Et si on vous parlait de notre nouveau livre « Sur le fil de l’équilibre : Comment ne pas perdre pied dans nos relations aux autres?

« Laissez-vous immerger dans cette déambulation où les mots seront des guides vers une nouvelle approche plus conscientisée et plus sensible des relations humaines. « 

Maryse et Louna-Muse

Comment est née cette collaboration pour MMDV?

Ce livre symbolise la fusion de deux sensibilités : celle des mots et celle des images symboliques. Et c’est au cœur de ce nectar sacré que nous avons choisi de plonger la plume fine et délicate de notre inspiration pour tracer les lignes de nos histoires relationnelles intenses et fondatrices. Et comme il faut tirer des leçons de chaque expérience, nous avons choisi de revisiter à travers différents volets, les grandes leçons de vie et les belles découvertes pour suivre le fil des nos relations aux autres.

Ce livre se lit comme une déambulation dans le jardin de la vie qui parfois prend des formes de labyrinthe pour nous emporter au-delà de nous-mêmes, dans des couloirs sombres où seule la lumière de notre Amour de soi sacré nous permet de ne pas nous égarer. Et c’est en suivant le fil de notre cœur que nous pouvons accueillir chaque relation comme un parcours initiatique pour apprendre de Soi, de ses émotions, de ses incompréhensions, de ses malentendus, de ses petits bonheurs, de ses joies, de ses peines, du Tout de la vie qui se résume en un seul et unique mot : Equilibre.

Nous vous offrons un extrait d’un des textes que vous trouverez dans notre fabuleux livre. Il est illustré de magnifiques visuels inspirants, avec des mots vibrants et énergiques, écrits sur du papier glacé brillant pour une expérience poétique exaltante. Ce recueil s’habille d’une sublime couverture dure au dos arrondi pour parfaire son élégance. Et pour finir son signet satiné vous permettra de marquer des pauses méditatives au cours de votre lecture, pour prendre le temps de savourer la beauté des mots pour apaiser les maux.

Extrait offert page 68 du chapitre 13 « Le jeu de la vie » à retrouver dans le volet 1 du livre qui s’intitule « Déambulation »

Sur la Terre des Hommes, nous sommes des barques, des
navires, des voiles qui ont besoin de communiquer avec la vie,
en devenant qui l’on est vraiment sans exil, sans fuite, sans
départ. Nous sommes des Terres d’asile, au milieu de nulle part,
pour héberger d’autres êtres, d’autres âmes, des esprits et des
corps, des cœurs et des émotions, des pensées et des idées.
Nous avons tellement de combats à mener ensemble, pour
évoluer vers la plus belle part de nous-mêmes, celle qui atteint
tous les sommets, notre part sensible au cœur de notre
humanité.

Sur le fil de l’équilibre écrit par Maryse et Louna-Muse

Les autres volets du livres sont : Volet 2 « L’Équilibre en action : l’écriture de Soi » avec un patchwork de timbres de Mots Sensibles, Volet 3 « Activation positive » avec des Lettres d’Amour de Soi à laisser infuser pour des bienfaits immédiats et Volet 4  » Intégration » avec des mantras à répéter tout au long de la journée pour faire rayonner son estime de soi renouvelée.

N’hésitez plus pour pré-commander votre exemplaire dédicacé pour suivre le fil de l’équilibre des relations humaines.

Avec tout notre Amour,

MMDV

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Événement sur MMDV: Parution officielle de notre nouveau livre illustré par Louna-Muse : Sur le fil de l’équilibre…

Sur le fil de l’équilibre
Comment ne pas perdre pied dans les relations aux autres ?

Les fils s’emmêlent quand les pensées, les sentiments et les comportements jouent des notes discordantes dans la partition de la vie.

Nous sommes des êtres de relation, pourtant nous oublions l’importance de préserver l’équilibre au cœur de nos interactions pour ouvrir la porte vers les autres sans crainte.

Redonner à chaque expérience un goût plus vivant d’authenticité et de complicité permet de rester ancré dans l’immense forêt de nos différences à travers cette quête relationnelle.

Ce livre vous invite à dérouler le fil des relations humaines dans un parcours initiatique riche en leçons de vie et en belles découvertes.

Laissez-vous immerger dans cette déambulation où les mots seront des guides vers une nouvelle approche plus conscientisée et plus sensible des relations humaines.

Maryse et Louna-Muse

Nous vous offrons un extrait de la préface à savourer sans hésiter

Pour découvrir la suite, pré-commandez votre exemplaire dédicacé ou achetez directement sur la librairie BOD

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Avec tout notre Amour,

MMDV

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Notre corps est notre temple sacré

Amour de soi et body positive

MMDV

En tant qu’individu, nous sommes un corps, un esprit, une âme et ce formidable Tout, se meut dans l’espace et le temps pour nous faire voyager dans l’histoire de notre vie. Notre corps garde dans chaque centimètre carré de sa peau, chaque expérience qui nous accompagne au fil des cycles de notre âge. Ce même corps nous a accueilli dans ses bras pour nous bercer du rythme de la vie dès notre  naissance, puis il s’est étiré encore et encore pour grandir et nous permettre de l’habiter, comme la première des maisons dans laquelle nous nous sommes édifiés, pierre à pierre, pas à pas, sur le chemin de notre croissance et de notre évolution au fil des ans.

Notre corps est notre véritable lieu de vie, c’est par lui que nous nous ressentons, que nous nous éprouvons et nous l’animons de nos actions. Notre corps n’est pas juste un corps, il est bien plus que ça, le socle de toutes nos aspirations. C’est par lui que nous percevons chaque mouvement, chaque pensée, chaque flux. C’est dans chaque respiration organique que nous activons notre force de vie. Notre énergie vitale le fait trépider, le fait trembler et parfois même chanceler. Il est le siège de toutes nos émotions, et c’est à travers nos sensations corporelles que nous exprimons ce que nous vivons.

Au début de notre vie, pour nous, notre corps n’est qu’un objet utilitaire, comme une séparation entre notre tête et nos pieds, puis nous comprenons qu’il forme bien plus que ça, une globalité et que si l’on continue à le croire dissocié, on devient un être désincarné, sans goût pour la vie, sans sentiment d’exister . Lorsqu’on prend conscience que notre corps est et restera notre unique repère, notre phare pour traverser ce que l’on a à vivre tout au long de notre destinée, alors on sait qu’il se transformera au fil de nos émotions refoulées, de nos non-dits sacrifiés, de nos blessures délaissées, de nos croyances erronées sur nous-mêmes, et sur notre personnalité.

Notre corps, porte l’empreinte de chaque souci, de chaque contrariété et si l’on n’apprend pas à le respecter en faisant de lui notre priorité, il se met à se rebeller. Il crie notre colère, il pleure notre tristesse, il s’épaissit du manque d’affection ou s’assèche des amertumes qui l’emprisonnent.

Notre corps raconte notre histoire de vie, il se courbe sous le poids des maux, il s’affaisse sous le joug des souffrances. Il hurle sa peine et noie sa solitude derrière des masques et des grimaces, derrière des troubles et des déformations. Notre corps souffre quand on l’empêche d’être tout simplement lui, quand on l’oppresse des diktats de la mode, quand on le dévalorise de notre regard trop exigeant qui perd toujours son temps à le comparer aux autres, en l’affligeant, en lui reprochant de n’être jamais assez bien. Notre corps devient alors comme une prison quand on le subit et qu’on oublie de lui accorder du temps, pour des activités saines, pour une alimentation équilibrée sans le juger, sans le détester,  autant d’excuses et de prétextes pour ne pas lui donner la possibilité d’exprimer ce qui pèse sous toutes les couches refoulées de ses traumatismes oubliés.

Des régimes excessifs à des addictions destructrices, il paie alors le lourd tribut de ce mal à le laisser être quand il veut raconter sa vérité.

Quand notre corps soupire sans plaisir, quand il se relâche sans effort, quand il procrastine et s’encrasse, alors il souffre et notre mental qui oublie de l’aimer devient négatif. Il est accusé d’être la cause de tous les désagréments, comme si ce Tout qui devrait être unifié pourrait s’accorder tout seul comme un instrument de musique délaissé. Il ne peut alors jouer que des notes discordantes si on ne lui donne pas l’autorisation de se dire, de s’écrire, de témoigner de ce qui l’oppresse et qui l’empêche de se déployer.

Quand notre corps redevient notre priorité comme une matière vivante animée du mouvement de la vie, alors on apprend de lui, de ses manques, de ses regrets, de ses chocs, de ses blocages. Lorsque notre corps danse la vie comme il la ressent , on voit tous les angles morts de ce qui n’est pas disponible, car retenu dans des amplitudes restreintes et des gestes automatisés à cause des blessures non traitées ni conscientisées. Le mouvement du corps lit la vie comme sur une partition où il retranscrit chaque note avec des maux si on n’apprend pas à l’écouter.

Être conscient que notre corps vibre et réagit à ce qui nous entoure et à notre environnement de vie, nous permet de comprendre les signaux qu’il peut émettre, quand nos désirs s’enfuient et que nos actes deviennent incohérents. Plus on regarde notre corps avec tendresse, plus il nous montre nos erreurs. Il nous confie les secrets de nos émotions refoulées et il nous apprend à réécrire l’histoire de notre vie en nous accordant davantage à son équilibre et à ses ressentis.

Il devient alors notre radar, notre boussole quand on s’égare et il nous réapprend qui nous sommes vraiment, quand on enlace chacune de nos fêlures et de nos cicatrices de vie.  Plus on l’aime comme il est, plus on le respecte pour ce qu’il est, plus on répare nos manques d’attention et nos excès qui l’ont abimé. Notre corps nous pardonne quand on sait l’aimer dans ses moindres imperfections, en suivant les traces de nos impasses, quand la vie nous a malmenés.

Notre corps sait nous aider à accueillir ce qui l’empêche d’être équilibré, il rejette ce qu’il ne peut plus supporter si on ne sait pas l’apprivoiser et développe les maladies, le mal à dire…

Lorsque l’on fait de notre corps notre sanctuaire pour sillonner la vie, on ne voit plus de différences entre toutes les parts de notre être enfin rassemblées, on rend grâce à ce Tout magnifié, grâce à  notre Présence attentionnée et à notre conscience éveillée pour le rendre plus solide, plus stable et plus heureux : le bonheur intérieur, l’Amour de Soi tout simplement !

Notre corps devient un vaste champ d’énergie prêt à s’élancer pour faire bouger toutes les émotions négatives et les remplacer par la joie de l’instant présent. Lorsqu’on n’est plus en résistance avec notre corps, cela le libère de tous ses blocages et l’énergie de vie peut circuler sans barrière et sans entrave, il n’y a plus de poids ni de courbes, notre corps devient comme un roseau qui se plie pour ne plus subir la vie mais pour la laisser exister dans un flux de vitalité et de vigueur, comme il est, comme on est…. Et on se pardonne et on pardonne à la vie pour le guérir enfin pleinement et profondément !

Cultivez l’équilibre intérieur comme unique socle de vie et remerciez votre corps à chaque instant !

Maryse de Mes Mots de Vie

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L’Ours et le Colibri

Enchantez votre cœur grâce à la joie simple et mélodieuse de ce conte philosophique et poétique…A méditer…

Et surtout n’oubliez pas de sourire...

MMDV

La petite fille aux rêves tendres se glissa dans son lit douillet le cœur ouvert, prête à vivre des aventures palpitantes. Le sourire aux lèvres, elle laissa ses paupières s’alourdir du bonheur de partir à l’aventure, au cœur de ses nuits ensommeillées, sous la protection des lueurs majestueuses de sa complice de toujours, la merveilleuse Lune enchantée.

Alors que le sommeil commençait à la bercer de sa mélodie préférée, celle du silence aux doigts de fée, elle se sentit transportée au milieu de mille étoiles magiques qui éclairaient son chemin, vers des rêves éveillés.

Elle se laissa guidée et se retrouva au cœur d’une forêt extraordinaire : elle fut accueillie par un carillon joyeux qui égayait l’atmosphère de ses tintements de cristal. Elle crut un instant qu’elle assistait à un doux concerto où des violons et des flûtes s’entremêlaient, pour faire danser les esprits sur un air de joie. Alors, elle chercha cet instrument de musique au pouvoir incroyable et en suivant cette mélodie, elle se rapprocha d’une rivière éclairée par une lumière bleue, où des formes iridescentes, scintillaient de mille feux. Elle écarquilla les yeux et fut éblouie par l’envol de mille plumes colorées, qui semblaient danser et qui tourbillonnaient au rythme de cet allegretto prodigieux. Elle se sentit comme soulevée du sol et elle perdit le contrôle de son corps qui, allégé comme une plume, se mit à l’emporter dans une danse incroyable, inimaginable et sensorielle très lente, comme une vaporeuse ondulation . Elle eut l’impression d’être, comme dans le peau, à la fois d’une équilibriste et d’une danseuse étoile émérite. Elle se laissa agir par un immense mouvement d’une chaleur douce et légère qui semblait occuper tout l’espace. Et elle dansa avec une fluidité aérienne, qui la transporta comme au-dessus de la forêt, très haut dans ce ciel qui brillait d’un éclat à nul autre pareil.

Elle se sentait libre comme jamais, sans poids du mental, sans charge à porter. Libre, totalement libre, en équilibre, alignée à l’instant présent, en total apesanteur, suspendue au-dessus du temps.  

Et quand elle fut redéposée sur le sol sur un tapis de mousse, elle se mit à rire à gorge déployée, comme l’enfant joyeuse qu’elle était. Elle se laissa rouler dans l’herbe et elle dévala la pente de cette petite colline, en riant aux éclats. Sa joie résonnait avec la musique du carillon qui n’avait jamais cessé son doux concerto. Elle se retrouva, ainsi, au pied d’un arbre de vie majestueux, au tronc solide et noueux, aux belles branches déployées et aux mille fleurs colorées, comme un immense parasol magique et joyeux. Alors, elle découvrit accroché dans l’arbre, le carillon aux notes fantaisistes. A ce moment-là elle vit un bec pointu, très long et très fin qui frappait délicatement l’objet, dans le rythme et dans  la cadence, pour en extraire des sons mélodieux presqu’hypnotiques.

Émerveillée, elle vit qu’il s’agissait d’un magnifique petit Colibri royal et que sa mission était semble t-il d’enchanter toutes les âmes pour en extraire leur gaieté. La Petite fille aux rêves tendres se laissa écouter ces notes si douces, si harmonieuses, si féériques qu’elle sentit des petites larmes perler puis ruisseler sur ses joues.

Soudain, une grosse voix grave et rocailleuse résonna à ses côtés.

-« Petite fille aux rêves tendres, pourquoi pleures-tu ? »

La fillette sursauta, se retourna et vit juste derrière elle, un magnifique ours blanc aux yeux dorés qui la regardait. Surprise et effrayée, elle recula instinctivement mais elle vit qu’il était plutôt amical. Elle lui répondit :

« Monsieur L’Ours du Pays enchanté, ce ne sont pas des larmes de tristesse, car mon cœur est si heureux,… Je ne sais pas d’où viennent ces larmes ! »

Alors, la musique cessa et le joyeux petit Colibri royal vint se poser sur son épaule. De sa petite voix cristalline, il siffla un petit air coquin comme une petite ritournelle qui semblait être sa manière à lui de rigoler, puis il se mit à parler :

-« Hi Hi Hi, Petite fille aux rêves tendres, si ce ne sont pas des larmes, qu’est-ce que c’est ? »

La petite fille subjuguée par ce duo improbable qui conversait à ses côtés, se mit à son tour à rire, et s’exclama, les yeux brillants de malice :

-« C’est juste un peu d’eau qui a débordé de mes yeux heureux, de l’eau de vie, de l’eau du cœur, de l’eau du bonheur.

Puis, elle reprit songeuse :

-« Pourquoi pleurer, c’est être triste, on pleure aussi de joie! Quand la douceur de la vie devient une danse entre le silence et le mouvement, l’énergie de cette chaleur dégèle le cœur froid et meurtri pour faire rire les soucis! Et les larmes ne sont plus que des petites gouttes précieuses de l’élixir de notre âme chatouillée de la joie d’être vivant tout simplement.C’est ce que j’ai compris aujourd’hui, grâce à cette aventure avec vous.

A ces mots, l’Ours et le Colibri sourient…

C’est avec cette image gravée dans sa mémoire que la Petite fille aux rêves tendres se réveilla le lendemain matin, le cœur en fête. Désormais, elle avait pour mission de faire danser la vie pour faire circuler la joie à chaque instant auprès de tous les êtres.

Vous aussi, écoutez le chant de votre cœur d’enfant, pour aller à la rencontre de votre sagesse intérieure, qui sait cueillir dans l’instant présent, des gouttes de joie, pour porter vos rêves vers leur plus belle concrétisation et pour préserver votre équilibre. Et n’oubliez jamais que lorsque la délicatesse rencontre la puissance de l’être, l’Ours et le Colibri se tiennent à vos côtés pour  vous inviter à philosopher et pour vous guider grâce à leur pouvoir sacré et universel.

Croyez en vos rêves et faites vibrer la vie comme le carillon enchanté.

MMDV

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Détox émotionnelle : une petite cure d’écriture pour garder l’esprit serein

Mes Mots de Vie vous invite à éliminer vos toxines émotionnelles pour retrouver la sérénité nécessaire à votre bien-être grâce à l’écriture comme régime détoxifiant de vos émotions…

MMDV

Jour après jour, vous courez après vous-même et vous oubliez de prendre soin de votre équilibre émotionnel. Pourtant , il est indispensable pour se sentir bien, loin de toutes les compensations, de s’offrir un temps de détoxification, pour retrouver une humeur plus stable en dépit des agitations des autres.

Le temps passe et vous sentez peser en vous, comme une sensation d’être mal à l’aise dans votre corps et de vous sentir comme à fleur de peau, comme si vous aviez accumulé des couches d’émotions mal digérées.

Après les excès cumulés dans vos interactions, vous avez comme besoin de perdre du poids émotionnel, pour chasser la grise mine et retrouver plus de motivation et plus de joie. Un petit bilan de votre santé mentale s’avère nécessaire à travers une seule et unique question :  » Comment vous sentez-vous actuellement dans vos pensées ? »

Découvrons ensemble dans ce programme de détox émotionnelle, 10 astuces pour dégonfler de vos émotions en douceur et sans stress et pour retrouver une « ligne  » émotionnelle parfaite rapidement, grâce à l’écriture.

Êtes-vous seulement conscient de l’impact de vos émotions sur votre qualité relationnelle au quotidien ?

Quoiqu’on puisse en dire, il est souvent difficile de ne pas laisser nos émotions en roue libre, comme des chevaux sauvages qui galopent au vent, dans une course éperdue sans bride ni retenue. Nos émotions ne peuvent pas être refoulées sous peine de les subir encore plus violemment. Plus on les enferme en cage, plus elles se rebellent et nous défient, et quand on s’y attend le moins elles transparaissent à travers nos réactions teintées du flot de notre amertume qui dévoile nos ressentiments. Nos paroles ou nos actes ne sont alors que des échos de ce qui coule dans l’eau de notre bassin intérieur.

Un peu de fatigue et on n’arrive plus à cacher ce qui nous excède, dans les comportements et dans les attitudes des personnes déconnectées d’elles-mêmes. Pourtant, quoiqu’il advienne, on se doit de laisser aux autres, la liberté d’être eux-mêmes sans les juger ou sans s’opposer. Ce qui va déclencher nos agacements et nos colères, c’est avant tout l’intensité des émotions qui sommeillent en nous à cause de nos expériences malheureuses du passé. Alors, ce qui paraît anodin, prend une ampleur incontrôlable dans nos interactions, si nous ne sommes pas conscients de ces émotions négatives à « épurer ».

Après des excès alimentaires, vous avez besoin d’une période de détox, pour retrouver un corps sain et en bonne santé. De même, ce temps de rééquilibrage émotionnel s’avère indispensable pour retrouver des relations sereines à chaque fois que vous subissez des situations qui vous vident de votre énergie.

Que faire alors face à toutes ces émotions qui vous submergent à chaque instant, à travers vos réactions excessives ou maladroites ? Vous êtes comme gouverné par elles, elles vous mènent tantôt au creux de la vague tantôt en haut de la crête. Qui tient vraiment le gouvernail pour vous diriger vers le meilleur dans  votre quête de bonheur insatiable ?

Prendre conscience que les émotions n’agissent jamais seules, mais qu’elles ne sont que les conséquences des sentiments qui viennent vous chatouiller dans la fibre de votre sensibilité, au cœur de votre quotidien, est un début de réponse, pour espérer aller vers une vraie détox émotionnelle, afin de garantir un retour à votre équilibre intérieur.

Une pensée négative fait apparaitre un sentiment désagréable jusqu’à faire naître une émotion que l’on ressent à travers des sensations corporelles perceptibles.

La liste des 7 émotions les plus récurrentes sont : La peur, la colère, la tristesse, le dégoût, l’amour, la joie, la surprise.

Les sentiments les plus fréquents sont : le sentiment amoureux ou amical, le sentiment d’abandon, de rejet, de trahison, d’injustice, de dévalorisation,  de solitude, le sentiment d’appartenance, de culpabilité…

On ne peut que constater la barrière très mince entre les émotions et les sentiments, jusqu’à les confondre et les intégrer dans une manière de vivre, d’agir ou d’être, qui donne souvent un sens erroné à ce que l’on perçoit, en raison d’une interprétation de la réalité faussée, par les pensées négatives d’un mental en surcharge émotionnelle.

En amont d’une problématique, se trouvent les pensées responsables de nos dérives. En effet, étant donné les milliers de pensées qui vagabondent chaque jour et qui créent un poids dans notre mental, on comprend mieux que chaque pensée négative impacte notre qualité de vie. Les personnes très émotives sont aussi celles qui pensent le plus et qui se posent mille questions à travers des scénarios de leur mental qui leur invente une interprétation de la réalité. On comprend mieux l’importance de cultiver des pensées, des paroles et des actions positives pour vivre en harmonie dans la paix intérieure.

Les problèmes de santé mentale qui agitent de plus en plus la société d’aujourd’hui, à travers ses conséquences désastreuses, montrent l’étendue des dégâts d’une mauvaise gestion de nos émotions.

Plus on laisse notre mental s’opposer à tout, plus cela engendre une saturation et on se met à croire à notre vision de la réalité comme si elle était unique, sans être conscient de la subjectivité de nos opinions et parfois même des incohérences de nos propos. On est comme aveuglé par le poids de nos émotions qui pèse comme pour nous empêcher d’avoir l’esprit clair, lucide pour maintenir le respect fondamental que l’on se doit d’avoir à l’égard des autres, pour leur laisser leur liberté d’être et d’agir.

Lorsque nos pensées sont saines, notre vie toute entière reflète cet état de quiétude. Rien ne peut nous faire perdre notre stabilité. Nous récoltons les fruits de notre bonheur intérieur.

Suivre une détox émotionnelle assure un bien-être avant tout pour soi, pour apprendre à penser plus sainement. La détox émotionnelle se fait quand on sait épurer soi-même ses pensées vagabondes afin de  développer des sentiments de paix et de sérénité.

Quelle est donc votre dernière pensée négative? Ressentez profondément cette pensée dans vos sensations corporelles. Que pouvez-vous faire pour réguler les émotions qui en découlent pour laisser s’évaporer ce qui vous semble un peu lourd?

Voilà un petit jeu amusant à mettre en place à chaque instant, quand vous vous sentez décontenancé par une situation.

Et si nous commencions dès à présent cette petite cure de détox émotionnelle, pour faire du bien à notre mental en devenant conscient à chaque instant de l’influence de nos émotions sur notre vie.

N’hésitez pas à suivre ce programme de 10 jours de détox émotionnelle par l’écriture en vous abonnant à MMDV, si ce n’est pas encore fait, et vous recevrez nos astuces pour un meilleur équilibre de vos émotions…

Merci de votre fidélité et ensemble prenons soin de notre santé mentale pour vivre en conscience et en présence à chaque instant….

Maryse de Mes Mots de Vie

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L’Amour est un tableau vivant

Des graines d’amour sont semées au vent et l’on récolte des histoires d’alchimie et de fascination.

MMDV

Un regard posé sur les contours de la vie d’un être qui s’approche et on laisse la vague nous submerger pour  faire disparaître nos appréhensions.

Notre cœur parle alors une langue inconnue, faite de frissons et d’émotions, comme un vieux parchemin qui vient livrer des secrets qui ne sont déchiffrables que par un autre cœur épris.

Nos pensées deviennent des bouquets de sensations inédites et nos paroles s’infusent du miel de nos présences connectées.

Tout est ralenti, même nos gestes qui deviennent comme une danse lente à l’écoute d’une musique imperceptible émise par les battements de nos âmes enlacées.

Le paysage change, il n’y a plus qu’une seule saison, celle qui fait bourgeonner nos inspirations teintées de poésie et de tendresse. Les arbres deviennent des maîtres-enchanteurs, le ciel déploie sa cape aux nuances évanescentes et même les nuages se chevauchent et s’embrassent pour célébrer l’amour qui passe.

Les rêveries des cœurs amoureux sont audacieuses et prometteuses. Les fleurs se transforment en petites fées au pouvoir insoupçonné et les oiseaux bercent les romances de leur chant mélodieux.

Tout se transforme quand l’Amour distille dans l’air des gouttes de déraison. Comme des bulles pétillantes qui tourbillonnent autour de nous et défont les cœurs grisâtres pour les plonger dans un bain coloré par des soupçons de désir et des évasions d’ivresse.

L’Amour devient un tableau vivant, chacun portant dans son cœur l’envie d’aimer, de s’éprendre, de succomber, ne serait-ce qu’un instant…

L’Amour esquisse un sourire complice, des yeux espiègles et malicieux, des mains chaleureuses et douces, des bras ouverts pour enlacer plus qu’un corps, un cœur, une âme, un esprit et tout à la fois.

L’Amour porte dans son sillage des milliers de petites lueurs qui se déposent dans le ciel plus lumineux, dans des paroles plus attentionnées, dans des conversations plus animées, des tons enjôleurs pour séduire et éveiller dans l’atmosphère comme une envolée de ballons colorés.

Tout s’allège, le poids de la vie ne pèse plus, on partage avec l’autre des morceaux d’intimité qui font sourire les peines et redonnent de l’espoir aux cœurs malheureux.

Tout devient majestueux, envoûtant, fabuleux. La plume de l’Amour chatouille de sa légèreté les recoins encore assombris par les peurs et les doutes pour les réconcilier avec l’acte d’aimer.

La magie souffle des milliers de paillettes sur les visages fermés qui s’animent pour se préparer à fusionner.

L’Amour transforme les difficultés d’aimer, en joie de s’aimer soi-même pour  laisser déborder vers l’autre un flux ressourçant  jusqu’à remplir d’autres rivages de ces éclats de bonheur.

L’air devient plus respirable, le temps semble comme étirable. Ceux qui ne s’expriment jamais, commencent à parler avec un flot de  mots qui résonnent comme une énergie différente d’une intensité rare qui stimule des interactions plus joyeuses, comme des récréations amoureuses où l’on s’autorise à aimer et à se laisser aimer.

Lorsque l’Amour devient un visage, il cesse d’être une attente, une exigence, une incertitude. Il se diffuse même dans notre souffle qui devient plus puissant comme si on avait une nouvelle force qui se déployait en nous.

L’Amour libère une nouvelle manière de regarder la vie, moins sage, plus entreprenant, plus rassurant. On partage, on donne et on reçoit en même temps et on laisse circuler encore plus d’amour autour de nous.

Plus l’Amour embrase les cœurs, plus il humanise les regards, il détruit les manques et il réconforte les pleurs.

L’Amour est une couleur unique qui n’existe pas sur la palette de l’artiste mais qui pourtant se reconnaît dans chaque tonalité qui crée comme une bulle autour des êtres amoureux.

L’histoire d’Amour commence à s’écrire sans hâte mais dans le rythme des élans spontanés qui donnent au cœur le pouvoir de tout déclarer, de tout dévoiler dans des confessions libératrices qui attachent les sentiments avec des fils de soie. Alors l’Amour enveloppe chaque tristesse d’un flot de tendresse et arrose chaque aigreur d’un océan de douceur.

L’Amour colle, raccommode, répare, guérit. L’Amour vole au temps la clé de l’instant. L’Amour apaise, protège, étonne et pardonne.

MMDV

Quand l’Amour blesse, crie, creuse et sépare, il ne porte plus le même nom, il ne s’appelle plus Amour.  Il se masque en trahison, il s’écrit en  haine et il se déshumanise en souffrance. Il ressemble à une porte de prison, il devient malfaisant et des épines jonchent les tapis de fleurs. L’Amour perd sa force, il s’affaiblit, se rétrécit et s’étiole.

L’Amour n’est plus amour quand il perd le velours de ses notes et heurte les cœurs d’un martèlement sourd. Il devient une machine à faire trembler la vie et il n’est plus alors, ce merveilleux tableau vivant qui valse hors de l’espace. Il se transforme en une nature morte qui meurtrit la vie et fige même le temps qui passe. Il fane les sentiments et assèche les cœurs.

L’Amour fait des fracas, mais on préfère ses ébats, ses émois, ses « il était une fois ». Il prend parfois des détours, puis un jour il renaît et fait refleurir des parterres qui espèrent.

Alors, même s’il résonne parfois durement, ne fuyez plus l’Amour, n’ayez plus peur de son énergie incomparable. Choisissez juste votre couleur : l’Amour de soi puis l’Amour de l’autre.

Chassez les pilleurs de cœur. Acclamez les chanteurs de l’âme. Applaudissez ceux qui savent faire triompher le pouvoir d’aimer car c’est la seule force qui érige le Monde pour cultiver le bonheur intérieur. Aimez, aimez sans condition, devenez le tableau vivant de vos sentiments.

Qui cherche l’Amour, n’a qu’à juste fermer les yeux pour savourer…

Pour toujours plus de pouvoir de l’Amour de Soi pour apprendre à mieux aimer l’autre.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le temps qui passe nous change quoi qu’on fasse

Au fil du temps, on déroule le tapis de notre vie que l’on foule de chaque pas pour traverser notre destinée.

Dans la brume de l’âge qui se pose avec ses changements qui nous poussent à nous renouveler, nous découvrons d’autres facettes de notre personnalité.

Si hier on se rebellait contre certaines situations, si on avait d’autres goûts ou d’autres affinités, aujourd’hui on apprend à s’adapter à tout, sans résister à l’impermanence des circonstances qui passent et emportent dans leur sillage ce que l’on ne peut retenir plus longtemps, ni par attachement ni par exigence. Rien ne dure vraiment sans attention ni affection.

Demain nous apporte son lot de nouveautés, à travers les mentalités qui évoluent, avec les manières d’être qui se modifient. Tout change et nous bouscule pour que l’on ne reste pas figé dans nos évidences, comme sur une photo en noir et blanc jaunie  par nos croyances limitantes.

Avec les années qui défilent et qui forment notre parcours riche de nos impulsions et de nos ambitions, demeure  la quête d’un  éveil toujours plus grand pour que l’on puisse se saisir de la sagesse de la vie, et  elle ne se résume qu’à la seule Conscience de notre Présence à l’instant. Être présent de tout notre être et la vie se simplifie pour nous donner un accès plus facile à nos aspirations.

Rien ne sert de lutter, il n’y a plus qu’à se laisser glisser dans les minutes, dans les secondes, pour que les heures se remplissent de la joie d’être tout simplement Soi. Comme des moments suspendus, où l’extase nous comble d’un bonheur intérieur à nul autre pareil. Il n’y a plus de courses vaines, d’insatisfactions perpétuelles. Juste l’accord sur le violon de nos frétillements intérieurs pour faire danser nos actions.

La philosophie de l’instant présent devient l’unique remède à la nostalgie pour ne pas laisser la mélancolie encore nous raconter ses peines et venir assombrir chaque jour d’une lourdeur inutile, qui nous empêche de chérir la vie et ses fantaisies. Il est juste temps après maintes pérégrinations de remplir  chaque instant de nos émerveillements pour chaque souffle de vie, pour chaque pépite précieuse de cette connexion à soi-même, qui permet  d’explorer le plus grand de ce que l’on croit connaître.

Les souvenirs deviennent des traces de nos histoires de vie, comme des bribes de nos éclats de rires emportés par nos indifférences à ce temps qui passe, pour nous apprendre et nous faire comprendre l’unique enjeu, qui est celui de pouvoir faire durer le plaisir d’aimer la vie en grand aussi longtemps que possible, sans  se complaire dans la version la plus étriquée de soi qui déforme jusqu’à nos traits.

Aucune tristesse ne peut s’emparer des cœurs heureux d’avoir vécu tant d’expériences au gré d’une existence parsemée de tant de joyeuses nouveautés. Et c’est l’âme libre que nous continuons à cueillir les bouquets de cadeaux que nous offrent la vie, quand on s’aime plus que tout, plus que le temps, plus que l’argent, plus que les restrictions et les besoins de compensation que l’on s’impose et qui limitent la vie.

Il n’y a pas qu’un port ni qu’une frontière, pas qu’un pays ni qu’une lumière, nous circulons tous au cœur de la prospérité intérieure qui ne se compte pas en billet mais qui se savoure en toute simplicité, animé de notre force d’exister comme unique priorité.  On apprend ainsi  à rendre plus confortable notre cocon qui nous permet de nous maintenir dans une stabilité et dans un équilibre harmonieux à toute épreuve.

Alors, le temps qui passe n’a plus de prise sur notre motivation de vouloir goûter à chaque instant, comme s’il s’agissait du dernier. Aucune émotion négative ne fausse les cycles de la vie, quand on apprend à aimer chaque ride qui se pose sur les contours de notre destinée. Il n’y a plus d’opposition entre le temps de la jeunesse et le temps de la sagesse.

Le temps qui passe nous change quoi qu’on fasse.  De nos combats, il ne reste que des poussières d’illusions, des morceaux de révolte accrochés à des étendards  déchirés. Pourtant, dans chaque histoire de vie, s’édifie la puissance d’être vivant à travers des épisodes parfois difficiles mais o combien fabuleux de nos épopées et de nos tragédies.

Lorsqu’on accueille l’être que l’on devient comme le nouveau-né qui ouvre les yeux sur le monde qu’il découvre pour la première fois, alors à chaque instant on renaît encore plus fort. Il n’y a pas un jour qui se ressemble. Chaque aurore installe un nouveau décor, chaque crépuscule s’écrit en majuscule. Le soleil se lève avec de nouveaux projets. La lune éclaire nos inspirations de son projecteur magique et les étoiles n’arrêtent jamais de briller grâce à nos rêves.  La source de la vie ne se tarit jamais quand on ne bloque pas son flux par nos ingratitudes. La vie ne se décide pas comme un ordre à donner, elle s’écoute comme une information qui vient se déposer pour nous amener à progresser. Elle nous porte dans son élan vers l’étendue des possibles, toujours plus haut, toujours plus loin jusqu’à élargir notre point de vue sur un panorama plus créatif.

Le temps qui passe nous change quoi qu’on fasse, alors contentons-nous de savourer la vie comme elle vient, comme elle s’écoule.Elle nous altère,  elle nous façonne. Laissons-nous polir par cette énergie vitale  pour rester le merveilleux diamant qui brillera éternellement de mille feux si l’on arrête de résister.

Hier, on se voyait rebelle et insoumis, et si aujourd’hui on devenait plus raisonnable? Personne ne peut empêcher le temps de suivre son cours, mais l’on peut toujours embellir la vie en ressentant plus d’amour et  plus de compassion pour ce que l’on a avant de convoiter toujours plus. Aimons ce qui est  et acceptons que le temps passe sans avoir d’appréhension. Tout est parfait ! Tout est toujours à sa place …

Pour une vie sereine et dans la quiétude d’être Soi !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Vivre dans la conscience supérieure

Les pensées négatives créent votre réalité…

MMDV

Au cours des pages qui se noircissent à chaque chapitre de notre histoire de vie, on se rend compte que nous abandonnons souvent nos désirs et nos objectifs pour nous laisser happer par le flot émotionnel. Les émotions nous submergent trop souvent et nous font plonger dans des péripéties dont on n’arrive pas à se libérer pour respirer la vie comme elle vient. On limite son flux naturel en refermant l’espace de  notre déploiement en cherchant sans cesse à nous comparer aux histoires des autres. Les points communs ne sont que des illusions qui nous rassurent. Notre regard est tenté d’aller cueillir à la volée, des bribes de ce qui  semble nous ressembler et que l’on s’oblige à intégrer dans nos stratégies personnelles, parce que l’on préfère penser que cela nous permettra d’être avec les autres.

Nous sommes sans cesse avec les autres par notre individualité, et dans cette seule et même unité qui nous lie les uns aux autres. Mais nous avons chacun aussi, notre manière de vivre l’expression de notre mission d’âme. C’est pourquoi chercher à plaire ou à exister pour l’autre, c’est comme entrer en résistance avec soi-même et s’auto-limiter. On s’étonne alors ne pas trouver un état de quiétude durable. Si chacun de nos actes n’est fait que par rapport à l’autre, alors on ne peut que récolter l’opposé de ce que l’on recherche, c’est-à-dire l’impression de ne pas réussir à atteindre ce que l’on désire vraiment.

Les attentes que l’on porte vers les autres, s’accompagne inexorablement d’une vague de plus en plus haute d’émotions négatives qui déferle avec de plus en plus de violence, pour nous montrer que  l’on ne va pas du tout dans la bonne direction, comme si on avait perdu le contrôle de nous-mêmes. Souvent, le conflit intérieur nous fait comprendre que si l’on n’arrive pas à trouver une zone de calme et de bien-être dans ce projet qu’on mène, cela signifie que nous faisons fausse route. Alors plutôt que de renoncer ou de se décourager, il convient d’analyser  le sens des émotions  qui nous assaillent, sans les refouler. En les laissant s’exprimer, on leur permet de nous délivrer un message pour faire apparaître  une stratégie à réajuster, une croyance à laisser partir, une manière de pensée qui ne permet pas de se déployer.

Aucun succès, aucun combat ne peut nous ramener « à la maison », au chaud dans notre cocon protecteur où règnent l’harmonie et la paix intérieures. Les émotions  ne sont que des révélateurs de ce qui est à comprendre, pour reprendre le bon chemin vers nos aspirations et nos zones de déploiement. Elles nous indiquent où se situent nos croyances limitantes qui n’ont rien à voir avec le vrai but de notre destinée.

Chercher cet accordage à chaque instant dans nos prises de décision demande une persévérance et une détermination à toute épreuve, sans jamais faillir, quand la tentation est trop forte de succomber à ce qui est facile et piégeur.

Vivre en étant connecté à sa conscience, c’est sortir du brouillard de nos pensées conditionnées par nos attentes, pour cultiver au-dessus de Soi, un soleil qui continue à briller malgré les circonstances et les expériences, et qui vient nourrir notre force intérieure et notre motivation à chaque instant.

Quand une émotion négative vient nous frôler, il ne faut pas feindre de ne pas la ressentir. Oui elle est là, et on doit se demander alors : « qu’est-ce qu’elle veut me dire ? » La connexion immédiate à la prise de conscience, permet de laisser l’émotion se dévoiler, pour se raconter, pour se dire puis pour circuler et pour repartir pour s’évaporer loin de nous. C’est ce qu’on appelle se laisser traverser par nos émotions.

Lorsqu’on cesse de s’identifier à nos émotions négatives, on se met en action pour les célébrer comme des messagers qui mettent en évidence les reflets de nos états d’âme. Si on ressent de la joie, alors tout notre être en accueillant ce sentiment de légèreté rayonne et pétille à travers ce moment de bonheur, ce qui nous procure de la bonne humeur. Quand on ressent de la colère ou de la tristesse, c’est le même processus, tout notre être fait vibrer cet état négatif, ce qui influence tout ce qui nous environne pour l’envelopper comme d’un nuage « toxique », jusqu’à créer une réalité troublée et plus lourde à supporter.

Le poids des émotions négatives qui s’accumulent est totalement inconscient, de notre part mais palpable à travers notre attitude.  On le perçoit également dans nos fréquences vibratoires,  on se sent comme ralenti, découragé, déprimé comme tirer vers le bas, vers une faille qui vient engloutir toute notre bonne humeur pour nous envelopper d’une aura grise. Alors, on n’arrive plus à penser positivement. Le stress, l’inquiétude, l’anxiété viennent comme s’agglutiner à tous  nos actes et l’on a l’impression que la vie est une lutte.

Comprendre que nos émotions nous font plus de tort que les situations elles-mêmes, c’est apprendre à changer de rapport à ce qui nous perturbe dans notre quotidien. Activer la Conscience comme moteur de sa vie, c’est reléguer au second plan, le mental et ses illusions.

Être en paix, c’est exister au milieu du chaos sans être tourmenté, comme si on était ancré à  quelque chose de bien plus grand que notre simple condition d’être humain, comme si on était aussi immense que l’infini. Cette conscience élargie, elle est là, de fait, quand on médite, quand on se connecte à la nature, quand on contemple le silence, quand on éteint le mental. C’est notre véritable source de pouvoir, de réalisation, et de bienfait.

Plus on apprend à écouter nos sensations, plus on apprend à doser nos réactions. Qu’est-ce qui nous gêne dans cette circonstance, dans cet échange, dans ce commentaire ? L’autre n’est qu’un révélateur de nos émotions refoulées. Tant qu’on ne les laisse pas s’exprimer par des moments de conscientisation, on s’enferme dans sa spirale, jusqu’à ne plus accepter de voir et de reconnaître ce qui nous met en difficulté.

Pour faire le test de votre état émotionnel, jauger ce qui a une intensité extrême au cours d’une journée : combien de fois vous vous mettez en colère, vous vous sentez irrité ou agacé ? Combien de fois vous vous plaignez ? Combien de fois vous formulez des reproches ? Combien de fois vous changez d’humeur ?  Quel est votre dialogue intérieur ? Quels sentiments perdurent au moment de vous coucher ? Quel goût avez-vous gardé de ce que vous avez vécu,  pour pouvoir affirmer, que vous  avez passé une bonne ou une mauvaise journée ? Qu’est-ce qui a d’ailleurs le plus influencé votre état émotionnel : la comparaison, le jugement, la jalousie, les médisances, les critiques… ?

Chaque pensée, entraîne une émotion à travers un comportement qui  raconte notre histoire : nos blessures de l’enfance, nos mauvaises expériences, nos déceptions, nos exigences…Être capable de se regarder dans les yeux de son intériorité, en profondeur et sans peur, c’est atteindre le plus haut sommet de l’amour de soi que l’on puisse éprouver : « Je m’aime comme je suis et je me prends en charge dans mes émotions négatives pour trouver le sens de ce que je vis et aller à la reconquête de couleurs à apporter à ma vie. »

Faire preuve de compassion et de gratitude à notre égard, c’est rester ancré à notre force intérieure qui sait nous montrer la voie, vers ce qui nous permet de nous alléger de nos émotions négatives.

Notre mental nous mène par le bout du nez, il nous raconte des sornettes que nous voulons bien croire parce que ça nous arrange. Cela nous donne une bonne raison de ne pas aller creuser plus en profondeur à la racine même de nos stratégies de vie, relationnelles ou émotionnelles qui ne sont pas gagnantes.

Savez-vous exister sans vous plaindre, sans avoir pour refuge de vie vos histoires passées, sans admettre juste un instant, qu’on peut toujours faire mieux quand on veut vraiment accéder au niveau supérieur de son être et de son existence?

Écrire sa vie, c’est savoir aussi l’accueillir sans la craindre pour pouvoir se convaincre que les maux finissent par  se dissiper quand on les regarde à travers les yeux transparents de notre conscience supérieure et non avec le regard déformé et étriqué de notre égo, qui sait si bien nous duper, pour tout transformer, pour  nous faire douter, culpabiliser et nous empêcher de donner le meilleur de nous-mêmes.

A chaque fois qu’on restreint l’amplitude du rayonnement positif de notre Soi, on devient comme l’ombre de  notre vie,  parce qu’on a peur de ne pas être reconnu, compris et soutenu. Alors,  on oublie que l’amour de soi à son plus haut degré n’a plus besoin de validation. On ne recherche plus la satisfaction des autres,et  on comprend que le vrai bonheur est sans limite,  car il est intérieur, quand on sait vivre dans la justesse de ce qui nous rassure, de ce qui nous protège, de ce qui nous élève…

N’ayons  plus peur de donner le meilleur de nous-mêmes à tous et pour tout,  si notre intention est de nous accorder au flux  spontané de la vie, on peut remplacer les émotions négatives, par un océan de gratitude afin d’aller vers  les plus belles réalisations dans l’instant.

