permet l’équilibre de notre organisme. Vivre sainement sans le poids des émotions est essentiel à la fois à notre santé physique et psychique.

A chaque fois qu’on est souillé par des pensées malveillantes ou à travers des exigences démesurées, on oublie de regarder notre propre attitude ou notre propre comportement qui manquent pourtant de reconnaissance pour ce qui est là disponible dans notre vie.

Comment combler son vide existentiel, ce n’est certainement pas en demandant aux autres de le remplir à notre place ?

Rééquilibrer ses émotions, c’est avoir plus de pensées positives, moins de remarques dures à l’encontre des autres, moins de plaintes, moins de reproches, moins de déceptions…

Après tout, pourquoi pas essayé de changer sa façon de ressentir la vie, n’est-ce pas le début d’un retour vers soi et vers sa paix intérieure? Lorsqu’on construit sa vie à travers le regard des autres, on crée un gouffre dans lequel nos émotions ne peuvent que nous emporter.

Vivre heureux, c’est  y croire même qu’un peu et réaliser que ce l’on a,  que ce que l’on est,  est bien plus grand que nos pulsions et nos désirs. Il est indispensable de dépasser toutes les distorsions psychiques.

Le bonheur n’est pas matériel ni artificiel, il est avant tout dans l’équilibre émotionnel.  

Pour une vie saine et sereine

Maryse de Mes Mots de Vie

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La bienveillance n’est pas un leurre : c’est l’équilibre des relations humaines!

Depuis le début du XXIème siècle, le mot « bienveillance » est entré dans le hit-parade des mots à la mode dans les discours, en matière d’éducation ou de bien-être au travail et au sein des relations humaines.

Tout le monde emploie ce mot comme un fourre-tout pour se dire soi-disant à l’écoute des autres.

Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment être à l’écoute des autres pour faire preuve de bienveillance ?

Être bienveillant ne se résume pas à une simple définition, où l’on se prétend gentil, attentionné et indulgent envers autrui, pour se donner bonne conscience. Cela concerne toute l’attitude qui accompagne l’idée même de bienveillance. Il convient d’insister sur la deuxième partie de la signification de ce mot, qui est souvent omise et qui pourtant est la plus importante : la bienveillance, c’est se montrer compréhensif d’une manière désintéressée, c’est-à-dire, accepter l’autre sans condition.

La neutralité dans les liens sociaux peinent à exister. Par conséquent, être bienveillant est une compétence humaine à acquérir par une absence totale de jugement, pour accueillir l’autre dans sa singularité, sans exiger de lui un quelconque conformisme ou une soumission à des règles édictées par les autres.

Au sein de la société, nous comprenons très vite que le mot « bienveillance » dans la bouche de certains, a du mal à nous convaincre.

Revenons sur la vraie notion de bienveillance qu’on se doit d’avoir à l’égard des autres. La bienveillance est une manière d’être qui n’admet qu’une seule loi : le respect de l’autre !

Bienveillance et respect sont les deux faces d’une même pièce qui représente l’équilibre dans des relations aux autres aussi bien dans le milieu familial que professionnel.

Comment se dire « bienveillant » si on est incapable de maîtriser des émotions telles que la colère ou l’emportement, sans penser aux conséquences de ses actes ?

Comment peut-on se dire « bienveillant » avec les uns quand on est « médisant » et « maltraitant » envers les autres ?

Comment peut-on même parler de bienveillance quand la seule manière d’agir est la manipulation, le mensonge et la domination pour « écraser » les autres !

La bienveillance nécessite des valeurs morales qui n’admettent pas la fausseté, le manque de sincérité et la trahison.

Ainsi, le concept de la bienveillance que tout le monde utilise pour se justifier d’être une meilleure personne que les autres, reflète avant tout, une forme d’hypocrisie qu’on aurait avec soi-même , ce n’est qu’un piège pour duper ceux qui ne savent pas faire preuve de discernement !

Personne ne peut se prétendre meilleure que les autres, il n’y a pas de concurrence mais l’obligation de rester  Humain. Il n’y a pas de prix, ni de récompenses à recevoir parce qu’on a coché une case sur son tableau de bonnes actions, comme si on accrochait un trophée ! C’est avec soi-même que l’acte de compassion prend de la valeur.

La bienveillance demande avant toute chose qu’on pense avec son cœur et ce, dans toute  situation ! C’est une inclination du cœur qui n’a qu’une seule et même intention « se mettre à la place de l’autre » pour comprendre la problématique qui vient le confronter, sans l’interpréter à travers un filtre déformant de la réalité.

Le contraire de la bienveillance se lit chaque jour dans les comportements humains : ce plaisir que certains éprouvent à médire, à voir chez l’autre uniquement ses défauts, à voir le mal en toute chose, à manquer d’empathie, c’est-à-dire de considération suffisante pour l’autre, en refusant de le comprendre dans sa détresse,  sans voir qu’un tel comportement qu’on assume est une atteinte profonde à la prétendue bienveillance qu’on affiche !

La bienveillance apaise les conflits en montrant la pureté d’âme !

La bienveillance n’est pas un vain mot. C’est un élan de l’esprit, pour apporter à l’autre une lueur d’espoir. C’est une grande qualité relationnelle envers soi, envers les autres, envers le Monde ! Lorsque l’autre se sent écouté et compris, on peut se dire qu’on a été bienveillant à son égard parce qu’on l’accepte inconditionnellement.

La bienveillance est un engagement à rester dans la justesse de la relation sans aucun déséquilibre de part et d’autre. Lorsqu’on sait se montrer bienveillant, l’autre se sent existé dans la relation, il se sent considéré car il ressent la disponibilité qu’on a pour lui, dans ce lien que l’on nourrit par l’accueil de l’autre dans sa globalité et dans sa liberté d’être!

La bienveillance requiert de l’implication dans la relation à l’autre. On  reçoit autrui dans son intériorité pour être attentif au message qu’il véhicule. Quand on est bienveillant, il nous arrive sans cesse d’être touché par les autres, c’est-à-dire de nous laisser émouvoir par l’histoire de l’autre qui vient résonner en nous pour nous rappeler notre humanité partagée et que nous sommes tous Un !

La personne bienveillante vit les événements en conscience et en présence !

Lorsque gronde la colère, comment être bienveillant envers celui qui vous agresse par son manque d’écoute et de compréhension ?

Cela demande énormément d’efforts et de lâcher prise, il s’agit de ne pas se laisser emporter par l’autre dans ses agissements qui vous perturbent. La phrase qui résonne dans votre for intérieur, c’est « j’en ai assez de toujours subir le manque de respect des autres ! ».

Le sentiment de frustration qui accompagne souvent le manque de bienveillance des autres à notre égard est l’une des premières raisons du mal-être dans les relations humaines toxiques ! On constate que les autres sont absents d’eux-mêmes, c’est-à-dire de leur intériorité ! Comment peuvent-ils parler de bienveillance, quand ils vivent à distance d’eux-mêmes. Ils se complaisent toujours dans l’apparence extérieure jamais dans la consistance intérieure !

La bienveillance nous structure et nous apporte un profond sentiment d’être et d’exister  en parfaite harmonie avec tout ce qui nous entoure pour nous sentir comme universel ! Plus on ressent ses relations ,  moins on les subit !

On redevient comme un souffle d’amour que l’on répand autour de soi, dans des intentions positives de relations stables et sereines. Rien ne peut nous diviser ou nous séparer des autres, puisque nous formons un Tout unique et tellement identique.

Quand on est bienveillant, on attire d’ailleurs à soi des personnes qui nous invitent à co-créer la vie avec eux.

Vivre avec les autres, ce n’est pas subir les autres ! Le concept du « Ensemble, on est plus forts » ne fonctionne que si un parfait équilibre existe au sein des relations qui ne doivent être ni contraintes ni forcées ! Comment peut-on être plus fort avec les autres, quand ceux-ci renient le sens même de notre individualité ?

Nous ressemblons aux autres uniquement par nos qualités du cœur pas par un statut, une origine ou un caractère.La différence est le fer de lance de la bienveillance. C’est parce que nous sommes différents que l’on est bienveillants car on sait s’adapter.  On perçoit l’autre comme une continuité  de nous-mêmes ce qui nous démontre notre appartenance à une même histoire de vie !

La bienveillance est un art de vie qui réside dans une capacité d’Écoute optimale ! Cela signifie que nous ne faisons pas que prêter l’oreille à l’autre, mais toute notre attention, on  ouvre un temps d’existence pour les autres, dans notre espace personnel ! C’est une capacité cognitive qui n’appartient qu’à l’être humain.

N’est-ce pas la meilleure façon de vivre avec les autres en acceptant cette rencontre entre différents univers, une manière de prendre conscience de l’existence de l’autre, de manière plus intuitive moins orientée. Cela permet d’éviter toute maladresse malencontreuse dans les relations humaines qui peuvent aller jusqu’à la fâcherie!