Respirer la vie dans ses possibles, c’est apprendre de chaque souffle, encore et toujours, sans regret, sans retenue, pour le meilleur et jusqu’à l’infini de soi.

Maryse de Mes Mots de vie

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Le miroir de l’instant

Le pouvoir de l’instant présent radoucit la vie…

MMDV

Fermez les yeux puis rouvrez-les et regardez autour de vous. Quelle est votre réalité, là tout de suite, maintenant ? Que voyez-vous comme éléments représentatifs de vos sentiments du moment ? Quelles sont les traces des empreintes de vos pensées et de leurs marques inconscientes ?

Regardez-vous dans ce miroir très personnel. Peut-être êtes-vous en train de travailler et que vous voyez se refléter ce que vous ressentez dans cette ambiance dans laquelle vous exercez votre activité : une énergie de chaleur et d’entraide, ou une froideur calculée avec quelques éclats d’orgueil et de prétention… ?

Regardez dans le miroir de la nature : en quoi ce brouillard qui enveloppe votre paysage résonne t-il avec le flou des incertitudes qui agitent votre mental ? Ou peut-être le doux soleil fait-il briller vos envies de vous renouveler ?

Regardez-vous dans le miroir de l’autre, des autres, de celui qui est là juste à côté de vous, en quoi sa présence vous ressemble, en quoi est-elle différente ?

Regardez-vous dans le miroir du Monde, quels sont les événements qui vous font réagir ? Qu’est-ce qui vous émeut, qu’est-ce qui vous agace ? De quoi parlent vos émotions ? De tristesse, de joie, de colère, de tendresse, d’amour, de frustration ?

L’instant présent est riche de symboles et de signes à interpréter comme des évidences de ce que l’on n’arrive pas à se dire à soi-même, de ces vérités masquées qui pourtant chantent leurs complaintes à nos oreilles.

Pourquoi avons-nous du mal à interpréter consciemment ce qu’évoque le reflet de tous ces miroirs dans lesquels on se regarde ?

Si nous sommes happés par certaines informations, certaines personnalités ou caractères, certaines tendances ou influences, tout cela parle de nous, à nous d’en être conscients.

Suis-je conscient de ces pensées qui m’empêchent d’aller bien ? Suis-je capable de lire dans les signes palpables autour de moi, de ces bouts de moi-même portés par le souffle de l’instant ? Suis-je apte à concevoir ce qui me ressemble dans ce que je vois dans le miroir de la vie ?

Le miroir de l’instant me montre où j’en suis à chaque instant avec moi-même, avec les autres…

Suis-je en phase avec ce que je ressens dans mon présent ? Est-ce que ce que je vis dans l’instant me ressemble vraiment ? En quoi je m’accorde à ces fragments de ma vie qui m’emportent dans mon quotidien ?

Lorsque j’observe dans le miroir de l’instant les contours de mon existence, de ma présence, de ma conscience dans le silence de mon âme, je vois…Oui je vois tout ce qui paraît invisible pourtant. Je vois le chaos du Monde dans lequel je cherche mes pas, je vois les masques du mystère relationnel qui m’empêchent d’être moi-même, je vois les agitations, les trépignements, les impatiences de ceux qui n’ont pas envie d’attendre pour sauter dans le gouffre de l’impossible de leurs exigences. Je vois des agglutinements de foule, je vois des cœurs éteints, je vois des sourires sans paraboles, je vois les supercheries du destin.

Dans le miroir de la vie, tout est visible pour celui qui regarde avec les yeux de la Conscience, sans peur, sans égo, sans mensonge, sans façade. Le voile qui recouvre les yeux des blessures de l’âme, se lève et l’on voit comme dans l’eau pure de la rivière qui s’écoule avec lenteur, le jeu de la vie.

Une à une se dissipent les mille et une couches de brume qui pèsent sur le reflet de la réalité, lorsqu’on ouvre les yeux bien grands, on voit avec les yeux du cœur ou de l’esprit, toutes les particules éclatées de l’être perdu entre le paraître et le devenir et on comprend mieux les enjeux cachés derrière chaque intention.

Où est passée la joie de laisser la vie s’écouler sereinement et  légèrement pour créer l’instant et le diffuser comme un effluve d’amour, de bienveillance, de partage ? A quel moment le temps a-t-il englouti les désirs et ses déclinaisons ?

Dans le miroir de la vie, tout est gris, tout est sombre, même la lumière ne reflète que des ombres. Lorsqu’on se regarde à travers notre histoire, on voit apparaître tans de visages différents que nous ne sommes pas. Qui est cet inconnu que je ne connais pas ? Qui est cet imposteur qui a pris ma place ? Qui est ce Moi que je ne reconnais pas ?

O toi qui me regarde à travers le miroir de ton égo me vois-tu vraiment ou ne suis-je qu’un mouvement invisible à tes yeux, impalpable lueur que tu ne perçois pas, intouchable chaleur que tu ne ressens pas. Qu’as-tu fait de tes sens perceptifs ? Les as-tu remplacés par des écrans artificiels ? Sais-tu encore comment dessiner les contours de ton visage sans regarder dans tes selfies omniprésents ?

Te vois-tu dans le brouillard des autres ? Arrives-tu encore à distinguer tes traits sans les confondre à ceux des autres ?

Reviens dans ta présence à l’instant, que vois-tu dans le miroir de ton âme connectée ?

N’est-ce pas un cœur en manque d’affection, une bouche sans baisers, des yeux sans éclat, et ce nez sent-il vraiment le doux parfum de la vie qui n’attend que toi pour batifoler au vent ? Et ce corps qu’a-t-il perdu ? Où s’est-il égaré ? N’est-il qu’une silhouette inhabitée ?

Reste dans ta présence et ressens la douceur de l’instant qui se pose au cœur de ton être pour te rappeler à quel point tu es vivant quand tu habites le miroir de tes pensées positives et joyeuses, quand tu animes ton regard des belles couleurs de ta conscience éveillée, quand tu redonnes à chaque seconde le goût de l’éternité.

Oui, il t’appartient d’aimer la vie même quand elle est plus dure, pour lui permettre de se réchauffer dans ta foi de croire en toi.

Oui, tu peux rallumer la flamme et faire briller ton reflet pour habiter l’instant et ne jamais te quitter.

Respire la joie d’être là, juste de te percevoir dans ta présence et regarde-toi dans le miroir de la vie , tu verras les mêmes reflets scintiller autour de toi même qu’un peu.

C’est en redevenant à chaque instant l’Espoir que l’on recherche qu’on permet au reflet de la vie de nous emporter dans son flux apaisé au cœur de notre paix intérieure, elle est de notre responsabilité pour ensuite aller vers les autres, sans paraître absent à l’instant.

Le miroir de l’instant est toujours fidèle à ce que l’on ressent.

Parce que l’unique fréquence de la vie, c’est celle de votre présence à l’instant, vibrez haut et fort ici et maintenant, le reste n’est qu’illusion.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Slow coffee ou slow life : L’art de prendre son temps !

Quand on laisse couler goutte à goutte l’essence de l’inspiration

Qu’on laisse se répandre les effluves enivrants de la créativité

On s’abandonne à la légèreté de simplement « être » sans crier gare

Le seul fait de vivre chaque instant dans toute l’étendue de ses possibles

D’apprécier l’immensité d’une précieuse seconde…

On réapprend à exister pour soi

On se redonne une place importante

On s’abandonne au temps

On s’offre entièrement à l’instant

Il n’y a rien de plus beau que ce sentiment « d’avoir le temps »

Tout dépend de ce qu’on recherche vraiment

Pourquoi avoir peur de « perdre son temps » ?

Où est-ce qu’on court ? Après qui et comment?

Je regarde s’extraire l’élixir de mon âme

Les gouttes tombent une à une délicatement dans la coupe de cristal

J’y sens un arôme, une complexité

J’y goûte une amertume, une acidité

J’y perçois un caractère, une sucrosité

Et au-delà des apparences, je peux discerner un profil, une présence…

Ressentir ce qui l’anime

Discerner sa vibrance

Dessiner ses contours

Peindre ses nuances

Apprécier son goût unique

Sa texture si douce et éclectique

Teintée de couleurs à la fois denses et magnétiques

Je réalise alors que l’extraction douce du café me fait penser à la danse lente de la vie

Qui se donne à savourer quand je prends le temps de la laisser glisser délicatement sans la forcer et la presser

Lorsqu’elle coule sans se hâter, elle m’invite à explorer la richesse infinie de ce qui est disponible au cœur de mon être

La lenteur entre chaque goutte extraite suit la justesse d’un rythme naturel qui respecte l’authenticité sans dénaturer l’entièreté et l’identité

Ce moment suspendu est un espace déployé pour me connecter à l’instant présent dans toute sa beauté et dans toute sa volupté

Pour faire de la vie un Tout accompli, pour être pleinement vivant dans la singularité face à l’impatience du Monde qui est toujours trop pressé, en mode expresso sinon rien!

La patience est bel et bien une vertu qui se mérite pour se préparer au meilleur à extraire pour un millésime de bonheur aux saveurs envoûtantes de chaque expérience qui se délecte ici et maintenant.

Comme dans la méthode du Slow Coffee, adopte toi aussi la philosophie du Slow Life et de sa fantaisie et laisse-toi le temps de vivre cette merveilleusement symphonie. Développe chaque parcelle de ton âme pour écouter la musique suave de la vie qui sait où elle va, quand on la respecte dans sa cadence et dans son mouvement qui étirent le temps, pour en distiller des secondes toujours plus savoureuses et plus intenses à travers une dégustation les yeux fermés, comme dans un cocon réconfortant, pour accueillir la grâce et la magie de l’Instant Présent .

PS : Ne t’inquiète plus et capture ce moment, on a toujours plus de temps qu’il n’en faut si on le décide maintenant!

MMDV

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Les Vœux de MMDV

Que 2024 laisse s’écouler goutte à goutte, dans votre vie, les notes d’Amour, de douceur et d’équilibre pour une année riche en joyeuses surprises. 

Joie, Harmonie, Amour et Paix.

Nous vous remercions pour votre fidélité sur Mes Mots De Vie.

En 2024, nous continuons de vous accompagner avec des mots vibrants d’énergie pour vous aider à déployer toujours plus d’Amour de Soi dans votre vie et pour vous ouvrir à des prises de conscience nécessaires.

Faites rayonner la joie d’être pleinement vous, libres et affirmés.

Restez connectés sur MMDV pour découvrir encore plus de nouveautés pour laisser résonner en vous la force des textes et des visuels inspirés riches en symbologie.

Avec MMDV, soyez fiers de vous en toutes circonstances !

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Le Carrousel désenchanté de l’Amour de Soi

« La Magie d’être Soi »

21 jours pour retrouver l’Amour de Soi : « Seul ton enfant intérieur peut redonner de la magie à ta vie. »

Chapitre 1


Il était une fois, lors d’une douce après-midi de décembre retentissaient les rires des enfants qui s’amusaient dans une cour d’école.

Soudain, l’un d’entre eux aperçut une petite plume multicolore et scintillante.

Il dit alors à ses petits camarades :

– « Regardez, il y a une plume magique »

Les autres se mirent à rigoler et lui dirent :

– « N’importe quoi, les plumes ne sont pas magiques !»

Ils tournèrent le dos et s’en allèrent.

Le petit garçon décida de suivre la plume du regard, c’est alors qu’il vit qu’elle s’était déposée dans une cour qui se trouvait derrière l’école.

Il décida donc de s’y rendre après les cours.

C’est à ce moment là qu’il réalisa que la plume avait disparu, il découvrit à sa place un vieux manège abandonné.

Ce manège possédait environ 21 personnages articulés.

Tous les personnages étaient comme éteints, sans couleur et tristes, ils semblaient porter le poids de toutes les misères de la Terre, alors le petit garçon se mit à pleurer, car il avait ressenti dans son petit cœur d’enfant, la souffrance du Monde.

Tout à coup, il aperçut, collé à l’oreille d’un cheval de bois, un petit papier où était inscrite une phrase aux lettres dorées :

« Si tu redonnes à ce manège toutes ses couleurs, la magie de Noël

rayonnera dans le Monde »


Chapitre 2


Le petit garçon rentra chez lui et avant de se coucher, il repensa au vieux manège désenchanté et au message qu’il avait retrouvé près de l’un des chevaux de bois. 

Alors, il décida de chercher comment faire pour le restaurer. 

Le lendemain matin, quand il arriva à l’école, il alla voir son maître.

Il lui demanda de l’aide pour rénover le vieux carrousel. 

Celui-ci lui dit alors : 

– « Oh mais c’est un excellent projet pour Noël, nous allons proposer de le repeindre et voir ce qu’il sera possible de faire. »

Mais le petit garçon n’était pas satisfait de sa réponse, il ne voulait pas seulement repeindre le vieux manège, il voulait aussi le faire fonctionner à nouveau pour lui redonner toute sa magie.

Il repartit dans la cour derrière l’école et à son arrivée, devant le vieux manège, il vit une petite fille qui était là, en train de chanter.

Il lui dit :

– « Mais qu’est ce que tu fais donc ? »

Elle lui répondit :

– «  J’essaie de redonner à ce manège un peu de gaieté, je le trouve bien gris, bien sombre et lugubre, alors je chante et j’espère qu’en chantant quelque chose se passera pour lui redonner vie. »

 Le petit garçon se sentit soudain lié à cette petite fille, par un lien fort et mystérieux.

Ils voulaient tous les deux redonner de la joie à ce vieux manège abandonné, qui détenait bien plus de magie qu’il n’y paraissait...


Chapitre 3


Cette rencontre près du vieux manège désenchanté, tissa un lien magique entre les deux amis qui étaient sur le point de vivre une aventure humaine haut en couleur.

Les enfants virent apparaître dans le ciel un merveilleux oiseau blanc aux yeux argentés. 

Il vint se poser sur le manège qui, soudain, se mit à scintiller.

La petite fille prit le petit garçon par la main et tous les deux ils sautèrent dans un carrosse enchanté qui, de manière merveilleuse, avait retrouvé de belles couleurs.

Ils furent alors transportés dans un autre monde. 

Quand ils arrivèrent dans ce monde, guidé par l’oiseau blanc aux yeux argentés, ils virent que toutes les personnes étaient tristes, que les animaux étaient malheureux, que tout était gris et sombre.

 Il n’y avait, ni couleur, ni lumière.

 Ils entendaient même les pleurs des enfants et les cris des adultes qui résonnaient à chaque coin de rue.

 Tout semblait chaotique, désordonné comme un vaste désespoir sans fin.

 Alors, les enfants effrayés, dirent au bel oiseau blanc aux yeux argentés :

– « On ne veut pas rester ici, c’est bien trop triste. Ramène-nous à l’école. »

Et sans plus attendre, ils furent de retour dans leur réalité, devant le vieux manège qui n’avait pas bougé d’un pouce.


Chapitre 4


Les deux nouveaux amis, avaient l’impression de sortir d’un mauvais rêve. Ils sentirent naître à l’intérieur d’eux-mêmes un sentiment de responsabilité et de détermination à protéger le monde qui les entoure, en répandant Amour et Joie.

Les enfants prirent conscience, que sans aide de leur part, le vieux manège désenchanté allait rester abandonné et que cela changerait toute la vie autour d’eux. 

Le monde deviendrait, aussi maussade et terne que ce qu’ils avaient pu observer dans cet autre univers dans lequel le bel oiseau aux yeux argentés les avait transportés.

Ils s’assirent devant le carrousel abandonné et ils commencèrent à réfléchir à une solution pour lui redonner vie.

Soudain, la plume scintillante, que le petit garçon avait découverte la veille, réapparut pour les guider. 

Alors, tous deux, ils suivirent la petite plume et coururent après elle.

Celle-ci les emmena au beau milieu d’une immense vallée flamboyante où virevoltaient des papillons étincelants près des milliers de fleurs aux nuances éclatantes.

C’est ainsi que, subjuguer par la beauté de ce nouveau paysage, ils virent apparaître dans le ciel, une nuée d’oiseaux aux yeux argentés qui se posèrent simultanément devant les deux enfants émerveillés.

La petite fille, se sentit éprise d’une grande émotion face à cette scène de toute beauté.

Elle se mit, tout naturellement, à chanter comme transporter par le rythme entraînant de ces oiseaux magiques qui dansaient dans le vent de la vallée enchanteresse. 

Alors, des milliers de plumes commencèrent à valser dans le ciel étoilé.

Elles tourbillonnaient et tourbillonnaient continuellement dans l’air rayonnant.

Le petit garçon n’en croyait pas ses yeux.

Il se murmurait à lui-même, les yeux rivés vers le ciel bercé par la douce voix mélodieuse de sa nouvelle amie : 

– « Mais que se passe-t-il donc ? » 

Bouche bée, il vit apparaître devant lui, un bel être de lumière aux plumes argentées.


Chapitre 5


La petite fille s’était arrêtée de chanter, absolument éblouie par la scène unique qui se déroulait devant elle et devant son ami.

Émerveillés par la magnificence de cet être hors du temps, les enfants restèrent sans voix et admirèrent l’aura de lumière qui émanait tout autour comme pour leur délivrer un message.

Alors, ils s’avancèrent main dans la main et à leur grand étonnement, ils virent que ce qu’ils avaient cru être un être de lumière était en réalité une plume dorée.

Elle ne cessait de tournoyer sur elle-même pour dessiner des formes, et pour répandre des couleurs en faisant apparaître toutes sortes d’images tel un hologramme.

Ils réalisèrent que les images dessinées dans le ciel représentaient chacun des personnages du manège abandonné.

Cette plume représentait la magie qui pouvait opérer en toute chose si on formulait un souhait rempli d’amour.

Alors, ils voulurent attraper cette plume, mais lorsqu’ils tendirent la main vers elle, ils se rendirent compte que la plume était insaisissable comme une illusion d’optique.

Elle était comme projetée par un immense faisceau lumineux et il était impossible de la toucher.

Soudain, ils entendirent une voix, ils regardèrent alors vers la plume, mais il n’y avait personne. 

Ils se retournèrent et ainsi, ils virent poser derrière eux, un immense oiseau blanc aux yeux argentés. 

L’oiseau mystérieux leur dit :

– « Je suis le maître de vos rêves. »


Chapitre 6


Les deux enfants fascinés n’en revenaient pas. Ils restèrent en totale admiration et complètement captivés par chaque mot que prononçait le bel et immense oiseau blanc aux yeux argentés.

Le mystérieux et imposant oiseau poursuivit :

– « Plus vous émettez des souhaits magiques pour aider les autres, plus cela me fait changer de taille et je grandis pour devenir de plus en plus fort et de plus en plus puissant.

Cette plume que vous voyez face à vous, elle provient de mon majestueux plumage et elle a  un pouvoir magique qui s’intensifie quand on nourrit des rêves sincères, des vœux charitables, des souhaits de bonheur, de lumière, d’amour pour les autres.

Si vous poursuivez votre exploration, vous découvrirez ce qui anime véritablement le cœur du Monde. »

Alors, les enfants voulurent encore poser des questions, mais tout à coup tout ce qu’il venait de voir, disparut.

Il ne resta que le vide de la vallée et le silence des montagnes.

Soudain, sans crier gare, Ils furent à nouveau projetés dans une autre réalité et ils se retrouvèrent ainsi, près d’un magnifique ruisseau éclairé par les douces lumières de l’aurore.

Pourquoi étaient-ils là ? Ils ne le savaient pas, mais ce qu’ils ressentaient en eux, c’était comme un profond sentiment de joie, comme une agréable paix intérieure, de se trouver dans un lieu enchanteur, rassurant et réconfortant.

La mélodie qu’émettaient les oiseaux qui s’amusaient près de ce cours d’eau, apportait de plus en plus de gaieté dans leur cœur d’enfant. 

Alors, la petite fille se mit à chanter, elle ne savait pas encore pourquoi, elle ressentit juste une irrépressible envie de laisser sa voix s’enlacer aux pépiements des oiseaux.

Elle ne savait pas encore qu’elle chantait la mélodie de l’Amour de Soi.


Chapitre 7


La mélodie du bonheur résonnait autour de la rivière enchanteresse. La petite fille avait réussi à captiver, juste par sa voix, toute la nature autour d’elle ainsi que son petit compagnon d’aventure.

Cette mélodie vibrait même au-delà, jusqu’à déborder dans tous les villages, dans toutes les villes, dans tous les pays.

Les enfants virent tomber du ciel une fine neige dorée qui vint se déposer sur les arbres ainsi que sur les fleurs et sur les enfants.

Cette magie dorée, comme un élixir miraculeux, pouvait soigner chaque être, chaque plante, chaque cœur, de leur peine et de leur tristesse.

Tout comme un baume, elle venait apaiser les maux pour redonner de l’amour à toutes les âmes et ainsi répandre la joie tout autour du monde.

Le petit garçon tendit la main pour essayer de toucher à l’une de ces paillettes dorées, mais tout disparut instantanément. Tout avait fondu comme la neige au soleil.

Il voulut tenter de retrouver la trace de toutes ces paillettes d’or qui avaient illuminé le monde, en quelques secondes, ornant celui-ci de tant de beautés. 

Il dit à la petite fille :

– « Viens, on va chercher où se trouvent toutes ces paillettes magiques. Elles pourraient faire tellement de bien au Monde et peut-être même redonner toutes ses couleurs et sa puissance au manège désenchanté. »

Alors, ils longèrent la rivière et remontèrent vers une forêt couleur émeraude.

Plus ils avançaient, plus la pénombre s’éclairait de petites lucioles enchantées qui leur montraient la voie vers un objectif et un ailleurs qu’ils ne connaissaient pas encore.

Ils marchèrent et marchèrent jusqu’à ce que la nuit tomba. 

La petite fille dit au petit garçon :

– « Il faut qu’on rentre chez nous, nos parents vont s’inquiéter. »

Ils regardèrent autour d’eux mais ils ne reconnurent pas le chemin du retour.

Ils se posèrent donc cette même question qui résonnait à l’unisson :

– « Comment allons-nous faire pour rentrer chez nous ? »


Chapitre 8


Dans la nuit dorée de lucioles qui enchantaient la forêt couleur émeraude, les deux enfants se regardaient en espérant trouver, dans l’infini de leurs yeux étoilés, une réponse à leur question restée en suspens dans l’écho de cette étendue de nature.

La petite fille se mit à pleurer et dit :

– « Mais moi j’ai peur, je ne veux pas rester dans cette forêt, il y a peut-être des animaux qui guettent et qui vont nous attaquer !»

Le petit garçon, lui n’avait pas peur, il se sentait comme animé d’une chaleur dans son cœur et il entendit sa petite voix intérieure lui murmurait :

– « N’aie pas peur, vous allez trouver la clé de votre destinée, il suffit juste d’y croire ! »

Les deux enfants s’assirent près d’un arbre majestueux aux branches protectrices et ils attendirent, tout en contemplant au-dessus d’eux, la sublime voûte étoilée lumineuse et impénétrable.

Le petit garçon se mit à compter les étoiles pour se distraire et pour rassurer la petite fille effrayée. Ils s’amusèrent ainsi à essayer de reconnaître des formes et des signes.

Le temps passa dans le silence mystérieux de la nuit, éclairée par l’innocence de l’éclat de ces deux petits chérubins qui ensemble grâce à leur candeur et à leur pureté, semblaient envelopper l’obscurité d’une lumière féérique.

Soudain, une énorme étoile tomba à leurs pieds.

Les deux enfants sursautèrent, surpris, ils se levèrent prêts à s’enfuir.

Mais ils s’arrêtèrent le souffle coupé face à la beauté mirifique de cette étoile magique qui illumina la forêt d’un halo doré auréolé de lueurs scintillantes.

Ils virent que tout autour d’eux brillait, comme recouvert de milliers de paillettes d’or.

Alors, le petit garçon fit le lien entre l’étoile et la magie dorée dont ils avaient vu les splendides effets près de la rivière.

Ils s’avancèrent tous les deux vers l’astre étoilé et ils virent qu’il s’animait :

Des petits yeux s’ouvrirent et une petite bouche se dessina avec un sublime sourire.

Puis, Ils entendirent la voix la plus douce et la plus mélodieuse qu’ils n’avaient jamais entendue.


Chapitre 9


Les deux enfants restèrent sans voix, face à la métamorphose impromptue et extraordinaire de cet astre étoilé, tout juste tombé du ciel, qui était désormais orné d’un charmant visage singulier accompagné d’une douce voix harmonieuse.

L’étoile se mit à parler et dit :

– « Les enfants, n’ayez pas peur, si je suis là c’est parce que je vais vous aider à redonner de belles couleurs à ce monde désenchanté et affligé par la peine.

Pour cela, vous allez devoir accomplir plusieurs missions.

Pour le moment, vous devez rentrer chez vous car il se fait tard.

Mais, inutile de vous inquiéter pour vos parents, ils ne se sont même pas rendus compte de votre absence car le temps des aventures que vous vivez, n’est pas celui de leur réalité.

Vous êtes au cœur du temps Divin alors que pour eux c’était comme si le temps était une vaste et infinie illusion.

Et à chaque fois que vous vivrez une aventure, vous serez tout de même chez vous, comme si de rien était, aux côtés de vos parents qui ne se rendront pas compte de cette autre dimension dans laquelle vous évoluez à présent pour essayer de sauver le carrousel magique.

Mais, vous devez me faire la promesse de ne jamais révéler ce secret à quiconque, dans le cas contraire, toute la magie disparaîtra.

Et vous ne pourrez plus jamais rentrer chez vous »

Sans plus attendre, les enfants furent de retour chacun chez eux auprès de leurs parents.

Ceux-ci n’avaient pas du tout l’air inquiets et vaquaient comme d’habitude à leurs petites tâches quotidiennes sans rien remarquer d’étrange.

Pourtant, dans le cœur des enfants, il y avait quelque chose en plus.

Un petit supplément d’âme qu’ils n’avaient jamais eu auparavant, comme un petit bout d’étoile accroché à leurs rêves.

Le petit garçon alla se coucher le sourire aux lèvres, de même la petite fille, avait les étoiles plein les yeux, elle serra contre elle sa poupée.

Les deux enfants, chacun dans leur maison, s’envolèrent au pays des rêves étoilés, heureux de cette merveilleuse découverte.


Chapitre 10


Les deux enfants dormaient profondément dans leur lit, chacun dans leur foyer respectif. Ils se retrouvèrent, comme par enchantement, transportés dans la même dimension, au pays des rêves.

Qui l’eut cru?

Pendant leur sommeil, ils pouvaient voyager pour résoudre le mystère du carrousel désenchanté.

Le petit garçon rejoignit la petite fille devant une immense porte toute dorée, ornée de fleurs magiques, qui brillaient dans la nuit profonde comme une invitation à franchir le seuil pour entrer dans un autre univers.

Il lui dit :

– « Comment sommes-nous arrivés là? »

La petite fille lui répondit :

– « C’est ce que l’étoile magique a essayé de nous faire comprendre, même si dans l’illusion du temps ‘réel’ nous dormons, nous voyageons actuellement au cœur du Temps Divin pour continuer notre quête et trouver la solution à notre énigme. »

Alors ils se prirent par la main et ils s’avancèrent vers la porte.

Au fur et à mesure qu’ils s’en rapprochaient, ils se sentirent comme enveloppés d’une aura lumineuse et chaleureuse, comme s’ils traversaient une douce énergie d’amour.

Lorsqu’ils eurent passé l’arche magique, ils se retrouvèrent au milieu d’un immense champs de fleurs où les coquelicots dansaient avec les marguerites, où les roses valsaient avec les pivoines, où les couleurs vives étaient toutes plus éclatantes et plus sublimes les unes que les autres.

Toutes les variétés de fleurs avaient leur place sans rivalité.

Elles étaient toutes semblables en beauté, en gaieté et en parfums enivrants.

Autour de ces myriades de fleurs, des animaux se côtoyaient sans aucune agressivité.

Le lion s’amusait avec les écureuils tandis que l’ours rigolait avec la biche, et les papillons se posaient au milieu des fleurs tout près des abeilles.

Tout était mélodieux, pas un son ne se heurtait à un autre.

La musique de la vie chantait des accords magnifiques dans tous les recoins et même le silence était joyeux.

Les enfants, subjugués par tant d’harmonie, étaient bouche bée.

Ils n’avaient jamais ressenti autant d’amour.

Tout n’était qu’Amour.

Ils sentaient dans leur cœur des petites vibrations comme des ondes de bonheur.

Soudain, ils aperçurent pas très loin d’eux, un arbre majestueux aux mille couleurs qui se mit à scintiller comme pour les attirer vers lui. 


Chapitre 11


La petite fille et le petit garçon restèrent sans voix face à l’immensité de cette vallée colorée et par l’aura puissante et enveloppante de cet arbre lumineux qui s’érigeait au-dessus d’eux comme un être protecteur et réconfortant.

Les enfants ébahis se dirigèrent vers le bel arbre qui était recouvert de milliers de petites guirlandes qui clignotaient avec des magnifiques lueurs dorées.

Au sommet de cet arbre brillait une étoile pas comme les autres.

C’était la réplique exacte de l’étoile de la forêt enchantée qui leur avait parlé.

Les enfants allaient prendre la parole, quand une voix grave déclara :

– « Venez les petits, j’ai un cadeau pour vous. Vous le trouverez au milieu de mon feuillage, si vous savez écouter votre cœur. »

Les enfants regardèrent au milieu des branches, mais ils ne virent aucun cadeau.

Ils entendirent alors l’arbre éclater de rire devant leur mine déconfite.

« Allez, souriez, faites vibrer la joie et regardez avec les yeux de l’amour. »

Niché au cœur de l’arbre se trouvait un petit colibri royal.

Il avait sur sa tête une couronne ornée de diamants et d’or.

Son plumage était pailleté.

Il sifflait un chant mélodieux que la petite fille reconnut :

C’était le chant de l’Amour de Soi.

Elle se mit à son tour à chanter de sa voix angélique, et tout à coup, des flocons dorés tombèrent du ciel qui avait pris les belles couleurs de l’arc en ciel.

Le petit colibri se posa sur l’épaule du petit garçon.

Alors, ils virent sous leurs yeux la scène la plus incroyable.

Les personnages du carrousel prenaient vie et s’animaient sous leurs yeux écarquillés.

Les enfants assistèrent à un spectacle hors du temps.

Comme sur un écran virtuel, ils virent des visages en larmes, ils entendirent des cris de colère, ils ressentirent à chaque image qui s’affichait le désastre émotionnel des êtres humains sur Terre et ils perçurent toute la tristesse de tous ces cœurs en détresse.

Fort heureusement, ce film irréel ne dura que quelques secondes, mais assez longtemps pour leur faire prendre conscience de l’importance de faire rayonner la magie de l’Amour de Soi au plus vite partout dans le Monde.

L’arbre se mit ensuite à raconter l’histoire du carrousel désenchanté. 


Chapitre 12


Les deux enfants écoutèrent attentivement le bel arbre qui s’était mis à leur conter l’histoire du carrousel désenchanté. Ils furent transportés quelque temps en arrière, tel un véritable voyage temporel.

Dans un petit village où régnaient l’ordre et la joie, chaque année, pour célébrer la magie de Noël, en signe de gratitude, les villageois avaient pris l’habitude d’installer le plus merveilleux des carrousels aux couleurs étincelantes et au pouvoir enchanteur.

Lorsqu’il tournait, il semblait emporter dans sa féerie tous ceux qui s’installaient dans les sièges avec les personnages fantastiques.

Sa musique égayait tous les esprits et son rythme et sa cadence faisaient danser les cœurs, même les plus attristés.

Tous les villageois s’y précipitaient pour célébrer l’instant de grâce et pour s’amuser comme des enfants pour témoigner leur gratitude, avec toute la bonté de leur âme joyeuse.

Ils adoraient cette attraction qui leur rappelait à tous, petits et grands l’importance d’avoir toujours le cœur en fête malgré les difficultés de la vie.

Malheureusement, au fil du temps, les coutumes changèrent et le vieux carrousel fut délaissé, au profit des commerces et des achats de Noël.

Les villageois préféraient se ruer avec frénésie, dans les magasins.

Le stress et l’excitation prirent le pas sur ce temps de légèreté et de rires.

Même les enfants boudèrent le manège qui tomba en désuétude, si bien qu’on l’abandonna avec indifférence, au fond d’une vieille cour inhabitée.

À chaque fête de Noël, les éclats de voix des villageois de plus en plus impatients se multiplièrent à cause des mécontentements et des déceptions dus à la fébrilité des fêtes. Tout n’était plus que dépenses et consommations excessives pour compenser des vides émotionnels inconscients.

L’Amour n’avait plus sa place.

Tout était devenu artificiel comme fabriqué, même les sourires étaient de façade.

Les enfants ne vibraient plus de joie, ils étaient comme éteints.

Les adultes faisaient semblant d’être heureux, mais au fond de leur cœur résonnait le manque affectif qui ne se comblait hélas pas, malgré tous les achats.

Happés par la course de la vie, ils oubliaient d’entretenir le plus important :

La joie dans leur cœur.

Ils ne savaient plus s’amuser simplement et même les enfants s’ennuyaient malgré des cadeaux par milliers.

Les exigences devenaient déraisonnables et les insatisfactions avaient pris le dessus sur l’insouciance.

La tristesse des cœurs, résonnait de plus en plus fort, jusqu’à devenir comme une habitude impossible à modifier.

Les gens se comportaient avec agressivité, ils se montraient de plus en plus critiques et se plaignaient sans cesse de tout.

D’où venaient toutes ces insatisfactions?

Le vieux carrousel voyait toutes ses belles couleurs disparaître au fur et à mesure que le temps passait et qu’on l’ignorait.

Bientôt il devint tout gris, comme effacé de la vie.

Les enfants, quant à eux, n’étaient plus des enfants, mais des petits adultes aux cœurs brisés.

Tout ressemblait à un immense chaos émotionnel, pourtant tout le monde se disait heureux, d’avoir tout à profusion.

Comme si le bonheur éphémère leur suffisait!

Avaient-ils perdu jusqu’au sens même de la joie d’être vivant ?

La nature devenait de plus en plus maussade, le soleil ne brillait plus aussi fort et le ciel était toujours nuageux et brumeux.

Tout n’était plus qu’une illusion de la vie.

Quel était donc le mystère de ce carrousel ?

Pourquoi avait-il volé la joie aux habitants ? 


Chapitre 13


Le vieux carrousel désenchanté est une véritable énigme à lui seul. Il détient le secret du Monde. Il possède la clé que le Monde a égarée. Il garde en lui l’élément fondamental que le Monde a oublié.

Un vieux mage révéla un jour ce secret à la Nature qui, elle aussi, manquait de plus en plus de couleurs…

Soudain, l’arbre cessa son récit et regarda étrangement les enfants interloqués par tant de négligences humaines.

Ils étaient tellement émus et en colère à la fois qu’ils n’osèrent pas briser le silence devenu plus épais, comme rempli de mille questionnements.

Comment allaient-ils faire pour redonner au carrousel son enchantement et rendre au Monde sa vraie nature d’âme ?

Ils devaient connaître le secret. Ils sortirent de leur stupeur comme hypnotisés par cette histoire et voulut interroger l’arbre.

Soudain, tout devint gris autour d’eux et ils furent de retour dans leur chambre.

– « Non ! » s’écrièrent-ils si fort, chacun dans leur maison, si bien que leurs parents furent réveillés.

Ils crurent de part et d’autre que les enfants venaient de faire un cauchemar et voulurent les consoler.

Les enfants eux, savaient que tout était à présent entre leurs mains.

Ils décidèrent chacun de leur côté, de raconter à leurs parents le cadeau qu’ils désiraient le plus pour Noël :

Des pots de peinture pour repeindre le vieux carrousel et de l’aide pour le retaper complètement et le remettre en état de marche rapidement.

Les parents du petit garçon furent interloqués par cette demande inattendue.

-« De la peinture ? Un carrousel ? As-tu perdu la tête ? »

Le petit garçon se mit à pleurer et emmena ses parents jusqu’au vieux carrousel au fond de la cour, à côté de l’école.

À leur arrivée, ils virent sur place la petite fille, elle aussi en larmes, qui avait entraîné ses parents pour les convaincre d’exaucer leur vœu de retrouver la joie grâce à ce carrousel.

Tout à coup, des enfants surgirent de tous les coins.

Ils sortirent des écoles, des maisons, de toutes les rues avec une seule et même demande qu’ils crièrent tous en cœur à plusieurs reprises :

– « Nous voulons redonner vie au carrousel ! Nous voulons redonner vie au carrousel ! Nous voulons redonner vie au carrousel ! »

Tous les adultes, à la fois étonnés et agacés par cet étrange souhait collectif des enfants, se précipitèrent, en essayant de les ramener à la raison leur promettant monts et merveilles pour les satisfaire.

Mais rien n’y fit, les enfants refusèrent et exigèrent comme unique cadeau de Noël, la rénovation du carrousel désenchanté…


Chapitre 14


Tous les enfants étaient épris d’une vibrante détermination avec pour seul et unique souhait de rendre au carrousel toute sa magie. Ils rêvaient tous de tournoyer à l’infini sur un des merveilleux personnages en bois.

Soudain, un chant mélodieux résonna autour d’eux et des milliers de paillettes tombèrent du ciel.

Alors, en un instant, tous les adultes semblèrent avoir retrouvé comme par magie, leur âme d’enfant.

La mélodie de l’Amour de Soi avait agi et avait radouci les cœurs.

Ils cessèrent donc leurs oppositions et dans la joie et dans la bonne humeur, ils acceptèrent de réaliser le vœu de leurs enfants.

Tous les adultes entourés des enfants, se mirent à œuvrer autour du carrousel désenchanté, sans vraiment comprendre ce qu’ils faisaient en se laissant guidés par l’élan du cœur.

Et en moins de temps qu’il n’y fallait, le carrousel fut rénové et arbora à nouveau toutes ses plus belles couleurs.

Il avait retrouvé ses plus scintillantes illuminations et il tournoyait dans le vent, au son de la mélodie du bonheur.

Personne n’aurait pu décrire ce qui s’était passé.

Chaque petite contribution avait réussi à transformer le carrousel pour lui redonner son pouvoir enchanté.

L’harmonie régnait et on n’entendait plus que les battements des cœurs à l’unisson avec pour seule mission : la Joie.

Le carrousel fut installé de nouveau sur la place et tous se hâtaient avec enthousiasme pour virevolter dans la magie du carrousel avec le cœur léger et joyeux.

Il n’y avait plus de courses aux achats ni de lamentations.

Les rues résonnaient de rires, de complicités et d’entraide.

Les délicieuses odeurs gourmandes de l’enfance avaient remplacé les ambiances artificielles.

Les enfants riaient avec espièglerie et les adultes avaient retrouvé leur cœur d’enfant.

Tout semblait vibrer d’une même musique, celle des âmes enjouées.

Alors les deux enfants, ravis et fiers de ce qu’ils avaient accompli ensemble, s’échappèrent un instant de la foule émerveillée qui regardait encore et encore tourner le carrousel redevenu enchanté.

Ils remarquèrent tous les deux, l’étoile qui était apparue au sommet du carrousel et qui brillait de mille feux. Ils furent les seuls à voir le clin d’œil malicieux, qu’elle fit dans leur direction.


Chapitre 15


Les deux enfants, se retrouvèrent à nouveau dans la forêt enchantée près de l’arbre qui souriait.

Face à eux, le bel oiseau aux yeux argentés ainsi que le petit colibri royal vinrent se poser et ils commencèrent à siffler un émouvant et merveilleux chant de gratitude.

Alors, des milliers d’oiseaux reprirent la même mélodie.

Des nuées de plumes scintillantes tombèrent du ciel et se mirent à danser au-dessus d’eux en signe de reconnaissance, dessinant dans le ciel des kyrielles d’étincelles qui allumaient comme des feux de Bengale rayonnants qui explosaient joyeusement de mille couleurs festives. …

Le magnifique être de lumière apparut lui aussi.

Il dessina avec ses mains, un immense cœur, c’est alors que des milliers de cœurs comme des pléiades de papillons dorés s’envolèrent majestueusement pour se déposer tout autour du Monde pour rallumer la joie.

Les enfants comprirent enfin le secret :

Ce qui avait réussi à redonner vie au carrousel désenchanté, n’était rien d’autre que l’Amour de Soi retrouvé grâce à la connexion collective aux cœurs des enfants, la magie avait opéré. Le secret était dévoilé : l’Amour de Soi réside éternellement dans l’âme de l’enfance.

Le message était à présent évident :

Tout s’éteint autour de nous si on oublie de cultiver la joie de notre enfant intérieur.

Si vous aussi vous avez compris la Morale de ce conte initiatique, faites vibrer la joie dans votre cœur et peu importe la date sur le calendrier, il n’y a pas qu’un temps pour être joyeux.

Vous aussi faites comme ces enfants, laissez rayonner la joie de votre enfant intérieur pour redonner ses plus belles couleurs au Monde dans la légèreté et la simplicité de votre cœur d’amour.

Tournez, tournez, tournez au rythme féerique du carrousel réenchanté pour retrouver la magie de la vie grâce à l’Amour de Soi : cette joyeuse Espérance vous permettra de tout transformer pour vous réaliser pleinement. 

Joyeuses fêtes à tous, très chers lecteurs. Merci pour votre fidélité à Mes Mots de Vie.

Que vibre le pouvoir de l’Amour de Soi pour réenchanter votre vie!

MMDV

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Ton affirmation du jour

Je t’offre une affirmation chaque jour à garder avec toi tout au long de la journée.
Tu pourras répéter cette phrase dès que tu en sentiras le besoin afin d’activer l’énergie de l’estime de Soi retrouvée.

Jour 2

« Mon existence a de la valeur. Je pare la vie des mille couleurs de ma singularité et je fais scintiller le ciel des éclats de mon authenticité retrouvée. J’incarne pleinement ma puissance. »

Jour 1

« Je crois en mon plein potentiel. Je suis capable d’accomplir de grands projets. Je me fais confiance et j’avance avec assurance dans mon quotidien. »

Jour 4

« J’ouvre mon cœur pour butiner le miel de chaque présence. »

Jour 3

«Je me focalise uniquement sur des petits bouts de joie cueillis à chaque seconde. »

Jour 6

« J’attire à moi le reflet de mes pensées. À moi d’être en harmonie avec mes désirs de Paix et de Joie. »

Jour 5

« Je transporte avec moi mon bouquet intérieur de fleurs pour l’offrir aux âmes qui pleurent. »

Jour 8

« Je suis magique et je crée ce qui est le plus juste pour moi dans la beauté et la joie de la vie. Je m’anime et je me laisse porter par ma créativité. »

Jour 7


« Quand je comprends la différence entre la connexion et la connectivité, je rentre réellement en relation avec les autres et j’apprends à me connecter sincèrement à l’autre en me laissant toucher le cœur et l’âme par la véritable intimité de l’être. »

Jour 10

« Je suis un être exceptionnel. Je me délecte de la douce orée du matin et je savoure l’onctuosité de ma présence parfaitement accordée à cette nature en mouvement. »

Jour 9


« Je suis l’Univers. J’incarne l’immensité de mon être et je resplendis dans la lumière qui émane naturellement de ma simple présence. »

Jour 12

« Je suis le chef d’orchestre de ma destinée. Je compose la partition de ma vie en toute harmonie et je joue les accords mélodieux de mon âme en éveil. »

Jour 11

« Je suis la Muse de ma vie. J’insuffle un air de renouveau sur cette Terre en quête de passion et de tendresse. J’orne le Monde des pépites colorées de ma singularité »

Jour 14

« Je suis la douceur de la fleur de coton. Je répands autour de moi des rayons d’Amour et de Paix. Plus je cultive ma sérénité intérieure, plus j’émets des ondes positives au-delà de moi-même. »

Jour 13

« JE SUIS. Je me laisse porter par sa douce lumière. Éclaire la nuit comme le soleil éclaire le jour. Elle me sourit, Elle me suit, Elle me chuchote : « Regarde-moi, Je suis là, toujours accroché aux nuages pour Toi. Je reconnais sa voix. L’Une qui est le Tout. Je suis ma Lune »

Jour 16

« Je suis l’Autre. Je tisse un pont de lumière vers chaque être pour ne pas nier l’interconnexion de chacun de nos actes. »

Jour 15

« Je suis Amour. Mon coeur est ma maison quand je lui donne de la chaleur, du réconfort, de l’affection et de la tendresse. Je me laisse transporter par la douce mélodie de mon Amour de moi-même retrouvé et accordé aux mille et unes étoiles scintillantes qui brillent dans mes yeux ébahis face à l’arc-en-ciel de ma vie. »

Jour 18

« Je suis la liberté d’aimer. J’aime pleinement la vie, les autres et ma propre personne. J’affirme mon droit de recevoir cette passion et la douceur d’être apprécié pour ce que je suis »

Jour 17

« Je suis mon baromètre intérieur. Je renais à moi chaque jour et je fais table rase de mes émotions d’hier. »

Jour 20

« Je suis une fusion en diffusion pour de belles affusions sur la Terre laissant libre cours aux effusions du cœur. »

Jour 19

« Je suis la stabilité. J’accroche mon regard dans mes racines intérieures pour capturer l’intensité de chaque seconde qui souffle la vie. »

Jour 22

« Je suis responsable de ma vie. Je sais compter sur ma propre présence et je me donne les moyens de réussir tout ce que je souhaite accomplir. »

Jour 21

« Je suis allégé. Je me délecte dans ma présence à l’instant. Je fais pause sur les agitations. »

Jour 24

« Je suis la Joie. Je dessine sur mon visage un sourire. Je compose des éclats de rire sur la piste enchantée. Je peins une fresque gaieté que je partage avec les âmes en peine et j’entraîne le monde dans une danse de joie enflammée. »

Jour 23

« Je suis le métronome de ma vie. Je me laisse porter par la mélodie de mon âme qui ralentit mes pas. »

Jour 26

« Je suis Moi. Dans ma nudité d’âme sans artifice ni paraître. Juste incarner mon Moi véritable plein d’Amour de moi-même pour ne plus avoir à me soucier du regard extérieur qui déforme la vision que j’ai de ma propre personne. »

Jour 25

« Je suis la douceur de mon ours en peluche. Je suis l’être plein de candeur qui croit à tous les possibles, sans doute ni crainte. Je sais que je peux. »

Jour 28

« Je suis le Temps, je suis la seconde, je suis la minute, je suis l’heure. Je remplis chaque instant de la force de ma présence aimante pour cueillir l’énergie de la vie.»

Jour 27

« Je suis maître de mes pensées. J’arrête le moulin à vent en m’enracinant dans la gratitude de l’instant, pour ne pas m’envoler loin de moi-même. »

Jour 30

« Je suis accompli. Je navigue dans l’océan de mes réalisations. Je me félicite du chemin parcouru. »

Jour 29

« Je suis choyé. La vie me comble d’attentions et me remplit d’Amour de Soi.» 

Jour 31

« Je suis émerveillé. Je suis le Tout qui me fascine. Je suis le cadeau de la vie. »

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Ne plus souffrir de la dévalorisation de soi

Ô toi qui erre dans les couloirs des relations aux autres avec ta confiance en soi éteinte, sais-tu que tu es capable de rallumer l’étincelle de ton être, pour faire rayonner la merveilleuse personne que tu es ?

MMDV

Qu’est-ce qui crée la dévalorisation de soi ?

Dans la société actuelle, tous les regards sont tournés vers l’apparence extérieure comme première loi de la relation aux autres. Les fils d’actualité font défiler la biographie des corps, bien plus que celle des cœurs. Les « Stories » sont animées par des gestuelles, par des mimiques et des mises en scène parodiques  pour espérer exister face à une quête de validation de soi insatiable à travers l’attente des réactions des autres.

Lorsqu’on reste comme immergé dans l’influence des contenus qui inondent notre paysage visuel, on comprend pourquoi certaines personnes ont des difficultés à se regarder dans leur miroir sans ressentir un certain mal-être face à leurs propres insatisfactions physiques ou morales.

Se regarder à travers le prisme des images de ceux qui s’exposent sans cesse et parfois même sans aucune limite, ne peut que nous faire nous interroger sur notre propre apparence extérieure.

Comment on nous perçoit? Comment faire pour correspondre aux attentes des tendances où la surexposition du soi est obligatoire pour espérer exister aux yeux des autres ? Cela semble devenir la règle d’or des liens à autrui.

Ce sentiment de mal-être que l’on perçoit de plus en plus, et  en particulier chez les adolescents à la recherche d’affirmation de soi ou chez les personnes qui souffrent de la blessure de dévalorisation, ne peut être qu’exacerbé par cette exhibition quotidienne que l’on voit défiler à chaque instant sur les écrans. Tout y est affiché pour essayer de capter l’intérêt des autres, au détriment  même du respect que l’on se doit et dans la protection d’une intimité fondamentale garante de l’épanouissement de soi.

Nous devons impérativement préserver cet espace de soi, seul axe central de l’équilibre mental nécessaire, pour entrer en relation avec les autres dans la vie réelle, sans souffrir de la dévalorisation.

Même s’il est difficile de nager à contre-courant  des réseaux sociaux où prédominent certains habitus dans cette nouvelle manière de vivre les relations aux autres,  on peut choisir d’exister malgré tout dans l’authenticité de son être.

A chaque fois qu’on ressent un sentiment de mal-être, il est important de réajuster immédiatement les pensées qui ont précédé ces émotions.

Qu’est-ce qui me fait me sentir mal dans mes relations interpersonnelles ? Qu’est-ce qui me freine ? Qu’est-ce qui me bloque ?

Se nettoyer l’esprit des prétendus attendus des autres, permet de s’alléger d’un poids énorme.

MMDV

Il est important de prendre une grande décision avec soi-même, en cessant de se regarder à travers les yeux des autres : « Et si je me voyais uniquement à travers la nudité de mon être? »

Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

Avant de vouloir ressembler à une influence ou à une mode, il convient chaque jour de se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qui me fait me sentir bien avec moi-même ? A quel moment est-ce que je me sens à l’aise quand je circule au milieu des autres ?

Si votre réponse inclut, des vêtements, une coiffure ou un parfum,…C’est-à-dire l’aspect superficiel du paraître.  il est urgent d’aller creuser au fonds de votre puits intérieur, là où vous avez négligé des bouts de votre être véritable, qui se complaît à survivre, plutôt qu’à réellement exister comme il est fait, c’est-à-dire de sa matière corporelle, de son identité profonde et alignée avec sa personnalité.

Lorsque l’on se regarde dans la nudité de son être, on n’est plus une simple apparence, on se voit vraiment comme l’on est. On peut choisir  alors de faire déborder ce mouvement de notre énergie de vie intérieure vers notre vie extérieure.

On n’est plus des mannequins de piste, on devient  des belles Présences, des battements de cœur, des esprits souriants, des âmes vibrantes. On redevient des êtres de chair et de sang. Il n’y a plus de couleur, ni d’origine. Il n’y a plus de poids ni de taille. Il n’y a plus de geste ni de mot. Notre seule Présence suffit pour nous faire rayonner au-delà même de l’extravagance de nos tenues, ou de notre caractère extraverti. Notre seule Présence même silencieuse et introvertie anime notre attitude. On n’est plus guindé comme étroit à l’intérieur de soi. On respire la vie de l’intérieur.

On devient consciemment  une merveilleuse énergie de vie qui vibre à travers nos interactions, dans la perméabilité de notre source intérieure intarissable et abondante qui nourrit nos actes  d’une réelle confiance en soi renouvelée qui n’est plus contenue dans le superficiel du paraître.

Il est nécessaire de sortir du mal-être en retrouvant en soi cette confiance,  grâce à la connexion à notre part la plus belle disponible et intacte de tout jugement, qui se trouve dans notre intériorité épurée de toute trace d’insatisfaction en lien avec l’apparence extérieure.

Qui suis-je vraiment dans la nudité de mon être, dépouillé de tout superflu ?

C’est là que se trouve votre réel équilibre intérieur qui vous habille et crée votre vrai style quand vous vous connectez vraiment à vous-même. Si l’essentiel n’est pas là, l’artificiel et le superficiel ne peuvent pas combler les manques intérieurs  à travers cette recherche de visibilité extérieure à tout prix.  C’est là qu’on souffre encore plus fort de toutes nos prétendues imperfections.

Soyez-en conscient et fier d’être vous-même. Apprenez à briller du fond de votre être, à partir de votre vraie confiance en soi disponible,  juste dans votre souffle connecté au plus grand de vous-même. Une Présence, un petit rien et pourtant tout…

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le poids des émotions est un fardeau qui nous abime intérieurement

Quand la gestion de nos émotions nous apporte un confort de vie…

MMDV

Goutte à goutte, se remplit le vase de nos situations de vie compliquées, au rythme du temps et au fil de l’âge, puis arrive inévitablement le moment où ce vase menace de plus en plus fréquemment de déborder, à travers les influences émotionnelles négatives, qui nous submergent de plus en plus facilement, comme si l’on était resté trop longtemps en eaux troubles. On comprend alors que si ce flot torrentiel n’est pas maîtrisé, au plus vite, il finira par déferler violemment, pour nous mettre en difficulté et nous amener à regretter par la suite la dernière goutte d’eau qui a fait déborder le vase, pour nous entraîner trop loin de nous-mêmes.

Un rééquilibrage émotionnel est par conséquent absolument nécessaire, à chaque instant de notre existence. Comme on fait du sport pour maintenir sa santé physique et mentale, on se doit de mettre en place une routine pour filtrer ce qui demande à s’évacuer régulièrement, surtout quand on sent peser à l’intérieur de nous comme un sac trop lourd à décharger, avec une envie de se délester de ce fardeau épuisant mentalement qui nous empêche de vivre sereinement, pour accepter les contraintes du quotidien sans les considérer  à chaque fois négativement.

Si notre sensibilité est de plus en plus à fleur de peau, alors il y a une urgence à se détoxifier  de nos émotions, qui ont pris semble t-il les commandes de notre vie. Si l’on est hypersensible, la tâche est ardue mais possible pour ne jamais entrer dans la zone rouge de nos réactions vives ou démesurées qui nous causent d’affreux tourments.

Chacun peut choisir sa façon de restaurer son équilibre intérieur, mais il convient d’avoir quelques habitudes bénéfiques. Qu’est-ce qui peut nous aider à faire de la place, quand on se sent encombré intérieurement et qu’on n’arrive plus à réfléchir de manière neutre et objective ? Pourquoi avons-nous comme l’impression de laisser des détails sans importance impacter notre humeur ? Qu’est-ce qui nous amène à ressentir la vie comme un enfer de problématiques à résoudre ? Pourquoi sommes-nous si inquiets pour tout, comme si rien n’était positif dans notre vie ? Comment en vient-on à nous laisser emporter par des tornades de colère dévastatrice ou à nous effondrer à travers un brouillard de tristesse qui nous accable ?

Sommes-nous arrivés à tous ces sentiments négatifs par hasard ou avons-nous juste oublié de prendre soin de nous, au cœur des problématiques de notre vie, pour réajuster notre regard et changer notre angle de vue? Si nous laissons s’accumuler autant de chagrins et de désespoirs comment avoir le cœur heureux malgré des brefs instants de bonheur ?

Certes, la maîtrise de soi s’acquiert  après des longues années d’entraînement, soit à travers la pratique d’ un sport où l’on apprend à développer sa force mentale, soit à travers des pratiques méditatives où l’on déploie l’acuité de nos sens pour mieux se ressentir,  soit à travers l’art thérapie où l’on se met en mouvement à travers une activité créative, mais parfois nous constatons que malgré tous ces beaux et courageux efforts, les éléments extérieurs continuent à se déchaîner malgré tout, en nous, pour nous faire sortir de nos gonds et nous déstabiliser.

C’est à ce moment précis que l’on prend conscience que l’on a peut-être oublié d’appliquer les principes à nous-mêmes avant de vouloir les conseiller aux autres, pour ne plus entretenir  nos émotions, comme s’il s’agissait de nœuds indénouables. On se doit de changer notre façon de les ressentir, sans nous blâmer ou faire porter la responsabilité aux autres. Quand on cesse de se plaindre ou de se sentir déçu, on supprime de nos pensées toutes les attentes vaines comme si les solutions devaient venir des autres.

Nos émotions vives sont les traces de notre mauvais rapport à notre vie. Quand on ramène au centre de nos préoccupations, uniquement ce dont on a la responsabilité, on arrête de regarder l’autre en se comparant ou en lui reprochant de ne pas être comme on voudrait qu’il soit.

Qui sommes-nous d’ailleurs pour juger si l’on ne veut pas que l’on nous juge ?

Malheureusement, on constate que pour réguler rapidement nos émotions, pour revenir au calme intérieur, il est indispensable de cesser les reproches pour suivre comme guide de vie notre propre bien-être intérieur ,qui n’est pas d’être aimé des autres mais bien d’être apte à nous auto-satisfaire dans nos besoins essentiels. Ce n’est pas être égoïste ou égocentrique, on comprend juste que le concept du bonheur se cultive en premier lieu à l’intérieur de soi dans la magie de chaque seconde que l’on honore avec reconnaissance, pour apprendre à valoriser et à conserver ce que l’on a déjà, sans chercher à courir après le « toujours plus », avec excès et sans goût véritable.

Quels que soient les rituels pour assainir nos émotions, il convient de comprendre que sans une remise en question sur notre manière de penser  ou d’agir, rien ne peut vraiment nous débarrasser de nos amertumes, de nos aigreurs, de nos douleurs liées au passé, qui se réactivent à chaque mauvaise expérience, parce qu’on sort de l’instant présent,  pour ressasser ou pour anticiper.

Lorsqu’on fait une liste des points positifs dans notre vie, on se rend compte que ce qui nous fait souffrir est souvent en lien avec notre égo blessé, qui mène le jeu dans notre vie et qui n’arrive jamais à fixer des limites à ses insatisfactions.

Alors si on n’apprend pas à vider le vase de nos émotions, rien ne pourra vraiment nous empêcher de les subir de plein fouet. Oui, nous sommes responsables de notre hygiène émotionnelle comme nous le sommes pour notre hygiène corporelle ou alimentaire, c’est à considérer comme un besoin vital qui permet l’équilibre de notre organisme. Vivre sainement sans le poids des émotions est essentiel à la fois à notre santé physique et psychique.

A chaque fois qu’on est souillé par des pensées malveillantes ou à travers des exigences démesurées, on oublie de regarder notre propre attitude ou notre propre comportement qui manquent pourtant de reconnaissance pour ce qui est là disponible dans notre vie.

Comment combler son vide existentiel, ce n’est certainement pas en demandant aux autres de le remplir à notre place ?

Rééquilibrer ses émotions, c’est avoir plus de pensées positives, moins de remarques dures à l’encontre des autres, moins de plaintes, moins de reproches, moins de déceptions…

Après tout, pourquoi pas essayé de changer sa façon de ressentir la vie, n’est-ce pas le début d’un retour vers soi et vers sa paix intérieure? Lorsqu’on construit sa vie à travers le regard des autres, on crée un gouffre dans lequel nos émotions ne peuvent que nous emporter.

Vivre heureux, c’est  y croire même qu’un peu et réaliser que ce l’on a,  que ce que l’on est,  est bien plus grand que nos pulsions et nos désirs. Il est indispensable de dépasser toutes les distorsions psychiques.

Le bonheur n’est pas matériel ni artificiel, il est avant tout dans l’équilibre émotionnel.  

Pour une vie saine et sereine

Maryse de Mes Mots de Vie

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La reconnaissance d’être soi tout simplement

Que la puissance de l’Amour de Soi rayonne…

MMDV

Nous sommes souvent en réflexion sur tout ce qui ne va pas dans la société, chez les autres, à travers les souffrances, les colères, les tristesses parce que l’on n’arrive pas atteindre nos idéaux. A force de déplacer notre regard vers l’extérieur qui nous impacte, on se laisse voler ce précieux temps de vie qui nous appartient pleinement. Et tout se modifie, quand on regarde autrement, quand on change nos perspectives, quand on devient moins exigeants, quand on se fait moins mal, quand on cesse de focaliser sur les manquements à notre égard et qu’on devient fiers de nos réussites, même les plus modestes. Au final, qui nous fait le plus souffrir si ce n’est nous-mêmes ?

Il est important quand on se sent comme déprimé par notre quotidien moins exaltant, de se remettre en question sur nos attentes. Que voulons-nous vraiment dans l’instant présent ? D’où viennent ces frustrations du moment ?   Est-ce que nous sommes incohérents entre nos volontés (les ordres donnés à la vie) et nos possibles ( ce qui est disponible) ?

S’asseoir face à l’océan, et comprendre que l’infini est ailleurs, dans l’ouverture à ce que l’on ne sait pas, à ce que l’on ne programme pas, à ce qui apparaît quand on laisse la vie agir sans la forcer à entrer dans le cadre qu’on lui a fixé.

Se remettre en question soi, c’est savoir accueillir les autres et les comprendre à partir d’un autre lieu, pas celui de nos angoisses mais bien celui du cœur, le cœur que l’on apprend à redéfinir comme un espace sacré immense et doux, chaleureux et flexible, étiré vers le meilleur à goûter en tout.

Quand on défocalise nos sens de tout ce qui nous heurte, nous exaspère ou nous afflige, pour aller davantage observer les détails qui font la beauté de la vie, on change les couleurs de ce que l’on apprend à accepter car au milieu du désert, des tempêtes, des orages, des gouffres et des impasses, il reste la lumière de l’espoir qui telle la flamme qui ne s’éteint jamais, continue à briller pour éclairer ce qui est toujours disponible au fond de soi à travers  la reconnaissance d’être tout simplement Soi.

Les autres peuvent nous montrer du doigt en refusant de faire l’effort de nous comprendre, nous rejeter parce qu’on les dérange, nous ignorer parce qu’on les met face à leurs mensonges, ou nous dénigrer parce que nous osons être authentiques. Quand on connaît  l’histoire de  notre vie avec nos peines et notre parcours difficile, à travers les embûches, on n’a plus envie de perdre notre temps à nous justifier, à nous expliquer, à nous défendre, on se console au cœur de nous-mêmes là où l’amour de soi est un feu de cheminée qui réchauffe tous les froids de l’âme quand on ne cesse jamais de l’alimenter en bonnes vibrations.

A trop lutter contre l’incompréhension des autres, on finit par se culpabiliser d’être peut-être différent, et on s’en veut de ne pas accepter l’inacceptable. C’est comme si les dérives des autres nous faisaient douter de notre personnalité. Quand se lève ce brouillard qui nous fait oublier notre mérite personnel  pour nous relever des assauts des autres, alors on doit se regarder comme un être valeureux et sacré, une force incomparable qui n’a pas de plus puissant bouclier que de se reconnaître comme un chevalier de sa vie à la table ronde de ses propres valeurs qui sont le reflet de  l’âme, le Graal de son existence.

Se remettre en question quand on souffre des inepties des autres, du chaos extérieur qu’on cherche à nous faire porter, c’est posséder l’invincible épée qui nous permet de chasser une à une les émotions qui n’ont pas leur place, quand on regarde autrement la réalité.

Ne pas faire l’unanimité, ne pas être aimé des autres, ne pas être populaire, ne pas être compris, ce ne sont que des exigences de l’égo, ce ne sont que des paillettes que l’on saupoudre sur nos envies d’être et non sur notre identité profonde. Chercher la reconnaissance chez les autres, c’est dériver entre l’orgueil et la vanité. On se convainc qu’on existe parce qu’on est indispensable aux autres, mais au fond de soi, on sait pertinemment que cela ne fait plaisir qu’à une petite parcelle de nous-mêmes, hantée par la peur de la solitude.

Et pourtant, la reconnaissance d’être soi ne peut être savouré qu’au cœur de ces instants solitaires où l’on se regarde à travers notre intériorité pour se valider d’être comme on est, parce que l’on ne se ment jamais, parce que l’on se remet en question pour se réajuster, parce qu’on se respecte tellement qu’on ne peut pas laisser les autres se montrer irrespectueux à notre égard.

La reconnaissance de soi, c’est la gratitude que l’on a aussi bien pour nos exploits de la vie, mais également pour nos erreurs, pour nos imperfections. Changer de perception nous ramène à nous, pour sortir de l’opinion des autres, des influences qui ne sont pas en accord avec notre être.

Placer son regard sur les pépites de sa vie dans la gratitude, c’est en faire naître d’autres. Même quand les bruits de la vie résonnent trop brutalement, on peut développer notre harmonie intérieure pour écouter autrement et amortir les nuisances qui ne sont que les errances des autres, incapables de trouver leur propre satisfaction.

Rester dans la reconnaissance de soi, c’est abandonner ses attentes pour garder l’esprit ouvert, c’est augmenter ses ressources assurément, pour entrevoir d’autres solutions qui se montrent alors plus adaptées à la situation du moment.

C’est atteindre une forme de quiétude parce que l’on apprend à calmer enfin nos inquiétudes qui viennent de l’extérieur, à travers des stéréotypes ou des idées préconçues qui ne sont que des déformations qui bloquent l’énergie de la vie et créent des frustrations non productives.

Se reconnaître soi, c’est une façon de devenir plus tolérant pour se lancer comme défi de vivre son existence comme une palpitante aventure riche en joyaux et en trésors imprévus. C’est ne plus être dans les ressentis des autres mais entrer dans de nouvelles expériences qui nous donnent plus de motivation.

C’est ne plus forcer la réalisation de ses souhaits pour créer un pont vers des cadeaux merveilleux qui peuvent alors venir jusqu’à nous, puisqu’on met fin à nos résistances qui empêchent le flux naturel de la vie.

La reconnaissance d’être soi, c’est une part essentielle de notre confiance pour croire que tout se fait toujours dans la justesse de ce qui est donné à vivre. Abandonner le contrôle et la planification de notre vie, c’est lui donner un goût plus audacieux, plus intrépide avec la curiosité enfantine, comme s’amuser à danser pieds nus sous la pluie de l’insouciance libérée.

La reconnaissance d’être soi nous montre que la vie se vit le mieux dans l’instant présent comme acte de foi puissant. C’est se libérer des angoisses inutiles, c’est laisser derrière soi les blessures du passé, et mordre dans l’avenir comme dans un fruit juteux et sain pour notre devenir.

C’est ne plus laisser notre esprit nous raconter des histoires à propos des personnes et des situations, pour permettre à nos émotions de s’épurer des pensées illusoires.

Se reconnaître soi, c’est apprivoiser notre mental et l’empêcher de nous entraîner dans ses dérives qui nous font voir uniquement ce qui est négatif.

Lorsqu’on se valide en grand, on laisse notre présence libre déborder d’un enthousiasme indéfectible pour honorer notre « vivance ».

Soyez reconnaissant envers vous-même, dans la gratitude d’être tout simplement Soi!

Maryse de Mes Mots de Vie

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Nouveauté sur Mes Mots De Vie : 21 lettres d’Amour de Soi : Abonnez-vous à la Newsletter ‘Message de votre Muse’

Découvrez la première méthode d’épanouissement de soi gratuite signée MMDV. Il suffit de s’abonner à la newsletter « Message de votre Muse » et vous recevrez chaque jour une lettre d’Amour de Soi à intérioriser et ce pendant 21 jours.
N’hésitez plus et passez à l’action parce que vous le méritez !

MMDV

Bonjour chèr(e) Toi,

Je t’invite pendant 21 jours à t’immerger dans le cocon de Mes mots de vie, pour dérouler le fil de “soi-e” qui te guidera dans le labyrinthe de l’être ignoré qui sommeille en toi jusqu’à ton envol majestueux vers ta liberté d’être. 

Chaque jour, tu recevras une lettre parfumée aux senteurs délicates de l’amour de soi qui réveillera tes sens endormis pour des prises de conscience éclairées.

Ainsi, tu broderas la plus belle des dentelles, celle de ton esprit et de ton cœur accordés, pour recoudre les blessures de ton âme avec le fil de la joie retrouvée.

En suivant, lettre à lettre, la reconstruction de ton histoire de vie, de l’enfance à aujourd’hui, tu formeras les 21 cases complètes de ta renaissance intérieure. 

C’est grâce à une meilleure connaissance de ta singularité que tu apprendras à sécher tes peines pour réécrire ton chemin de vie grâce aux lettres d’or de la confiance en soi renouvelée. Tu pourras prendre ton envol avec des nouvelles ailes plus solides pour concrétiser tous tes projets. 

Alors n’oublie pas de t’abonner ou de te réabonner pour être sûr de recevoir la nouvelle newsletter ‘message de votre muse’ by Mes Mots De Vie 2023 pour bénéficier d’une méthode gratuite d’épanouissement personnel et d’expression de soi qui te mènera à la conquête de tous tes talents cachés.

Lire Mes Mots de Vie, c’est recevoir une énergie en mouvement. C’est donc un plaisir pour nous de partager ces mots qui résonneront pour délivrer leurs messages.

Partage toi aussi cette méthode d’Amour de soi auprès de tous ceux qui en ont besoin.

Parce qu’avec Mes Mots De Vie, tout devient possible quand on croit en soi,

Avec tout notre amour,

MMDV

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La nature d’être Soi

Reçois la vibration de mes mots pour te faire du bien

MMDV

Mes mots viennent à toi qui en as besoin pour t’apporter du réconfort au cœur de ton être

Laisse l’énergie de cette lumière t’envelopper de son halo lumineux pour te déposer dans l’ancrage de ton âme

Dépose tes fardeaux et prends un temps de repos pour te sentir soutenu et aimé

Lorsque tu apprends à prendre soin de toi, tu deviens plus fort et plus courageux

Laisse l’énergie positive en toi ouvrir les portes fermées de ton mental qui t’emprisonne

Reviens ici et maintenant dans l’instant présent et prends le temps d’observer en toi une sphère de couleurs qui t’apaise et te fait glisser dans un moment suspendu loin de la cohue

Donne-toi ce moment de douceur où ton esprit et ton corps s’accordent pour te permettre de te retrouver

Loin des angoisses qui perturbent ton quotidien, tu es là dans cet espace hors du temps, qui est ton cocon de régénération

Plonge à l’intérieur de toi et ressens les vibrations qui remettent petit à petit en place chaque pensée et chaque émotion

Laisse-toi devenir ton propre guide et enveloppe-toi de ton amour d’être simplement toi dans l’instant que tu prends pour te consoler de tes peines

Un à un, vois tes verrous disparaître et respire la nouvelle liberté qui s’offre à toi

Te voilà libre d’explorer de nouveaux sentiers vers ton épanouissement

Vois-tu le soleil magique qui brille au-dessus de toi malgré les nuages?

Entends-tu le chant mélodieux de ton cœur qui s’éveille hors de sa cage?

Touche consciemment tous tes vides et redonne-leur la vie pour les remplir d’espoir et d’amour

O toi qui reçois ces mots colorés, respire leurs bienfaits

Comme un bouquet à s’offrir pour embellir tous les combats

Pour parfumer ta foi de croire en Toi

Tu es un être béni et sacré quand tu sais t’honorer

Pas de filet ni de piège à éviter juste prendre le temps de t’aimer

Que peux-tu faire aujourd’hui pour te remercier ?

Que peux-tu accomplir comme exploit et comme acte de foi pour toi?

Peins ta vie de couleurs inédites et chante au rythme de tes espoirs radoucis

La vie est belle quand tu l’aimes et quand tu sèmes sur ton passage des messages pour les êtres qui manquent de courage et qui ont besoin d’aide

Sois l’étoile qui éclaire, la voix qui guide…

Aime-toi…

Gratitude infinie à toi qui lis mes mots de lumière.

Avec tout mon amour et dans la grâce d’être Soi,

Maryse de Mes Mots de Vie

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Écrire pour se dire, écrire pour tout dire

Quand les paroles s’étouffent dans ce que l’on n’exprime pas, l’écriture délie la langue de nos maux et ses fracas et nous délivre de tout ce qui ne se dit pas

MMDV

Écrire pour se dire, écrire pour se ressentir

Quand la chaleur des mots apaisent les maux

Les sanglots qui s’écrivent glissent comme sur de l’eau

Quand la cavalcade des mots met en fuite les émotions

L’indicible se libère et s’expose à la lumière des illusions

Écrire ses pensées pour ne plus être prisonnier de ses déroutes

Écrire ses doutes pour ne plus mentir à ce que l’on redoute

Entre Terre et Ciel, entre rien et tout, entre ici et ailleurs

Écrire, un point c’est tout …

Dans un entrelacement de mots qui dénouent l’âme

Ouvrir un passage qui transperce les nuages et les drames

Faire jaillir la lumière au cœur de nos lettres d’amour

Transformer ce qui est trop lourd en tapis de velours

Écrire permet d’effacer les ratures du cœur dans des lignes noircies

Pour ouvrir une parenthèse et apparaître derrière les oublis

Écrire pour dire ses plaisirs, pour chanter ses émois

Écrire pour recoudre ses blessures en lettres de joie

Écrire pour éparpiller des fragments de soi dans le grand Tout de l’infini

Regarder s’éprouver la vie et être le témoin de ses ébats inédits

Écrire pour faire retentir le Silence du Monde dans l’éclat de nos textes

Pour respirer sur la page l’oxygène de nos mots dans une bulle d’ivresse

Écrire sur le sable pour livrer à l’océan des messages éphémères de l’instant

Écrire sur les arbres, pour tracer dans l’écorce bien plus qu’un mot, une force du présent

Écrire pour se livrer à nu sans apparat

Écrire pour s’appartenir et s’unir à nos combats

Écrire ses coups de foudre et ses tendres romances

Écrire les secrets de son âme qui danse

Écrire entre les lignes des messages codés

Comme un flambeau, une transmission de soi à partager

Écrire sans bâillon, le cœur au diapason

Marier son corps et son esprit à l’unisson

Pour oser dire ce que la voix interdit et ce que la parole nie

Écrire bien mieux qu’on ne dit

Ne plus parler pour rien dire, juste écrire et ressentir

Écrire l’essentiel, loin du monde artificiel et de sa langue de délires

Quand l’ivresse des mots nous emporte

Se laisser succomber à cette échappée qui ouvre la porte

Pour donner des ailes aux espoirs refoulés qui nous portent

Et deviennent des lettres étoilées qui nous transportent…

Faisons vibrer nos mots grâce aux cordes du sensible et jouons la musique de la vie irrésistible qui s’exprime sur la page blanche accessible quand on apprend à se renouveler dans l’acte de l’écriture réparatrice et libératrice et de ses possibles

Avec tout mon Amour et par le pouvoir des mots…

Pour des conseils individualisés et si vous voulez de l’aide pour apprendre à poser des mots sur les maux ou sur vos élans…

Maryse de Mes Mots de Vie

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Capturer l’instant…

Goutte à goutte, dans la course de la vie, passe l’instant, inexorablement

Pierre à pierre, dans l’infini au ralenti, glissent les secondes, obstinément

Corps à corps, dans le souffle du temps, résonnent les envies, autrement

Paradis perdu suspendu au-dessus de la quiétude déchue qui gît, amèrement

Ainsi s’exprime chaque jour et puis, et puis, et puis…

Jamais on ne s’arrête vraiment pour capturer l’instant, éperdument

Dos à dos, dans le néant des liens oubliés, errent l’absence et la distance, affreusement

Tête à tête, dans l’exil au cœur des autres, se remplissent les minutes absentes, lourdement

Face à face, au creux de son être vivant, apparaissent d’autres évidences, profondément

Peau à peau, à fleur de vie, éclot la rose de l’âme transparente, délicatement

Quand on se pause pour savourer l’instant, librement

Une nuée de papillons se déposent sur chaque particule du moment présent, joyeusement

Alors se déploie un merveilleux tableau où l’on peut peindre avec nos sensations, la création du Monde, audacieusement

Et l’on devient la plume enchantée qui trace en touche nacrée les contours de notre destinée, sensiblement

La quête insensée s’arrête et commence l’évasion dans un sentiment d’exister plus vaporeux, fabuleusement

Quand on prend le temps de vivre malgré le rythme tourbillonnant, silencieusement
Les trépidations deviennent des petites secousses de vibration, doucement
Pour nous mettre dans une impulsion au cœur de notre existence, énergiquement
Pour faire apparaître d’autres couleurs, comme des pépites au fond des rivières de l’espoir, allègrement

N’oubliez pas de capturer l’instant, il est béni et sacré quand s’y consacre vraiment, infiniment

Avec tout mon Amour

Maryse de Mes Mots de Vie

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Flat White : Le cadeau à s’offrir le temps d’un instant

A la découverte d’une « speciality coffee » by une « coffee ista »

MMDV
Coffee Ista

Le saviez-vous ? Le Flat White, moins connu que le cappuccino et que le latte est pourtant apprécié pour sa saveur relevé en café ! À base d’espresso et de mousse de lait, elle séduit par sa texture veloutée et ses arômes intenses.

D’où vient son nom? Le flat white contient un ou deux shot d’espresso, avec du lait et de la micro mousse de lait, particulièrement travaillé  ce qui explique son nom « flat » voulant dire « mince » et « white », blanc.

Découvrons son sens métaphorique et poétique avec Mes Mots de Vie by L.

Un instant retrouvé
Un instant qu’on s’accorde
Cet instant que l’on pose délicatement sur la page
Unique moment
Unique présent
Quand on porte à nos lèvres
La douceur et la volupté de cet instant présent
Les yeux rivés sur cette tasse
Photographiant l’extase de ce goût enivrant
Les yeux rivés vers l’espace décoré par d’autres êtres vivants
Chantant mélodieusement la joie de cette pause d’insouciance
Unique et seule distraction pour ne pas perdre l’instant
Les yeux rivés vers le bleu du ciel
Où le ballet des oiseaux s’y berçant en dansant
Comme insouciants des nuages apparents
Pour suspendre le temps
Quand on porte à nos lèvres l’harmonie parfaite
Entre douceur et amertume
On goûte à un extrait de vie
La vie peut être amère
La vie peut être douce
La vie peut aussi être un beau mélange des deux notes
Quand on les accorde, on s’accorde
Le droit d’extraire ce qui nous heurte
Pour y verser une micro mousse de légèreté
Pour dilater le plaisir d’être vivant
Dans une double dose d’euphorie hors du temps
Autrement
C’est ça le ‘Flat White’
Une boisson qu’on s’offre à soi-même
Pour honorer la puissance qu’on émane chaque jour
Un breuvage insolite qui cultive la beauté de l’instant présent
Et qui renouvelle le moi d’avant
Dans une fine couche d’élégance
Parfumée de douce créativité

Quand on est connecté à soi, c’est une boisson qu’on savoure comme un cadeau, on ne la consomme pas, on la vit

MMDV by L

Carpe Diem
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Laisse couler et glisse dans la douceur de ton âme

Qui écrit ton histoire, si ce n’est toi-même?

MMDV

Glisse sur les montagnes qui se dressent devant toi

Laisse couler le torrent qui s’abat sur toi

Regarde l’arbre qui se dresse devant toi

Il te tend ses branches pour t’agripper

Il t’attire vers son tronc pour te consoler, pour te ressourcer

Danse dans le vent qui souffle, enracine toi dans la foi d’être toi

Ondule au milieu des nuages, reste souple dans ton esprit

Ressens ton corps qui s’élance au milieu des dunes

La force de ton âme te guide au-delà de la lune

Là où il n’y a plus de résistance juste la lumière qui éclaire tes pas

Tes sens s’aiguisent et tu perçois là au milieu de l’obscurité un passage

Une voie, la voix de ton être suprême qui sait te conseiller quand tu l’écoutes

Qui sait te mener là où se trouve la justesse de ton histoire

L’équilibre de ta vie, ta destinée devient comme un livre à illustrer

Ta légende personnelle, la fable qui s’écrit entre Toi et ton Étoile de vie

Qui illumine ton parcours pour te montrer ton courage, ta détermination, ton audace

Conquérant de ton destin, suis le chemin qui illumine ton cœur comme une boussole

Ressens, là où te portent ses messages, la connexion à toi, où le mental ne règne pas

Dans le désert de tes doutes, vois ce que tu veux créer comme Terre d’accueil

Comme nouveaux horizons dans l’ailleurs d’être Toi, ici, incarné dans ta divinité

Quand le Soleil se couche, la puissance sacrée ne disparaît pas

Se lève l’astre de Nuit et ainsi apparaît l’énergie de lumière qui ne s’éteint jamais

Pour nous faire renaître, encore et encore, toujours plus fort

Quand on sait s’aimer

Alors connecte-toi à ta Présence, la force de la Nature est en toi…

Avec tout mon Amour

Maryse de Mes Mots de Vie

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Et si on partait à ta rencontre, aujourd’hui?

Être Soi : être là à l’intérieur et à l’extérieur à la fois. Un défi de chaque instant, n’est-ce pas le sens même de la Présence?

MMDV

Si on étirait ensemble le fil de ton être à travers les lettres de mes mots!

Quel est donc ton mystère?

Cette part de toi qui ne se voit pas?

Au fond de nous, il y a une force incomparable dissimulée et qui s’exprime pourtant quand pèsent les ombres

Et toi? Connais-tu cette magie qui t’anime de l’intérieur et qui peut te transformer en alchimiste de ta vie?

Penses-tu parfois à regarder en toi? Pas dans tes peurs ni dans tes doutes !

Non, là au fond de toi, où se trouve une étendue infinie aussi calme que la nuit

Un lac silencieux où se baladent des cygnes majestueux portant les rêves comme des couronnes

Une forêt émeraude où poussent les plus belles idées dans un jardin verdoyant et reposant

As-tu envie de découvrir ce qui fait ta singularité? Ou préfères-tu continuer à masquer ta vraie personnalité?

Sais-tu quelle est ta mission? Ce que tu aimerais incarner vraiment? Comme l’expression de toi-même avec ce petit supplément d’âme?

Et ne me réponds pas que tu n’en as pas!

Impossible, nous avons tous cette force cachée qui apparaît quand on prend le temps d’aller à sa rencontre !

Ne veux-tu vivre qu’à moitié et passer ton temps à te désespérer en regardant les autres se réaliser?

A quoi te servirait d’être Toi entièrement?

Pour ne plus être incomplet, comme insatisfait de tout?

As-tu peur de Toi ? Est-ce que ta lumière t’effraie?

C’est elle que tu vas réveiller, c’est elle qui va enfin briller dans ton cœur pour lui donner sa vérité

Qui es-tu quand s’allume ton projecteur intérieur? Te connais-tu après tout?

Tu n’es pas ce que tu crois être, il est temps de te reconnaître

Pour reconstituer et reconnecter ta particularité au cœur de ta vie

En apposant la signature de ton âme sur tous tes actes

Bouge à partir de cette force et tu verras la vie deviendra une danse

Comme un ballet avec le temps, avec l’espace, avec les autres, sans te perdre pour rester dans le tempo de qui tu es vraiment à chaque pas

Avance et jamais ne recule, tiens ta propre main comme le fil qui t’emmènera au bout de tes rêves

Là où personne ne pourra t’atteindre au sommet de cette puissance d’être Toi

N’est-ce pas le projet qu’on se doit d’avoir pour Soi?

Tu le mérites alors rejoins-moi pour former ensemble un cocon pour l’Amour de Soi

Avec tout mon Amour

Maryse de Mes Mots de Vie

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A l’autre bout de mes mots…

Ces liens que l’on crée et qui relient tous les êtres dans l’Unité d’un Tout magnifié…

MMDV

Qui es-tu Toi que je ne connais pas? Toi qui laisses mes mots venir jusqu’à Toi?
Qui es-tu Toi qui partages avec Moi ces textes qui naissent au creux de Moi?

De l’autre côté de Mes Mots, s’envole cette énergie vers des destinateurs inconnus
Pour se déposer là où il le faut, jamais par hasard, jamais autre part, pour éclairer d’autres destinées au creux de mes mots

Toi qui me reçois dans tes lectures, tu contribues à faire éclore mon mouvement vers l’Étoile de l’Espoir, celle qui brille au-dessus des ombres de la vie

Tu contribues à créer des passerelles pour faire renaître des lueurs dans le vide des jours éteints

Toi qui es de l’autre côté du miroir, tu fais refléter la lumière des mots et la force d’un pouvoir incomparable

Celui qui naît dans l’inspiration du Silence immobile qui contient la Vérité qui s’exprime quand on se connecte à la poésie des mots

J’aime partager avec Toi la magie de cette écriture qui apaise, répare et libère pour engloutir le noir du quotidien qui souvent pousse à renier la Foi d’être Soi

Toi qui te reconnais dans les mots que j’écris, sache que nous avons tous cette même inquiétude qui parfois alourdit nos minutes vaines et que l’on se met en quête d’un ailleurs plus équilibré

J’espère que tu sais trouver l’apaisement dans la sève qui coule de mes mots pour ensemencer des graines en devenir et faire éclore plus de créativité

C’est vers Toi que j’envoie ce flux précieux pour te rendre ton beau sourire malgré la solitude de ton âme

Sans volonté ni exigence, je souffle vers toi ces mots pour les faire circuler dans ce canal de lumière qui s’ouvre quand on sait s’éveiller et sortir de ses peurs

Sur le chemin de la destinée, nous traversons tous des désillusions, nous laissons souvent des morceaux de nous-mêmes dans le cœur des autres mais nous n’abandonnons jamais le doux espoir de porter vers d’autres notre manière d’aimer

Toi qui es là dans ce lien qui nous relie, sache que l’amour de Soi est le terreau le plus fertile qui nourrit chaque seconde de la joie d’être tout simplement

Tu comprendras que lorsqu’on apprend à cueillir en soi un bouquet d’étoiles filantes dans nos vœux les plus fous, alors rien ne peut nous empêcher d’être

Toi qui cherches un sens à tes expériences de la vie, donne à tes larmes un goût d’évasion en posant ces mots comme un baume et un élixir pour réchauffer ton âme

Toi que mes mots bercent sache que demeure au fond de toi dans les morsures de la vie, des signes évidents pour te voir renaître au jour

De l’autre côté de mes mots, je te lance un appel à t’aimer plus, à t’aimer mieux, à conserver dans un écrin de velours ton respect de Toi comme le diamant le plus brillant de ta vie pour ne plus souffrir sans te choisir comme priorité

Toi qui es face à moi, je te tends mes mots pour t’inspirer et pour te donner envie de poser tes propres mots pour réveiller tes ambitions endormies

Toi qui me lis, ouvre le coffre de ta vie qui contient tous tes plus beaux trésors, ceux oubliés qui souffrent dans la poussière de ton passé

Toi qui es là, aujourd’hui, reprends les rênes et écoute ce que mes mots chuchotent à ton oreille: « l’envie d’être toi ne s’éteint jamais et les désirs refoulés ont besoin d’élan pour s’évader de leurs cages alors bouge tes émotions et fonce.. ».

Toi, cet autre moi, reçois ma gratitude infinie d’être là derrière mes mots et à ton tour écris ta vie à l’encre de tes idéaux…

Que Mes Mots de Vie éclairent l’être prodigieux que tu es…

Avec tout mon Amour

Maryse de Mes Mots de Vie

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Encore un matin…Encore une nuit… Et puis le temps s’écrit…

L’acte d’écrire n’est pas futile, c’est un acte d’engagement envers soi-même. C’est la première écologie du vivant que l’on offre au Monde.

MMDV

Lorsqu’on se pose dans l’intention d’écrire, il n’y a pas de volonté de notre mental de produire un exercice de style. Il y a juste une ouverture du cœur qui fait couler les mots jusqu’à la page dans un tourbillon d’émotions. C’est un rendez-vous précieux avec soi-même, pour célébrer la vie en la traçant avec des lettres trempées dans le flow de notre âme.

Un temps suspendu au-dessus des nuées de nos pensées vagabondes, pour capter l’envolée de nos mots majestueux qui s’élèvent, pour agiter leurs ailes créatrices et décrire la vie.

Alors, on plonge dans l’encrier de nos conversations avec la Nuit si mystérieuse et si troublante, et au cœur de ces dialogues inspirants, on voit naître le Jour d’une lumière plus éclatante qui nous renouvelle lorsque l’aube paraît.

Alors, les matins légers s’invitent pour dessiner un trajet coloré, à travers de longs sillons de lettres qui apparaissent à la fenêtre de notre Esprit éveillé.

Dans la tasse de nos envies, s’inscrivent les prémices des idées qui s’allument pour faire éclore les fragments éparpillés de nos rêves étoilés.

Dans les arômes du café, évanescences dans l’air du temps, tourbillonnent mille lucioles qui éclairent la journée et guident nos pensées vers l’être et lui redonnent la tendresse égarée entre le chagrin et la joie emmêlés.

Sur le chemin des lendemains à venir, surgissent les ombres de nos peurs cachées qui veulent héler la fougue de nos élans réfrénés.

Près du ruisseau de nos mots, coule ce flux de douceur qui ravive le halo du soleil masqué par les nuages de nos dérives incertaines.

Près de la Source, apparaît la Déesse de la créativité qui vient consoler nos peines et remettre en mouvement la course de la vie. De sa plume de magicienne, elle caresse les obstacles et les transforme en créatures, symboles sacrés de l’inspiration qui renaît.