Lorsqu’on est bienveillant, on honore la vie et on lui rend grâce à chaque instant !

Quand on sait être bienveillant, on déambule sur le fil des relations humaines, sans jamais perdre l’équilibre car on devient adroit dans l’art et la manière de respecter l’autre ! Faire preuve de tact dans ses relations n’est pas simple mais quand notre mouvement va vers l’autre depuis notre intériorité, on est plus humain !

La porte d’entrée vers plus de bienveillance est facile d’accès, lorsqu’on la laisse ouverte aux singularités qui caractérisent l’être humain. Nous sommes tous uniques et tellement semblables ! Visiter les nuances de chaque personnalité est une formidable aventure à vivre au cœur de la bienveillance !

Malgré des relations humaines fluctuantes, demeure un fond commun perceptif, à travers la vibration de l’énergie de la vie au cœur de nous-mêmes !

Pour des relations solides, stables et bienveillantes, plongeons davantage notre cœur dans notre nuancier intérieur et donnons à nos relations plus de lumière.

Comment rester calme quand on manque de bienveillance et de respect à votre égard ?

Il est difficile de ne pas être perturbé par le manque de bienveillance des autres ! Comment ne pas se laisser emporter dans leur tourbillon de toxicité ? Il convient de rester calme et observateur, conscient et présent.

  1. Ouvrez votre cœur, en restant dans une présence ancrée et alignée à vos propres valeurs.
  2. Accueillez chez l’autre sa part défaillante et en prise avec son égo et pacifiez votre propre colère en ne cherchant pas à refléter la négativité des autres.
  3. Faites preuve de bienveillance envers vous-même, écoutez la colère de l’autre, sans vous emporter et  sans le prendre pour vous personnellement. Dites-vous que la colère est souvent  un signe de souffrance inconscient chez celui qui ne sait pas la maîtriser. Faites rayonner l’énergie d’amour, de lumière et de compassion pour vous protéger.
  4. Respirez en conscience de manière ample et élevez-vous au-dessus de la situation. La vie vous envoie parfois des épreuves pour tester votre capacité à rester vous-même en restant libre, puissant et patient .
  5. Pour autant, être bienveillant ne signifie nullement rester passif.  L’action n’est pas une réaction émotionnelle. Faites confiance à la vie et laissez-la simplement agir dans le respect, l’amour et la bienveillance que vous vous devez à vous-même.

N’oubliez jamais vous n’êtes pas responsable des comportements des autres lorsqu’ils  ne savent pas se remettre en question, cela  leur appartient !

Retenez que la vie est souvent un mystère et que trop se poser de questions vous éloigne du moment présent. Pourquoi vivez-vous cette situation ? Inutile de  chercher à y répondre ?

Cultivez  votre paix intérieure. L’importance est de vous respecter quand les autres ne vous respectent pas et de laisser aller le libre cours de la vie sans vous opposer à elle !

La bienveillance est un acte d’amour qui élève votre fréquence vibratoire. N’hésitez pas à vous abreuver à la source de la bienveillance qui se trouve dans votre cœur  !

Que la vie soit  bienveillante et respectueuse envers vous.

Maryse de Mes Mots de Vie

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L’écriture de soi est un puissant sas de décompression

Un sas de décompression, c’est un espace de recueillement et de détente permettant de se recentrer sur soi pour moins se perdre dans sa vie.

Maryse de Mes Mots de Vie

Écrire est une manière de se prendre en charge pour aller mieux face aux perturbations du Monde.

Chaque jour, nous entendons autour de nous résonner l’écho du mal-être. Dans une société, où le sens de l’humain se perd, il est important de garder un rapport positif à sa propre vie, sans se laisser empêtrer dans le marasme ambiant des plaintes, des cris et des gémissements dus aux nombreuses frustrations,  de ceux qui ne prennent jamais le temps de se poser avec soi-même, pour nouer un dialogue réparateur en toute quiétude et qui préfèrent au contraire faire rejaillir sur les autres, ce qui ne va pas dans l’unique but de  se soulager sans effort.

Les paroles semblent venir plus facilement pour dire ses colères, ou ses tristesses. Elles se déversent dans un flot continu presque violent sans filet, sans retenue, ni même respect pour ceux qui n’ont peut-être pas envie de devoir écouter sans cesse les toxicités débitées à longueur de journée par les mêmes personnes, à travers  leur manière trop fermée de regarder la vie uniquement avec des exigences et du pessimisme , ce qui demande à être réajusté.

 Au final dire ce que l’on pense  abruptement, n’aide pas se réparer ou à apprivoiser ce qui nous impacte dans notre quête de tranquillité, c’est un peu comme brasser encore plus ce vent tempétueux du chaos environnant,  comme un rapport de force et de résistance  avec ce que l’on veut voir changer. Mais que fait-on pour vraiment changer les choses qui nous perturbent,  pose- t-on concrètement des actes clairs dans cette intention de voir évoluer la vie, vers quelque chose de plus doux et de plus agréable?

Avoir sans arrêt des phrases assassines ou des mots durs et blessants pour parler de la vie, ce n’est pas vraiment s’exprimer, ce n’est pas vraiment aimer la vie non plus. ! C’est comme s’opposer sans cesse à son flux naturel!

Voir toujours ce qui ne va  pas dans ce que l’on vit,  c’est comme une distorsion psychique inconsciente, c’est une manière de montrer peut-être sa détresse au travers de cette incapacité à prendre soin de soi-même,  pour ne pas se laisser déstabiliser par les virages à flanc de la falaise où nous entraîne incessamment les détours chaotiques de la vie.

 Apprendre à faire plus attention à ce que l’on laisse entrer en soi est un véritable apprentissage nécessaire. L’expression de soi à travers  ce brouillard, montre une nécessité de s’accompagner pour ne plus être aussi  perméable à la négativité  même si cela s’avère extrêmement difficile. Quand on sait qu’on n’a pas du tout envie d’écouter les turpitudes des autres qui peinent à gérer leurs émotions, on apprend aussi à y mettre des limites spontanément, pour ne pas devenir une éponge émotionnelle.

Lorsque les autres laissent circuler sans cesse des reproches ou des pseudo-vérités, en pensant détenir le pouvoir de la communication et des relations humaines pour soumettre ou pour dominer,  ils ne font qu’envahir l’espace sans tenir compte de la liberté de chacun de penser comme il  le souhaite.  

« Parlons peu mais parlons bien » c’est un proverbe qu’on a du mal de plus en plus à appliquer. Pour  avoir une bonne relation à l’autre, il est indispensable  d’admettre qu’un filtre est nécessaire dans la manière de vivre nos émotions en lien avec la vie qui nous perturbe.   Cela mérite bien qu’on prenne le temps de mieux comprendre les raisons de ce qui nous tourmente.
L’écriture un excellent sas de décompression,  pour avoir ensuite une parole plus pertinente et pondérée.

Écouter c’est observer pour mieux comprendre

Tout d’abord écouter l’autre  de manière active, c’est se mettre dans une posture de neutralité active pour avoir un discernement plus juste et savoir saisir entre les mots, les silences ou les respirations, qui montrent jusqu’à quel point le message inconscient de l’autre peut nous faire du mal lorsqu’il circule jusqu’à nous. Ainsi, on n’est plus une simple oreille passive qui prend de plein fouet  les confidences, on devient plus enclin à répondre à ce que l’on entend,  par des mots empathiques et bienveillants qui réajustent immédiatement la parole de l’autre pour le renvoyer à ce qui est à travailler en lui, pour ne pas sombrer dans sa négativité et lui faire prendre conscience au contraire de la nécessité de peser davantage le poids de ses paroles de manière plus constructive et moins incohérente.  


Être dans cette écoute active permet de  ne pas se laisser aspirer par les errances psychiques  de l’autre.

Maryse de Mes mots de vie

Lorsqu’on tend l’oreille pour écouter ce qui se dit dans les groupes, les cercles ou les rassemblements, on se rend compte que les conversations sont toutes orientées vers le négatif de la vie, vers les mauvaises nouvelles, vers ce qui nous  irrite et qu’on ne comprend pas. On parle plus souvent des sujets déprimants  que de sujets heureux! Comme une nécessité de vider son sac pour ne pas se sentir seul dans sa souffrance morale. On a attend de l’autre qu’il nous écoute pleinement et qu’il nous comprenne forcément.  Cela n’est pas si simple !

Ne pas se sentir écouté et compris durcit nos relations aux autres comme s’ils ne voulaient pas nous soutenir. Pour autant, ce n’est pas souvent le cas, l’autre peut nous écouter d’une oreille sans intérêt réel ou ne pas partager nos opinions trop arrêtées !