Écrire n’est pas vain si l’on comprend l’histoire que raconte les mots pour chasser les maux.

Chaque cœur vaillant a besoin de ressentir ce frisson pour devenir conquérant de lui-même!

Recevoir la chaleur des mots pour chasser le froid des maux, est un don prodigieux et merveilleux que chacun peut s’approprier.

Des morceaux de certitudes qui sommeillent en nous, pour nous apprendre à nous aimer plus fort tel que l’on est, pour sortir de la forteresse où gît notre liberté d’être soi, piétinée.

L’écriture est la clé de la porte de nos désirs enfouis. C’est le ticket pour apprendre à changer nos paysages austères en paradis et féeries, pour transformer les heures ternes et les repeindre aux couleurs de notre cœur qui sourit.

Écrire permet de goûter à ce vertige si particulier, comme en haute altitude pour sauter dans le vide qui engloutit les attitudes, et délivre les chaînes de notre conscience prisonnière d’elle-même, qui nous attache à des ports illusoires où règne un monde de pacotilles.

Le goût si particulier de l’écriture donne à nos moments de solitudes, des saveurs oubliées, pour créer un berceau d’amour, où vient se blottir la vie quand le ciel s’obscurcit.

Les murmures de notre écriture brisent les murs quand résonne de manière commune l’envie d’écrire en grand l’Histoire du Monde.

Alors, n’hésitez plus,…Osez et laissez-vous écrire, la surprise sera à la hauteur du formidable être que vous êtes .

Avec tout mon Amour et pour des conseils individualisés

Maryse de Mes Mots de Vie

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Décollage immédiat pour un voyage extra-ordinaire!

Pas besoin de passeport, prends juste avec toi une valise pleine d’Amour de soi !

MMDV

Je t’invite aujourd’hui à me rejoindre pour nous lancer ensemble dans un petit périple intérieur.

Cette introspection durera le temps de ta lecture intériorisée et tu pourras ensuite prolongée cette pause introspective aussi longtemps que tu le souhaiteras…

Souris à toi-même alors que tu lis mes mots qui circulent jusqu’à toi, mes Mots de vie remplis d’une belle et lumineuse énergie de douceur et d’amour que je souhaite partager avec toi. Toi qui en as besoin aujourd’hui! Ressens-le et respire, respire, respire, légèrement, calmement, profondément…

Munis-toi juste de ton envie de te relâcher pour une déconnexion parfaite de tes soucis du quotidien, puis respire encore plus amplement et accepte de partir dans des contrées inconnues où seul le Silence est roi.

Viens avec moi dans mon cocon hors du temps et fais pause sur ce qui te pèse et assombris tes pensées. Ouvrons ensemble un espace d’accueil disponible au fond de soi, quand on pose comme intention, de lâcher simplement prise sans se poser mille questions.

Oublie le temps de cette parenthèse sensorielle tout ce qui t’empêche d’être pleinement TOI. Prends juste la décision d’alléger le poids de ton mental, juste en lisant ces mots ….!

Es-tu prêt pour ce départ imminent? 3…2….1…Envole-toi avec moi…Maintenant.

Te voilà avec toi-même, en tête à tête, pour un moment de grâce à savourer sans modération.

Et si dans un premier temps, tu relâchais la pression des autres autour de toi, dans tes pensées, dans tout ce que tu fais. Laisse de côté, ce voile qui inconsciemment masque ta réalité et influence ton regard.

Ôte donc ce masque qui déforme tes jolis traits si parfaits quand tu cesses de faire semblant et de jouer un rôle, et que tu crispes ta vraie personnalité. Observe en toi ici et maintenant, ton être qui pétille et frétille, comme impatient de partir à la découverte de soi-même.

« Qui es-tu, toi qui ne simule pas ? »… Accueille l’émotion qui apparaît. Autorise-toi sans peur à te regarder les yeux dans les yeux…

« Vois-tu la couleur de ton âme qui transparaît aujourd’hui ? Est-elle lumineuse ou au contraire austère? » Ne te crains pas toi-même, accepte ce qui est et prends le relais, c’est à toi de faire vibrer ce qui te donne envie d’exister!

« Qui t’a dit que tu n’avais pas le droit de briller? » Accueille les échos des souvenirs passés, te souviens-tu de ce petit enfant que tu as été, sans regarder tes peurs ou tes malheurs du passé? Comment voulait-il s’amuser?

Sache que dans l’instant présent, tout est possible, accepte de mettre de la gaieté dans le cœur de ton enfant intérieur. Chatouille-le…Tu le mérites, tu sais?

Raconte-lui l’histoire de ce petit enfant qui a grandi malgré les péripéties de la vie pour devenir l’être que tu es ici et maintenant ! Tu es là avec Toi à la force de ton histoire de vie, que nul ne connaît mieux que toi, ne te laisse pas juger extérieurement par les autres! Crois en ta Vérité, la seule et l’unique, celle de ton âme.

Supprime toutes les étiquettes qu’on t’a imposées de toi et qui te font tant souffrir encore et encore, décolle-les une à une. Pioche dans cette liste si tu en as besoin. Non tu n’es pas trop triste, sérieux, différent, imparfait, insouciant, nonchalant, impertinent, paresseux, pénible, timide, émotif, impatient, peureux, têtu, lent, colérique, désobéissant… Tu as juste été un petit enfant en devenir, perturbé par son environnement instable. Tu as donc fait de ton mieux, félicite-toi !

Tous ces défauts qu’on reproche aux enfants ne sont que des leurres et ne font que révéler les inquiétudes parentales qui bloquent l’épanouissement libre d’un enfant et peuvent créer des dépendances néfastes. Être enfant, c’est vouloir explorer le monde avec ses sens à la découverte de son identité!

Prends donc conscience là, tout de suite, ici et maintenant de ces verrous qui te bloquent dans une image de toi négative et redonne ses ailes à cet enfant « brimé » bien malgré lui pour reprendre ta pleine évolutivité!

Aujourd’hui, en tant qu’adulte, annule tout ce qui n’est pas toi dans cette image que tu as de toi-même et qu’on t’a donnée à porter avec parfois une vision dévalorisante, qui t’empêche encore maintenant de te déployer en grand ! Change ce pâle album qui n’est pas du tout toi et colle de nouvelles photos plus lumineuses de ton authenticité retrouvée, de ton respect pour l’être que tu es.

Crée ta nouvelle image à la signature profonde de ton âme.

Ressens-la dans ton intériorité, aimes-tu ce nouveau portrait de toi-même où tu ne te caches plus aux autres, où tu choisis d’être comme tu es, sans te forcer, sans te retenir, sans t’empêcher d’être? « Aimes-tu cette nouvelle image de toi-même?
Apprécie ta liberté retrouvée!

Quel moment précieux de se sentir pleinement vivant, malgré tout ce que l’on peut vivre comme expérience! N’est-ce pas le premier cadeau qu’on doit honorer à chaque seconde dans la gratitude de la vie?

Pour finir, as-tu l’habitude de serrer les autres dans tes bras avec fougue et avec enthousiasme, quel est don le câlin idéal que tu rêverais de recevoir et qui remplirait tous tes vides affectifs? Imagine-le maintenant…

Ressens la chaleur, le contact, l’énergie d’amour qui enlace tout ton être… Prends dans tes bras, ton enfant intérieur comme tu voudrais le faire aujourd’hui, cœur contre cœur, pour lui donner le réconfort de cette énergie de tendresse qui t’a peut-être manqué… Pardonne-toi de t’avoir négligé, de t’avoir refoulé, de t’avoir brimé toi-même…

Ne ressasse plus jamais tes manques ou tes peines, sois dans la gratitude d’être!

Il est temps de prendre soin de toi, à présent pour permettre à ce bel adulte que tu es et quel que soit ton âge pour te sentir comblé dans ton cœur d’enfant. C’est à toi de le rassurer et de lui dire :

« Oui, nous avons réussi, hier et nous réussirons encore mieux demain pour tout braver, si et seulement si nous formons ensemble une unité parfaite dans le respect que l’on se doit mutuellement l’un à l’autre. « Je t’aime Toi qui es Moi, Moi qui suis Toi... »

Donne-toi à présent de l’amour, pour célébrer cette union sacrée avec toi-même. Pas juste un morceau d’amour, non tout un océan d’amour que tu aimerais recevoir réciproquement, pour remplir, tous les coins et tous les recoins délaissés de ton être suprême.

Il est temps, oui il est temps de faire rayonner ta sublime majesté intérieure.

Sois fier de toi. Tu es parfait

Reçois l’énergie de mes mots sacrés,

Avec Amour,

Maryse de Mes Mots de Vie

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On parle de Mes Mots de vie dans le magazine Gala: Le pouvoir des mots de Maryse

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Formons un pont d’Amour ensemble

Parce que donner de l’Amour permet d’en recevoir!

MMDV

O toi, cet autre que je ne connais pas
Partageons ensemble les bienfaits de l’Amour infini
Élève ton esprit, et console ton cœur
Grâce à ce partage, nous fleurissons d’Amour ensemble
Ton attention me berce, j’ai soudain envie de danser
Avec les étoiles et de faire rire le soleil
Je ne contrôle plus mon écriture
Je deviens la plume de l’âme qui guide tes pas
Je suis l’océan qui danse
Et je donne de l’Amour dans mes mots
Les vides se remplissent de ma lumière
Et je crée un pont d’Amour vers toi
Je redeviens Moi, et tu apprends à te connaître Toi
Mon enfant intérieur sourit et se sent heureux de partager
Il pousse son premier souffle d’espoir vers les autres

Et je danse, je danse au milieu des étoiles
Les rires et la joie me transportent
Je deviens l’être suprême
Je donne de l’Amour et je reçois de l’Amour

Et je partage cet Amour sacré avec ceux qui en ont besoin
Je deviens un flux d’Amour vers les cœurs malheureux
Et je deviens l’Amour , la joie et les rires
Et je me sens légère et j’ose devenir un pont d’Amour vers toi qui ne me connais pas
Et les cœurs s’ouvrent pour recevoir mes mots qui apaisent leurs maux
Je suis reine et souveraine et j’entraîne avec moi tous ceux qui ont envie d’essayer cette danse de l’âme
Sans contrôle, sans exigence, juste se balancer dans son corps serein, au rythme de la paix retrouvée
Je réconcilie alors universellement le Cœur de tous ceux qui ont besoin de recevoir plus de Paix et plus d’Amour

Et l’énergie d’Amour et de Lumière encode mes mots pour faire sourire ton être
Apprécie ce moment de grâce…

Je t’offre ce texte comme un cadeau, reçois-le de la part de ta Muse intérieure

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le mocha ou mochaccino, le réconfort du coeur

Une simple boisson et pourtant tellement d’émotions!

MMDV

Aux premières gorgées de cette boisson onctueuse et savoureuse, une drôle de sensation se réveille à l’intérieur de nous.

Le temps s’arrête et l’on se voit les yeux émerveillés en train de tourbillonner dans le carrousel enchanté de nos jeunes années, la bouche pleine de chocolat, le sourire à plein nez, notre enfant intérieur semble nous tendre la main pour nous embarquer avec lui dans un voyage à travers le temps.

La douceur du mochaccino sait dévoiler  l’intensité du café, enveloppée de l’innocence du lait qui enrobe de sa présence gourmande, le velouté du chocolat dans tous ses états.

On ressent alors comme une caresse sur notre petit cœur d’enfant intérieur, comme si avec son petit air espiègle, il nous rappelait notre besoin de tendresse et d’affection malgré notre âge adulte.

Cette boisson révèle alors ce mélange subtil à la fois caféiné, lacté  et chocolaté, dans un dosage si parfait, qu’il parvient à recréer le temps de cette parenthèse enchantée, comme un équilibre entre cet enfant qu’on a été et l’adulte qu’on est devenu.

Ce lien inédit ravive nos papilles, qui lâchent prise et se laissent aller, en toute liberté, pour s’amuser et  respirer ce moment de réconfort, comme si on tenait encore dans nos bras notre ours en peluche préféré.

Cet effet du mochaccino est irrésistible, c’est un temps rempli de cette grâce enfantine, pour remplir notre cœur d’amour, en nous invitant à nous délecter de la douceur chocolatée de cette gourmandise « latte » qui nous rappelle l’espace sécuritaire des bras enchanteurs qui nous ont consolés durant l’enfance.

Savourer ce plaisir d’adulte avec son âme d’enfant est une expérience « café » à vivre et à revivre, c’est une boisson « safe place » qui plaît tant à  notre enfant intérieur, celui-là même qui, blotti, au creux de nous-même, quelque soit notre âge  nous titille, avec  nostalgie pour nous aider à combler parfois nos manques affectifs inconscients.

Ce n’est qu’une boisson et pourtant, tout réside dans ce moment de la dégustation, qui est essentiel, pour créer et récréer notre être tout entier, dans son désir de s’évader du quotidien stressant, pour retrouver  les joies innocentes, qui dénouent les tensions et apaisent le système nerveux central. Cet effet radoucit notre mental en touchant notre cœur, qui accepte ce temps d’insouciance avec un plaisir à chaque fois renouvelé !

Le mochaccino, est la boisson parfaite, quand on adore le café, pour à la fois, plaire à notre âge d’adulte, et pour aussi réconforter en nous ce « grand bébé intérieur », qui veille et qui rigole, quand on lui fait vivre des instants magiques, on l’entend alors pousser des soupirs de satisfaction.  

Boire un Mochaccino
C’est réveillé nos souvenirs d’enfance
En glissant sur le toboggan  de l’insouciance
C’est jouer aux billes avant les vacances
En  éclatant de rire avec innocence

Boire un Mochaccino
 C’est se plonger dans un bain moussant
Et courir après les bulles de savon
C’est acheter un bouquet de ballons
Et le laisser s’envoler dans le vent

Boire un Mochaccino
C’est sécher  nos larmes avec des bisous enchanteurs
 C’est offrir une sucette en cœur à des âmes sœur
 C’est s’asseoir sur la balançoire de nos peurs
 Et laisser aller les cauchemars moqueurs

Boire un Mochaccino
C’est jouer à la marelle les genoux écorchés mais le cœur heureux
C’est dessiner à la craie des personnages de conte de fées
C’est jouer à 123 soleil, le sourire aux lèvres et les yeux fermés
C est compter les couleurs de l’arc-en-ciel avec un air joyeux

Boire un Mochaccino
C’est faire des châteaux de sable et ramasser des coquillages
C’est écouter le bruit de l’océan en regardant les mirages
C’est danser sous la pluie et sauter dans la boue
C’est rigoler avec ses bottes en caoutchouc

Boire un Mochaccino
C’est lancer des avions en papier vers le ciel
C’est courir après le cerf-volant jusqu’au pays des merveilles
C’est sucer un Roudoudou au goût de miel
C’est écouter chanter les abeilles

Boire un Mochaccino
C’est donner à l’adulte des ailes de super-héros
C’est l’éloigner du stress et du chaos
C’est faire renaître l’espoir dans son cœur malheureux
En lui donnant de l’amour pour rendre son ciel plus bleu

MMDV by L

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Les fourberies de la vie

Quand la ruse des personnes mal intentionnées s’entremêle au quotidien et à ses problématiques, on ne peut que constater les dégâts!

MMDV

La perfidie n’a pas de limites si bien qu’elle détruit le socle déjà fragile des liens aux autres aussi bien dans les familles, avec les proches ou les amis ou encore dans les cercles professionnels. Lorsque les ruses finissent hélas par se dévoiler au grand jour, il ne reste que des cendres qui ont consumé tous les moments partagés pour faire disparaître les souvenirs les plus heureux!

Retourner toutes les situations à leur avantage, c’est un trait de caractère très fréquent dans les typologies humaines qu’on est amenées à croiser au détour de nos interactions,notamment les faux « amis » ou les personnes fausses !

Comment reconnaître les « sournois »?

Ce sont souvent des personnes qui adorent recueillir les confidences des uns et des autres pour ensuite manipuler les situations à leur avantage, en utilisant ce qu’elles savent de manière déformée comme levier pour créer des situations conflictuelles qui nourrissent leur malveillance.

Les sournois sont par conséquent avant tout des traîtres, c’est-à-dire des individus dont on ne se méfie jamais mais qui sont les plus à craindre et qui trahissent sans vergogne! Ils se disent toujours d’accord, avec tout et avec tout le monde et prétendent n’avoir de problèmes avec personne et « mangent à tous les râteliers ». C’est une excellente manière de les reconnaître! Ils se comportent uniquement par intérêt et veulent profiter de toutes les situations!

On leur fait facilement confiance et quand surgit le moindre problème, ces fourbes ne sont jamais très loin mais il ne viendrait jamais à l’idée de les accuser tant ils excellent dans leurs duperies. D’ailleurs, ce sont les premiers à se manifester pour tendre la main et pour proposer leur aide. Pourtant, on peut les identifier car ils parlent toujours mal des autres et ne savent pas être humbles.

Comment analyser la typologie du sournois?

Cela remonte probablement à l’enfance, lorsque le petit enfant adopte comme stratégie, pour bien se faire considérer de ses parents et ne pas les fâcher, de contenir ses réactions spontanées, en les enrobant de fausses gentillesses. C’est en se cachant derrière ce masque qu’il parvient à se faufiler dans toutes les relations, sans jamais se mettre en froid avec les autres, pour tirer ainsi son épingle du jeu.

Si on prend du recul, on peut se rendre compte que les sournois sont le point d’intersection de toutes les situations problématiques, mais il est parfois impossible de confronter leur perfidie car même s’ils font des faux pas, ils savent toujours retomber sur les pattes de leur sournoiserie, par un retournement de situation ! Lorsqu’on découvre qu’il y a anguille sous roche, ils sont toujours dans les parages. Mais ils prennent la poudre d’escampette quand ils sentent qu’on va les démasquer ou alors se donnent en spectacle pour brouiller les pistes en se disant victime des autres. Il est préférable de mettre à distance les personnes hypocrites en limitant vos interactions avec elles pour vous protéger.

Les fourberies des sournois dressent les gens les uns contre les autres, afin de diviser pour mieux régner dans le royaume des perfides. Ils semblent détester les relations saines et sereines et comme par distorsion psychique, ils sèment la zizanie pour alimenter parfois leurs petites vengeances personnelles car ils sont extrêmement rancuniers . Ils ne savent pas se pardonner à eux-mêmes et semblent porter la culpabilité de leurs actes à travers leurs comportements ignobles qu’ils reproduisent indéfiniment.

Leurs principales faiblesses sont :la jalousie, ils envient facilement les autres et l’ hypocrisie, ils adorent mentir pour se défausser. Tous ces petits jeux du chat et de la souris parlent avant toute chose, de leur profond mal-être, qu’ils font rejaillir sur les autres. Ce sont des personnes qui sont complexées, qui se sentent inférieures aux autres, et sans cesse menacées comme si on allait leur voler leur territoire!

Comment réussir à démasquer les fourbes ?

Quand ils sont acculés par la vérité et que se révèlent les dissonances dans leur propre version des faits, il ne faut pas leur laisser le temps de réagir mais avoir des preuves concrètes de leurs fourberies pour les prendre à leur propre jeu. Mais attention un sournois démasqué, c’est un ennemi dont il faudra se méfier car pour ces fourbes, la vengeance est un plat qui se mange froid et ils poussent au moindre faux pas ceux qui osent les défier, en mettant volontairement des obstacles sur leur chemin !

Être conscient de l’esprit tordu et dangereux des personnes sournoises, permet d’être plus vigilants dans les relations aux autres, pour déceler la moindre zone d’ombre, dans les attitudes des personnes malveillantes qui savent si bien se cacher derrière des sourires fabriqués et des petits gestes « amicaux »! L’attitude des personnes fausses peut devenir toxique , c’est pourquoi il ne faut pas se rabaisser à leur niveau et ne pas se blâmer si on en est victime et que cela nous affecte psychologiquement. Si cela possible, il ne faut pas hésiter à leur dire qu’elles ont une mauvaise attitude qui cause du tort aux autres et sans nul doute à eux-mêmes!

Ce qu’il faut savoir c’est qu’à force de jouer à ce jeu de dupe, les fourbes finissent tôt ou tard, par récolter ce qu’ils sèment , comme un effet boomerang qui finit toujours par faire éclater la vérité au grand jour.

A la sournoiserie, préférez donc la franchise même si toute vérité n’est pas bonne à dire.


Il vaut mieux être dans la droiture de qui l’on est et de ce que l’on pense, que de montrer un profond déséquilibre, nuisible aux autres, à travers ces mauvais agissements.

Même si la vérité blesse, ce qui blesse le plus, c’est de donner de l’affection à des traîtres!

Osez vivre vos émotions en évitant les atteintes des fourbes qui prêchent souvent le faux pour créer des histoires. La vérité ne les intéresse pas, aussi s’amusent-ils, aux dépens des autres, à tout déformer à leur avantage mais ils finissent par en payer le prix cher!

Pour conclure, le sournois est un manipulateur dont les actes sont dictés par l’incapacité à exister par lui-même. Plutôt que d’être le petit messager qui colporte les mauvaises nouvelles, il doit au contraire apprendre à vivre pour lui-même, sans vouloir interférer dans la vie des autres, comme pour s’acheter une manière de vivre par procuration, en se mêlant de ce qui ne le regarde pas!

Méfiez vous de ceux qui n’hésitent pas à devenir des « taupes », sans se soucier du mal qu’ils peuvent causer! Et si cela devient difficile à vivre, demandez de l’aide à des professionnels pour ne pas en souffrir et pour vous réparer émotionnellement!

Pour l’équilibre des relations humaines stables et sereines!

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment ne pas perdre pied au cœur des relations humaines ?

L’équilibre dans les liens aux autres est indispensable et pourtant difficile à trouver!

MMDV

Au cours d’une journée, à chaque interaction, se renouvellent  les mêmes comportements, les mêmes plaintes, les mêmes médisances et les mêmes tensions. A chaque instant, on peut se retrouver à proximité de personnes qui sont submergées par leurs émotions, ce qui les met en difficulté trop souvent.

Comment se sentir bien dans des relations humaines tendues où se perçoit la souffrance bien plus que les mauvaises intentions ? Centrées sur leurs propres problématiques, certaines personnes se négligent et laissent leurs états d’âme entraîner les autres dans leurs propres sables mouvants. Elles deviennent le véhicule de paroles toxiques et créent un carrefour de mots durs, insensés qui reflètent leur souffrance intérieure et confrontent ceux qu’elles croisent.

Comment ne pas perdre pied ? C’est difficile de ne pas se laisser emporter par tant de négativité et l’on ne peut rien se reprocher si on essaie d’y résister de toutes nos forces.  Tout dépendra de notre propre humeur du jour, de notre état de fatigue, de notre énergie du moment !

Celui qui  sait mettre de la distance pour ne pas réagir émotionnellement à tout, réussit à faire preuve d’équilibre et de justesse.  Il convient donc d’apprendre à ne plus subir les autres, en restant fidèle à sa propre vérité.

Savoir ouvrir  un espace de réalisation de soi au cœur de nos journées embrumées par l’inconscience des autres.

Peut-on interagir quotidiennement sans avoir à demander aux autres de se remettre en question lorsqu’ils dépassent les limites et qu’ils font  rejaillir sur les autres leurs émotions mal gérées?

Oser faire entendre sa voix pour mettre fin à ces instants insoutenables où l’on ressent vivement la souffrance de l’autre à travers ses emportements est primordial!

Les blessures de l’égo se réveillent, quand on s’impose, pour affirmer sa manière de penser et ainsi mettre fin aux excès. Faire preuve d’empathie est une compétence humaine disponible en chacun de soi. Pour cela, on doit  prendre la décision d’éteindre son égo, pour être en mesure d’accepter l’autre comme il est, sans le juger.  C’est savoir s’adapter positivement et humainement pour ne pas descendre  au plus bas de sa propre échelle de valeurs personnelles.

Les questions importantes à se poser au cœur des relations humaines, sont :

  • Qui suis-je dans mes interactions aux autres ?
  • Quelle énergie est-ce que j’émets dans mes paroles ?
  • Quelle image je renvoie de moi à travers mon attitude ?
  • Suis-je fidèle aux valeurs que je prétends incarner ?
  • Pourquoi ai-je cette fâcheuse tendance à vouloir juger l’autre ?

Choisir de critiquer ou de médire, alors que l’on a le pouvoir de transformer, ce qui ne nous plaît pas en actions fortes, démontre d’une faiblesse certaine dans notre comportement. Quel bienfait cela peut-il nous apporter ? Il ne faut pas oublier l’effet miroir ! Si l’autre me dérange à ce point, peut-être reflète t-il l’un de mes défauts inconscients qui résonne dans cette interaction ?

Se demander pourquoi on critique quelqu’un, nous ramène immédiatement à nous:

  • Est-ce que j’envie cette personne ?
  • Ou pourquoi cela fait-il écho en moi ?

Prendre du recul, permet de mieux comprendre en quoi cela me confronte ! Juger constamment l’autre témoigne d’un mal-être personnel.

Prendre conscience que tous les schémas négatifs ne peuvent qu’entacher notre déploiement personnel, doit nous amener à préférer choisir une stratégie gagnante pour nous-mêmes !

  • Puis-je faire subir aux autres mes humeurs massacrantes, ou mes incapacités à savoir me remettre en question ?
  • Quelle est la petite histoire que mon égo me raconte pour me bercer d’illusions ? N’est-ce pas un filtre  que je projette sur une pseudo-vérité fabriquée de toutes pièces par mon mental enfermé dans mes propres restrictions ?

A travers la dureté de certaines paroles, on entend souvent bien plus que de la méchanceté, le poids des maux à travers des mots souvent  révélateurs de blessures émotionnelles profondes !

Chaque mot tranchant émet une vibration  lourde, qui va vers l’autre et l’enveloppe d un flux toxique qui tourbillonne son esprit et lui fait perdre son calme jusqu’à le faire basculer, à son tour, dans une spirale de colère et de négativité.

Être  trop emporté dans son caractère montre un  désaccordage avec soi-même, comme une absence de justesse à travers un manque de discernement dans ses jugements,  ce qui charge chaque parole de défiance, de résistance et de rébellion.

Rien ne peut arrêter la colère et les frustrations et faire d’autrui sa cible, c’est assurément  une stratégie perdante. Peut-être faudrait -il se demander pourquoi l’autre nous dérange t-il autant ? Personne n’est mieux ou moins bien qu’un autre, sauf si on veut le croire pour cacher sa propre souffrance inconsciente, liée à ses problématiques non résolues.

Garder sa stabilité et son ancrage face à des personnes négatives est très difficile, c’est un challenge avec soi-même !

Comment peut-on accéder à une version expansée de soi-même si on est minuscule dans sa façon de penser, la vie, les autres, son travail, sa famille et la société autour de soi ?

Il est important de comprendre que le seul idéal vers lequel on doit tendre, c’est d’apprendre à regarder autrement les visages, les liens et les échanges et que le maître-mot demeure le respect réciproque!

Lorsqu’on prend suffisamment de hauteur pour filmer, comme avec un drone,  les interactions humaines, ce que l’on voit est accablant. On constate  la distance entre les êtres malgré l’effet de masse,  le rejet dissimulé derrière des sourires forcés,  l’irrespect sans attention marquée, l’intolérance voilée par la fausseté, la manipulation sur la scène de la comédia dell’arte.

Pourtant tous ces êtres se prétendent doués, dans leur capacité à se lier aux autres, et à être présents au sein  des temps sociaux à partager, alors que dans les faits, se révèle leur incapacité à être pleinement sociables puisqu’ils se montrent hermétiques à la singularité, à ce qui n’est pas commun. Si l’on diffère de leur modèle exigé, ils ne font aucun effort pour s’adapter et au contraire se ferment dans leurs idées étriquées !

Est-ce cela l’Humanité ? Sans exiger des déclarations d’amour, de douceur ou même de bienveillance, peut-être faudrait-il saupoudrer les manières d’être, d’un peu plus de sensibilité et d’acceptation au sens large du terme !

Juste faire preuve de respect de soi, de pardon de soi et d’estime de soi, permettrait déjà de transformer cette terre aride des relations  infertiles où ne poussent que trop souvent, l’arrogance, la suffisance et la souffrance !

Si l’on remplit ses paroles de négativité à l’égard des autres comment peut-on se dire heureux et puissant ?

Commenter sans cesse ce que font les autres, ne montre que du dépit et  de la jalousie, exprimés au travers de  mots souvent enflammés, par des colères intérieures, des rages, des frustrations personnelles, qui laissent transparaître plus qu’un discours, un désordre intérieur proche du chaos.

De même, être bon spectateur de ceux qui sèment la zizanie, par leurs médisances constantes,au sein des liens sociaux, c’est être  complices voire coupables  également!

Comment espérer une amélioration du bien-être au cœur des relations aux autres ?

Il convient de ne pas s’effacer, de ne pas se laisser piétiner, d’avoir pour mission
d’ « alchimiser » la noirceur des cœurs pour voir éclore à la place de tant de perfidies, des fleurs du soleil intérieur de chaque individu.

Le passé est source d’apprentissage pour nos relations.

Combien de fois au hasard des destinées, croisons-nous à nouveau les mêmes individus qui nous ont déjà blessés par le passé, ou d’autres qui reproduisent le même schéma négatif ?

Alors on se demande pourquoi on doit revivre une situation et on ressent comme un sentiment d’injustice et tellement de peines de devoir affronter à nouveau ces mêmes bourreaux, qui nous ont tellement empoisonnés l’âme, qu’on porte encore les cicatrices tatouées à fleur de peau !

Alors au final, on n’a pas d’autres choix que de défier la vie qui nous impose ce challenge.

On fait un bilan de nos expériences désastreuses pour faire un retour sur ce que l’on a appris :

  • Que suis-je devenu ? Qu’ai-je appris comme leçon de ces tourments ?
  • Suis-je apte à me pardonner d’avoir laissé l’autre m’infliger cette peine ?

On se voit dans le miroir de la personne qui nous fait face. On se rend compte que nous ne sommes plus le même et pas tout à fait un autre, et que ce que l’on a appris nous éloigne de toute envie de vengeance ou de représailles. Un nouvel espace de réalisation de soi s’est ouvert depuis, comme une preuve que notre courage est sans faille, quand on s’élève au-dessus de nos problématiques, grâce à la force de notre intelligence du sensible en mouvement, qui nous amène à une version de nous-mêmes encore plus forte et plus belle et plus en accord avec qui l’on est vraiment.

Les leçons de la vie sont comme des jeux de piste qui nous mènent à un accomplissement de nous-mêmes qui dépasse les petites perspectives qu’on s’impose.

Quand on laisse s’évaporer nos colères enfouies, dans le chaudron magique de l’alchimiste que nous sommes, apparaît alors la personne que l’on devient, riche de nos expériences de vie, de nos luttes, de notre mission d’âme sur terre, qui loin d’éteindre notre flamme intérieure, la ravive encore et encore pour lui permettre d’ouvrir comme un espace sacré dans lequel la chrysalide que nous sommes, se métamorphose en l’être suprême que l’on devient, à la lueur de notre  lumière intérieure.

Savoir suivre l’appel de son âme et de son cœur permet de lâcher prise sur les petites querelles dues à des attentes et à des exigences. Plus on se laisse porter en haut de la vague, plus on apprend à développer  sa force de résilience qui se déploie ! Chacun la possède si on accepte de voir avec les yeux du cœur et non avec notre rigidité psychique et notre égocentrisme froid et calculé.

La solution est de sortir de l’urgence de la vie que l’on perçoit au cœur des relations sociales rythmées par un métronome trop rapide et accéléré. Entrer dans une connexion véritable à l’autre demande de la patience à travers un temps suspendu et rempli de grâce et d’accueil.

L’autre redevient alors, un souffle, un cœur, une chaleur, une présence, un mouvement vers lequel on a envie d’aller qui laisse émerger le plus grand de la relation,  c’est ce qu’on appelle la reliance au vivant qui est en tout !

Il est impératif de s’éloigner des violents et des médisants, des agressifs, des odieux sans porter la culpabilité de mal agir et de rechercher davantage la connexion, à travers nos interactions sans nous forcer, pour enlacer des présences nourrissantes et réconfortantes qui nous remplissent le cœur de leur belle énergie de vie dans une réciprocité bienfaitrice.

Il est temps de souffler le changement sur les relations humaines, en inventant à chaque seconde cet idéal dans nos échanges.

Ne plus être une bonne oreille pour ceux qui ne savent pas se remettre en question, pour les obliger à se regarder en face.

Quand on ne sait que dire du mal des autres, nos mots  racontent nos propres maux !

En être conscient, c’est se mettre en route vers plus de sérénité, plus d’harmonie dans nos interactions.

Faire preuve d’empathie est une qualité noble du cœur et non un trait de l’esprit égotique, calculateur et manipulateur. C’est un alignement corps-esprit-âme. C’est pourquoi ceux qui feignent d’être dans l’empathie sont vite démasqués.

Sortir de l’égo et renouer avec sa véritable nature d’être humain, c’est s’ajuster aux autres sans s’enliser dans leurs dérives personnelles qui causent tellement de tort à travers les mensonges, les médisances et les manipulations. L’équilibre se fait en prenant sa juste place pour devenir créateurs de moments présents uniques et dignes. Se décomplexer et avoir pour mission de vie de refuser d’accepter l’inacceptable !

Nos actes portent la signature de notre vérité d’être ! S’assumer en déployant ses ailes, c’est vibrer avec sa nature  divine, c’est transformer le terreau de ses relations, en pépinière plus fertile pour faire naître les graines de la reconnexion des êtres entre eux, à travers des liens plus solides et plus fructueux.

Sortez des expressions sociales fabriquées et  décidez d’épouser les contours de l’intimité de votre âme !

Pour des relations humaines plus stables et plus sereines…

Maryse Ligdamis de Mes Mots de Vie

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Un Mot, un rien et tout en même temps!

Un mot, un espace à remplir, un lien à créer, une histoire, un espoir

Un mot comme une vague sur l’océan, un émoi qui nous touche profondément

Quelques plumes lancées au vent, un tourbillon de sentiments, qui nous inspirent

Un mot, un souffle, une présence sur la page, des bulles en effervescence

Quelques lettres pour laisser apparaître notre être et ses désirs en ébullition

Un moment d’hésitation, une danse entre l’infini et le Présent

Un mot, doucement qui se pose, papillon de l’âme

Une étoile, un guide pour faire vibrer la lyre des émotions

Un mot en partage, un mot sur la table de l’écriture en cavale

Qui dévale les pentes pour nous aspirer dans son inconnu

Dans son ailleurs, autrement, là où nous attend tout et rien en même temps

Un mot, une gourmandise à savourer délicieusement

Un instant à croquer sans solitude vraiment

Un mot, un silence, une vérité démasquée

Dans la spirale des regrets à oublier, des secondes à dilater

Des leçons à profusion, des bribes de vie, des illusions

Des bouts de paradis semés ici et là

Des mots accolés l’un à l’autre, l’un contre l’autre

L’un avec l’autre, des autres sans hôte

Des sourires sans visage, des yeux sans image

Un mot, un rire dans l’air, l’air de rien

Un éclat de joie, un trait d’union

Un signe entre l’autre et Moi

L’autre sans Moi, les autres avec moi

Insouciance d’une évidence, un chemin, une espérance

Un Mot, rien du tout, mais tout en même temps

Juste un mot, une gratitude du moment

Une offrande sans limite, une certitude d’être vivant !

Avec Mes Mots de Vie, recevez des brassées de mots vibrants

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les mots sont une énergie de vie en mouvement

Parce les mots détiennent un pouvoir libérateur et réparateur!

Maryse de Mes Mots de vie

Vous souvenez-vous des derniers mots que vous avez prononcés?

Être conscient de ce que l’on communique comme message implicite à travers les mots qu’on emploie, c’est apprendre à réajuster notre rapport à la vie.

Lorsqu’on prend conscience que bien plus que des mots, c’est une énergie que l’autre reçoit de nous, dans la communication, on comprend très vite, les nœuds qui se forment à travers les interprétations qui naissent et font apparaître parfois des conflits en raison de la maladresse des propos parfois irréfléchis.

Il est donc important de poser des mots ressentis et conscientisés dans vos liens aux autres, pour rester toujours fidèle à vos intentions et pour éviter des incompréhensions.

C’est parce qu’on apprend à employer des mots justes que l’on peut faire naître bien plus que des phrases, des moteurs d’action vers des objectifs à atteindre sans frein et sans entrave.

Un mot est comme un souffle, dans l’air du temps, dans les espaces à remplir, dans les secondes qui défilent et tellement d’impasses sans fil à enfiler.

Un mot passe puis dépasse jusqu’à toutes ces attentes fugaces qui se lassent et s’effacent.

Un mot s’évanouit au cœur de nos silences, évanescence de nos évidences en déroute.

Un mot s’envole puis bâtit comme une passerelle, pour donner des ailes aux racines du monde.

Un mot, quelques lettres, une é-mot-ion, une mot-ivation, un mot-eur vers l’ailleurs, vers le meilleur de la vie, de nous en somme.

Un mot, des mots tellement de maux à guérir, à faire rire, des états d’âme en panne: entrelacement de nos cœurs et de nos esprits épris.

Conquête du monde, ronde des mots.
Et si on mettait des mots à la tête de nos rêves, ils deviendraient des sources fécondes de nos humeurs vagabondes.

Un mot, un frissonnement jusqu’au battement d’ailes d’un papillon, une lenteur rapide, un flow vibratoire, un flot de vie libéré et libérateur.

Douceur, apaisement…

Un mot, rien et tout, une parole, une écriture, un roman…

Une ébauche d’un monde, des sentiments dans un tourbillon, une force, un point c’est tout!

Un mot, une onde dans son déplacement

Le Pouvoir en action

Accueillez les mots, ceux des autres, les vôtres et ressentez ce qui émerge de chaque sonorité, de chaque lettre, de chaque murmure, de chaque cri, jusqu’à sa signification la plus pure, dans la justesse de l’immensité des possibles à décrire.

Des mots à foison, des mots poison, des mots effusion, des mots interconnexion…

Avec Mes Mots de vie , les mots sont une inspiration, une respiration sur la page. Pas de mots réfléchis juste des mots ressentis. Cueillez en chacun de mes mots, une force pour vous faire du bien et prendre soin de votre âme !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Ristretto : Extrait de vie à savourer!

Poursuivons notre voyage caféiné au cœur de la connaissance de soi à travers la métaphore du café. Aujourd’hui, allons à la rencontre d’une autre recette très prisée, le Ristretto.

Un Ristretto, une petite dose de café pour un effet décuplé!

MMDV
Nectar de café

Le saviez-vous ? : Ristretto signifie « restreint » ce qu’on appelle un « café serré » en France. On restreint la dose d’eau pour un résultat plus corsé. Le ristretto est le café le plus concentré qui soit. Pour beaucoup d’amateurs, c’est le format idéal pour révéler l’intensité des arômes d’un cru ou d’un assemblage, lors d’une dégustation.

Il faut savoir que ce format de préparation correspond à une quantité de boisson en tasse deux fois plus petite qu’un expresso. Pourtant, la même quantité de café moulu sera utilisée pour préparer les deux extractions, c’est-à-dire aussi bien pour l’expresso que pour le ristretto. Ce qui diffèrera, c’est la quantité d’eau pour chaque boisson.

Afin d’atteindre le temps d’infusion idéal à l’aide d’une machine, la mouture prévue pour un ristretto est plus fine que celle d’un espresso. Grâce à cette différence, l’eau pénètrera plus lentement dans la mouture, permettant ainsi l’extraction de tout le corps, le goût et les arômes du café.

Un shoot de caféine pour révéler son êtreté!

MMDV

Le Ristretto nous promet un voyage intérieur fabuleux ! Quand nous portons à nos lèvres, quelques gouttes de ce breuvage corsé, nous pénétrons immédiatement au cœur de nous-mêmes, comme dans une partie de notre être jamais explorée. Si l’amertume marquée surprend nos papilles jusqu’à nous faire grimacer, très vite, nous nous adaptons à la nouveauté de ce goût exaltant, jusqu’à entrer dans un voyage sensoriel où notre palais affûté apprend progressivement, à apprécier toute la subtilité des belles notes aromatiques qui se diffusent.

L’alliance de la douceur mêlée à l’intensité est accentuée dans cette petite tasse de café qui a pourtant comme variante évidente, d’être un véritable coup de fouet qui vient bousculer nos habitus pour des prises de conscience.

La dégustation de ce simple shot caféiné est comparable à la quête de l’essence même de notre être, qui demeure souvent méconnue. Cette part la plus pure est aussi la plus singulière et la plus précieuse. Cet extrait si « serré » du Ristretto mais tellement étoffé, avec toute sa complexité aromatique, révèle la préciosité et la valeur inestimables d’un café, tout comme pour nos décisions de faire tomber une bonne fois pour toutes, nos masques, pour vivre enfin notre vie dénudée de nos couches égotiques.

Le Ristretto fait écho aux chaos et aux maux qui nous font délayer notre vie dans un quotidien routinier et mélancolique, pour faire surgir de la monotonie, comme un nectar sacré qui redonne à notre existence toutes ses couleurs. Il représente un concentré de vie comme dans la tasse, qui contient nos moments les plus fondateurs, même s’ils sont teintés d’amertume. Comme un apprentissage bien malgré nous qui nous fait toucher à la quintessence de notre âme!

Sommes-nous prêts à nous aventurer à la conquête de ces trésors cachés en nous? A ôter les couches de faux-semblants dont on se pare si facilement sous couvert de protection?

Sommes-nous prêts à nous laisser embarquer dans ce voyage si mystérieux, pour aller à la découverte de ce qui se trouve au plus profond de nous?

Sommes-nous surtout préparés à faire face à la beauté de notre authenticité sans toutes ces influences et ces affluences qui nous mettent en déroute si souvent.

S’immerger un court instant dans un condensé de vie, pour laisser apparaître la richesse de ce qui nous est donné à vivre, comme les gorgées savoureuses et déconcertantes d’un Ristretto qui nous bouleversent le temps d’un café, pour nous faire renaître différents mais affirmés dans notre identité forte et assumée.

Un Ristretto, c’est un voyage depuis la graine jusqu’à l’extraction et la dégustation finales. Un élixir de vie qui suit le même processus que celui de la croissance d’un individu, jusqu’à révéler sa plus belle part, à travers ses expériences en repartant à l’origine, à la source, là on on réussit à se libérer du poids des mémoires qui nous encombrent.

Une petite dose de Ristretto peint l’évolutivité de l’âme : de la procréation à l’être.

Si je ne crée pas ce que je vis et que je ne vis pas ce que je crée, alors Je ne Suis pas !!!

Breuvage divin et sacré
MMDV by L
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Les yeux du cœur voient au-delà des apparences de la vie !

« Quand je porte mon attention sur l’intention de regarder la vie en plus grand, c’est tout un univers qui se dévoile » !

Poésie de la vie
Maryse de Mes Mots de Vie

Les yeux du cœur savent voir au-delà des mots, des gestes et des attitudes. Lorsque nous apprenons à changer notre regard sur ce qui nous entoure, un paysage inexploré s’offre à nos yeux et même dans nos relations aux autres.

Voir est un sens prodigieux qui nous permet de donner à la vie des nuances inédites. Ouvrir grand les yeux pour observer le monde et ses mille et une façons d’être est une expérience fondatrice et précieuse pour devenir humain.

On naît en tant qu’être humain mais l’est-on vraiment quand on ne sait que  focaliser notre regard sur des petits détails insignifiants en prétendant pourtant vivre intensément? Ouvrir son empan visuel permet par conséquent de sortir du regard étriqué qu’on porte trop souvent sur la vie.

Ne dit-on pas qu’il faut apprendre à « voir plus loin que le bout de son nez », c’est la sagesse même de la vie qui est ainsi exprimé dans ce proverbe pourtant banal. Avoir une observation fine et juste de ce qui se passe autour de nous, demande évidemment , de désactiver au préalable, les préjugés, les aprioris et la prétention de tout savoir, avant même de vivre l’expérience.

Chaque matin qui se lève est comme une  photographie de ce que notre mental veut bien capturer de la vie selon notre humeur, le programme de notre journée et les états psychiques et émotionnels liés.

Pourtant même quand la réalité est dure et confrontant, la nature qui nous environne s’invite à nos côtés, pour nous offrir des panoramas somptueux qu’elle décline à l’infini pour radoucir la vie, quand on sait l’honorer, de vrais moments de grâce et de douceur, à portée de nos yeux quand on sait y mettre tout notre cœur pour l’observer.

Changer de rapport à notre vie, c’est réapprendre à utiliser tous nos sens à bon escient. Ce ne sont pas des options facultatives dont on nous a dotés, mais bien des moyens de transformer notre vie à notre guise, à partir de cette capacité sensorielle qui est à déployer à chaque instant, pour créer la vie qui nous ressemble!

Lorsqu’on apprend à regarder autrement, tout change, tout se métamorphose comme par magie. La meilleure façon de rééduquer notre sens visuel, c’est déjà de connaître et d’employer, les différents synonymes du verbe  « regarder », qui portent en eux une manière de voir extrêmement variable d’une acception à l’autre, ce qui peut tout modifier selon la manière dont on va poser notre regard.

Porter votre attention sur la vie, ce n’est pas seulement la voir, mais c’est aussi la contempler, la scruter, l’examiner, l’analyser, l’admirer… La percevoir !  C’est bien plus qu’un simple coup d’œil rapide et furtif, c’est découvrir tout un monde qui se donne à être exploré. Lorsqu’on regarde avec toute notre globalité corporelle, c’est une vue à 360 degrés qu’on porte sur la vie. Alors, elle ne peut plus nous échapper, elle ne peut plus nous décevoir, elle ne peut plus nous limiter.

Voir grand, c’est avoir cette envie de donner à la vie toutes les chances de nous satisfaire dans nos projets, dans nos envies, dans nos besoins de nous réaliser, sans nous contenter de faire défiler la vie sans vraiment voir l’essentiel.

Il ne s’agit pas de se laisser voler son regard, par une attention trop fugace, par une déconcentration à tout instant de ses objectifs, par une distraction constante où l’on zappe sans cesse à tout va, à travers les mille habitudes de la vie.

Être aveugle à la vie, c’est se laisser chaque jour hypnotisés par nos écrans, en restant le nez collé dessus, plutôt que d’apprécier ce qui se donne à vivre, sous nos yeux, sans vraiment s’intéresser à quelque chose en particulier.

Voir à travers un filtre déformant, ce n’est pas voir vraiment! Rien ne peut remplacer la vie réelle. Se perdre dans le virtuel et dans la connexion aux images pixelisées, c’est se déconnecter de soi pour s’enfermer progressivement dans une cécité perceptive qui ne peut que causer à la longue, des dégâts irréversibles et nous laisser comme désincarnés !

Quand on ne sait plus regarder la vie avec motivation et joie de vivre, sans écran interposé, on s’emprisonne soi-même, comme si notre perspective se rétrécissait pour ne plus fixer qu’un petit bout de vie à travers un angle de vue resserré.

Nourrir son regard, c’est comme s’alimenter de manière équilibrée. Tout excès nuit à notre santé physique et mentale. Si l’on visionne sans arrêt des images qui créent en nous des frustrations ou qui nous agressent ou nous donnent de la vie une impression de violence et de mal-être, alors comment trouver la voie d’accès vers plus de sérénité et de paix intérieure ? Comment se sentir pleinement épanoui avec des yeux déformés?

Lorsque l’on observe scrupuleusement les relations aux autres, on ne peut que constater la même dérive. Souvent, on regarde l’autre sans le voir, on se contente de l’apercevoir, de le considérer d’un point de vue faussé par cette incapacité à être présent au présent,  par une fermeture de notre cœur qui nous réduit à avoir un regard vide.  

Si l’on considère chaque être humain comme un monde à découvrir, à ressentir et à percevoir, peut-être pourrions-nous lui donner une chance de nous surprendre agréablement ? Quand l’on regarde l’autre, comment nos yeux se portent-ils vers lui ? D’ailleurs, le voit-on vraiment ou sommes-nous trop absents de nous-mêmes, pour ne distinguer qu’un reflet sans contour.

Voir avec le cœur, c’est avoir l’intention de changer de rapport à notre vie, en ayant une attention plus soutenue à tout ce qui nous entoure.

Là tout de suite, qu’avez-vous à regarder autour de vous ? Prenez une profonde respiration et fermez vos yeux en portant votre attention sur votre cœur. Puis ouvrez-les à nouveau et regardez tout ce qui se donne à voir. Que voyez-vous qui n’était pas visible jusqu’à maintenant ? Que ressentez-vous quand vous vous connectez à vos yeux, pour embrasser la vie comme s’il s’agissait d’un horizon infini ?

Que voyez-vous derrière le visage de celui ou celle qui vous fait face, de celui ou celle qui vous agace, de celui ou celle que vous aimez ? Que voyez-vous vraiment avec les yeux du cœur ? Bien plus qu’un échantillon de vie, sans nul doute. Bien plus que votre visibilité réduite par votre égo, par votre désintérêt, par votre méconnaissance!

Agrandissez votre regard, cherchez à voir l’invisible chez les autres et autour de vous ! Scrutez le ciel pour y découvrir l’étincelle de vie qui rallumera peut-être votre cœur trop éteint.

La vie n’est pas à vivre en mode restreint ni flou. La vie est immense à savourer à travers une introspection perpétuelle.

Maryse de Mes Mots de Vie

Lorsqu’on apprend à regarder la vie dans les yeux, elle nous offre d’autres couleurs, d’autres variations. Elle nous apprend à l’observer en surplomb, pour entrevoir un panorama  moins focalisé de manière plus neutre. Elle nous apprend à distinguer ses subtilités dans un regard plus précis et plus affuté. Elle nous apprend à l’examiner sous d’autres angles. Elle nous apprend à zoomer sur ce qui mérite d’être mis en valeur. Elle nous permet de ne plus nous voiler la face en raison d’ un manque d’attention à nous-même, pour la considérer plus précisément, jusque dans des petits détails significatifs de l’arrière-plan,  sans jamais porter de jugement de valeur.  Plus vous apprendrez à varier les cadrages, à travers un regard sans cesse renouvelé, plus vous verrez mieux la composition de ce qui s’offre à votre compréhension de la vie.

Regarder avec les yeux du cœur, c’est voir une vie plus exaltante et plus ouverte, à travers une vision agrandie, avec un plan large, grâce à un capteur précieux, celui de votre cœur.

Au fait, avant de regarder, n’oubliez surtout pas d’enlever le cache ou les œillères inconscients qui ne peuvent qu’assombrir votre rapport à la vie en lui mettant des limites inutiles.

Pour une vie étincelante et lumineuse de vérité, connectez vos yeux à votre cœur  et saisissez alors son éclat véritable!

Ouvrez vos yeux, votre vie vous attend !

Maryse de Mes Mots de Vie
Admirez le spectacle de votre nature intérieure
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Cappuccino : une douceur qui a du caractère!

Poursuivons ensemble notre histoire caféinée pour booster votre motivation. Après l’inconditionnel espresso, découvrons ensemble la puissance de la douceur avec l’incontournable cappuccino qui plaît tellement à nos désirs de café.

Le Cappuccino, la puissance de la douceur dans une tasse

Carpe Diem
MMDV

Qu’est-ce qu’un cappuccino? Selon la légende, on raconte que c’est parce que l’amertume du café ne plaisait pas forcément à tous qu’on y a rajouté subtilement du lait, pour radoucir son goût trop amer.

La recette consiste à mélanger un espresso avec du lait en le coiffant d’une belle mousse crémeuse et onctueuse, (réalisée en chauffant le lait à la vapeur jusqu’à le faire mousser), en forme de capucin ( petite capuche en italien) d’où le nom de cappuccino, qui met en évidence la variation de la couleur noire du café , qui devient légèrement tigrée et zébrée, au contact de cette mousse de lait crémeuse : une rencontre inédite !

La boisson ainsi réalisée est servie dans une grande tasse à café, avec pour couronner le tout, un petit dessin irrésistible de latte art.

La maîtrise de la réalisation de cette boisson très prisée exige le savoir-faire d’un barista (personne spécialisée dans la préparation de boissons à base de café). En effet, il ne faut pas confondre le cappuccino et le café au lait ! Tout est dans le respect de la recette et dans cet art de savoir délicatement marier la douceur du lait à la puissance du café. Ce savant dosage demande beaucoup d’adresse et de tact pour garder l’alliance équilibrée qui ne doit jamais altérer le goût savoureux du cappuccino.

Malheureusement, on peut constater que l’expérience gustative est parfois décevante en raison de nombreuses erreurs ou négligences dans la réalisation du cappuccino : du lait trop chaud, un café de mauvaise qualité qui manque d’arôme ou encore une énorme tasse de lait où le café est complètement noyé.

Les vrais amateurs de cappuccino savent faire la différence et exiger le respect de ce flow du cappuccino qui bien plus qu’une simple boisson correspond à une métaphore de la philosophie de la vie à travers le café.

N’est-ce pas une image savoureuse de la sensibilité mêlée à l’affirmation de soi? Cette force tranquille qui se dégage d’une belle tasse de cappuccino, à travers ce goût de douceur du lait, laisse entrevoir l’intensité du café de spécialité, nous donne à assister comme à un duel de nos émotions dans la tasse.

Une danse lente et harmonieuse jusqu’à une belle transformation que l’on porte à nos lèvres pour nous délecter de ce précieux goût de vie qui nous émerveille. Un cappuccino nous fait voyager entre deux mondes : un entrelacement de la puissance de l’esprit à la douceur du cœur.

Un univers sensoriel unique où l’on peut sentir le moelleux côtoyer l’intense, la force révéler la sensibilité, l’équilibre se dresser sur un fil. Tout se résume au mouvement du café et du lait au cœur de la tasse pour donner naissance à l’osmose recherchée parallèlement dans nos vies.

Entrez avec nous dans le flow du Cappuccino en vous laissant emporter par ces mots au goût puissant de café….

Ode au Cappuccino

Breuvage sacré, de ton nom café,

Torréfié par les mains d’or de l’alchimiste éveillé

Afin de révéler ton essence dorée

Au gré de nos tasses enchantées.

3 petits grains devenus cascades

Ruisselant dans son océan parfumé

Prêts à rencontrer son opposé

S’attirant comme des aimants,

Malgré les apparences les dissociant

Rencontre inattendue

Entre douceur et amertume

L’un radoucissant l’autre

L’autre caractérisant l’un

Comme le Yin et le Yang

Ils se complètent

Pour former un équilibre parfait

Et s’harmonisent comme la plus belle des mélodies

Il pleut dans ma tasse corsée

Un nuage de tendresse

Une caresse pour apaiser mon cœur délaissé

Une goutte me portant à l’extase

Une chaleur euphorisante

Qui s’étend dans mon âme

Une symbiose qui détend tout mon être

Esquissant sur cette toile de créma

Le paysage de nos cœurs envoutés

Par la délicatesse et la tendresse

Que nous offrent cette boisson qui rime avec passion

Élixir de Joie

Élixir d’émoi

Cappuccino en quelques mots

Tu ravives notre flow

Pour dissiper nos maux

Et inspiré nos mots.

Le cappuccino embrasse nos lèvres de son amertume parfumée à la douceur du lait

Et s’enroule sur notre langue pour distiller des arômes délicats de sa puissance sacrée.

N’hésitez pas à savourer votre cappuccino de vie pour votre plus grand plaisir

Effet Café

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Comment transformer votre manque affectif en élan pour créer votre vie?

Vos manques contiennent votre lumière, à vous de les transmuter !

Maryse de Mes Mots de Vie

Le manque affectif teinte votre vie de ses nuances sombres, parfois quand vous pensez avoir réussi à dépasser ce besoin d’être aimé.

Vous apprenez à vous donner de l’amour à vous-même, vous recevez aussi  l’affection des autres mais demeurent en vous ces vides qui jamais ne se comblent vraiment, ce besoin d’être aimé encore plus et toujours plus, sans raison.

Lorsque vous êtes au cœur des relations humaines, ce chagrin intérieur inconsolable frappe souvent à la porte de votre cœur, comme pour exiger des autres de remplir ce manque affectif. Comment? Vous ne le savez pas vous-même.  Et vous existez alors à travers cette peine inconsciente, qui reste comme adhérée aux parois de votre vie et qui vous donne cette impression désagréable d’avoir à traîner ce boulet, tout au long de votre destinée.

Rien ne réussit à effacer cette sensation de manque affectif définitivement !

Au gré de votre humeur, de votre état émotionnel, de vos fluctuations hormonales, des énergies, des variations et des nuances du quotidien, vous essuyez encore et encore les larmes de votre cœur sans comprendre pourquoi. Lorsque votre cœur devient lourd et qu’il est comme gorgé de peines, vous accueillez ces moments douloureux et vous essayez de vous aimer encore plus !

D’où viennent-elles ces souffrances qui larmoient dans votre intériorité sans fin ? Vous constatez qu’elles résident souvent en votre schéma fondateur, en votre processus de croissance, de votre naissance à aujourd’hui et qui a sa source à l’origine même de votre existence.

Pourquoi le manque affectif est-il davantage marqué chez les uns plutôt que chez les autres ? Tout vient peut-être des premières heures de la venue au monde du nourrisson, quand la porte de la délivrance s’ouvre et qu’il est projeté à l’extérieur. L’enfant arrive-t-il sans crier gare ? Met-il de longues heures avant d’oser apparaitre ? Ressent-il jusqu’à les douleurs d’enfantement de sa mère ou encore l’inquiétude de son environnement ? Reçoit-il immédiatement une étreinte chaleureuse qui le fait se sentir désiré et aimé ? Ou au contraire, éprouve-t-il comme une sensation de froid qui gèle son cœur, comme s’il avait été expulsé de son cocon protecteur.

Cette sensibilité à fleur de peau qui fait tout ressentir de manière décuplée semble appartenir à ce « bébé intérieur », comme s’il n’avait pas reçu les bonnes gorgées d’amour dès sa naissance. Les bonnes et saines tétées qui n’ont peut-être pas réussi à nourrir la soif de ce tout-petit, d’être aimé encore plus ! Ces longues heures passées sur le sein maternel parfois pour certains enfants, témoignent souvent d’un besoin de s’abreuver de cette fusion pour ressentir comme un état de plénitude, d’amour et d’équilibre dans son cœur de nourrisson, en cueillant dans la chaleur de sa mère des instants magiques comme une métaphore de ce manque affectif éprouvé lorsque on le coupe de cette présence!

Le mystère de notre venue au monde garde prisonnier en notre âme ces petits et grands traumatismes qui ont créé en nous des peurs inconscientes et des besoins différents d’un individu à l’autre.

Revenir à ce manque affectif originel n’a rien de blasphémant pour les parents, ce n’est pas un reproche ni une critique mais juste essayer de comprendre ce qui pourrait nous aider à nous réparer quand le manque affectif résonne trop fort!

Et si la solution était dans le problème.

Avec Mes Mots de Vie, je vous invite à apprendre à « alchimiser » vos émotions!

Maryse de Mes Mots de Vie

Quand tambourine à la porte de votre cœur un besoin plus fort d’être aimé, vous savez à présent que ce manque ne vient pas de l’extérieur mais sans nul doute de l’intérieur, de ce vide qui vous happe quand vous vous éloignez trop de vous-même ! Quand vous vous oubliez pour être plongé comme aspiré par  les interactions aux autres, vous n’êtes plus assez proche de vous-même pour vous préserver et pour puiser dans votre ressource intérieure qui reste pourtant disponible, l’énergie qui vous permet de rester stable émotionnellement. Alors, vous basculez encore et encore dans toutes vos blessures qui se ravivent au contact des autres, quand vous les laissez  vous impacter ou vous confronter sans prendre garde à la distance de proximité, qui doit vous protéger dans votre espace personnel et vous permettre de toujours rester fidèle à vous-même!

Qu’est-ce qui fait que vous perdez ce contact à vous-même aussi facilement ?

Il n’est pas question ici de vivre les yeux fermés pour rester dans votre bulle ! Vivre avec les autres, c’est rester vous-même !

A chaque fois que vous baissez la garde et que vous devenez quelqu’un d’autre pour être en phase avec les autres, vous omettez que c’est ainsi que vous vous rapprochez le plus de vos failles inconscientes.

Ressentir le rejet ou la peur des autres, montre tout simplement que vous n’êtes pas ancré dans votre intériorité, parce que vous vous contentez de paraître ! C’est comme si vous interagissez à partir de votre vide intérieur, ce même vide qui vous fait basculer dans le manque affectif très rapidement et qui réveille vos peurs !

Il est absolument nécessaire de comprendre que quand vous vous absentez de votre intériorité, l’écho de vos manques retentit et devient la vibration que vous émettez et qui va forcément induire votre manière de réagir face aux autres.

Lorsqu’on ressent la fatigue après de longues journées harassantes, ou juste à travers des relations un peu compliquées, cela signifie qu’ on a manqué sans doute  d’attention à soi-même et qu’on a réagi comme si on était déconnecté de notre globalité.

Revenir à soi, c’est prendre le temps de s’octroyer ce temps de reconnexion à vous-même pour remplir tous les interstices de votre cœur d’énergie d’amour et de lumière pour ne pas retomber à chaque fois dans les mêmes travers selon votre humeur, votre emploi du temps ou vos occupations.

Comment faire pour ne plus créer cet état émotionnel et sensible qui vous replonge à chaque fois comme dans un état de manque affectif ?

Vivre en étant emporté par le rythme effréné de la vie, c’est s’absenter de sa Présence et de sa connexion à soi-même ! Pensez-vous normal d’avoir deux manières d’être ? Non, un accordage est absolument nécessaire pour arrêter de naviguer trop loin de vous-même et vous mettre à chaque fois en difficulté.

C’est comme si vous vous manquiez à vous-même assez fort pour éprouver encore et encore le vide qui rend votre cœur lourd. Le manque affectif vient du fait  ne pas réussir à être comblé par soi-même, par sa propre présence, par sa propre personnalité, par ses propres désirs car  votre regard se porte davantage vers l’extérieur dans vos interactions, et vous n’êtes plus capable de rester  vous-mêmes

Comment apprendre à ne pas perdre pied dans vos relations aux autres !

Le rituel est simple :

-Au réveil, connectez-vous à votre intériorité pour prendre des nouvelles de votre état d’être. Fermez les yeux, accueillez-vous en vous ! Comme si vous vous disiez bonjour à vous-même ! C’est une manière de vous souhaiter une belle journée dans la gratitude d’être vivant !

-Puis au moment de votre douche, purifiez-vous de toutes les émotions nocturnes ou matinales, comme une douche extérieure et intérieure nécessaires à travers cette eau revivifiant et ressourçant qui vous permet alors de porter le parfum unique de chaque nouvelle journée : la fragrance de l’énergie universelle.

– Honorez-vous par une tenue en accord avec vos envies du jour, dans ses couleurs, sa forme, sa matière. Parez-vous pour honorer votre divinité intérieure. Tout ce qui fera que vous aurez l’impression de vous glisser dans un nouveau Vous, pour aborder ce jour nouveau dans une énergie renouvelée.  Retenez  que nous sommes comme chaque jour qui se lève une nouvelle version de nous-mêmes à créer, prête à faire de chaque jour, une nouvelle histoire à écrire !

– Si vous avez le temps, faites une méditation matinale avant de commencer vos activités.

-Au cours de la journée, ressentez dans votre cœur cette Présence activée. Quand vous sentez que votre respiration s’accélère sans raison, cela signifie que vous perdez votre contact à vous-même, revenez à vous seulement en agissant sur votre respiration consciente jusqu’à inspirer profondément et expirez jusqu’à évacuer ce qui vient vous agiter mentalement.

– Si vous le pouvez fermer vos yeux même quelques secondes, cela permet de vous connecter à votre intériorité et à vous auto-centrer pour activer votre force de régulation autonome.

– Si vous ressentez dans votre corps des crispations ou des tensions, isolez-vous quelques minutes pour vous  retrouver comme un tête à tête avec vous-même !

-En fin de journée, faites un bilan avec vous-même, en méditant pour filtrer vos émotions et pour vous recharger afin de préserver l’équilibre de votre intériorité qui est la clé de votre santé mentale et physique. Évacuez tout ce qui ne vous appartient pas !

– Terminez par un temps d’écriture pour faire émerger des prises de conscience et des réajustements nécessaires. A vous de décider du temps que vous allez y accorder.

– Couchez-vous l’esprit serein ! Avant de vous endormir, prenez le temps de quelques respirations amples et laissez-vous vous déposer dans votre sommeil, sans lutter et sans résister dans la confiance d’une énergie réparatrice activée pour la nuit.

Et retenez pour finir, que l’instant présent contient votre bonheur, à vous de ne pas le laisser filer dans votre absence à vous-même ! Personne ne pourra combler votre manque affectif, si vous ne le comblez pas vous-même par votre présence inconditionnelle et fidèle à vous-même .

Je m’aime et je m’accepte comme Je Suis à chaque seconde de ma Vie! Merci, merci, merci!

Maryse de Mes Mots de Vie
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Faites de votre hypersensibilité une force pour vous faire respecter!

La lumière de l’hypersensibilité

L’hypersensibilité est un diamant qu’il faut apprendre à polir pour laisser apparaître son éclat le plus prestigieux et sa puissance indicible en le préservant dans un écrin précieux au cœur des relations aux autres…

Maryse de Mes Mots de Vie

Deux points de vue s’opposent sur la sensibilité. Certains la classent automatiquement dans les défauts, alors que l’intelligence sensible est l’or de la créativité et de l’humanité.

Commençons par essayer de mieux comprendre la notion de sensibilité au cœur de l’être.

Les personnes sensibles vivent sous l’emprise de leurs émotions décuplées qui les rendent plus réactives que les autres. Elles sont directement impactées de manière plus profonde dans les interactions et les maladresses inconscientes qui se trouvent dans les relations humaines.

Une parole trop vive, une remarque trop personnelle, une moquerie appuyée, un excès de négatif dans la critique ou la médisance et la personne sensible perd pied et se voit  déstabilisée par cette ambiance trop lourde et pesante, comme si elle devenait une véritable éponge de la toxicité qui se dégage, en s’imprégnant automatiquement des émotions négatives des autres inévitablement, ce qui la pousse à être sur la défensive , à réagir par l’attaque , par les larmes ou à fuir pour se protéger !

Ce n’est pas un choix de  sa part. Être sensible ne se contrôle pas, on ne devient pas hypersensible, c’est une nature propre à un individu. Cette hyper empathie n’est pas simple à gérer au quotidien. Avoir cette envie constante d’être agréable aux autres, de faire attention à eux, d’être dans une écoute bienveillante, est vraiment éprouvant, si bien que le moindre petit détail infime que les autres ne voient pas, finit par l’ébranler dans sa stabilité émotionnelle.

Malheureusement, l’être sensible est rarement compris des autres, on le pointe du doigt comme s’il s’agissait d’une faiblesse de caractère, on critique sa manière d’être. On le traite de « faible », de « trop gentil », on l’accuse de manquer de caractère, d’être trop pleurnicheur. Ce n’est pas une forme de lâcheté, mais bien une manière de l’individu sensible de créer la vie à partir des bases plus saines et des valeurs du cœur, dans la douceur et la délicatesse de son âme et non dans la brutalité, la violence et le chaos des emportements des autres !

Être hautement empathique attire à soi des personnes parfois malveillantes, qui usent alors de leurs stratégies manipulatoires pour profiter abusivement des bonnes ondes de la personne sensible, de ces aptitudes à être bienveillant et à partager généreusement ses idées ou sa manière de penser !

Être une personne hypersensible a des avantages aussi : être plus compatissant, hyper créatif, plus intuitif !

Mais la plupart du temps, dans une société où les extravertis mènent la danse, être une personne sensible se résume à devoir se plier aux désidératas des autres, pour ne pas avoir à lutter dans un bras de fer trop douloureux et insupportable qui fait perdre du temps et beaucoup d’énergie!

L’être sensible capitule mais il ne se résigne jamais à être dans l’ombre des autres trop dominants. Son projet secret et sacré est toujours de démontrer qu’être sensible est une qualité hautement appréciable pour mener une vie en accord avec soi-même. Il lui reste ensuite à trouver le courage nécessaire pour apprendre à s’extraire de la vie rapide et surchargée des autres,  qui ne savent pas se recentrer sur eux-mêmes, en se fixant des priorités pour ne pas perdre face,  et préfèrent se perdre dans des liens qui leur donnent comme un sentiment d’existence et au passage brutalisent la sensibilité des autres !

L’être sensible n’a pas besoin de ce style de vie. Il existe dans sa bulle où il sait prendre soin de lui  pour s’épanouir. Il sait apprécier sa solitude pour toujours mieux se connaître et pour vivre dans une perpétuelle source d’inspiration intérieure. C’est parce qu’il sait regarder la vie avec les yeux de son intériorité qu’il réussit à vivre avec les autres et à attirer à lui des relations harmonieuses et positives en mettant à distance, ceux  qui lui causent du tort ou le dévalorisent en l’empêchant d’être lui-même.

Être une personne sensible n’est pas simple mais apprendre à se respecter est une étape fondamentale dans la vie d’un hypersensible. Plus il apprend à fixer des limites aux autres sans jamais les laisser l’envahir, plus il devient une personne ressource et inspirante.

Le jour où l’on découvre qu’on est hypersensible, c’est un moment de grâce que l’on célèbre car où on sait qu’on contribuera à l’équilibre du Monde, du haut de nos sens éveillés et amplifiés. C’est cette acuité perceptive qui devient alors comme le radar de la vie de l’être sensible.

C’est parce qu’il ressent vivement ce qui le confronte qu’il apprend à vivre en conscience et en présence, pour préserver son bien-être indispensable à l’équilibre de sa vie !

Se sentir vidé par une relation, n’est pas normal ! Être happé par les problèmes des autres n’est pas concevable ! Se sentir comme vampirisé montre bien que quelque chose est néfaste dans ce que l’on vit avec les autres.

Les relations épanouissantes nous inspirent, nous donnent de l’élan, ouvrent notre cœur.  Si l’on doit porter une cuirasse ou une carapace face à quelqu’un, c’est que cette personne ne nous fait pas du bien et nous apporte comme un malaise intérieur !

Réagir aux sentiments des autres par des sensations corporelles agréables ou désagréables permet de réajuster sans cesse les interactions d’un hypersensible. Quand il n’a pas le choix, il convient de faire confiance à son baromètre intérieur, en prenant du recul par rapport à la situation, pour ne pas se condamner à souffrir encore et encore !

Il est important d’observer la qualité de nos relations plutôt que la quantité. L’être sensible a besoin plus que tout de s’entourer de personnes aimantes, attentionnées, bienveillantes et protectrices, dans une réciprocité « actuante »  où se nouer à l’autre devient un réel plaisir et une source de joie constante, même quand il faut surmonter certaines difficultés.

L’individu sensible est invité à prendre conscience de l’importance de placer son corps au centre de sa vie comme une caisse de résonance active, dans l’intention de prendre sa place au cœur de ses relations aux autres, sans qu’on l’affaiblisse ou qu’on lui manque de respect !

Prendre soin de son moi sensible devient une force et accroît l’énergie et le calme intérieur. L’être sensible a besoin de faire plus souvent des pauses avec lui-même car il s’épuise très vite dans les interactions. Par exemple, au cours d’une journée, prendre seul sa pause-déjeuner lui permet  une parenthèse qui le recharge immédiatement pour poursuivre ensuite ses activités plus sereinement! L’hypersensible a besoin de s’octroyer plus de temps pour soi que les autres.

C’est parce qu’on aime cette part de nous sensible que l’on apprend à vivre avec dans une globalité rassurante et sécuritaire.

L’être sensible apprend à s’écouter pour ne pas être désorienté. Il s’adonne à  des activités créatives et créatrices, pour laisser libre cours à ses talents personnels car l’être sensible est un artiste dans l’âme. Lorsqu’il apprend à utiliser la créativité comme un exutoire, il s’offre une voie d’expression libre et engagée et se révèle et s’affirme à travers ses inspirations et ses créations !

L’être sensible, en reconnaissant sa sensibilité, répond mieux à ses besoins et s’accepte entièrement comme il est, sans se juger et s’aime de plus en plus fort !

Grandir de son hypersensibilité, c’est s’ouvrir à une connexion d’âme et de cœur au « plus grand que soi » et au sacré et à l’universalité de la vie.

Si vous côtoyez des personnes sensibles, pensez à les respecter sans chercher à envahir leur espace personnel, appréciez la part de mystère qu’ils dégagent, car à leur contact, si vous savez les honorez pour ce qu’ils sont, ils deviendront vos meilleurs alliés !

Et n’oubliez pas que nous sommes tous quelque part fait de sensibilité, quand on ne renie pas cette part de notre humanité, qui nous donne un regard plus doux et plus éclairé sur la vie !

Je suis moi-même hypersensible et fière de l’être!

Pour mieux vivre votre hypersensibilité, n’hésitez pas à me contacter pour des conseils plus individualisés.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Avec Mes Mots de Vie, apprenez à retrouver votre confiance en soi!

Parce que la confiance en soi est avant tout l’accord harmonieux entre vos pensées et vos désirs d’être, à travers vos actions justes dans l’instant présent, ne doutez plus de votre potentialité à exister comme vous êtes !

Maryse de Mes Mots de Vie

Ne soyez pas effrayé par vous-même! J’ai beaucoup entendu dire que la confiance en soi c’est un manque d’assurance! Ce n’est pas aussi simple à définir, pour celui qui manque de confiance en lui-même, à qui on fait croire à tort qu’il existe des remèdes qui vont le « guérir » de ce prétendu défaut! Ceux qui affirment avoir confiance en eux en font un concept comme une intelligence suprême dont ils auraient hérité à leur naissance!

Pour moi, la confiance en soi ne se commande pas, il n’y a pas d’injonctions à recevoir ni à donner! La confiance en soi est simplement dans la liberté d’être comme on est!

JE SUIS …

Lorsqu’on vit sans cesse avec des caractères emportés, dominants qui envahissent l’espace des autres et extériorisent, chaque petit détail infime de leur vie, pour ne pas avoir à se prendre en charge seul et à être responsable d’eux-mêmes de manière autonome. Forcément la comparaison s’installe face à des caractères plus discrets et plus pondérés qui s’efforcent toujours de comprendre les autres, de réfléchir par eux-mêmes et de chercher des solutions aux problèmes pour ne pas inquiéter inutilement. Cela ne signifie nullement manquer de confiance en soi mais respecter autrui sans être intrusif ni négatif!

Chacun est libre de choisir sa manière d’interagir avec autrui, sans être restreint par des modèles convenus qui vous ôtent jusqu’à votre liberté d’être et votre individualité. Nous sommes tous Un et cela signifie avant tout l’unité dans l’acceptation de chaque différence plurielle !

La société se veut très conventionnelle et a édicté depuis la nuit des temps, des principes devenus désuets, à mon sens, qui régissent encore aujourd’hui l’être humain dans ses relations alors que tout change à chaque époque et que tout est impermanence et éphémère ! Pourquoi croire qu’ on doit se comporter selon des convictions sédimentées, pour ne pas être considéré comme faible ou comme inintéressant alors que l’être humain a appris de l’Histoire que sa liberté n’avait pas de prix! C’est parce qu’on lui a volé cette liberté dans le passé à travers la servitude et l’esclavage en reniant sa singularité qu’aujourd’hui cette identité d’être libre d’être soi est l’élan créateur de sa vie!

Nous avons tous deux ailes pour nous envoler au-dessus des différences et pour former ensemble un paysage humain harmonieux.

Maryse de Mes Mots de Vie

C’est comme s’il y avait des règles à suivre, des codes à appliquer, impérativement pour être sans cesse en mode uniformisé et robotisé, pour se dire sûr de soi et pour être validé par les autres! Ces autres et leur vide sidéral de toute sensibilité humaine! Ce n’est pas de la confiance en soi ! c’est s’ériger au-dessus des autres en piétinant l’essence même des autres par leurs maladresses conscientes ou inconscientes ! « S’extravertir » n’est pas avoir confiance en soi !

Doit-on soigner le manque de confiance en soi de celui qui se sent mal avec les autres parce qu’ils lui font se sentir mal par leur arrogance et leur manque d’attention ? Ou doit-on au contraire soigner l’excès d’égocentrisme dont font preuve ceux qui ne savent pas être à l’écoute des autres par une attitude plus bienveillante, persuadés d’avoir compris l’autre sans même l’approcher! Ces excès de faux jugements ne sont pas des preuves de la confiance en soi!

Quand on a confiance en soi, on n’a pas besoin de brimer les autres pour asseoir sa domination!

D’ailleurs de manière ironique ceux qui se permettent d’exiger des autres de changer leur caractère car ils les considèrent trop invisibles et trop réservés, manquent de discernement, car s’ils apprenaient à se remettre en question sur leurs propres comportements excessifs, ils comprendraient pourquoi les autres se sentent mal à l’aise en leur présence !

Il est assez fréquent de constater que les personnes qui manquent soi-disant de confiance en elles, sont épanouies en présence de ceux qui savent les comprendre et les écouter!

C’est donc de ces croyances limitantes que découle ce mal à être de certaines personnes qui pensent manquer de confiance en soi, parce qu’elles n’ont pas envie de devenir extravagante ou exubérante pour soit-disant exister aux yeux des autres.

Avoir confiance en soi, c’est rester soi en toute circonstance!

Maryse de Mes Mots de Vie

Lorsqu’on suit tout simplement le mouvement qui nous anime et qui remplit notre cœur et nourrit notre âme, on sait que l’on a confiance en soi! En étant connecté à chaque seconde dans ce plaisir indicible d’être vivant, on a de plus en plus confiance en soi et notre créativité se déploie pour nous faire être à travers l’empreinte unique de notre Présence à la vie!

Pour Mes Mots de Vie, gardez les rênes de sa vie, c’est un signe d’une grande confiance en soi …

Maryse de Mes Mots de Vie

Pour conclure, je vous offre un extrait de mon livre La Créativité est l’Or de la vie , sur le thème de la confiance en soi à travers la créativité.

L’Or de la créativité, c’est ce joyau qui brille à l’intérieur de chaque être humain et qui rayonne au-delà de lui-même pour ensemencer les autres de son doux plaisir d’être. Le regard des autres n‘est plus vécu comme un jugement mais comme une invitation à  être la meilleure version de soi. Plus besoin de paraître, juste se laisser être. Et c’est ainsi que jaillissent alors des impulsions pour créer et agrandir ce nouvel espace dont on aura besoin pour se déployer, on ne vit plus de manière limitée, fermé  en soi-même mais on ouvre des perspectives plus amples pour faire grandir sa force de croissance, le nouvel axe de son épanouissement.

C’est dans l’exemple de celui qui fait grandir son expressivité que se reflète aussi celle des autres. C’est  un terreau fertile pour autrui, une invitation à cultiver son jardin intérieur pour donner envie à tous ceux qui le désirent d’aller vers le même accomplissement.

La créativité est l’Or de la vie de Maryse Ligdamis

Ne vous sous-estimez plus pour vous conformer aux modèles des autres, devenez la version originale de vous-même, sans vouloir plaire aux exigences des autres. La confiance en soi réside dans votre talent personnel à devenir qui vous êtes vraiment!

Pour une confiance en soi renouvelée

Maryse de Mes Mots de Vie

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Expresso ou vivre intensément !

Espress yourself

Il est important de bien définir chaque manière de consommer son café. Certains le préfèrent en extraction douce et lente, d’autres adorent sa rapidité de préparation.

Que prendrez-vous aujourd’hui ? Un espresso ou expresso qui vient de l’extraction d’un café finement moulu avec de l’eau plus pressurisée qui le traverse en moins de 30 secondes. Cette pression de 8 à 9 bars sur la mouture résume les principes mêmes de l’espresso à travers une boisson concentrée, crémeuse et liquoreuse où le barista doit jouer avec les équilibres pour obtenir un expresso parfaitement dosé. Sa crema est épaisse et contrastée.

Ce choix de l’espresso est riche en symbolisme, il peut correspondre à une humeur pressée, comme si on n’avait pas envie de prendre le temps de « perdre » son temps, puisqu’on est sous pression de mille activités à accomplir.

Certes, votre expresso boostera votre énergie et stimulera votre productivité , mais sommes-nous des machines ? Accélérer sans cesse votre rapport au temps, sans savourer l’instant présent témoigne d’un rythme trop accéléré, où vous perdez inconsciemment le goût véritable de la vie.

Ou alors, allez-vous vraiment prendre votre expresso, en le dégustant tranquillement, comme un temps de pause qui correspond peut-être à votre impatience de voir arriver dans votre tasse, ce café simple et court, puissant et réconfortant, tellement rapidement , que cela vous rend fébrile et décuple votre curiosité, pour découvrir  sa complexité aromatique et apprécier ses notes selon vos envies, boisées, acidulées, fruitées, florales, … ?

Que mettez-vous dans votre expérience gustative ?

Tout dépend du rapport que vous entretenez à la vie, s’agit-il pour vous de « boire un café neutre et sans caractère », pris dans la routine de votre quotidien chronométré et de manière machinale parce qu’il est facile à préparer? Ou alors choisissez-vous d’apprécier cet instant comme un plaisir à chaque fois renouvelé où se mêle l’émerveillement de vos papilles en éveil et la joie inexplicable de savourer cette danse du café dans votre tasse, comme un épisode de votre vie où vous apprenez à prendre le temps d’être connecté à ce que vous faites, en présence et en conscience tout en réalisant que seul un barista confirmé maîtrise cette technique.

Ces simples petits détails révèlent votre propre manière de considérer votre vie.

Vous arrêtez-vous souvent en pleine activité, pour contempler le ciel qui se donne spectacle avec des yeux ébahis ?

Savez-vous écouter le mélodieux chant des oiseaux pour apaiser votre mental trop agité?

Prendre un expresso n’est donc pas juste boire un café, c’est s’accorder le plaisir de se donner du plaisir, dans l’immédiateté, juste en vous délectant de ce breuvage sacré qui à chaque gorgée vous remplit du sentiment d’exister pleinement.

Ainsi, un expresso devient un moyen d’accéder à une expérience inédite et savoureuse en un temps record, tout en jouissant à travers les secondes dilatées aux arômes de caféine de ses origines complexes qui transforment ce simple geste en un moment intense de satisfaction.

Prenez conscience que votre choix de parfumer votre existence des effluves intenses du café chaque jour, correspond sans doute à un trait de votre caractère : êtes-vous aussi aussi corsé que ces petits grains torréfiés? Êtes-vous aussi pressé que cet expresso qui se déverse dans votre tasse? Avez-vous un caractère aussi dominant que le profil aromatique de votre café préféré?

Êtes-vous sous pression vous aussi, c’est-à-dire avez-vous besoin comme l’expresso, de cette force externe qui contraint le contact entre l’eau et le café?

« Plus la pression est forte, plus votre café est puissant et amer? Moins elle l’est, plus votre expresso est acide et peu concentré. » Savez-vous doser votre vie en vous imposant un savoureux équilibre entre acidité et amertume?

En effet comme pour le café, l’acidité de la vie accentue l’effet dévastateur de nos émotions qui peuvent nous emporter parfois très loin de nous-même. Cette sensation de « piquant » de ce qui nous est donné de vivre comme problématique nous fait éprouver la même sensation que si l’on mordait dans un citron. Tout cela nous laisse un goût « amer » qui demeure en « arrière-plan » de tout ce que l’on fait.

Est-ce ce goût café que vous recherchez dans la vie, cette sensation à la fois d’amertume et de nostalgie? Ou ce goût intense de puissance qui est difficile à masquer.

Les similitudes entre le café et la vie sont riches en significations à comprendre ! Il est intéressant de prendre le temps de savourer le secret de la puissance de ce breuvage aux mille mystères!

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Le café : un art de vie…
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La bienveillance n’est pas un leurre : c’est l’équilibre des relations humaines!

Depuis le début du XXIème siècle, le mot « bienveillance » est entré dans le hit-parade des mots à la mode dans les discours, en matière d’éducation ou de bien-être au travail et au sein des relations humaines.

Tout le monde emploie ce mot comme un fourre-tout pour se dire soi-disant à l’écoute des autres.

Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment être à l’écoute des autres pour faire preuve de bienveillance ?

Être bienveillant ne se résume pas à une simple définition, où l’on se prétend gentil, attentionné et indulgent envers autrui, pour se donner bonne conscience. Cela concerne toute l’attitude qui accompagne l’idée même de bienveillance. Il convient d’insister sur la deuxième partie de la signification de ce mot, qui est souvent omise et qui pourtant est la plus importante : la bienveillance, c’est se montrer compréhensif d’une manière désintéressée, c’est-à-dire, accepter l’autre sans condition.

La neutralité dans les liens sociaux peinent à exister. Par conséquent, être bienveillant est une compétence humaine à acquérir par une absence totale de jugement, pour accueillir l’autre dans sa singularité, sans exiger de lui un quelconque conformisme ou une soumission à des règles édictées par les autres.

Au sein de la société, nous comprenons très vite que le mot « bienveillance » dans la bouche de certains, a du mal à nous convaincre.

Revenons sur la vraie notion de bienveillance qu’on se doit d’avoir à l’égard des autres. La bienveillance est une manière d’être qui n’admet qu’une seule loi : le respect de l’autre !

Bienveillance et respect sont les deux faces d’une même pièce qui représente l’équilibre dans des relations aux autres aussi bien dans le milieu familial que professionnel.

Comment se dire « bienveillant » si on est incapable de maîtriser des émotions telles que la colère ou l’emportement, sans penser aux conséquences de ses actes ?

Comment peut-on se dire « bienveillant » avec les uns quand on est « médisant » et « maltraitant » envers les autres ?

Comment peut-on même parler de bienveillance quand la seule manière d’agir est la manipulation, le mensonge et la domination pour « écraser » les autres !

La bienveillance nécessite des valeurs morales qui n’admettent pas la fausseté, le manque de sincérité et la trahison.

Ainsi, le concept de la bienveillance que tout le monde utilise pour se justifier d’être une meilleure personne que les autres, reflète avant tout, une forme d’hypocrisie qu’on aurait avec soi-même , ce n’est qu’un piège pour duper ceux qui ne savent pas faire preuve de discernement !

Personne ne peut se prétendre meilleure que les autres, il n’y a pas de concurrence mais l’obligation de rester  Humain. Il n’y a pas de prix, ni de récompenses à recevoir parce qu’on a coché une case sur son tableau de bonnes actions, comme si on accrochait un trophée ! C’est avec soi-même que l’acte de compassion prend de la valeur.

La bienveillance demande avant toute chose qu’on pense avec son cœur et ce, dans toute  situation ! C’est une inclination du cœur qui n’a qu’une seule et même intention « se mettre à la place de l’autre » pour comprendre la problématique qui vient le confronter, sans l’interpréter à travers un filtre déformant de la réalité.

Le contraire de la bienveillance se lit chaque jour dans les comportements humains : ce plaisir que certains éprouvent à médire, à voir chez l’autre uniquement ses défauts, à voir le mal en toute chose, à manquer d’empathie, c’est-à-dire de considération suffisante pour l’autre, en refusant de le comprendre dans sa détresse,  sans voir qu’un tel comportement qu’on assume est une atteinte profonde à la prétendue bienveillance qu’on affiche !

La bienveillance apaise les conflits en montrant la pureté d’âme !

La bienveillance n’est pas un vain mot. C’est un élan de l’esprit, pour apporter à l’autre une lueur d’espoir. C’est une grande qualité relationnelle envers soi, envers les autres, envers le Monde ! Lorsque l’autre se sent écouté et compris, on peut se dire qu’on a été bienveillant à son égard parce qu’on l’accepte inconditionnellement.

La bienveillance est un engagement à rester dans la justesse de la relation sans aucun déséquilibre de part et d’autre. Lorsqu’on sait se montrer bienveillant, l’autre se sent existé dans la relation, il se sent considéré car il ressent la disponibilité qu’on a pour lui, dans ce lien que l’on nourrit par l’accueil de l’autre dans sa globalité et dans sa liberté d’être!

La bienveillance requiert de l’implication dans la relation à l’autre. On  reçoit autrui dans son intériorité pour être attentif au message qu’il véhicule. Quand on est bienveillant, il nous arrive sans cesse d’être touché par les autres, c’est-à-dire de nous laisser émouvoir par l’histoire de l’autre qui vient résonner en nous pour nous rappeler notre humanité partagée et que nous sommes tous Un !

La personne bienveillante vit les événements en conscience et en présence !

Lorsque gronde la colère, comment être bienveillant envers celui qui vous agresse par son manque d’écoute et de compréhension ?

Cela demande énormément d’efforts et de lâcher prise, il s’agit de ne pas se laisser emporter par l’autre dans ses agissements qui vous perturbent. La phrase qui résonne dans votre for intérieur, c’est « j’en ai assez de toujours subir le manque de respect des autres ! ».