Il faut aussi se dire que l’autre n’a peut-être pas les outils pour nous accompagner dans nos incertitudes et nos crises existentielles !

Écrire permet de relâcher la tension interne qui nous pousse à tout voir négativement.

Écrire maintient un état d’équilibre et de sérénité.
Écrire ouvre notre conscience dans notre Présence à l’instant.
Écrire est une voie pour guérir de soi pour panser ses blessures.
Écrire, c’est ouvrir un espace pour mettre fin à ce qui entrave notre liberté d’être.

Écrire pour devenir son avenir sans laisser le découragement flétrir nos rêves.
Écrire pour donner envie à nos désirs d’être.
Écrire est comme une voie de bien-être insoupçonné.
Écrire est une « réénergétisation » naturelle de notre  élan vital
Écrire est un accompagnement de nos projets pour trouver notre motivation intérieure.

Écrire pour ne jamais laisser nos inspirations s’éteindre.
Écrire c’est oser poser autant de mots pour mettre fin à nos maux qui laissent une brume épaisse de points d’interrogation sur nos paysages intérieurs.
Écrire c’est dissiper les nuages en points de suspension qui se déposent au-dessus de nos questionnements.
Écrire c’est un élixir sacré dans lequel on puise une goutte  de notre essence infinie

Le pouvoir de l’écriture n’a aucune limite, c’est une part de nous qui s’invite pour nous dire, pour nous raconter, pour nous défier, pour nous confronter.

Maryse de Mes Mots de Vie

Écrire, c’est cette concertation avec soi qu’on fait sans peur de jugement ni de manquer d’écoute ou de compréhension.
Écrire c’est mettre un filet sur nos émotions pour ne pas perdre pied.
Écrire c’est un merveilleux tourbillon d’amour de soi qui nous dépose au sein de notre berceau intérieur, là où l’on peut à tout moment renaître plus fort !
Écrire nous fait toucher à l’infinie perfection de notre être dans ses vertus de réparation et de bienfaits inédits.

Comment s’y prendre pour écrire dans cette intention créatrice?

Se poser chaque jour dans une écriture profonde et introspective permet de faire une mise à jour de nos sensations, de nos sentiments, de nos émotions pour des prises de conscience nombreuses, suivies d’actions plus concrètes qui nous mènent vers des décisions pour notre bien-être.

Si vous comprenez au cours de la journée que vous avez du mal à interagir avec les autres à cause de votre hypersensibilité, de votre manque de compassion ou de votre manque de disponibilité,… Vous mettez des mots sur vos limites, sur vos freins et également sur des solutions qui s’offrent à vous et qui sont toujours en vous.  Vous pouvez les activer par une attention que vous allez porter davantage sur cette intention de développer des relations plus saines et sereines avec les autres, à travers une écoute plus structurée de ce que vous ne voulez plus laisser vous atteindre !

L’autre porte dans ses mots souvent ses maux, à nous de savoir faire preuve d’une écoute bienveillante sans entrer dans sa négativité. En apprenant à le renvoyer à ses propres remises en question nécessaires, on lui permet de ne pas s’égarer entre ses fausses certitudes et ses évidences incertaines !

Écrire devient alors un acte d’engagement envers soi-même pour son épanouissement personnel.

Écrire demande de savoir s’accorder suffisamment de temps pour se regarder dans le miroir de son âme.

Parfois on ne veut pas écrire car on a peur de ce que l’on pourrait découvrir de soi, ce n’est pas évident mais extrêmement réparateur car ça permet d’extraire ce que l’on ne réussit pas à faire sortir à voix haute !

On pense que parler est plus réconfortant mais c’est faux car parfois nos paroles sont limitées ou biaisées par l’idée que l’on se fait de l’écoute des autres.

L’écoute des autres ne remplacera jamais le fait de savoir s’écouter soi-même !

L’écriture est un confident de choix pour se sentir compris et écouté, on se sent comme dans un refuge neutre qui nous libère d’un poids de ce qui est trop personnel et intime pour le confier aux autres!

L’écriture enfin permet aussi de mettre à distance ce qui nous pèse sans se sentir jugé ! Cette mise à distance décuple l’effet de libération qui l’accompagne.

L’écriture est et sera pour toujours notre guide intérieur ! N’hésitez à vous lancer dans cette belle aventure  ! Bien évidemment, pour des problématiques plus graves et plus chroniques, un accompagnement médical est absolument indispensable!

Maryse de Mes Mots de vie

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