Le sentiment de frustration qui accompagne souvent le manque de bienveillance des autres à notre égard est l’une des premières raisons du mal-être dans les relations humaines toxiques ! On constate que les autres sont absents d’eux-mêmes, c’est-à-dire de leur intériorité ! Comment peuvent-ils parler de bienveillance, quand ils vivent à distance d’eux-mêmes. Ils se complaisent toujours dans l’apparence extérieure jamais dans la consistance intérieure !

La bienveillance nous structure et nous apporte un profond sentiment d’être et d’exister  en parfaite harmonie avec tout ce qui nous entoure pour nous sentir comme universel ! Plus on ressent ses relations ,  moins on les subit !

On redevient comme un souffle d’amour que l’on répand autour de soi, dans des intentions positives de relations stables et sereines. Rien ne peut nous diviser ou nous séparer des autres, puisque nous formons un Tout unique et tellement identique.

Quand on est bienveillant, on attire d’ailleurs à soi des personnes qui nous invitent à co-créer la vie avec eux.

Vivre avec les autres, ce n’est pas subir les autres ! Le concept du « Ensemble, on est plus forts » ne fonctionne que si un parfait équilibre existe au sein des relations qui ne doivent être ni contraintes ni forcées ! Comment peut-on être plus fort avec les autres, quand ceux-ci renient le sens même de notre individualité ?

Nous ressemblons aux autres uniquement par nos qualités du cœur pas par un statut, une origine ou un caractère.La différence est le fer de lance de la bienveillance. C’est parce que nous sommes différents que l’on est bienveillants car on sait s’adapter.  On perçoit l’autre comme une continuité  de nous-mêmes ce qui nous démontre notre appartenance à une même histoire de vie !

La bienveillance est un art de vie qui réside dans une capacité d’Écoute optimale ! Cela signifie que nous ne faisons pas que prêter l’oreille à l’autre, mais toute notre attention, on  ouvre un temps d’existence pour les autres, dans notre espace personnel ! C’est une capacité cognitive qui n’appartient qu’à l’être humain.

N’est-ce pas la meilleure façon de vivre avec les autres en acceptant cette rencontre entre différents univers, une manière de prendre conscience de l’existence de l’autre, de manière plus intuitive moins orientée. Cela permet d’éviter toute maladresse malencontreuse dans les relations humaines qui peuvent aller jusqu’à la fâcherie!

Lorsqu’on est bienveillant, on honore la vie et on lui rend grâce à chaque instant !

Quand on sait être bienveillant, on déambule sur le fil des relations humaines, sans jamais perdre l’équilibre car on devient adroit dans l’art et la manière de respecter l’autre ! Faire preuve de tact dans ses relations n’est pas simple mais quand notre mouvement va vers l’autre depuis notre intériorité, on est plus humain !

La porte d’entrée vers plus de bienveillance est facile d’accès, lorsqu’on la laisse ouverte aux singularités qui caractérisent l’être humain. Nous sommes tous uniques et tellement semblables ! Visiter les nuances de chaque personnalité est une formidable aventure à vivre au cœur de la bienveillance !

Malgré des relations humaines fluctuantes, demeure un fond commun perceptif, à travers la vibration de l’énergie de la vie au cœur de nous-mêmes !

Pour des relations solides, stables et bienveillantes, plongeons davantage notre cœur dans notre nuancier intérieur et donnons à nos relations plus de lumière.

Comment rester calme quand on manque de bienveillance et de respect à votre égard ?

Il est difficile de ne pas être perturbé par le manque de bienveillance des autres ! Comment ne pas se laisser emporter dans leur tourbillon de toxicité ? Il convient de rester calme et observateur, conscient et présent.

  1. Ouvrez votre cœur, en restant dans une présence ancrée et alignée à vos propres valeurs.
  2. Accueillez chez l’autre sa part défaillante et en prise avec son égo et pacifiez votre propre colère en ne cherchant pas à refléter la négativité des autres.
  3. Faites preuve de bienveillance envers vous-même, écoutez la colère de l’autre, sans vous emporter et  sans le prendre pour vous personnellement. Dites-vous que la colère est souvent  un signe de souffrance inconscient chez celui qui ne sait pas la maîtriser. Faites rayonner l’énergie d’amour, de lumière et de compassion pour vous protéger.
  4. Respirez en conscience de manière ample et élevez-vous au-dessus de la situation. La vie vous envoie parfois des épreuves pour tester votre capacité à rester vous-même en restant libre, puissant et patient .
  5. Pour autant, être bienveillant ne signifie nullement rester passif.  L’action n’est pas une réaction émotionnelle. Faites confiance à la vie et laissez-la simplement agir dans le respect, l’amour et la bienveillance que vous vous devez à vous-même.

N’oubliez jamais vous n’êtes pas responsable des comportements des autres lorsqu’ils  ne savent pas se remettre en question, cela  leur appartient !

Retenez que la vie est souvent un mystère et que trop se poser de questions vous éloigne du moment présent. Pourquoi vivez-vous cette situation ? Inutile de  chercher à y répondre ?

Cultivez  votre paix intérieure. L’importance est de vous respecter quand les autres ne vous respectent pas et de laisser aller le libre cours de la vie sans vous opposer à elle !

La bienveillance est un acte d’amour qui élève votre fréquence vibratoire. N’hésitez pas à vous abreuver à la source de la bienveillance qui se trouve dans votre cœur  !

Que la vie soit  bienveillante et respectueuse envers vous.

Maryse de Mes Mots de Vie

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L’écriture est votre guide intérieur.

Le  pouvoir des mots est un bienfait immédiat! Avec Mes Mots de Vie , laissez venir à vous la magie des mots libérateurs.

Maryse de Mes Mots de vie

Pourquoi s’auto-accompagner par l’écriture est positif et bénéfique ?

Les mots connectés à votre intériorité est un élan qui vient réajuster votre regard sur votre rapport à la vie. On connaît le fait de savoir toucher l’autre avec ses mains pour diffuser une énergie réparatrice. Sur Mes Mots de Vie, pour moi, il s’agit du même processus, à la différence que ce sont avec mes mots que je touche le lecteur qui vient cueillir un texte parmi tant d’autres selon ses problématiques de vie du moment. C’est la même énergie qui est ainsi véhiculée pour aider à la reconstruction émotionnelle à travers un support différent et accessible à tous. 

L’idée est que cela puisse éveiller en chaque lecteur, le désir de poser ses propres mots à la suite des miens. Comme une stimulation pour lui permettre de se confier à travers ses propres mots pour retrouver son équilibre, à travers soit la simple lecture d’un de mes textes comme déclencheur ou l’écriture de ses propres pensées, de ses états d’âme, tout ce que cela peut lui inspirer pour ressentir le pouvoir des mots sensibles, animés et évocateurs pour créer sa philosophie personnelle de vie.

L’intention de Mes Mots de Vie, au travers de mes articles, c’est une « torréfaction » de vos émotions, jusqu’à une extraction douce et puissante de ce nectar parfumé de l’arôme de votre singularité si précieuse pour le laisser enfin s’écouler dans la tasse de votre vie qui se remplit chaque jour de votre inspiration, comme un précieux breuvage magique qui vous aidera à aller de l’avant et à booster votre motivation comme votre café intérieur!

Maryse de Mes Mots de Vie

Grâce la connexion à vos sens, ancré dans l’instant présent, et recentré sur votre seule intention de vous libérer en laissant les mots dévoiler ce que vous n’osez pas dire, vous pouvez faire naître sur la page des textes guidés par votre inspiration du moment  sur des thèmes variés en lien avec votre épanouissement personnel et le bien-être que l’on recherche tous, dans cette société où le rythme accéléré nous confronte à des problématiques qui nous impactent émotionnellement et  nous met en détresse face à cette incapacité à exprimer avec des mots justes et précis nos pensées. Grâce à ces mots déposés sur la page, on peut enfin se libérer pour découvrir le sens profond de nos expériences vécues.

Sur Mes Mots de Vie : mettre des mots sur nos maux permet d’activer des prises de consciences et des passages à l’action dans votre vie.

Comprendre que les mots peuvent se mettre en mouvement à travers une écriture expressive et intuitive pour vous  guider dans votre chemin de vie, dans une intention de clarifier avec des mots précis ce qui vous est donné à vivre. C’est une écriture animée.  Vous ne réfléchissez plus avec le mental, vous laissez la place à  une douce énergie régulatrice qui vient de l’intérieur  pour remplir vos mots d’une puissance vitale et apaisante à la fois.

Lorsque vous apprenez à utiliser cette force de réparation, vous apprenez de manière magique à aller vers des solutions disponibles en vous. Vous écoutez votre parole intérieure dans le silence de vos pensées. Vous vous prenez alors en main à travers votre auto-accompagnement.

Ce n’est pas une démarche passive, au contraire plus on la pratique plus on devient autonome dans la gestion de notre vie sans devoir se soumettre à la volonté des autres. C’est avant tout une écriture qui porte à réfléchir avec le regard tourné vers l’intérieur pour des remises en question sur nos stratégies de vie  suivies d’un changement nécessaire dans sa manière d’être et dans sa relation à soi, aux autres et au monde.

Écrire vous place au centre de vos décisions, de vos choix, c’est comme s’accorder à chaque fois avec soi-même, comme on le fait pour un instrument de musique pour évoluer dans sa vie avec moins de fausses notes, à travers le déploiement de votre capacité perceptive pour vivre dans la globalité de votre être : esprit et corps liés et inséparables.

Savoir décrire avec des mots ce que vous ressentez, consiste à apprendre à mettre des mots sur vos ressentis pour mieux comprendre les effets que cela vous procure et en déduire ce qui vous bloque dans vos désirs d’épanouissement.

Plume, plume, plume

Dessine des ronds argentés au-dessus de mes forteresses intérieures.

Plume d’étoiles glisse dans le vent et attrape au soleil couchant mes rêves éparpillés

Plume du soir, laisse mes idées dormir au creux de mon âme et inspirer mes matins sereins

Plume d’énergie déverse dans ma vie des mots lumière, des mots prières, des mots en fleurs.

Plume plume plume

Entoure mes alentours de ses plus beaux atours et révèle à l’amour mes jours nés , mes aimants d’idées, pour encoder les mots dorés de leur envol majestueux vers les âmes destinées.

Plume de poésie décore la vie, embellit le gris et couronne les esprits de ton flux de magie

Plume du cœur caresse la page de frissons d’encre et devient l’ancre de ma destinée.

Pour l’amour des mots

Maryse de Mes Mots de vie

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Mon troisième livre La créativité est l’or de la vie est toujours disponible pour créer une vie qui vous ressemble.

Je vous offre un extrait à savourer avec délectation. <3

Partez à la conquête de vos talents cachés !

Chapitre 2 : Des tableaux vivants ou l’expression du talent humain

Avant d’aller à la rencontre de vous-même, et si on observait un peu les autres? Tous ces autres qui s’autorisent à vivre de vrais moments de pause de créativité dans leur journée, cela vous aidera à mieux comprendre le sens que je donne au mot « créativité » à travers différents tableaux vivants qui illustrent sa signification plurielle teintée de cette belle motivation qui sous-tend toute passion à travers sa puissance d‘agir .

Installé au bord d’un lac tranquille, un pêcheur taquine les poissons en faisant danser sa ligne. Son hameçon ramène de temps à autre, le fruit de ses longues heures de patience. Silencieux, il suit le mouvement de l’eau qui le captive. Son attention est fixée sur ce temps qu’il a choisi de passer à s’adonner à son loisir préféré. Il a l’impression de vivre l’instant présent différemment, son rythme est celui de la nature et c’est ainsi qu’il préfère la vie, connecté à l’énergie créatrice.

Un peu plus loin ailleurs, des mains passionnées remuent avec ardeur la terre encore humide des gouttes de rosée qui perlent, à la pointe de l’aube. Elles sèment des graines dans cet immense champ où cet horticulteur a pris la décision de faire fleurir son existence à travers un métier de passion, un métier qui fait sourire son âme amoureuse de la Nature. Il s’est engagé à une agriculture biologique et saine. Il est en communion avec cet amour du Vivant.

Tout là-haut, perché sur le toit du monde, un artiste-peintre revisite les paysages qui se reflètent dans son regard éperdu, c’est avec un sourire ému qu’il plonge son pinceau dans la palette de couleurs que lui offre ce panorama divin pour voir évoluer son expressivité qui trace sur sa toile les contours de son inspiration : son tableau de vie.

Quelque part, sur une piste d’entraînement, des pieds foulent à toute vitesse le sol qui se déroule, tel un tapis, dans cette course effrénée. L’athlète de haut niveau a le regard projeté vers la ligne d’arrivée. C’est à la sueur de sa persévérance qu’il va remporter son trophée, la récompense de sa Foi en lui-même. Ses larmes de joie témoignent de son plaisir à se dépasser.

Dans son cabinet, des mains expertes et délicates touchent avec douceur et avec chaleur le corps des patients prisonniers de leurs problématiques. Animée de son envie de les libérer pour aller mieux, la thérapeute réussit à réveiller leur sensorialité, grâce à sa grandeur d’âme et  à sa générosité d’esprit, elle met du coeur à l‘ouvrage, motivée par sa volonté de partager son talent personnel dans une belle réciprocité : sa passion du Sensible. Plus qu’un métier, elle devient la magicienne de leur vie, le temps d’un instant, rempli de grâce pour tous ceux qui se sentent ainsi réconfortés!

Au loin, l’écho d’une belle voix résonne dans le doux silence de la nuit, des écouteurs sur les oreilles, la jeune chanteuse en herbe caresse de son timbre mélodieux un air de musique à la mode. Elle ne connaît pas de plus grand plaisir que celui de vibrer au rythme de la chanson qui l’égaye, c’est à travers sa performance qu’elle a l’impression  d’exister pleinement et de surmonter tous ses tourments. Elle défie le monde, elle active son présent, elle ose exister à travers les chansons.

Sous le ciel intense et majestueux de Paris, un jeune étudiant s’enrichit de mille expériences qui lui apprennent à donner vie à ses rêves qui l’ont mené très loin de chez lui. C’est à la force de sa passion qu’il construit l’édifice de son avenir, c’est en puisant dans cette source qui le nourrit qu’il trouve chaque jour l’envie de poursuivre ses aspirations. Pas à pas, il gravit les marches vers ce qu’il a choisi, ancré dans la passion qui l’anime. Il ouvre sa voie vers son épanouissement.

A l’abri des regards dans la chaleur de sa cuisine, un homme cultive le goût de mettre en scène des fruits, des légumes, des épices…, pour les transformer en des mets savoureux et colorés, le temps de la préparation d’un repas alléchant qui réjouira les papilles. Il crée dans l’instant magique de son inspiration, une recette inédite. Il cueillera ensuite son plaisir, dans la joie de voir ses convives, se délecter du charme de ses plats authentiques et délicieux. Il ne cuisine pas, il fait de l‘art avec son âme et avec son cœur.

Apaisée, face à la vie, inlassablement cette femme plonge dans son intériorité pour faire éclore sur la page ce qui lui permet de renaître à elle-même. Comme dans un laboratoire, elle dissèque ses émotions et ses sensations chaque jour, pour mieux comprendre l’histoire de l’être humain en observant et en  analysant les manières d’être. Elle veut être l’artisan de sa vie, celle qui réécrit sa partition, à l’infini. Elle veut offrir au monde ses expériences universelles, la voie de son propre déploiement. Elle recoud ses blessures à l’encre de ses mots.

On pourrait feuilleter encore inlassablement cet album où défilent tous ces talents insoupçonnés, de véritables éclats de vie où chacun a choisi de s’approprier le temps qui passe en laissant parler son expressivité à sa manière artistique, musicale, gastronomique, sportive, professionnelle, culturelle, artisanale, sensible….

Tous sont des témoins de cette force qui anime l’expressivité dans ses réalisations diverses et variées: le kaléidoscope du monde et du potentiel humain! C’est à la puissance de notre créativité que l’on devient maître de sa vie!

Pour poursuivre votre lecture, n’hésitez pas à commander un exemplaire du livre La créativité est l’or de la vie soit par mail, soit sur les sites de vente en ligne… Merci pour votre intérêt, bonne lecture ! Maryse Ligdamis : ligdamismaryse@gmail.com

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https://www.bod.fr/librairie/la-creativite-est-lor-de-la-vie-maryse-ligdamis-9782322397204

Leslibraires.fr

https://www.leslibraires.fr/livre/20145325-la-creativite-est-l-or-de-la-vie-a-la-conquete–maryse-ligdamis-books-on-demand

Place des libraires

https://www.placedeslibraires.fr/listeliv.php?form_recherche_avancee=ok&auteurs=Maryse%20Ligdamis

FNAC

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Slam pour la vie

Il pleut des parapluies colorés sous le ciel bleu de mes idées
Le monde a envie de ne plus pleurer , il veut juste se protéger
Pour mieux respirer, il veut se cacher, pour ne plus être harcelé
Face à tous ceux qui l’empêchent de rêver, il en a assez d’étouffer
Privé de ce qui pourrait l’élever, il ne veut plus s’enfermer
Il veut juste se réinventer, devenir plus léger et s’envoler

Il pleut des parapluies colorés sous le ciel bleu de mes idées
Le monde a envie de crier, il n’en peut plus d’écouter
Les rumeurs sourdes, les bruits de pensées
De ceux qui ne savent plus comment faire pour exister
Il fuit les insensés, les égarés, il redoute les effets
De leurs actes inconsidérés au nom de la liberté

Il pleut des parapluies colorés sous le ciel bleu de mes idées
Le monde a envie de danser pour chasser la morosité
Juste un peu de gaieté pour ne plus s’emprisonner dans des cages dorées
Juste être éveillés et ne plus se laisser contrôler, par ce flux de toxicité
Il a besoin de souffler un vent de couleurs pour tout renouveler
Et continuer à aimer pour créer et s’amuser

Alors toi, oui toi qui veux voir la vie en grand
Toi qui as envie d’être présent
Alors toi, oui toi qui veux devenir grand
Toi qui as envie de rester vivant
Ouvre ton cœur au monde
Lance-toi dans une ronde
Et aide-le… A se retrouver…
Oui aide-le, à reprendre ses forces pour se redresser
Deviens sa vérité pour réapprendre à aimer

« Parce que nous ne pouvons pas rester indifférents à cette perte de sens autour de nous, unissons-nous pour changer cette manière de penser et pour insuffler plus d’espoirs aux cœurs déprimés »

Maryse de Mes mots de vie

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L’écriture de soi est un puissant sas de décompression

Un sas de décompression, c’est un espace de recueillement et de détente permettant de se recentrer sur soi pour moins se perdre dans sa vie.

Maryse de Mes Mots de Vie

Écrire est une manière de se prendre en charge pour aller mieux face aux perturbations du Monde.

Chaque jour, nous entendons autour de nous résonner l’écho du mal-être. Dans une société, où le sens de l’humain se perd, il est important de garder un rapport positif à sa propre vie, sans se laisser empêtrer dans le marasme ambiant des plaintes, des cris et des gémissements dus aux nombreuses frustrations,  de ceux qui ne prennent jamais le temps de se poser avec soi-même, pour nouer un dialogue réparateur en toute quiétude et qui préfèrent au contraire faire rejaillir sur les autres, ce qui ne va pas dans l’unique but de  se soulager sans effort.

Les paroles semblent venir plus facilement pour dire ses colères, ou ses tristesses. Elles se déversent dans un flot continu presque violent sans filet, sans retenue, ni même respect pour ceux qui n’ont peut-être pas envie de devoir écouter sans cesse les toxicités débitées à longueur de journée par les mêmes personnes, à travers  leur manière trop fermée de regarder la vie uniquement avec des exigences et du pessimisme , ce qui demande à être réajusté.

 Au final dire ce que l’on pense  abruptement, n’aide pas se réparer ou à apprivoiser ce qui nous impacte dans notre quête de tranquillité, c’est un peu comme brasser encore plus ce vent tempétueux du chaos environnant,  comme un rapport de force et de résistance  avec ce que l’on veut voir changer. Mais que fait-on pour vraiment changer les choses qui nous perturbent,  pose- t-on concrètement des actes clairs dans cette intention de voir évoluer la vie, vers quelque chose de plus doux et de plus agréable?

Avoir sans arrêt des phrases assassines ou des mots durs et blessants pour parler de la vie, ce n’est pas vraiment s’exprimer, ce n’est pas vraiment aimer la vie non plus. ! C’est comme s’opposer sans cesse à son flux naturel!

Voir toujours ce qui ne va  pas dans ce que l’on vit,  c’est comme une distorsion psychique inconsciente, c’est une manière de montrer peut-être sa détresse au travers de cette incapacité à prendre soin de soi-même,  pour ne pas se laisser déstabiliser par les virages à flanc de la falaise où nous entraîne incessamment les détours chaotiques de la vie.

 Apprendre à faire plus attention à ce que l’on laisse entrer en soi est un véritable apprentissage nécessaire. L’expression de soi à travers  ce brouillard, montre une nécessité de s’accompagner pour ne plus être aussi  perméable à la négativité  même si cela s’avère extrêmement difficile. Quand on sait qu’on n’a pas du tout envie d’écouter les turpitudes des autres qui peinent à gérer leurs émotions, on apprend aussi à y mettre des limites spontanément, pour ne pas devenir une éponge émotionnelle.

Lorsque les autres laissent circuler sans cesse des reproches ou des pseudo-vérités, en pensant détenir le pouvoir de la communication et des relations humaines pour soumettre ou pour dominer,  ils ne font qu’envahir l’espace sans tenir compte de la liberté de chacun de penser comme il  le souhaite.  

« Parlons peu mais parlons bien » c’est un proverbe qu’on a du mal de plus en plus à appliquer. Pour  avoir une bonne relation à l’autre, il est indispensable  d’admettre qu’un filtre est nécessaire dans la manière de vivre nos émotions en lien avec la vie qui nous perturbe.   Cela mérite bien qu’on prenne le temps de mieux comprendre les raisons de ce qui nous tourmente.
L’écriture un excellent sas de décompression,  pour avoir ensuite une parole plus pertinente et pondérée.

Écouter c’est observer pour mieux comprendre

Tout d’abord écouter l’autre  de manière active, c’est se mettre dans une posture de neutralité active pour avoir un discernement plus juste et savoir saisir entre les mots, les silences ou les respirations, qui montrent jusqu’à quel point le message inconscient de l’autre peut nous faire du mal lorsqu’il circule jusqu’à nous. Ainsi, on n’est plus une simple oreille passive qui prend de plein fouet  les confidences, on devient plus enclin à répondre à ce que l’on entend,  par des mots empathiques et bienveillants qui réajustent immédiatement la parole de l’autre pour le renvoyer à ce qui est à travailler en lui, pour ne pas sombrer dans sa négativité et lui faire prendre conscience au contraire de la nécessité de peser davantage le poids de ses paroles de manière plus constructive et moins incohérente.  


Être dans cette écoute active permet de  ne pas se laisser aspirer par les errances psychiques  de l’autre.

Maryse de Mes mots de vie

Lorsqu’on tend l’oreille pour écouter ce qui se dit dans les groupes, les cercles ou les rassemblements, on se rend compte que les conversations sont toutes orientées vers le négatif de la vie, vers les mauvaises nouvelles, vers ce qui nous  irrite et qu’on ne comprend pas. On parle plus souvent des sujets déprimants  que de sujets heureux! Comme une nécessité de vider son sac pour ne pas se sentir seul dans sa souffrance morale. On a attend de l’autre qu’il nous écoute pleinement et qu’il nous comprenne forcément.  Cela n’est pas si simple !

Ne pas se sentir écouté et compris durcit nos relations aux autres comme s’ils ne voulaient pas nous soutenir. Pour autant, ce n’est pas souvent le cas, l’autre peut nous écouter d’une oreille sans intérêt réel ou ne pas partager nos opinions trop arrêtées !

Il faut aussi se dire que l’autre n’a peut-être pas les outils pour nous accompagner dans nos incertitudes et nos crises existentielles !

Écrire permet de relâcher la tension interne qui nous pousse à tout voir négativement.

Écrire maintient un état d’équilibre et de sérénité.
Écrire ouvre notre conscience dans notre Présence à l’instant.
Écrire est une voie pour guérir de soi pour panser ses blessures.
Écrire, c’est ouvrir un espace pour mettre fin à ce qui entrave notre liberté d’être.

Écrire pour devenir son avenir sans laisser le découragement flétrir nos rêves.
Écrire pour donner envie à nos désirs d’être.
Écrire est comme une voie de bien-être insoupçonné.
Écrire est une « réénergétisation » naturelle de notre  élan vital
Écrire est un accompagnement de nos projets pour trouver notre motivation intérieure.

Écrire pour ne jamais laisser nos inspirations s’éteindre.
Écrire c’est oser poser autant de mots pour mettre fin à nos maux qui laissent une brume épaisse de points d’interrogation sur nos paysages intérieurs.
Écrire c’est dissiper les nuages en points de suspension qui se déposent au-dessus de nos questionnements.
Écrire c’est un élixir sacré dans lequel on puise une goutte  de notre essence infinie

Le pouvoir de l’écriture n’a aucune limite, c’est une part de nous qui s’invite pour nous dire, pour nous raconter, pour nous défier, pour nous confronter.

Maryse de Mes Mots de Vie

Écrire, c’est cette concertation avec soi qu’on fait sans peur de jugement ni de manquer d’écoute ou de compréhension.
Écrire c’est mettre un filet sur nos émotions pour ne pas perdre pied.
Écrire c’est un merveilleux tourbillon d’amour de soi qui nous dépose au sein de notre berceau intérieur, là où l’on peut à tout moment renaître plus fort !
Écrire nous fait toucher à l’infinie perfection de notre être dans ses vertus de réparation et de bienfaits inédits.

Comment s’y prendre pour écrire dans cette intention créatrice?

Se poser chaque jour dans une écriture profonde et introspective permet de faire une mise à jour de nos sensations, de nos sentiments, de nos émotions pour des prises de conscience nombreuses, suivies d’actions plus concrètes qui nous mènent vers des décisions pour notre bien-être.

Si vous comprenez au cours de la journée que vous avez du mal à interagir avec les autres à cause de votre hypersensibilité, de votre manque de compassion ou de votre manque de disponibilité,… Vous mettez des mots sur vos limites, sur vos freins et également sur des solutions qui s’offrent à vous et qui sont toujours en vous.  Vous pouvez les activer par une attention que vous allez porter davantage sur cette intention de développer des relations plus saines et sereines avec les autres, à travers une écoute plus structurée de ce que vous ne voulez plus laisser vous atteindre !

L’autre porte dans ses mots souvent ses maux, à nous de savoir faire preuve d’une écoute bienveillante sans entrer dans sa négativité. En apprenant à le renvoyer à ses propres remises en question nécessaires, on lui permet de ne pas s’égarer entre ses fausses certitudes et ses évidences incertaines !

Écrire devient alors un acte d’engagement envers soi-même pour son épanouissement personnel.

Écrire demande de savoir s’accorder suffisamment de temps pour se regarder dans le miroir de son âme.

Parfois on ne veut pas écrire car on a peur de ce que l’on pourrait découvrir de soi, ce n’est pas évident mais extrêmement réparateur car ça permet d’extraire ce que l’on ne réussit pas à faire sortir à voix haute !

On pense que parler est plus réconfortant mais c’est faux car parfois nos paroles sont limitées ou biaisées par l’idée que l’on se fait de l’écoute des autres.

L’écoute des autres ne remplacera jamais le fait de savoir s’écouter soi-même !

L’écriture est un confident de choix pour se sentir compris et écouté, on se sent comme dans un refuge neutre qui nous libère d’un poids de ce qui est trop personnel et intime pour le confier aux autres!

L’écriture enfin permet aussi de mettre à distance ce qui nous pèse sans se sentir jugé ! Cette mise à distance décuple l’effet de libération qui l’accompagne.

L’écriture est et sera pour toujours notre guide intérieur ! N’hésitez à vous lancer dans cette belle aventure  ! Bien évidemment, pour des problématiques plus graves et plus chroniques, un accompagnement médical est absolument indispensable!

Maryse de Mes Mots de vie

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L’art de la manipulation

Quand manipuler devient un mode de fonctionnement !

Comment se protéger de la manipulation ?

La manipulation se définit par une mise en œuvre délibérée qui a pour but de contrôler ou d’influencer la pensée, les choix, les actions d’une personne, par un rapport de pouvoir ou d’influence.

Qui sont les manipulateurs ou les manipulatrices ? L’emprise exercée par une personne sur les autres dans le but de contrôler leurs actions ou leurs sentiments est souvent une manœuvre trompeuse voire perverse pour exercer un pouvoir de domination sur autrui  à des fins personnelles. Les manipulateurs sont donc à chaque coin de rue, au boulot, parmi les proches, sur les réseaux, sur les écrans, dans les commerces, dans les publicités. Ils nous attendent insidieusement pour s’amuser à ce petit jeu du chat et de la souris avec les autres. Cette manipulation peut avoir des visées positives  mais la plupart du temps les manipulateurs sont malveillants intentionnellement et ne cherchent qu’à nuire !

Les stratégies habituelles du manipulateur ou de la manipulatrice :

-Sait repérer les failles de l’autre et appuyer là où ça fait mal pour abuser de la « faiblesse» de cette personne selon la situation de vie qu’elle traverse en exploitant  ses émotions négatives pour mieux la dominer.  La victime se croyant en confiance finit par se laisser manipuler et confond cette attitude serviable du manipulateur avec de l’empathie ou de la générosité. Le manipulateur utilise en fait ce côté « sympathique » pour aborder les relations humaines mais il se révèle très vite sournois, médisant et dangereux par ses mensonges  et ses déformations de la vérité afin de piéger les autres et d’avoir toujours le beau rôle. Et s’attirer ainsi leurs bonnes grâces !

-Aime faire culpabiliser les autres au nom de l’amitié, de l’amour, de la conscience professionnelle, du lien familial ! Cela lui permet de contrôler la vie des autres en tenant les rênes !

-Passe son temps à semer la zizanie en créant le doute et la méfiance par ses suspicions. Le manipulateur provoque des situations mais quand il se rend compte qu’on va le démasquer, il se débine et fait porter la responsabilité à quelqu’un d’autre pour s’en dédouaner : c’est diviser pour mieux régner!

-Adore se placer en victime pour être plaint et pour fuir devant la vérité qui le traque et finit toujours par éclater au grand jour.

-Préfère éviter ou s’échapper de toute tentative de discussion, de mise à plat, d’apaisement pour ne pas avoir à assumer ses actes, et n’aime pas quand tout va bien !

-Ment sans limite et toujours avec un aplomb incroyable. Le manipulateur est capable de se contredire quelques minutes après avoir affirmé quelque chose et se met à hésiter et à bafouiller et devient fuyant !

-Prêche toujours le faux pour savoir le vrai et espionne sans honte les faits et les gestes de tout le monde car déteste ne pas être au courant de ce qui se passe, c’est presque maladif chez lui ! Il aime alimenter les ragots !

-Fait preuve souvent de jalousie car comme il est mal dans sa peau et surtout dans sa tête, il refuse d’accepter le bonheur des autres et ne fait confiance à personne !

-Ne respecte jamais  la liberté des autres et leur libre-arbitre.Tout le monde doit être à sa botte, sinon il se dit « rejeté » et se fait passer pour la victime!

-Aime flatter pour plaire en rendant des services et en faisant des cadeaux intéressés pour se donner de l’importance et rester incontournable en « achetant » quelque part ses relations car les autres deviennent ainsi redevables! Qui n’aime pas recevoir des présents ou des attentions? On appellera donc ça des cadeaux « empoisonnés » !

-Met sans scrupule des bâtons dans les roues des autres pour se faire bien voir en ne pensant qu’à lui, même si cela nuit inévitablement aux autres.Il ne voit les situations qu’à partir de son angle de vue et ne se remet jamais en question.

-A un double visage. Le visage avenant qu’il affiche par pur calcul pour être populaire et le visage démoniaque qu’il va réserver pour sa victime. D’ailleurs , il va l’isoler des autres pour mieux la tourmenter et la fera passer pour horrible auprès de ceux qui se feront facilement tromper et manipuler à leurs dépens sans se douter de ce côté machiavélique et de la vérité !

Méfiez-vous des manipulateurs, ils ont plus d’un tour dans leur sac et pourraient facilement devenir acteur tant ils savent jouer leur rôle! C’est du grand art, ne vous faites pas avoir !

Comment repérer les signes d’un manipulateur pour les déjouer?

Le manipulateur égocentrique fait tourner le monde autour de ses intérêts personnels sans se soucier des conséquences ni du malaise ni de la souffrance que cela peut générer ! Il n’a jamais de regret car il n’est aucunement humble ! Son orgueil est démesuré, il aime rabaisser les autres!

Le manipulateur est malveillant, il a toujours de mauvaises intentions, il veut détruire autrui ! Il n’aime pas la réussite des autres et s’en prend facilement à ses victimes pour leur nuire !

Le manipulateur ne reconnaît jamais ses torts. Il propage en continu les rumeurs et ne fait que répéter ce qu’il a soi-disant entendu alors que la plupart du temps, il est lui-même à l’origine de la critique ! Il s’indigne et s’offusque lorsqu’on tente de le démasquer. Il n’assume jamais ni ses paroles ni ses actes et tourne tout à son avantage.

Le manipulateur est tenace, il ne veut jamais s’arrêter, il recommence à chaque fois avec d’innocentes proies sur lesquelles il jette son dévolu comme pour assouvir sa soif de médisance et de manipulation ! Pour lui, « la vengeance est un plat qui se mange froid ». S’il n’accepte pas quelqu’un depuis le début, il finira inévitablement par s’opposer à lui directement ou indirectement tôt ou tard ! S’il a une dent contre quelqu’un, il agira à ses dépens pour le faire plier!

Il diffuse son énergie toxique autour de lui et épuise ceux qui sont à son contact car eux ont besoin de vérité et d’honnêteté. La lumière aveugle le manipulateur, il préfère les ténèbres où il règne en maître! Il entretient donc la négativité !

Même si tout le monde peut devenir un manipulateur potentiel selon son métier ou sa vie, lorsque cela devient  un mode de fonctionnement, c’est inexcusable ! Si on s’entête à vouloir influencer ou à imposer quelque chose à l’autre de façon indirecte et négative, on entre dans une forme de communication perverse et  sournoise qui n’a plus rien à voir avec de la manipulation positive ! Cela devient tellement pernicieux que l’autre finit par souffrir, c’est le cas de la manipulation perverse narcissique !

Comment faire face à la manipulation pour ne plus souffrir ?

Pour réussir à se libérer de cette emprise, il est indispensable d’avoir une prise de conscience douloureuse . Cela peut représenter des années de confiance ou un lien nourri par l’amour. Inévitablement on peut se sentir coupable d’avoir laissé l’autre nous soumettre ! Mais en prendre conscience c’est salvateur. On peut ensuite selon l’intensité du mal provoquée envisager soit la mise à distance inéluctable soit la fuite si cela devient violent et dangereux et s’en remettre à des professionnels !

En accordant à chaque fois une nouvelle chance à la personne manipulatrice, on ne se sortira jamais d’affaire, car « chasser le naturel, il revient au galop ». Comme cela représente un comportement maladif , ça se répète malheureusement et contre la victime ! Il faut comprendre d’emblée l’intention malveillante du manipulateur pour la déjouer soit en lui posant la question directement. « Que veux-tu de moi quand tu me fais souffrir ? Qu’est-ce que cela te procure ? Qu’est-ce que cela t’apporte au final ?» . Lorsqu’on sait lire en une personne comme dans un livre ouvert , on apprend à ne plus se laisser duper! On développe une acuité perceptive telle que l’on peut se protéger de tels agissements et ses stratégies nous sautent à la vue immédiatement!

La manipulation mentale cause beaucoup de souffrances et des drames, il ne faut pas prendre ce trouble psychique à la légère, de tels comportements sont inacceptables et condamnables. Il faut  conseiller aux personnes qui se comportent ainsi de se faire accompagner par un professionnel pour qu’elles retrouvent une attitude plus digne de l’humain qu’elles sont censées incarner ! Il faut qu’elle mette fin au double jeu, à la séduction nocive, à la victimisation, au chantage affectif. Cela ne peut qu’être nocif!

Si vous vous sentez mal à l’aise en présence de quelqu’un, si une relation vous fait plus de mal que de bien, il faut vous affirmer et montrer que vous n’êtes pas dupe et limiter les relations au maximum sans vous mettre en danger. Si c’est le cas, il faut en  parler à votre entourage, au plus grand nombre de personnes possibles pour déjouer les ruses du manipulateur ou même confronter cette personne si c’est possible sans risque ! Plus vous faites preuve de confiance en vous, moins les manipulateurs pourront vous atteindre !

Ces personnes malveillantes ne méritent pas votre présence ni votre attention! Ne vous laissez plus duper par leur duplicité, démasquez-les au grand jour et si cela vous est possible restez loin d’eux ! Vous méritez d’être heureux ! Et si l’amour ne parvient pas à les rendre meilleurs, ne cherchez surtout pas à les changer ! Cela leur appartient, c’est le rapport à leur vie qu’ils ont choisi ! C’est sans doute au fond d’eux que se trouve la réponse à leurs agissements de toujours, dans leurs profondes souffrances qu’ils ne peuvent affronter seuls et qu’ils font rejaillir sur les autres . Sans nulle doute, il s’agit d’une blessure liée à leur enfance même inconsciente qui les empêche de s’aimer suffisamment et les pousse à nuire aux autres.

Retenons donc que les manipulateurs sont présents tout autour de nous, si nous voulons mieux comprendre les relations humaines, il nous faut apprendre à déjouer leurs petites amusettes et à ne plus être leur cible. Ils doivent réaliser qu’ils font énormément de mal et ils détruisent tout sur leur passage et même eux-mêmes!

La vérité, l’honnêteté et le respect sont les plus belles valeurs de la vie alors si vous aimez l’être humain, apprenez à le respecter et ainsi vous vous respecterez aussi ! Pour des relations saines et sereines!

Maryse de Mes Mots de vie

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La médisance fait souffrir : dites stop aux ragots!

Lorsque la médisance s’exerce  contre vous, qu’est-ce que cela signifie ?

Pensez-vous être à ce point une mauvaise personne pour expliquer les critiques dont vous êtes la cible ?

Avez-vous l’impression de mal vous comporter au point d’attirer sur vous les foudres du monde entier ?

N’est-ce pas plutôt parce que vous prônez avant toute chose la franchise et la sincérité ?

N’est-ce pas parce que vous détestez les mensonges et l’hypocrisie et que vous préférez confronter ceux qui dénigrent sans savoir ?

Peut-être avez-vous l’habitude de mettre les personnes face à leur propre responsabilité ?

Et peut-être même que vous avez l’habitude de dire ce que vous pensez sans crainte d’être rejeté ?

Vous faites donc partie de ces personnes qui attirent à elle les critiques car vous n’agissez pas comme les autres et que comme pour vous l’honnêteté et la loyauté sont les valeurs indispensables des vraies relations humaines saines et sereines, vous les privilégiez aux fausses relations superficielles et intéressées !

Pourquoi la médisance fait-elle autant souffrir ?

La médisance est un fléau de la pire espèce ! Insidieusement, elle se glisse dans les conversations les plus banales pour diffuser son venin sournoisement et diviser les uns et les autres dans un climat délétère! Chacun se sent offensé et se met à son tour à critiquer et commence alors une chaîne interminable !

Qui a dit quoi ? A qui ? Pourquoi ? Non ce n’est pas moi, c’est lui ! Et pourquoi ? Et Comment ? Est-ce que tu sais que … ? Chacun y va de sa propre interprétation en donnant sa version des faits et se met à répéter ce qu’il a entendu ! On s’éloigne petit à petit de la vérité et les ragots se déchainent comme une tempête qui souffle, qui ébranle, qui déracine jusqu’à tout détruire sur son passage !

Et commence la surenchère en théories fumeuses de toutes sortes où chacun affute son arme préférée : sa langue et ses petits potins ! Ceux qui sèment la discorde, récoltent inévitablement des orages qui ne cessent de gronder ! Parler aux autres devient comme « risqué » ! Sans devenir parano, même parler de la pluie et du beau temps paraît  « dangereux » !

On constate qu’il règne souvent au sein des milieux professionnels, familiaux ou amicaux  et surtout sur les réseaux sociaux comme un vent de rumeur constant qui alimente sans cesse les échanges et symbolise un reflet du mal-être de la société!

Juste écouter l’humeur de quelqu’un qui se confie à vous devient suspicieux tant la tendance est à la méfiance ! On ne connaît jamais les intentions des autres ! Et un simple petit mot peut être retourné contre vous et devenir l’objet de sombres médisances !  Même quand on se met à converser de banalités, cela peut déraper très vite vers  des échanges de critiques à l’égard des uns ou des autres. Plutôt que de tirer au clair une situation qui paraît confuse, chacun se contente de faire des commentaires douteux ou de donner sa propre analyse malveillante de ce qu’il pense être la vérité et cela crée indéniablement des flots de critiques dont certains raffolent.

Tout est déformé à la seconde ! Info ou intox, il faut apprendre à démêler le vrai du faux et quand cela se passe au sein des relations humaines, on ne sait plus qui ment ou qui dit la vérité ! Tout devient compliqué comme un écheveau de fils emmêlés, on doit tenter de retrouver la bonne information. Mais qui va le faire vraiment !

Tous se contentent de ce qu’ils ont entendu même si cela est répété par les mêmes personnes médisantes ! La délation devient une arme stratégique pour régler ses comptes et pour alimenter les ragots ! On dénonce pour cacher ses propres mensonges et ses propres failles ! On adore voir l’autre en difficulté et on se venge comme on peut !

Tout cela est affligeant, comment penser qu’un être humain se comporte d’une manière aussi abjecte en s’abreuvant de la calomnie et en se nourrissant de la haine et cela sans scrupule ? La critique cause énormément de dégâts et même collatéraux ! On peut perdre ses amis, sa famille, son travail voire sa santé à cause de la calomnie ! Il faut en être conscient ! Celui qui critique a toujours une mauvaise intention et a un esprit très destructeur. Il est donc important de s’en protéger !

Comment faire face à la critique malsaine ?

Jeter l’opprobre sur l’autre, c’est vouloir l’affaiblir parce qu’il dérange! A chaque fois qu’un individu cherche à  critiquer quelqu’un d’autre, cela signifie que sa manière d’être  ne lui plaît pas, que sa  part de mystère l’intrigue, que son côté trop personnel l’irrite, que sa réussite l’agace ! Ceux qui  jalousent vont tout faire pour atteindre par le feu de leurs critiques celui qui est dans leur collimateur et cela de manière insidieuse dans son dos !

Pourquoi se sentir  en danger  face à quelqu’un au point de se comporter de la pire des façons ? Pourquoi chercher à  le discréditer aux yeux des autres ? Quel intérêt a-t-on à se comporter ainsi ? Est-ce un rival, un adversaire redoutable ?

N’est-ce pas plutôt une manière de faire rejaillir sur les autres ses propres problématiques de vie ? Peut-être même est-ce de la jalousie, de la rancune, de la méchanceté ! Tout cela démontre qu’il n’y a aucun intérêt à médire si ce n’est à vouloir  nuire à l’autre ! Exercer la critique sans arrêt  est donc un défaut terrible!

Pour s’en protéger, il est nécessaire de cultiver la neutralité dans sa manière de penser en ne répliquant jamais aux critiques formulées.

Lorsqu’on sait rester stable dans ses propres opinions et qu’on les assume, on ne se laisse pas entraîner dans cette ambiance où règne la médisance. On partage son avis mais on fait attention à qui on a à faire ! On ne donne pas forcément sa confiance mais on reste toujours bienveillant sans jugement hâtif.

On apprend à repérer ceux qui ont des intérêts personnels à « diviser pour mieux régner ». On n’hésite pas à remonter à la source de la critique. On met en difficulté ceux qui médisent en se donnant pour mission la recherche constante de la vérité ! On reste dans ses valeurs de dignité et de respect humain !

 Qui aime critiquer ?

Le profil de ces personnes qui critiquent à tout va, est facile à reconnaître. Ce sont le plus souvent des individus qui se sentent mal dans leur propre vie et qui ont des pensées négatives qui tournent en boucle dans leur tête au point de les assombrir dans leur rapport aux autres, au monde et à eux-mêmes. Ils se méfient de tout le monde ! Et comme ils ont l’habitude de critiquer à tout va, ils s’imaginent qu’on est tous  comme eux ! Plutôt que de réfléchir à comment s’améliorer, ils observent les autres et les envient ! Bien sûr, vous comprendrez que lorsqu’on a  un discernement juste, on arrête de croire que « l’herbe est toujours plus verte chez les autres » et on apprend à se satisfaire de sa vie et à regarder l’autre avec plus de bienveillance et sans le juger!

Lorsqu’on sait accepter l’autre comme il est, pour lui accorder la place qu’il mérite, cela signifie qu’on ne se sent pas en danger par sa personnalité et qu’on le laisse totalement libre de ses opinions et de ses choix ! Il ne s’agit plus de chercher à le soumettre ou à le dominer ou même à l’utiliser comme une marionnette désarticulée qu’on juge faible et incapable de se défendre ! Et alors on n’a  plus aucune raison de le discréditer !

Lorsque quelqu’un critique, c’est qu’il a l’habitude de le faire et on découvre  que ce n’est pas quelqu’un de fiable ! Certains prêchent le faux pour  faire réagir ! Il faut déjouer les ruses diaboliques de ce type de personne ! Par eux, la rumeur enfle sans cesse et  se répand à la vitesse de l’éclair ! Ils peuvent nuire à la réputation de quelqu’un par pure méchanceté !

Il est très facile de reconnaître celui ou celle qui vous critique !

Il suffit de regarder l’autre dans les yeux quand il vous parle : le regard fuyant est un signe de sa difficulté à vous faire face car il a du mal à cacher sa fausseté ! Sa tendance à ne pas vous écouter,  c’est une manière de vous dévaloriser et de nier votre liberté de penser ! Critiquer c’est vouloir affaiblir l’autre car on ne peut  l’atteindre autrement !

Avez-vous remarqué que certaines personnes se manifestent à vous uniquement quand vous avez des problèmes ? On a le drôle d’impression qu’ils se réjouissent en secret du malheur et profitent de la situation pour se mettre en avant ! Ce n’est pas de la compassion mais de la manipulation malsaine avec une manière de dire  « Je suis indispensable ! » Mais  ils se mettent à vous critiquer dès que vous avez le dos tourné ! Cela montre  les relations toxiques qu’ils entretiennent avec les autres et de tels comportements ne peuvent qu’engendrer le mal-être et des conflits !

Sortez votre bouclier anti-ragots !

Faites fuir les médisants, les « rageux », les haineux, les « ragoteurs » ! Lorsque la critique s’exerce sur vous, il vous faut faire front et rester fort et digne malgré les tentatives de vos détracteurs de vous déstabiliser.

Apprenez à accueillir les critiques comme une force et non comme une faiblesse ! C’est vrai que ce n’est pas facile ! Surtout, si  on dresse toute une meute contre vous ! Mais il faut apprendre à faire face à l’adversité en restant fidèle à vous-même ! Quelque soit ce qu’on pourrait dire sur vous, ce n’est pas la vérité,  vous le savez ! C’est donc  à vous de continuer à cultiver votre liberté d’être ! Si cela déplaît, n’en tenez pas compte ! Cela est destiné à vous mettre des bâtons dans les roues ! Ne changez pas ! Apprenez plutôt à rebondir toujours en étant plus fier de qui vous êtes vraiment ! Gardez votre signature authentique !

Ne cherchez pas à confronter celui qui vous critique, c’est ce qu’il attend sournoisement, cela ne fera que lui donner de l’importance comme s’il avait raison ! Contentez-vous de l’ignorer, cela l’agacera car comme il veut vous dévaloriser, il ne faut surtout pas entrer dans son petit jeu ! C’est là le plus difficile ! Celui qui critique cherche le plus souvent à régler des comptes, à en découdre ! Ne tombez pas dans son piège !

Prenez de la hauteur pour observer la situation sous un autre angle de vue, la posture de surplomb vous permettra de ne pas vous laisser atteindre et vous évitera de vous rabaisser en descendant dans le caniveau de la médisance!

Certaines critiques sont constructives mais quand il s’agit de reproches sans discussion possible, cela ne mène à rien si ce n’est à faire du mal !

Faites le choix de votre liberté de penser et ne laissez personne vous faire plier face à la critique ! Fuyez ceux qui diffusent sans cesse les rumeurs des autres et préservez  votre tranquillité d’esprit. Ceux qui sont complices de ces ragots , deviennent eux-mêmes responsables de cette chaîne de la calomnie ! Œuvrez  au contraire pour  le respect et pour l’harmonie dans les relations humaines.

Il est  important de ne pas vous laisser emporter par le vent de la haine et de la zizanie. Faites au contraire rayonner sans cesse plus d’énergie positive ! C’est l’amour qui construit et la lumière qui édifie, sortez donc des ténèbres de la haine et ouvrez-vous à la vie !

Mettez fin aux critiques faciles et repoussez avec force tous ceux qui veulent vous entraîner dans ces sentiers épineux et sans issue !

Vivre c’est laisser l’autre libre ! Alors si vous vous donnez comme vrai sens à votre vie de lutter contre les vagues de médisance, vous ressentirez de plus en plus les effets de la chaleur humaine renouvelée autour de vous !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Atelier d’écriture Mes Mots de Vie : Écrire pour dire ses émotions

Bonjour, je vous propose dans cet article de vous initier à l’écriture expressive et libératrice pour apprendre à réparer ce qui intérieurement vous fait souffrir à travers vos blessures d’âme souvent inconscientes mais qui résonnent pourtant dans vos interactions au quotidien, car inutile d’essayer de le cacher, vous êtes votre histoire de vie ! C’est ce qui transparaît inévitablement dans vos comportements, dans vos gestes et même dans vos actes !

Il est important de vous réconcilier avec l’écriture qui est une mise en mots nécessaire et un excellent moyen d’apprendre à gérer vos émotions : « ce qui ne se dit pas s’imprime » et quand on ne peut pas l’exprimer verbalement, passer par l’écriture permet de mettre à distance ce qui vient vous confronter et vous démoraliser.

Vivre avec un état d’esprit pessimiste, est le signe même d’un rééquilibrage indispensable. En effet, ce qui vous impacte révèle ce qui est à traiter, à réparer avant que cela ne devienne une pathologie ou une maladie. Quand vous avez du mal à dire ce qui vous fait souffrir, vous perdez le sens même de votre existence. Votre regard sur votre vie est fermé, vous ne voyez plus que vos problématiques et vos joies sonnent faux et sont teintées de peines. Votre envie de bonheur semble utopique, et vous vous enfermez dans le côté sombre de la vie à travers des influences qui viennent vous attirer inexorablement comme un mauvais aimant de ce qui est négatif et enfoui en vous.

Lorsque vous subissez votre vie, nous n’êtes plus l’acteur principal, le co-créateur de votre destinée. Vous décidez de suivre les autres sans réfléchir comme une solution facile pour vous échapper de vous-même, pour ne pas avoir à vous remettre en question ou à changer votre perception de votre vie. Cela ne dure qu’un temps, et vous retombez très vite dans votre déprime, tout vous semble difficile ou sans issue! Vous vous répétez que tout le monde souffre et que tout finit mal en général et par conséquent, il n’y a rien à faire juste à supporter. Sombrer dans une telle fatalité de manière passive et résignée vous enterre dans vos tourments.

Se réveiller de ce chaos intérieur, c’est retrouver votre vrai Moi, celui qui ne baisse jamais les bras, celui qui sait renaître de chaque problématique, toujours plus fort et plus motivé, pour rester vivant à chaque seconde, intensément et activement.

Comment arriver à ce résultat d’être pleinement en vie et pleinement soi grâce à l’auto-accompagnement de vos difficultés par l’écriture réparatrice?

Ce passage à l’action peut vous aider à sortir de l’inertie que crée l’immobilisme dans lequel vous vous réfugiez quand vous allez mal, comme si tous vos sens étaient endormis et que votre vision de la vie était réduite.

Mettre des mots sur vos maux, c’est devenir « le guérisseur » de votre âme!

Je vous rappelle qu’il ne s’agit ici que d’évoquer des problématiques récurrentes de la vie, en ce qui concerne les situations graves, les maladies ou les traumatismes profonds, je vous conseille de consulter impérativement un professionnel de la santé pour un suivi médical plus approprié!

Pour commencer cet atelier d’initiation à l’écriture de soi, installez-vous confortablement pour vous recentrer sur vous-même . Choisissez le lieu ou l’espace où vous vous vous sentez bien : au bord de l’eau, sur la plage, dans la forêt, dans un café tranquille, sur un banc, dans la rue, dans un train, …

Vous pouvez choisir d’écrire, sur une feuille, dans un petit carnet, dans un joli cahier, sur votre ordinateur, sur votre tablette ou sur votre smartphone…., Ce n’est pas le plus important, ce temps d’écriture n’est pas un exercice scolaire, c’est une réappropriation des mots qui vont se mettre au service de l’expression de votre être profond. Vous allez rédiger des phrases pour explorer ce que vous pensez ou ce que vous ressentez au sujet d’une situation donnée sans vous fixer de barrières inutiles. Nul besoin de respecter une qualité linguistique ou syntaxique : la priorité de cet instant béni porte sur l’expression de soi!

Prenez avant toute chose, le temps de vous déposer complètement en vous relâchant dans la globalité de tout votre corps, pour accueillir ce moment précieux d’écriture de soi, en commençant par un ancrage grâce à une respiration ample et fluide. Pour cela, vous allez inspirer la joie de prendre du temps pour vous et expirez pour rejeter tout ce qui vous agite. Faites cela trois fois: inspirez 1,2,3,4,5 et expirez 1,2,3,4,5,6. Puis, remerciez-vous pour cette parenthèse magique que vous allez vous accorder pour redevenir ainsi le centre de vos préoccupations!

Je vous invite à commencer par poser sur la page, quelques mots pour vous définir en énumérant vos qualités morales, c’est-à-dire, ce qui est le plus important pour vous. Vous pouvez puiser dans la liste ci-contre au moins dix valeurs qui prédominent dans votre vie comme des repères forts : L’amour, la tolérance, le courage, le respect, l’honneur, la justice, la liberté, la bienveillance, la confiance, la dignité, la douceur, la fidélité, la discipline, l’engagement, la politesse, la sincérité, l’écoute, le sens des responsabilités, l’autonomie, la patience, la persévérance,le sens de l’effort, l’humilité, l’humour, l’ambition, l’enthousiasme, la curiosité, la gratitude, la loyauté, l’audace, la simplicité, la compassion, la bonté, la gentillesse, la générosité, la paix, la solidarité….

« Ce qui est important, pour moi …. (écrire votre prénom) , c’est …. » ( 10 valeurs)

Puis associez ces valeurs qui vous représentent comme s’il s’agissait de votre blason intérieur, à des défauts moraux que vous rejetez par dessus tout, c’est-à-dire, ce qui vous repousse dans le caractère des autres et ce qui vous fait vous sentir mal ? Hautain, méprisant, froid, menteur, pervers narcissique, manipulateur, dominateur, odieux, intransigeant, indifférent, insensible, calculateur, mesquin, médisant, plaintif, caractériel, colérique, prétentieux, orgueilleux, discriminant à l’égard des autres, fermé d’esprit, égoïste, égocentrique, intolérant, envahissant, sournois, traître, cynique, moqueur, paresseux…

« Ce que moi …( écrire votre prénom), je rejette comme défauts moraux ….( 10) »

Accueillez ce qui vous vient comme émotions , sans vous juger! Respirez pleinement!

Racontez en quelques lignes une histoire en lien avec votre enfance dans laquelle vous vous êtes senti mal et qui est resté gravé dans votre mémoire. Puis racontez en quelques lignes une histoire en lien avec votre enfance qui vous a marqué positivement et qui est resté un souvenir dont vous êtes fier.

Fermez les yeux, respirez profondément comme pour retrouver votre connexion à l’instant présent, puis soufflez plusieurs fois pour laisser le poids de ce que vous avez écrit à distance de vous-même, sur la page qui est seule à contenir maintenant vos émotions. Puis, ressentez les espaces intérieurs que vous avez l’impression d’avoir vidé, comme libéré de vos souffrances.

Observez ces écrits comme très loin de vous, comme une photographie de ce qui vous a tourmenté à l’intérieur de vous et qui maintenant s’éloigne de vous. Ayez comme intention de les effacer à présent, de les supprimer, pour libérer de la place pour inviter d’autres émotions plus agréables dans votre vie, comme s’il s’agissait de vieux objets dont on se débarrasse. Accueillez les bienfaits de ce nettoyage par les mots! Respirez profondément et souriez ….

Célébrez ensuite, la fin de cette étape d’écriture de soi, par un mouvement dynamique, une danse, une chanson, offrez-vous un bon repas, une glace à savourer, ou toute autre plaisir qui vous rend joyeux et fier de vous!

Renouvelez ce temps libérateur d’écriture de soi autant de fois que nécessaire!

Merci de votre intérêt. Croyez en vous et au pouvoir de l’écriture avec Mes Mots de Vie!

Sensiblement vôtre

Maryse de Mes Mots de Vie

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Lire un texte de Mes Mots de vie, c’est recevoir une énergie pour vous mettre en mouvement!

Parce que les Mots viennent de l’âme…

Maryse de Mes Mots de vie

Je partage avec vous sur mon site les bienfaits de l’écriture introspective. Pour goûter à ce pouvoir libérateur de mes mots, je vous invite à vous laisser porter par votre lecture.

Comment devez-vous procéder ?

  1. Tout d’abord, prenez le temps de fermer les yeux un court instant, pour laisser venir une respiration plus ample et plus profonde, qui relâchera toutes vos tensions et apaisera le flux de vos pensées, pour vous permettre de vous recentrer sur vous-même, le temps de votre lecture.
  2. Sélectionnez en cliquant sur « mes articles » puis sur « catégorie » la thématique qui vous intéresse dans l’instant présent. Votre choix ne se fera pas par hasard, soyez-en conscient !
  3. Choisissez grâce aux titres des différents textes, celui qui résonne le plus avec ce que vous avez envie de découvrir et d’explorer. Vous pouvez lire plusieurs textes sur le même thème.
  4. Laissez les mots lus vous envelopper de leur vibration sacrée. Repérez les passages qui font davantage écho avec ce que vous vivez ou ce que vous avez vécu.
  5. Quelles sensations corporelles ces mots qui défilent sous vous yeux vous procurent-ils? Une chaleur dans votre cœur? Ou au contraire un serrement comme une sensation de crispation? Un agacement : pourquoi ces mots vous énervent-ils ? Des larmes aux yeux : quel manque ces mots révèlent-t-ils? Une insensibilité : à quel point votre cœur et votre esprit sont -ils fermés?
  6. Nommez ainsi progressivement dans votre tête ce qui émerge et vous met face à vous-même de manière agréable ou désagréable. Qu’est-ce que mes mots vous apprennent de vous?
  7. Quelle prise de conscience avez-vous au fur et à mesure de votre lecture? N’hésitez pas à les noter pour y revenir plus tard.
  8. Maintenant que vous avez lu et reçu en vous la vibration de ce texte et son message, qu’avez-vous envie d’en faire pour passer à l’action dans votre vie et pour bouger vos émotions? Quel rapport à vous-même vous est ainsi révélé? Peut-être s’agit-il d’une nécessité de répondre à quelque chose qui vous appelle intérieurement? Peut-être est-ce une manière d’être ou de penser? Peut-être est-ce le moment de prendre soin de vous en devenant votre priorité? De quoi avez-vous besoin pour aller bien et pour être accordé à vous-même?
  9. Progressivement, grâce à l’intention que vous poserez au début de votre lecture par rapport à votre situation personnelle du moment, puis à l’attention que vous porterez sur l’effet de mes mots, pour observer ce qu’ils déclenchent en vous, vous verrez apparaître des éléments de réponse à vos propres problématiques. N’hésitez pas d’ailleurs, à lire le texte à haute voix, si vous le pouvez, car mes mots sont écrits pour délivrer un message puissant et inspirer ceux qui les lisent. Comme ils ont pour moi un pouvoir libérateur et réparateur, ils vont aussi venir vers vous pour éveiller votre conscience !
  10. Laissez la résonance se faire au plus profond de vous sans peur, pour oser enfin être vous-même et pour ressentir le pouvoir réparateur de mes mots de vie grâce à votre simple lecture en pleine présence !

    Terminez toujours en remerciant cette énergie universelle qui est venue jusqu’à vous le temps de votre lecture, grâce à mes mots sensibles et animés, pour déverser sur vous la puissance sacrée d’un champ libérateur . Remerciez-vous également pour ce moment de reconnexion à vous-même que vous avez pris le temps de vous accorder.

    Un mot, une nuance, une couleur, une intention, mes mots de vie portent en eux une fréquence vibratoire qui viendra jusqu’à vous, jamais par hasard. Si vous souhaitez accéder à des prises de conscience nécessaires pour votre évolutivité, n’hésitez pas à lire et relire les mots qui résonnent en vous, car ce que j’écris est toujours profondément inspiré et ressenti.

Recevez un texte de Mes Mots de vie, comme un cadeau précieux c’est une vraie parenthèse pour votre esprit souvent confronté à des charges mentales et émotionnelles. Libérez-vous par le plaisir de lire pour aller de l’avant dans votre vie.

Si cela vous intéresse, vous pouvez également associer à votre lecture, les bienfaits de l’écriture expressive pour donner vie à vos projets.

Découvrez les mots de Maryse, une énergie de vie qui fait de vous votre guide intérieur!

Sensiblement vôtre

Maryse de Mes Mots de vie

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Pourquoi faut-il apprendre à écrire sur soi?

L’expression de soi passe par l’écriture expressive et libératrice

L’importance d’apprendre à mettre des mots sur ses émotions.

Maryse de Mes Mots de Vie

Qu’est-ce que « l’écriture de soi » ?

 C’est écrire pour apprendre à mieux se connaître, au travers des mots connectés à son intériorité et pour se faire du bien grâce à un apaisement ressenti à la seule lecture de ce que l’on a pu laisser émerger, dans cette écriture intériorisée et non réfléchie,  pour se révéler à soi bien plus qu’aux autres. C’est un excellent moyen d’accompagnement personnel puisqu’il permet  une reconstruction émotionnelle nécessaire, pour un déploiement de sa créativité au service de ses idées et de ses projets.

Pourquoi a-t-on peur d’écrire ?

L’écriture, dans les souvenirs, s’associe indubitablement à un exercice de rédaction ou  de composition  littéraire,  avec des consignes complexes à respecter et des règles imposées, avec pour seul but la terrible sentence de la note qui viendra sanctionner parfois durement, des compétences non acquises, ce qui forcément est souvent mal vécu, et perdure même plus tard dans ce rapport à l’écriture. Par conséquent, quand on propose à quelqu’un d’écrire pour le plaisir, au début, on a du mal à être pris au sérieux, des blocages se révèlent, la peur des mots, de l’orthographe, de la syntaxe, du manque de vocabulaire, bref, avant même de commencer à écrire, se dressent une multitude de barrières cognitives et émotionnelles. Cette crainte de mal faire, résonne souvent comme une blessure de dévalorisation. Lorsqu’on demande à quelqu’un de lire ce qu’il a écrit devant un groupe par exemple, immédiatement, il retrouve ce sentiment de ne pas être à la hauteur car il se sent jugé dans ses écrits. C’est d’ailleurs à éviter même dans les ateliers d’écriture car le complexe de l’écriture peut en ruiner les bienfaits. Chacun écrit à sa façon, ce n’est jamais un concours, c’est une confession à soi-même , un moment d’intimité à respecter.

D’ailleurs, je ne valide pas forcément ces temps de lecture imposés dans les ateliers d’écriture, car si certains en ont besoin comme pour se convaincre d’avoir réussi à bien faire, d’autres aiment au contraire prendre un temps de maturation et d’intégration qu’ils se donnent, avant de se livrer. Rappelons-le, toute méthode de bien-être passe obligatoirement par le respect de chacun dans son individualité et dans sa singularité, il n’y a jamais de bon ou de mauvais élève, il n’y a pas d’échec, uniquement des réussites, le plus important réside dans l’intention de dépasser ses peurs.  L’écriture doit donc s’éloigner de cette appréhension de l’outil scolaire, pour parvenir à une réappropriation de ses lettres de noblesse, avec pour seule finalité l’expression de soi. Un mot, c’est avant tout une énergie libre et sans entrave, il permet de décrire la vie et ses émotions avec justesse et avec profondeur, on ne doit donc pas craindre d’écrire.

Il est essentiel de redonner ce pouvoir sacré à l’écriture, sans se référer à ces exigences scolaires, car l’écriture est un puissant tremplin vers l’expression de soi, c’est le seul outil de reconnaissance intérieure.

Chacun a sa manière d’écrire aussi bien dans la graphie que dans le style. Il n’est donc pas nécessaire d’enfermer l’écriture dans des cases interdites. Les mots sont libres et doivent demeurer avant tout un flux, un flow, un rythme, une cadence, une respiration, au bout du stylo ou du clavier pour donner vie à des textes animés de son mouvement intérieur.

Personnellement, j’ai toujours eu la passion des mots, depuis l’enfance, c’est ainsi d’ailleurs, que je suis devenue professeure de lettres. Parallèlement, j’ai également développé un goût marqué pour la pédagogie perceptive, méthode de Danis Bois pour aller vers l’épanouissement de soi et mieux se connaître. Il n’y a pas de hasard, mes mots ont trouvé là, une manière de s’enrichir doublement, d’une part, avec mes études littéraires, d’autre part de se nourrir grâce à la sensorialité et à l’acuité perceptive déployée, ces deux influences ont convergé dans ma vie vers ce pouvoir des mots réparateurs en lequel je crois très fortement : les mots sont viennent de l’âme, quand on apprend à écrire pour gérer ses émotions. Et on peut se mettre à écrire pour oser enfin s’affirmer.

L’énergie de l’écriture, lorsqu’elle suit un temps d’introspection, devient une balade délicieuse et audacieuse dans son jardin intérieur. Les mots émettent une vibration qui vient toucher l’être, puis le corps reçoit alors comme une fréquence sacrée, au moment de la lecture comme pour un accordage, un réajustement de soi à soi pour un équilibre retrouvé. Lorsqu’on capte cette vibration des mots, on sait que cela ne peut que nous amener à des prises de conscience nécessaires pour des passages à l’action.

Sur mon blog Mes Mots de Vie, mon expertise est d’écrire des textes avec cette résonance particulière, pour aller toucher le lecteur, au cœur de son histoire de vie, à la simple lecture, les effets se font ressentir et aussi pour lui proposer d’apprendre à appréhender ses émotions par le biais de l’écriture. La lecture de ces mots animés ne peut le laisser  indifférent. Cela l’éveille dans sa conscience et le confronte parfois à une remise en question, pour le faire changer de regard sur une situation et de rapport à la vie et de manière générale, cela lui fait du bien de voir écrit sur la page ce qu’il pense dans sa tête.

Ainsi, l’écriture devient un précieux allié et un fidèle confident pour nous apprendre à mettre des mots sur les maux. C’est comme un défi, malgré la souffrance intérieure, on parvient à descendre en soi, pour aller cueillir ce qui est donné à comprendre, pour se relever plus rapidement sans se décourager. L’écriture devient alors ce décodeur, qui lit et déchiffre ce qui n’est pas évident à accepter. C’est la main tendue vers soi pour se prendre en charge.

Le lâcher-prise dans l’écriture éveillée.


Suivre un protocole d’écriture pas à pas, pour se laisser guider, permet d’harmoniser son état d’esprit pour retrouver plus de stabilité émotionnelle, surtout quand on est de nature hypersensible. On apprend ainsi à écrire avec tout son être, dans sa globalité corporelle, avec le cœur comme unique moteur d’action. Ce dialogue en tête à tête avec soi est le moment d’une rencontre inédite où les révélations qui se donnent, permettent de retrouver rapidement la sérénité et la confiance pour se reconstruire émotionnellement. Comme on développe, d’ailleurs une photo en noir et blanc dans un bain révélateur pour stabiliser l’image, on plonge en soi pour renaître et pour se laisser apparaître sans pudeur. Être confronté à soi, dans l’exercice de l’écriture est un merveilleux challenge, pour créer sa vie à son image, pour composer la partition la plus juste sans fausse note, pour se connecter à sa mission d’âme et suivre sa destinée avec  des mots qui seraient comme des petites pierres blanches à suivre sur son chemin de vie, pour ne jamais s’égarer ou être déboussolé.

L’écriture de soi peut prendre des formes différentes, poèmes, chansons, autobiographie, mémoires, lettres…Le tout, c’est de se mettre au service de sa créativité pour libérer les mots. L’écriture de soi permet d’être compris quand on a du mal à exister pour trouver sa place et il y a de la place pour tout le monde dans l’écriture de soi.

Alors, n’hésitez pas à vous lancer avec Mes Mots de vie

Maryse de Mes Mots de Vie

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Écrire…

J’écris ce que je me laisse écrire

Pas de défi  juste des mots nourris

Une écriture sensible et visible

Une force invisible et indicible

Quand mes mots s’écrivent sans but

Ils errent un moment sans point de repère

Et  mes sens en alerte guettent

Un son, un parfum, un frétillement 

C’est l’éclosion d’un nid de possibles

D’une envie d’arrêter de penser

De laisser se dérouler le mouvement

L’or de la vérité intérieure

Un message, un signe, une manière de dire

La page n’a pas de frontière

Elle n’a pas de marge où s’arrête le temps

Les lettres n’ont pas de raison de cesser leur écho bouillonnant

Un peu de buée et s’élève une rangée d’idées en fusion

Une explosion et le texte naît sans netteté

Un flou organisé où se donne un sens inné

Tout se joue dans cet élan spontané

Aucun  contrôle, pas d’obligation

Le rythme vient jouer le maître de la conscience pure

Écrire n’a pas de raison, pas d’ordre à obéir

Écrire et se voir libre, se dire libre, être libre

Quand le texte apparaît…

L’être se répare,  et regarde au loin ses illusions s’envoler

Plus de rempart, rien à donner, juste s’effleurer

La plume n’a plus besoin d’encre

La vie devient son encrier

Une goutte d’eau et un océan se révèle

Une graine et tout un champ est semé

Une plume et une nuée d’oiseaux se mettent à virevolter

Sur l’écran du temps danse le vent

Un pas, une envolée et s’assemble une choré

Celle d’une valse qui se met à tourbillonner

Les mots s’accordent au tempo et s’animent

Encore un moment et le monde se donne et se confie

Écoute et goûte à la vraie saveur de la vie

Un petit goût d’autrement, un petit air insolent

Quelques mots émiettés

Quelques poussières d’étoiles

Le tout s’emmêle et se touche

L’unité fusionne et l’univers naît

Le silence rencontre le bruit

La lenteur devient la vitesse

Les cris se font  caresses

Les émotions se teintent de délicatesse

Écrire n’a pas besoin  de réflexion

Écrire c’est se laisser être autrement

Sans modèle

Sans façon

Libre au cœur du monde

Au cœur de son énergie

Au cœur de sa puissance

Sans limite, sans barrière

Sans fin, il n’y a que des commencements

Des débuts

Des changements

Des mises à jour

Des nouveaux départs

L’avenir  qui se dessine

Avec l’âme et ses rires

Avec le corps et ses pensées

Avec l’esprit et ses rêves

Chaque jour est une trêve pour recommencer

Chaque jour est une raison d’exister

Pour des mots libres d’être beaux...Merci<3

Maryse de Mes mots de vie

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Pourquoi le sentiment de jalousie ou d’envie apparaît-il dans les relations humaines?

Êtes-vous confronté à la jalousie ? Pourquoi le sentiment de jalousie ou d’envie apparaît-il dans les relations humaines ?

La jalousie est un vilain défaut ! Elle se définit comme un sentiment destructeur qui naît au détour d’une relation, qu’elle soit amoureuse, amicale, familiale ou professionnelle ! C’est un sentiment d’exclusivité et de possessivité qui contraint l’autre à être assimilé à un objet que l’on possède. C’est une émotion négative qui se déclare quand quelqu’un se sent menacé par un ou une rivale que ce soit un amoureux, un parent, un ami, un collègue…et qui déclenche dans l’esprit de la personne jalouse comme un sentiment d’insécurité et une instabilité à l’idée de perdre celui ou celle à qui on est attaché ou de perdre sa place aux yeux des autres !

Le jaloux ou la jalouse n’aura qu’une obsession nuire à la personne qui semble lui voler la vedette !

La jalousie peut créer également une dépendance affective qui enferme l’autre dans un amour emprisonnant qui l’empêche d’être libre. Le jaloux construit  comme une cage dorée dans laquelle, il ne  laisse aucune liberté d’être ni d’action à l’autre. La personne qui subit une telle jalousie ne peut que se sentir étouffée et accaparée. Si au début, cela ressemble à une zone de confort idéale, très vite la personne soumise à ce type de jalousie perd son libre arbitre et se retrouve sous la coupe de quelqu’un qui devient à la longue possessif.

La personne jalouse devient un être pervers et narcissique qui place ses intérêts personnels au centre de la relation. Le jaloux ne se remet jamais en question et  impose sa manière de vivre et de voir la vie ! Très rapidement, la relation devient difficile voire conflictuelle et toxique entraînant inévitablement beaucoup de souffrances ! A chaque fois que l’autre voudra être autonome, il recevra des flèches empoisonnées par cette jalousie ! Il finira par se soumettre définitivement par peur de cette réaction teintée de fiel !

La jalousie, c’est posséder jusqu’à l’âme de l’autre !

La personne jalouse a un besoin impérieux de contrôler autrui pour garder la main mise sur ses relations. L’accaparer pour la rendre redevable et exiger sa reconnaissance « éternelle ». Malheureusement, ce sentiment négatif sévit dans toutes les sphères relationnelles en amitié comme en amour et dans les relations familiales ! La tendance sera à culpabiliser celui qui ne se soumet pas !

La personne victime de jalousie aura un besoin de soutien constant et  de validation, comme si elle était incapable de se développer seule!  Il ne s’agit pas ici d’amour mais de possessivité presque maladive qui crée beaucoup de tensions et de conflits et l’incapacité de la personne jalouse à lâcher prise sur sa victime sans commettre des dommages irréparables ! Ce lien possessif est destructeur !

« Je ne veux pas te perdre donc je pollue ta vie pour te pousser à revenir sous mon contrôle, tu m’appartiens !!! »

C’est le message toxique qui hantera celui qui sera victime d’un tel acharnement ! C’est comme un sentiment d’amertume et de chagrin qui se retournerait  inconsciemment contre celui qui oserait défier la personne jalouse, il serait comme condamné à ne pas réussir  sa vie, et à être privé de son droit au bonheur et à la prospérité ! La personne jalouse préfère punir l’autre en le spoliant de ses biens que d’accepter qu’il échappe à ses griffes ! Le jaloux peut même devenir violent, rancunier et intolérant ! C’est une jalousie pathologique qui devra être accompagnée  par un professionnel de la santé !

Le message qui est ainsi véhiculé, c’est : « Je t’aime donc je te domine et tu dois l’accepter car tu m’aimes. C’est de ta faute si cela ne fonctionne pas, car  tu n’acceptes pas de te soumettre eu égard à ma suprématie sur toi ! »

Cela ressemble davantage au chantage affectif  qu’à une relation de confiance ! La personne jalouse veut se sentir unique et indispensable et fera tout pour rendre l’autre dépendant d’elle jusqu’à lui faire subir une domination frustrante et douloureuse. Au cas contraire, elle se déclarera victime de la relation pour discréditer l’autre, sans vouloir reconnaître sa part de responsabilité. Dès que la personne qui subit ces mauvais agissements essaiera de s’échapper de cet enfer, elle se sentira comme oppressée par des reproches sous-entendus ou clairement exprimés  qui la figeront dans un fort sentiment de culpabilité difficile à vivre et générant beaucoup de mal-être émotionnel et la personne victime de la jalousie acceptera bien malgré elle cette relation toxique sans oser se révolter !

Aucun partage ne sera alors possible, la relation se vivra essentiellement dans une soumission qui obligera celui ou celle qui subit, à capituler et à consentir à une relation insatisfaisante, par peur de représailles. Ou alors si la victime en a le courage et la force, de reprendre sa liberté en s’obligeant à mettre un terme à cette relation devenue infernale pour se sortir d’affaire. L’autre englué dans sa jalousie excessive n’arrive plus à faire la part des choses et se transforme en un  véritable bourreau ! Rien ne parvient plus à le satisfaire dans la relation tant son regard est faussé et déformé par sa propre jalousie ! Aucune remise en question ne sera alors possible. Le jaloux ou la jalouse préfère voir le problème chez l’autre que de prendre conscience de la négativité de son propre comportement!

Quelles sont les différences entre la jalousie et l’envie ?

L’envie est un sentiment tout aussi négatif que la jalousie avec toutefois des nuances. La personne envieuse fera tout pour ne pas reconnaître l’importance ou la valeur de l’autre en le réduisant pas son attitude à être rabaissé, humilié ou méprisé. Les critiques fuseront sans arrêt et l’autre se sentira sous-estimé, dévalorisé continuellement jusqu’à même être la cible de moqueries et de piques acerbes pour le déstabiliser. Le message là aussi est significatif « Tu me gênes parce que tu me voles la lumière donc je vais tout faire pour  te discréditer aux yeux des autres et te plonger dans l’obscurité ! »

Ce sentiment désagréable montre que l’être envieux se sent en danger par votre présence, il voudrait posséder vos biens ou vos qualités ! Il est facilement reconnaissable par ses faux sourires et ses compliments toujours du bout des lèvres. Même ses flatteries sont destinées  au final à manipuler les autres à ses fins personnelles ! La meilleure stratégie, pour moins souffrir et pour éviter les conflits, sera de fuir les envieux, de les ignorer ou de les démasquer !

Ainsi la jalousie ou l’envie n’a pas de limite. Elles s’exercent tout au long d’une vie et la personne jalouse ou envieuse ne pourra jamais s’arrêter tant ses reproches souvent inconscients sont marqués par ses propres difficultés ! Elle n’arrivera pas accepter l’autre comme il est, car cet autre représentera pour elle un éternel miroir de ses  propres défauts ! « J’aimerais être à ta place donc je ne peux pas t’intégrer à ma vie car tout ce que tu es, résonne en moi de manière négative et accentue mes propres manques ! Je me reflète dans tes yeux ! Je vois mes défauts ! »

Au final, quand la personne jalouse ne réussit pas à tolérer autrui, il n’y a aucun espoir si ce n’est que chacun continue sa route de son côté pour espérer vivre en paix !

12 signes pour reconnaître une personne jalouse

  1. Le jaloux ou la jalouse vous dévalorise et vous critique dans votre dos !
  2. Ce type d’individu  nuit à votre réputation en parlant mal de vous quand vous n’êtes pas là !
  3. La personne jalouse est mesquine et veut toujours faire mieux que vous en se comparant sans cesse  et en vous imitant.
  4. Le jalouse ou la jalouse ne partage jamais votre bonheur et votre joie, il ou elle va au contraire tout gâcher par une attitude négative !
  5. Il ou elle  est content(e) quand il vous arrive quelque chose et que vous êtes dans une mauvaise situation ! La personne jalouse se précipite d’ailleurs pour vous proposer son aide pour être aux premières loges et pour assister en direct à vos déboires et à vos difficultés pour ainsi davantage vous rabaisser !
  6. Il ou elle déteste qu’on vous complimente et qu’on vous mette en valeur, il ou elle va chercher à vous nuire de toutes les façons sournoises possibles !
  7. La personne jalouse et perfide vous espionne par tous les moyens, sur les réseaux sociaux, en vous filmant chez vous, … Elle est comme obsédée par vous et a un besoin constant de s’informer sur vous pour pouvoir vous porter préjudice ! Elle n’arrive pas à vous laisser libre de vos actions !
  8. Ce type d’individu colporte des fausses rumeurs à votre sujet et invente des histoires pour vous discréditer auprès de ceux qui vous apprécient !
  9. Il ou elle n’arrive pas à vous regarder dans les yeux et a un masque fuyant pour ne pas vous faire face !
  10. Il ou elle vous provoque insidieusement devant les autres pour vous faire sortir de vos gonds et faire apparaître les pires défauts de votre caractère tant  il vous pousse à bout sournoisement ! Les jaloux sont des grands manipulateurs !
  11. Quand le jaloux machiavélique et sournois est démasqué, il devient agressif et attaque !
  12. La personne jalouse n’est jamais sereine, tant elle est torturée par ses plans machiavéliques et  par sa manière négative de penser et d’agir !

Au final, la jalousie est souvent accompagnée de médisance, d’hypocrisie et de malveillance. Ce qu’il faut retenir, c’est que les jaloux n’ont pas le temps de s’occuper de leur propre vie, c’est pourquoi, ils  voient la réussite des autres d’un mauvais œil sans se rendre compte qu’ils pourraient faire de même, s’ils se concentraient davantage sur leurs propres désirs !

On n’a pas besoin des autres pour créer la vie que l’on veut !

Les personnes jalouses ont un manque à combler dans leur vie et leurs frustrations les rendent difficiles à vivre tellement elles sont envieuses !

Se protéger des effets négatifs de la jalousie !

La jalousie s’exerce car celui qui est jaloux ressent comme un sentiment d’infériorité qui fait qu’il  n’arrive pas à élever sa propre estime de soi !

Il est donc urgent d’apprendre à vivre mieux en entretenant une relation à soi-même plus douce et moins exigeante ! S’aimer comme on est, permet de ne plus voir en l’autre ce que l’on désire mais de se dire, que l’on peut s’en inspirer pour s’élever !

Il n’y a pas de jalousie quand on sait s’aimer et cela s’apprend quand on n’y arrive pas et qu’on s’y prend mal !

Celui qui est jaloux, se condamne à souffrir inutilement car tout ce qu’il fera ne lui donnera jamais satisfaction, tant son regard sera fixé sur l’autre. C’est à travers ce gouffre amer de ces propres turpitudes que l’être jaloux verra défiler sous ses yeux tout ce qui aurait pu le rendre heureux, trop occupé à envier les autres !

Il est important que chacun puisse ramener son propre regard vers lui-même en comprenant que tout ce que l’on imagine des autres, n’est jamais ce que l’on croit.

Combien de personnes accepteraient d’enfiler les chaussures de quelqu’un d’autre, s’il savait vraiment ce que celui-ci vit comme difficultés. Lorsqu’on apprend à se contenter de ce que l’on a, on arrête de jalouser les autres ! On prend conscience de la valeur de notre vie car elle nous appartient et elle nous ressemble !

Si vous êtes la cible de la jalousie des autres, demandez-vous ce qu’ils vous veulent ! Pourquoi ont-ils cette attitude à votre égard ces personnes qui vous jalousent ? Qu’est-ce qui dans votre propre manière d’être les met en difficulté avec eux-mêmes ? Qu’est-ce qu’ils refusent de voir de leur propre vie , qu’ils ont du mal à accepter, quand ils vous regardent et que vous leur renvoyez l’image de ce qu’ils n’ont pas ! Devez-vous changer d’attitude pour leur plaire ? Ou au contraire, incarnez encore davantage vos goûts et vos désirs !

Chacun choisit sa vie, soit il transforme ce qu’il a en pierres précieuses, soit il réduit ce qu’il a en poussière par son attitude négative, sans jamais réussir à briller par manque de motivation et d’amour pour lui-même !

Ce n’est pas dans les yeux des autres que se trouve votre bonheur ! C’est à vous de le construire, de l’édifier  en retroussant vos manches et en mettant du cœur à l’ouvrage, c’est ainsi que vous donnerez plus d’importance à l’éclat de votre vie et que vous vous éloignerez définitivement de la critique si facile des autres !

Fuyez la jalousie, elle empoisonne tout, jusqu’à les moindres parcelles de votre être et elle éloigne ceux qui vous aiment !

Fuyez les jaloux, ils n’ont aucune place dans votre vie, laissez-les exercer leur nuisance ailleurs très loin de vous!

Il n’y a aucune raison à être jaloux, tout est possible à celui qui le veut vraiment !

S’inspirer de l’autre permet d’aller vers de meilleurs choix pour soi, regarder l’autre comme modèle donne de la motivation pour sa propre vie ! On a davantage envie d’essayer et de se donner ses propres chances de réussir !

Retenez que la personne jalouse souffre d’une peur  qui correspond souvent à quelque chose de non résolu de son enfance qu’elle n’arrive pas à regarder en face, comme une méfiance qui montre un problème d’amour propre difficile à dépasser ! Le jaloux souffre à trop regarder les autres jusqu’à les envier ! Il doit travailler à la conquête de lui-même jusqu’à s’aimer suffisamment  pour ne plus nuire aux autres en comblant ses manques!

Apprenez à aimer ce que vous avez et à vous aimer avant tout. ! Arrêtez de supposer que les autres sont plus heureux que vous ! Dites stop à la jalousie et à l’envie ! …

Maryse de Mes Mots de Vie

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L’orgueil n’est pas pétri de bonnes intentions

Quels sont les signes de l’orgueil?

L’orgueil est un sentiment complexe, oscillant entre fierté légitime et vanité destructrice. Il peut nous élever, mais aussi nous aveugler et nuire à nos relations. Dans un monde obsédé par le paraître, cet article explore les différentes facettes de l’orgueil, ses conséquences sur notre vie et notre bien-être, ainsi que les voies pour retrouver l’humilité et l’équilibre.

Qu’est-ce que le sentiment d’orgueil ?

Dans son sens le plus positif, l’orgueil est un sentiment noble inspiré par une juste confiance, synonyme d’une fierté légitime et d’une dignité simple  avec une estime de soi équilibrée et sans excès, comme un amour-propre valorisant et un sens de l’humilité où l’on est capable de réajuster sa manière d’être pour s’adapter à chaque situation et à chaque personne.

Dans son sens le plus extrême, l’orgueil est un sentiment exagéré de sa propre valeur, comme une estime excessive de soi-même qui porte à vouloir se mettre au dessus des autres, par arrogance et par présomption, en ignorant la modestie et la simplicité, pour vouloir toujours occuper la première place, ce qui témoigne sans nul doute d’ un complexe de supériorité qui révèle a contrario un manque de confiance en soi !

Quand on sait être soi, on n’a pas besoin de faire preuve de vanité,  par rapport aux autres et au sein de son statut social.

L’orgueil concerne cette place que l’on veut occuper ou plutôt prendre à tout prix, comme une incapacité intérieure à se sentir bien avec soi-même, pour se laisser devenir en toute quiétude, sans entrer dans une course contre la montre avec soi-même ou avec les autres,  en cherchant sans cesse la « gloriole », pour être reconnu comme le « fleuron » soit dans son métier, soit au sein de sa famille soit au cœur de ses relations aux autres, au final, dans tous les domaines !

Il n’y a que l’orgueil qui dicte ces manières d’agir, la vraie gentillesse n’a pas besoin de se montrer. Lorsqu’on est satisfait de soi-même, on ne tend plus l’oreille en attente de la valorisation des autres. On se sent bien comme on est ! On n’attend rien des autres si ce n’est ce qu’ils sont capables de  donner même si cela se résume à pas grand chose. On est, ils sont, quel autre équilibre recherché ? Nos propres satisfactions exigeantes ? Ou des petits détails qui parfois valent bien plus que des faux-semblants ou de l’hypocrisie cachée ?

L’orgueil démesuré mène le Monde à travers le culte de l’égo qui va à l’encontre même de la vie. Plus on est persuadé de sa propre excellence, plus on se juge supérieur aux autres, ce n’est pas être vraiment soi, dans la confiance et l’estime qui n’ont pas besoin d’être plaqués ni forcés,  cela ne remplit pas le vide que l’on peut ressentir si cela ne vient pas tout simplement du cœur !

La vie ne peut pas être contre nous, car nous sommes la vie, les exigences de l’égo conduisent à l’orgueil qui font que nos actes sont rarement en harmonie avec la vie, d’où les souffrances qui en découlent car l’orgueil mène à des résistances à ce qui est ou à ce qui doit être.

Chaque jour, l’homme modifie la destinée de l’ humanité par ses errements personnels, ses défis avec ou contre lui-même, pour tendre vers la plus haute marche de son ascension sociale en dépit de la maltraitance humaine qui peut en résulter.

Que révèle l’orgueil quand on ne sait pas s’adapter à la vie ?

L’orgueil, c’est comme vouloir mettre des accords dramatiques sur la simplicité de la vie.

L’orgueil, c’est s’obstiner à voir la vie avec des angles droits et saillants alors qu’elle a des courbes douces et imparfaites, quand on sait changer de point de vue, sans tomber du haut de son orgueil.

L’orgueil, c’est cet entêtement cynique qui pousse à se cogner sans cesse la tête contre le mur de son égo.

L’orgueil, c’est se croire « sorti de la cuisse de Jupiter » en se montrant imbu de sa personne,  pour ne jamais laisser à autrui la possibilité d’exister, comme une dévalorisation perpétuelle des autres pour jouir de ce rang d’élévation  superficiel !

Les personnes trop orgueilleuses s’inventent facilement un pouvoir et l’utilise à mauvais escient avec pour lubie d’intimider les autres, en les écrasant par leur présence acerbe et vide de toute âme.

Être orgueilleux, c’est  fanfaronner sans cesse en laissant son orgueil se dresser sur « ses ergots» pour se dire intéressant et se pavaner sans consistance ni essence réelle.

Cette surestimation personnelle mène sans cesse à des conflits et ce défaut d’esprit rend le cœur endurci comme cuirassé par la méfiance des autres. Cela conduit inévitablement  à une forme de persécution et de tyrannie dus à l’insensibilité aux valeurs des autres, dans cette prétendue volonté de toujours vouloir décider en manipulant les autres.

Orgueil et humilité s’opposent et laissent la porte ouverte aux dérives dans les comportements et dans les attitudes, avec pour seul but la satisfaction personnelle.

Est-ce que vivre c’est vouloir porter atteinte à l’autre en le réduisant au plus bas de l’échelle pour faire triompher un égo surdimensionné ?

Est-ce que vivre c’est se croire toujours mieux que les autres sans faire preuve de modestie ?

Comment mettre fin à cet excès d’orgueil ?

Pour ne pas subir les affres de ce « péché « d’orgueil qui nuit à ceux qui s’enferment dans cette manière d’être et qui deviennent  insupportables pour les autres,  il est absolument nécessaire de rééquilibrer la justesse du regard que l’on porte sur soi, sur ses actes, sur son statut, sur sa place, sans faire preuve d’arrogance et de fermeture d’esprit !

Quand on souffre d’orgueil démesuré, il convient de redescendre sur terre et de s’ancrer dans la réalité, en sortant de ses emportements à vouloir s’envoler trop haut au risque de se brûler les ailes. Chercher à aller plus haut sans réfléchir aux conséquences de ses actes, c’est ne pas savoir se contenter de l’instant présent, qui se veut doux et délicieux quand on sort de ses insatisfactions perpétuelles qui résonnent comme une incapacité à savourer ce que l’on a simplement, à chaque seconde dans notre respiration vitale  et non dans les caprices de toujours vouloir plus !

Être vivant, c’est sortir sa tête de son égo déplacé quand il devient un mode de fonctionnement déloyal et autoritaire, destiné uniquement à dominer les autres  pour parvenir  un peu plus à ses fins égoïstes et égocentrés.

Il n’y a pas de succès sans respect, la gloire n’est qu’un triomphe tonitruant,  pas une victoire pleine et sincère. Lorsqu’on apprend à détruire ses œillères d’orgueil, on regarde la vie comme elle est, sans subterfuge ni facétie, on l’aime pour ses balbutiements, pour ses frémissements, pour ses petites étincelles, on n’a pas besoin de  grandes mascarades ni de trompette ni de paillette pour l’apprécier vraiment.

L’orgueil s’habille d’ornement inutile et d’auto- suffisance pour briller par des artifices et non par l’éclat de la vérité de ce qui est.

Plus on sait faire rayonner sa valeur sans fioriture,  plus on est digne et respectueux envers les autres. Plus on atteint la tempérance nécessaire pour vivre notre vie comme elle vient !

Dans la société d’aujourd’hui faite de selfies et de caractères peu enclins à exister dans l’ombre, il est difficile de trouver des personnes humbles et soucieuses des autres, sans avoir, in fine, l’impression d’être sans cesse l’objet de manipulation à nos dépens.

L’orgueil au XXIème siècle réside dans ce désir exacerbé d’exister aux yeux des autres plutôt que pour soi-même à travers les « fake attitude » et les « faire genre » que l’on entend sans arrêt comme leitmotiv, où  souffle comme  un vent de vouloir surfer  sur des tendances, sans véritable maîtrise en cherchant à éclipser les autres à tout prix ! Montrer ses succès semble plus important que le succès lui-même qui  pourtant  demande de véritables investissements!

Il y a de la place pour tout le monde et le talent ne se mesure pas au nombre de vues ! 

L’orgueil mène chaque jour à la destruction de la simplicité de la vie, et donne aux relations un sens mercantile : « Je te fréquente car tu apportes de la plus value à ma vie ! », c’est la nouvelle philosophie très à la mode. Toutes les relations se veulent intéressées sans le sens du respect de l’humain et des relations qui n’ont pas besoin d’excès de démonstration pour être réels. En effet,  la modestie a perdu ses lettres de noblesse pour laisser place à la présomption et à l’arrogance.

Il n’y a pas un lieu ou une activité que l’on peut faire sans se heurter à  cet orgueil des autres ! Le plaisir d’être et de vivre  a été remplacé par le désir de paraître toujours plus, et toujours mieux que les autres. L’orgueil est contenu dans chaque comparaison qui nuit à l’épanouissement personnel de chacun,  et au respect de chaque individualité et de chaque personnalité.

On est tous nés pour créer, il est important de lâcher prise sur tout le reste car les frustrations de l’orgueil  enlaidissent les bonnes intentions et mettent un voile de brume très épais sur les réelles motivations personnelles de chacun.

Qu’est-ce qui est vraiment important  le processus  ou uniquement le résultat ?

Il faut laisser venir à soi ce qui doit être sans vouloir imposer à la vie ses propres lois, elle seule sait ce qui est bon pour nous, c’est parce que  tout le monde agit à contre courant que nous nous perdons actuellement dans une société où les ambitions font grincer les dents et désorientent ceux qui veulent vivre en toute simplicité, leur passion.

A la recherche de l’humain, il est nécessaire de devenir des mains tendues vers les autres et non  de laisser les exigences ne faire du bien qu’à l’égo, c’est cela le vrai challenge en cessant de vivre selon la notion de supériorité des uns sur les autres.

Prendre conscience de sa chance à chaque instant, dans la gratitude d’être et pour accueillir les opportunités comme des moments de grâce, en acceptant ce que l’on ne peut changer sans vouloir faire plier la destinée selon des ordres existentiels : c’est cela vivre vraiment !

Si dans chaque action menée, des enjeux trop personnels transparaissent,  il convient de ramener en conscience le curseur vers  son cœur qui est le centre de chaque engagement dans sa mission d’âme pour rester digne sans perdre la foi en soi-même et sans chercher à  se conformer à des modèles et à des obligations.

Le diktat de l’orgueil affaiblit les rêves pour donner un sentiment d’incomplétude.

Il faut savoir accueillir ce qui vient sans lutte ni résistance, en se laissant porter par le vent léger de la douceur de vivre pour être sans cesse reconnaissant, sans vouloir aller plus vite que la douce musique de la vie que l’on apprend à écouter et à entendre quand on reste bien ancré dans notre belle connexion à la vie !

Être à l’écoute du véritable soi, c’est ne plus attendre les compliments pour valider notre valeur. Celle-ci est dans notre cœur  dans ce qui restera toujours invisible aux yeux de ceux qui ne nous méritent pas, mais qui s’illumine au contact de situations ou de personnes qui savent pénétrer la profondeur de notre âme pour nous faire  ressentir ce petit supplément qui n’appartient qu’à nous.

Lorsque vous apprenez à vous plaire à vous-même avant toute chose, sans regarder ce que les autres pensent de vous, alors vous arrêtez de souffrir car à l’intérieur de vous, tout s’apaise pour vivre intensément la gratitude de chaque seconde, vous attendez sans attendre, vous savez que tout est au mieux dans l’instant présent, que hier a été , que demain sera, mais que le plus important c’est aujourd’hui avec tout de vous, dans votre globalité d’être!

Profitez de ce qui est positif dans votre vie! Cultivez la neutralité active, comme en méditation pour aligner l’ici et maintenant dénué de toute exigence.  Désencombrez votre esprit de vos doutes, de vos peurs, de vos performances, dites juste « Simplicité » comme mot clé et tout le reste s’allègera.

Laissez la vie vous surprendre, elle sait mieux que vous, ce que vous méritez, alors oubliez le contrôle de l’orgueil et sortez des sentiers battus du culte du soi qui ne mène à rien si ce n’est à des frustrations. Faites confiance : plus on aime la vie avec simplicité, moins on souffre et moins on est déçu !

Soyez vous-même à chaque instant !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les blessures de manipulation laissent des traces indélébiles : comment apprendre à les atténuer ?

Ne plus souffrir de la manipulation

Maryse de Mes Mots de Vie

La manipulation, personne n’y échappe, petit ou grand, c’est comme une manière d’être ou de faire pour conquérir la vie comme s’il s’agissait d’un territoire à revendiquer.

Dès le plus jeune âge, cela commence avec les crises de larmes, de frustration face au non du parent qui capitule, pour ne pas se sentir indigne.

A l’adolescence, souffle aussi le vent de la révolte, certains adolescents traversent cette période en apprenant à se raisonner mais d’autres se laissent emporter par la tempête intérieure hormonale qui bouscule leur corps et crée dans leur esprit comme une opposition constante à tout.

A l’âge adulte, on est ce que l’on a été enfant, c’est-à-dire soit un enfant qui a su ruser de ses caprices pour obtenir tout ce qu’il voulait, soit un enfant qui garde en lui l’impression d’avoir été brimé, soit un enfant qui accepte son quotidien sans broncher, mais avec énormément de frustrations de passer toujours après les autres,….

L’enfant à l’intérieur de nous est là, au fond du fond de nous-mêmes, on ne pourra jamais l’ignorer puisque hormis l’âge qui marque la différence, nous sommes et serons toujours le même être, petit, grand ou âgé.

Lorsqu’on parle de l ‘enfant intérieur, il ne faut pas se tromper, il s’agit bien de la mémoire que nous gardons de notre enfance, des souvenirs au cours des étapes de notre croissance, de notre éducation alors que nous étions sous la responsabilité entière de nos parents, au travers de ce qu’ils nous ont inculqué comme valeurs morales, comme qualités humaines, comme modèle de croyances ou de références.

Aussi, souvent, lorsqu’on regarde un adulte, si on l’observe bien dans ses attitudes, on peut entrevoir encore le petit enfant qu’un jour, il a été. Ce n’est pas le changement physique ou morphologique qui parviendra à camoufler ses gestes, ses regards et ses mines qui sont encore en lien avec cette manière enfantine de réagir !

On peut le voir quand un adulte s’énerve, on s’imagine l’enfant frustré qui n’a jamais obtenu facilement ce dont il avait besoin ou ses envies non satisfaites. Lorsqu’un adulte pleure, c’est souvent les larmes du petit enfant triste et malheureux qui ruissellent sur ses joues. Quand un adulte rigole, il a gardé ses airs de petit garçon ou de petite fille un peu chafouin, un peu espiègle.

Lorsqu’on prend conscience de l’enfant qui est là, derrière chacun de ses pas, on comprend mieux la difficulté pour l’adulte de faire face parfois à un sentiment de détresse ou de solitude. Comment peut-il penser autrement, si dans l’enfance, il a dû subir une éducation douloureuse plutôt que de grandir sereinement et en toute sécurité?

Concernant la manipulation, l’adulte qui devient manipulateur est souvent un être qui est resté enfermé dans des blessures de l’enfance, et qui a sans doute subi la tyrannie d’une éducation parentale  où il n’a pas appris à prendre sa place dans la douceur, mais seulement en s’imposant par la force. Aussi à l’âge adulte, un tel individu peine à trouver des stratégies gagnantes pour exister pleinement et pense inconsciemment que pour réussir, il faut à tout prix manipuler les autres.

Qu’est-ce que cela signifie « manipuler » à tout prix ?

C’est cette incapacité à accorder sa confiance à quelqu’un sans pouvoir lui laisser la liberté de choisir ! Manipuler, c’est s’imposer dans le territoire de l’autre, c’est envahir jusqu’à sa manière de penser et d’être. C’est ôter à l’autre son pouvoir personnel, c’est le soumettre sans trouver cela inconvenant, c’est abuser de sa naïveté, de sa candeur ou même de sa grandeur d’âme sans scrupule. C’est se mentir à soi-même sur ses véritables intentions. C’est se dissimuler derrière des sentiments d’amour pour cacher ses propres errances psychiques. C’est faire croire à une soi-disant « pseudo-solidité » à travers un rapport de force et de contrôle incessant de la vie.

Le manipulateur ne sait que manipuler, il ne faut pas lui demander ce que cela signifie,  il vous répondra toujours que ce qu’il fait, c’est toujours dans l’intérêt de l’autre, pour son bien  car il sait mieux que l’autre ce qui est bon pour lui. Le manipulateur est tellement sans écoute des besoins réels de l’autre qu’il ne sait jamais voir ni comprendre ce que celui-ci pourrait lui reprocher même quand sa vie est le reflet catastrophique de ses agissements : excès de violence, rupture, séparation, conflits, tensions perpétuelles, souffrances à répétition….

Le manipulateur est verrouillé dans une attitude de commandant de la vie, il lui donne des ordres et fulmine quand les choses ne se passent pas comme il l’exige.

Il n’entendra jamais dans son comportement extrême, résonner autour de lui comme une impression d’abuser des autres à travers ses manipulations. C’est sa marque de fabrique malheureusement, ses repères pour exister et le mal qu’il commet en agissant ainsi ne semble jamais l’impacter. Il semble totalement hermétique à la détresse de ceux qu’il accable, par sa domination excessive et sa pression sur leur esprit.« Je t’aime donc je te commande et tu dois l’accepter sinon cela signifie que tu ne m’aimes pas » !

Les blessures de la manipulation sont difficiles à réparer !

Celui qui a subi sans arrêt la manipulation toxique par exemple, de ses parents depuis son enfance, a du mal à exister, sans avoir sans cesse l’impression à l’âge adulte, qu’ils sont encore là au-dessus de lui, pour lui reprocher ses échecs, en levant le fouet invisible de leur châtiment , comme s’ils semblaient lui dire: «  Tu es un mauvais enfant, c’est pour cela qu’il t’arrive des problèmes puisque tu ne nous obéis pas ! » . C’est ce qui semble résonner incessamment dans les pensées de cet adulte qui autrefois était un enfant brimé, bien malgré lui, comme un regard malveillant qui pèse continuellement sur ses actes et qui l’empêche d’être libre.

L’adulte enchaîné à cette manipulation abusive, aura alors des difficultés à s’affranchir de ce joug qui demeure malgré l’éloignement, la distance ou la séparation définitive.

L’adulte n’est qu’un enfant dans un corps d’homme ou de femme, certes, il a gagné en maturité mais ses blessures sont toujours là enfouies. Dans la fleur de l’âge, il arrive à les gérer mais  ses blessures deviennent de plus en plus vivaces au fil des ans, surtout lorsqu’il commence à vieillir. Comme si cela n’avait jamais été vraiment conscientisé ni réparé et qu’inévitablement les blessures finissaient par remonter à la surface pour lui donner un mal-être indicible.

Ces traces indélébiles  poursuivent la personne qui a été manipulée jusqu’à lui faire ressentir un profond sentiment de culpabilité qui domine, dans sa personnalité tourmentée, à cause de ce qu’elle a subi. Elle se sent comme coupable de cette manipulation dont elle n’a pas pu ou su se protéger ! Et c’est à travers la colère intérieure qui demeure et qui gronde en elle que transparaît encore ses blessures qui se ravivent, et on peut y lire la détresse de son âme !

Comment ne plus souffrir de ces blessures de manipulation que vous avez subies ou que vous subissez encore dans votre vie?

Vivre en se mentant à soi-même,  c’est ça qui n’est pas possible ! Vous ne pouvez pas feindre d’être heureux alors que règne à l’intérieur de vous le chaos ! Enrubanner vos détresses ne les aidera pas à s’éteindre ! Faire comme si que tout allait bien n’est pas sain et a des conséquences destructrices  au bout d’un moment ! Vous entraînez même d’autres personnes dans vos tourments sans chercher à vouloir guérir  ce qui ne va pas !

Il faut savoir vous regarder en face et voir où se situent encore les traces de ces blessures !

Apprendre à les réparer, signifie ne plus les taire, pour mieux comprendre et assainir les différents points de vue, ça peut vous faire du bien ! Pratiquer l’écriture thérapeutique ou toute autre méthode douce pour vous réaligner avec votre propre histoire de vie, en nettoyant ces parts de vous qui méritent toute votre attention et aussi toute votre bienveillance.

Il est en tout cas urgent de rassembler toutes vos parts blessées pour ne pas vivre à moitié comme  une part de souffrance  délaissée qui éteint votre vie avec des tonalités souvent grises jusqu’à empêcher la joie de rayonner dans votre personnalité qui est étouffée!

La meilleure façon de les atténuer jusqu’à les voir disparaître, c’est revenir à une question fondamentale : qui êtes-vous vraiment quand vous n’êtes plus dans l’obligation de plaire à vos parents  pour ce qu’ils voudraient que vous soyez depuis toujours ?

A quel moment sortez-vous de ce regard éternel de vos parents, de leur jugement à votre égard,  pour vous autoriser à être vraiment celui ou celle que vous voulez être ? Que vous ont-ils imposé qui n’était pas dans vos choix personnels ou dans vos goûts? A quel moment avez-vous eu la liberté d’être vous-même ?  Peut-être avez-vous-même pris cette liberté ?

Devenez qui vous êtes, lorsque vous enlevez tous les formatages de votre éducation reçue ! Accueillez dans vos bras, ce petit garçon ou cette petite fille qui n’a pas pu montrer ce qu’il ou elle avait comme aspiration ou envie. Et donnez vie à vos rêves !

Relookez votre âme, votre esprit aux couleurs de votre essence intérieure ! Réajustez votre manière de penser ou de regarder la vie. Ne voyez plus la vie avec les yeux de vos parents. Ne portez pas leurs souffrances ni leurs détresses, cela leur appartient ! Au contraire, ayez pour intention de réparer ce passé, pas de le porter sur vos propres épaules, comme une charge trop lourde, qui vous déprime et  qui vous accable encore et encore à travers ce que vous ne savez pas ou ce qui ne vous appartient pas !

Lorsque vous libérez votre conscience du poids de ces blessures manipulatoires s’ouvre alors un champ à explorer avec de meilleures qualités morales, vous ne luttez plus pour vivre, vous ne vous sentez plus en conflit avec la vie, vous ne vous voyez plus comme rival des autres, vous devenez plus honnête moins manipulateur vous-même !

Quand vous observez votre vie, vous êtes fier de vos actes qui ne sont jamais teintés de fausseté, de manipulation pour parvenir à vos fins. Vous ne vivez plus pour des intérêts personnels. Vous les mettez de côté  pour rester en lien avec votre mission d’âme, qui est de partager, de collaborer, d’œuvrer sans chercher à vouloir dominer les autres ou à les éclipser. C’est seulement à ce moment-là que vous vous réparez vraiment de ce que vous avez subi, pas en le reproduisant !

Croyez que la vie est bienveillante pour rester dans une qualité de présence à vous-même pour entendre ce que la vie vous murmure chaque jour, qu’elle est ouverte, et que votre esprit fermé  l’enferme dans vos exigences !

Faites-vous du bien et valorisez  l’honnêteté et la douceur comme règles de vie pour espérer réparer ces blessures  de manipulation même ancestrales qui peuvent  influencer votre manière d’être et vous empêcher de percevoir le monde comme un lieu où il y aura toujours de la place pour tout le monde, sans avoir à se marcher les uns sur les autres. Soyez grand et magnanime et faites-vous confiance !

Pour plus de sérénité et d’équilibre! Et apprenez à pratiquer l’écriture pour vous réparer et mieux gérer vos émotions.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Pourquoi faut-il apprendre à se remettre en question ?


Se remettre en question, c’est vivre en paix avec soi-même et avec les autres !

Quand se remettre en question permet d’améliorer ses qualités humaines !

L’incapacité de certaines personnes à se remettre en question est flagrante et nuit à la qualité des relations humaines de manière récurrente. C’est le fléau de la société d’aujourd’hui qui empêche l’entente et la réussite des liens avec les autres !

En effet, il existe deux grandes catégories d’individus dans les interactions humaines :

  • Ceux qui assument leurs actes et restent cohérents dans leur relation aux autres en choisissant la sincérité et la franchise au risque de se faire rejeter et critiquer des autres, pour ce besoin de vérité comme socle de toute relation, et qui apprennent à mieux se connaître pour travailler sur eux-mêmes, afin d’améliorer leurs relations aux autres !
  • Ceux qui agissent avec un esprit fermé, qui parlent sans cesse de leurs difficultés sans écouter les autres, qui se disent victimes en prétextant que c’est toujours «  la faute des autres »,  qui font rejaillir leur mal-être autour d’eux dans un flot incessant de plaintes et de critiques ! Et qui se mettent au-dessus de tous, avec leur égo surdimensionné qui les empêche de voir leurs propres défauts et de rester modestes.

Choisissez votre camp : Team « gagnant » ou Team «perdant » ?

Bien sûr les « gagnants » sont ceux qui restent fidèles à eux-mêmes et ne trichent jamais sur qui ils sont vraiment. Ils font de leur authenticité la signature de leur singularité et préfèrent « être seul que mal accompagné ». On les juge « différent », « mystérieux » ou « trop personnel » mais au moins ils apprennent à gérer eux-mêmes leurs problématiques de vie en toute intimité sans les étaler  sur la place publique et sans recourir sans cesse à l’aide des autres comme s’ils étaient incapables, ils évitent également de prendre partie dans les conflits. Ils se gèrent en toute autonomie et dans le respect de ce droit d’être libre !

Ils préfèrent de loin, réfléchir aux expériences de leur vie pour en tirer des leçons et aller vers la meilleure version d’eux-mêmes en n’hésitant pas à se remettre en question pour aller de l’avant. Ils ont besoin de beaucoup de temps pour prendre soin d’eux dans la solitude des introspections qui les mènent vers un auto-accompagnement de leurs problématiques de vie et leur enseignent la persévérance et l’adaptabilité.

Les « perdants »sont  ceux qui ont besoin sans arrêt que l’attention des autres soit portée sur eux. En se mettant au centre des regards, cela leur permet de ne jamais assumer leur propre responsabilité dans ce qui leur arrive. Et ils préfèrent ainsi s’en remettre aux autres plutôt que  de changer leur rapport à leur manière d’agir en refusant d’admettre qu’ils  ont sans doute des traits de leur personnalité à travailler comme tout le monde !  Ils préfèrent laisser penser que les autres ont tous les défauts de la terre sans jamais se regarder vraiment dans leur miroir intérieur et se croient irréprochables ! Se remettre en question pour ces personnes serait comme un aveu de leur faiblesse.  Elles se complaisent à cultiver d’elles-mêmes ce droit d’avoir toujours raison au détriment de l’opinion des autres. Du haut de leur piédestal, elles regardent les autres de manière complaisante et condescendante et ne  prennent jamais la part de responsabilité qui leur incombe. Elles préfèrent croire qu’elles sont supérieures et demeurent insensibles !

Se remettre en question est difficile mais nécessaire !

C’est comme une hygiène de vie, plus on entretient la qualité de relation à soi, plus on développe de réelles compétences humaines !

Qu’est-ce que cela signifie vraiment « se remettre en question » ?

Se remettre en question, c’est accepter d’avoir tort ! C’est mettre de côté sa fierté pour demander pardon à quelqu’un qu’on a blessé par un mauvais comportement pour grandir et se bonifier dans ses qualités humaines. C’est faire preuve d’empathie pour comprendre le vécu de l’autre sans le juger ! C’est s’ouvrir à des relations basées sur la réciprocité et non sur l’hypocrisie !

Il existe fort heureusement beaucoup de personnes qui à force de répéter toujours les mêmes schémas finissent par avoir envie de se guérir ! Lorsqu’on décide de se remettre en question, on commence par un travail d’introspection pour mieux percevoir qui l’on est vraiment en se posant des questions sur sa manière de vivre pour l’améliorer. Être autocritique, c’est sortir d’un esprit étriqué pour s’ouvrir à une meilleure connaissance de soi afin de pacifier intérieurement tous les préjugés et les croyances hérités de son éducation.

Se remettre en question, c’est prendre sa part de responsabilité dans une situation difficile sans se mentir à soi-même ! Lorsqu’on reconnaît qu’on a pu se tromper, on fait preuve d’une intelligence rare ! Cela facilite sa capacité d’adaptation et sa résilience face aux épreuves de la vie !

Cependant, il est souvent difficile de se percevoir soi-même, inconsciemment on résiste à entrer complètement dans un développement personnel car on a peur de perdre ses stratégies de survie et de devenir trop vulnérable! Il est donc nécessaire de se poser les questions suivantes :

  • Sur quels points ai-je du mal à me remettre en question ?
  • Quels sont mes pires défauts et mes plus belles qualités ?
  • Qu’est-ce qui m’agace le plus chez les autres ?
  • Ai-je toujours besoin d’avoir raison ?
  • Qu’est-ce qui met ma confiance en danger ?
  • Suis-je la même personne depuis toujours ou ai-je évolué dans ma manière de penser ?

Plus vous acceptez de voir les angles morts de votre comportement, plus vous vous donnez une chance de progresser et de sortir d’un rapport négatif aux autres.

Attention cependant, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse et se remettre en question tout le temps.  Il ne faut pas vous prendre la tête à tout analyser mais agir en suivant vos intuitions. Plus vous écoutez votre sagesse intérieure, plus vous vous donnez la possibilité d’aller vers  ce qui est bon et juste pour vous. Sortir de vos préjugés vous permet d’ouvrir un espace de vie plus en accord avec le sens même des relations humaines, à savoir interagir en respectant les valeurs de chacun en mettant du cœur à l’ouvrage !

Maryse de Mes mots de vie

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Comment transformer votre blessure de rejet pour combler votre manque affectif

La blessure de rejet émet des ondes négatives dans votre vie.

Entre l’enfance et jusqu’à l’âge adulte, vous êtes happé  sans arrêt par ce vide intérieur que représente la blessure de rejet qui résonne sans cesse  dans vos peurs, dans vos pleurs, dans vos manques, dans votre mal-être. Toutes vos interactions difficiles se résument aux effets néfastes de cette blessure émotionnelle passée, tapie au fond de vous.

Pas à pas, vous grandissez en gardant à l’intérieur de vous comme  une entaille profonde qui devient l’écho silencieux de ce qui vous rend souvent triste, comme si vous étiez en décalage par rapport au monde extérieur. La difficulté à vous faire comprendre est récurrente, et c’est le signe fort de cette cicatrice qui  marque votre identité et vous empêche de vous déployer totalement, comme si vous étiez bloqué par  cette barrière intérieure inconsciente.

Vous vous sentez souvent seul, délaissé, rejeté comme si vous n’aviez pas la possibilité de vous faire aimer ou accepter des autres. Alors, vous expliquez cela par vos prétendues imperfections qui sont pour vous, le symbole de ce rejet. Vous faites une liste de tout ce qui ne va pas  à vos yeux, vos défauts, de votre physique à votre caractère en passant par vos goûts.

Vous concluez que votre sentiment de rejet vient de là. Au fil du temps, vous vous voyez changer, améliorer, renouveler et pourtant les conséquences négatives demeurent malgré vos efforts pour plaire. Vous restez toujours à l’écart, sur le banc de touche, à l’extérieur de la vie qui tourne autour de vous mais qui vous évite dans ses joies et dans ses moments les plus heureux. Pourquoi ? Vous n’arrivez pas trop à en comprendre les raisons, vous en souffrez et vous vous sentez comme coupable de votre inaptitude à développer des relations épanouissantes, en raison de ce rejet constant que vous ressentez!

Vous errez en vain, vous êtes souvent triste, malheureux, mal dans votre peau. Au point de vous trouver difficile à vivre, trop à fleur de peau. Alors vous vous durcissez, vous vous fermez, vous vous refusez le droit d’être léger et enthousiaste, vous devenez presque intolérant, presque insensible, presque indifférent comme verrouillé dans la peur lourde et grise de ne jamais réussir à exister pour ce que vous êtes.

Malgré les combats, les compromis, les tentatives de solution vers une destinée plus lumineuse, vous vous heurtez en chemin, et au fil de l’âge, aux mêmes angles morts non résolus. Vous êtes comme prisonnier de ce sentiment d’être incompris. Et c’est ce filtre déformant qui vous renvoie à chaque fois comme une illusion de la réalité.

Les traces de la blessure de rejet vous poursuivent !

La blessure de rejet teinte vos expériences d’amertume et au fil de votre vie, les traces du manque affectif sont des obstacles sur votre parcours. Au cœur de vos plus grandes réussites, vous vous sabordez en laissant s’ouvrir encore et encore cette plaie  qui jamais ne se referme pour vous lier éternellement à  l’incapacité de vous réaliser pleinement. Vous demeurez insatisfait, frustré, agité, torturé même. Vous tendez vers le perfectionnisme pour combler ce vide mais rien n’y fait, au contraire vous vous éloignez de plus en plus de vous-mêmes !

Alors, vous passez des heures à ruminer, à ressasser ou à ressentir ce mal -être intérieur qui cogne de manière assourdissante tel un martèlement incessant, avec des souvenirs toujours plus vivaces de tous ces moments marqués par l’indifférence, par la dévalorisation, par l’inattention et par les incompréhensions. Une longue liste, comme pour vous donner raison de croire impossible la guérison de  votre blessure de rejet comme si c’était une fatalité à porter toute votre vie sans jamais rien pouvoir y faire, pour espérer changer votre regard.

D’ailleurs, les autres deviennent souvent pour vous, comme un véritable enfer, comme  un écran noir où se reflètent vos peines les plus tenaces :  à chaque remarque, c’est une  vexation vécue, à chaque commentaire, c’est un rejet ressenti, à chaque regard, c’est un jugement qui vous meurtrit.

Quand vient l’âge où vous  changez physiquement, la blessure de rejet se fait encore plus forte dans ses résonances, donnant une dimension  encore plus dramatique aux expériences malheureuses d’une vie, comme une empreinte indélébile qui vous rappelle ce moule déformant dans lequel vous vous êtes  façonné depuis l’enfance, sans le savoir!

Et chaque difficulté à être devient plus lourde à vivre, à chaque changement physique, physiologique, psychologique, vous avez l’impression de subir encore plus de rejets. Vous prenez alors  conscience que tant que cette blessure de rejet dictera vos faits et gestes, tant que ce sera à travers sa résonance que vous vivrez, alors vous gaspillerez votre énergie  à vous battre inutilement sans jamais réussir à l’enfouir, sans vraiment vous débarrasser de ses effets désastreux , sans avoir conscience  que le rejet n’existe que dans  l’interprétation négative que vous donnez aux situations, ce qui déforme et grossit les détails pour vous faire souffrir davantage.

Il est temps de prendre le temps de trouver une voie de passage vers vous-même!

La seule voie de passage possible est d’apprendre à vous donner beaucoup plus d’amour, encore plus d’amour, plus d’attention, énormément de  compassion et le  pardon à chaque seconde, d’avoir cru que la vie était un cauchemar fait de rejet et de manque affectif. Le processus de réparation nécessite une introspection.

Vous vous souvenez tout d’abord comment tout cela a commencé depuis l’enfance : cette impression de ne pas être accepté dans votre famille, d’être rejeté par les autres,  dévalorisé, humilié, d’être différent, de ne pas être aimé suffisamment, d’être incompris, invisible, inintéressant, délaissé, malmené, brimé, abandonné… Votre difficulté à trouver votre place!

Puis, pour développer votre amour de soi, vous devez accepter de prendre le temps  de vous asseoir un moment pour comprendre ce qui vous empêche de vivre pleinement votre vie.

C’est en vous  posant, en fermant les yeux pour ressentir intensément cette blessure de rejet, là dans votre cœur, dans votre âme, dans votre corps, que vous allez voir tous ces nœuds : la gorge serrée, le ventre noué, le rythme cardiaque accéléré, l’esprit  tourmenté par mille pensées négatives.

Ancré dans l’instant présent, vous allez ensuite porter  votre attention sur le silence extérieur puis intérieur, pour percevoir au fond de vous immédiatement, ce mal-être récurrent,  cette tristesse qui pleure sans raison apparente, ce manque affectif qui se lamente sous le même ciel toujours gris de vos pensées. En vous alliant à l’immobilité de cet instant méditatif , vous allez pouvoir observer en surplomb, toutes les sensations corporelles qui vous étouffent de l’intérieur.

C’est dans cette connexion à l’instant présent que vous allez alors accueillir  le silence qui tel un magicien, vous enveloppe, pour bercer vos chagrins de petit enfant blessé, il devient comme un point d’appui où vous pouvez vous laissez agir dans le non-agir, vous pouvez vous laisser bouger dans vos émotions sans bouger. Vous pouvez alors vous déposer progressivement au cœur de cette blessure rejet. Vous la côtoyez enfin de près. Vous pouvez la regarder, cette faille  immense et effrayante qui aspire toute votre joie  et vous pouvez ressentir les émotions désagréables qui vous serrent le cœur, les frissons qui vous glacent le corps, le découragement qui vous freine dans tous vos projets.

Prenez alors la décision de marquer comme un temps d’arrêt intérieur comme si tout se figeait pendant quelques secondes.

Vous pouvez appréciez alors ce moment suspendu rempli de grâce, où vous assistez sans rien faire à un temps de réconciliation et de paix intérieur qui favorise la rencontre entre votre blessure de rejet et votre mouvement de vie, cette force intérieure de résilience, cette lumière. En laissant chaque goutte de votre chaleur incarnée venir combler vos vides, vos sillons creusés, vos bosses, vos aspérités, vos  duretés, tout ce qui faisait obstacle jusqu’à présent à la libre circulation de la joie dans votre corps, disparaît…

Au cœur de la blessure de rejet, lorsque vous cessez de penser, d’imaginer, de supposer ce que la vie n’est pas, votre  mental s’éteint et  le silence vous pénètre encore plus profondément.  Plus vous entrez dans cette relation intime avec le silence intérieur, plus le trou béant de vos rejets semble se remplir d’un pouvoir doux et lumineux qui se diffuse jusqu’à atténuer la blessure et la transformer.

Alors vous vous pouvez vous apaiser, et le flux d’énergie libéré vient dilater votre cœur qui peut enfin s’exprimer, sortir de sa cage, déposer ses armes . Il n’y a plus de larmes,  plus d’espace resserré, étriqué, au contraire un délicieux mouvement qui s’invite pour malléabiliser les derniers résidus de cette blessure de rejet qui résiste encore un moment, puis capitule enfin et laisse votre intériorité comme nettoyée, purifiée, libérée. Vous avez la sensation qu’un nouvel espace intérieur s’ouvre pour laisser se relâcher progressivement  ce poids de rejet  si longtemps porté tel un fardeau douloureux et pour vous ouvrir à votre transformation!

La lumière intérieure se tamise et  devient le baume réparateur final,  avec un jeu de luminosité et de nuances plus douces, bleutées, orangées, rosées,  qui  viennent se déposer sur tous les manques, sur toutes les tristesses et arrive le moment fort où  le silence, l’immobilité, la lumière et le mouvement fusionnent et scellent définitivement la réparation de cette blessure qui fond alors pour laisser place à une énergie vitale renouvelée, tissée avec des fils de soie, symboles de l’amour pur, qui peut se répandre à présent sans entrave, au cœur de votre matière vivante qui devient plus souple, plus flexible, plus adaptable.

La blessure de rejet n’a plus de miroir intérieur ni extérieur. Elle est recousue de fils rouges et dorés puis plongée dans ce bain de couleurs magiques, jusqu’à se remplir totalement de belles nuances qui  remplacent définitivement  le gris de la mélancolie perçu jusqu’à lors pour laisser exploser un feu d’artifice de joie et de douceur.

Lorsque vous apprenez à  regarder votre blessure de rejet sans la fuir, elle n’a plus de place pour empoisonner votre vie et vous comprenez enfin son sens caché. C’est ainsi que vous pouvez enlever votre masque de fuyant et chasser vos amertumes. C’est à ce moment là seulement que vous apprenez vraiment à vous aimer et à vous auto-réparer et telle l’huître, qui dans son mécanisme d’auto-défense face à un corps étranger, fabrique une belle perle , vous pouvez à votre tour laisser la blessure de rejet se combler, pour se recouvrir de la texture nacrée de l’amour de soi  décuplé qui vous mène alors à une merveilleuse et brillante métamorphose, dans votre attitude et dans votre manière d’être  !

Pour donner vie à votre vraie nature, vous devez décider de vous libérer de votre blessure de rejet, grâce à votre pouvoir créateur intérieur, qui se développe avec beaucoup de persévérance et de courage! La motivation pour aller mieux ne peut que porter ses fruits ! Personne ne peut prendre cette décision à votre place mais vous pouvez vous faire accompagner dans votre développement personnel à vous transformer et à vous épanouir grâce à votre force intérieure.

Maryse Ligdamis de mesmotsdevie.fr

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N’oubliez pas de vous dire « Je t’aime » !

Il vous semble plus facile, n’est-ce pas de dire « Je t’aime », à tous ceux que vous aimez, pour les remercier d’être présents dans votre vie surtout dans les moments de convivialité où vous vous tournez plus facilement vers les autres dans un élan de partage? Pourtant, vous dire « Je t’aime » vous paraît étrange comme si vous ne méritiez pas votre attention ou alors que  pour vous,  s’aimer, c’est tellement évident qu’il n’est pas nécessaire de s’y arrêter!

Et si vous essayiez là tout de suite en lisant ces mots. Dans votre cœur, regardez-vous de l’intérieur puis de l’extérieur et dites : « Je t’aime votre prénom ou le nom affectueux que vous avez envie de vous donner » et ce, peu importe votre état d’âme du moment.

Se dire « Je t’aime », quand on est triste, contrarié, anxieux, seul, en colère…C’est la plus belle preuve d’amour !

Se dire « Je t’aime » quand on est heureux, enthousiaste, rempli d’espoir et de joie, c’est se célébrer autrement !

Si vous trouvez cela « ridicule », « enfantin », « inutile » ! Alors, faites-le quand même et peut-être même encore plus sans porter de jugement. Vous en avez sans doute besoin de manière inconsciente.  Dites-vous « Je t’aime »  à haute voix ou en pensée comment s’il s’agissait d’un temps de remerciement à vous-même, un espace de gratitude pour vous accueillir comme vous êtes.

Pour tous les moments passés à galérer, à rigoler, à vous énerver, à vous émerveiller.

Pour toutes ces fois, où vous vous sentez désespéré, triste, esseulé, incompris.

Pour tous ces matins difficiles où votre moral dit non alors que votre force intérieure vous tire vers le haut pour vous faire dire oui à la vie.

Pour tous ces petits pas pour aller à la rencontre de vous-même quand votre cœur attristé fuit les autres et les relations compliquées.

Pour ces soupirs de découragement qui ne vous empêchent jamais de vous relever, en gardant le sourire aux lèvres.

Pour ces moments de peine où vous allez chercher la solution à l’intérieur de vous sans avoir peur de vous remettre en question.

La gratitude se vit chaque jour, à chaque seconde. On est reconnaissant de tout ce qui nous arrive positivement mais on apprend aussi à remercier chaque embûche sur notre route, qui  libère notre potentiel de conquérant.

Se dire « Je t’aime » permet de ne pas se laisser tournoyer dans l’agitation autour de nous qui vient parfois impacter notre humeur et nous déstabiliser.

Se dire « Je t’aime », c’est renouveler son regard sur sa vie en valorisant tout ce que l’on fait  sans jamais baisser les bras.

Se dire « Je t’aime » aussi pour ses erreurs, pour ses colères, pour ses errances et pour ses souffrances.

S’aimer est inconditionnel, même quand on se trompe, même quand on s’égare, même dans les moments les plus difficiles, c’est là où l’on doit s’aimer encore plus fort !

S’aimer pour ne jamais s’oublier dans ses choix, dans ses besoins, dans ses décisions  !

L’amour de soi n’est pas une idée floue et imprécise. L’amour de soi s’écrit avec des mots pour apaiser ses maux quand la volonté faiblit et qu’on se laisse repartir vers des défauts, des hésitations, ou des doutes voire des dévalorisations.

L’amour de soi se cultive, matin, midi et soir, et à chaque instant, quand l’on peut revenir vers soi pour se recentrer sur ses objectifs  et pour prendre de ses nouvelles.

L’amour de soi nourrit chaque limite que l’on met dans sa vie pour ne pas subir les autres mais pour leur donner leur juste place, ni plus, ni moins, avec toujours un esprit positif et ouvert.

Lorsqu’on apprend à se remercier pour le courage que l’on déploie, pour gérer ses émotions, pour faire respecter sa personnalité, on sait qu’il n’y a pas de dissociation entre l’être que l’on est et l’être de relation qui va vers les autres. On vit à partir de cette globalité et c’est ce qui fait notre équilibre.

Aimez  donc chaque petite faille de votre être, même vos difficultés à trouver votre place, votre peur de ne pas être à la hauteur, ce petit regard moqueur ou condescendant que vous avez parfois sur vous-même ! Ce petit rictus de grimace qui montre votre colère ou votre agacement quand on vous parle « mal ».

Se dire « Je t’aime », c’est se redonner confiance quand le regard s’assombrit sur la vie. Quand on se sent à bout de souffle comme épuisé de devoir toujours faire face.

L’amour de soi, c’est un merveilleux écrin satiné qui fait briller la valeur que l’on se donne à nos propres yeux parce qu’on est bien là où on est et qu’on sait qu’on fait toujours de notre mieux.

Peu importe les périodes, les jours, le calendrier, nous ne devons jamais cesser de nous aimer.

Alors, n’oubliez pas de vous dire « Je t’aime ». Les « Je t’aime «  que l’on peut dire aux autres, n’a pas d’âme ni de puissance quand ces mots ne sont pas reliés au cœur même de votre être.

« C’est parce que je m’aime que je peux aimer au vrai sens du terme, c’est-à-dire donner ma compréhension, ma bienveillance, mon affection, mon respect. »

Alors, n’est-ce pas le plus beau des cadeaux à s’offrir? Tout le reste en dépend, soyez-en conscient ! N’oubliez pas de rester connecté intérieurement à votre belle Présence, vous le méritez plus que tout!

Maryse de Mes Mots de vie

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S’aimer est plus fort que d’être aimé !

L’amour de soi est la clé de votre épanouissement ! Lorsque vous vivez à distance de vous-même dans un rapport défaillant à votre être véritable, vous êtes toujours tourné vers l’extérieur dans l’attente d’une reconnaissance ! Même quand vous rencontrez du succès, il demeure en vous un sentiment d’insatisfaction indescriptible, comme une impression d’un manque ou d’un besoin. Mais vous n’arrivez pas à savoir au final ce qui vous empêche d’être pleinement heureux !

Toujours attendre des autres une validation est un signe que vous n’êtes pas en phase avec vous-même ! Comment des personnes extérieures pourraient-elles mieux vous connaître ?

Au fil de votre vie, vous prenez conscience de cette nécessité intérieure de vous recentrer sur vous-même, à la conquête d’une qualité de relation de soi à soi dans une présence plus attentive  à ce qui vous anime au plus profond de vous. Comme une manière de répondre à cet appel intérieur que vous entendez enfin et qui vous ramène à une autre manière  de voir la vie.

Vivre devient alors  une priorité pour vous-même, pour vous s’emboiter dans chaque seconde qui passe. C’est  comme caresser le temps avec votre cœur. C’est vous offrir à vous-même, une pleine écoute de ce que vous désirez vraiment, en vous focalisant sur ce qui vous procure une joie ineffable, pas sur ce qui vous tiraille ou sur ce qui vous assaille. C’est grâce à ce rapport plus doux et plus  bienveillant que vous pouvez  accueillir avec  tendresse vos moments de doutes, vos souffrances profondes,  vos cauchemars terribles quand tout vous fait peur et cela, sans culpabiliser.
Vous vous autorisez à vivre en toute liberté vos émotions sans chercher à les masquer. Vous vous laissez vivre enfin pleinement !

Le non-jugement devient pour vous une base plus solide et plus confortable qui vous permet d’ériger vos projets de vie dans une intention d’élévation et non plus de simple confort ! Chaque minute s’habille de votre attention plus soutenue à vos envies, à vos rêves. Il ne s’agit plus d’ambition froide et démesurée mais toujours d’une recherche de plus de justesse et d’accordage à votre existence!

La vie cesse d’être une simple routine avec des habitudes et des principes, elle devient une merveilleuse aventure de chaque instant où le culte de la nouveauté vous permet de ne plus vous ennuyer. Ce n’est plus une expérience sans ancrage, c’est au contraire  embrasser tous les possibles dans une soif de tout connaître, de tout comprendre pour mieux exister en ouvrant votre regard vers l’infini !

Le vide devient un espace à remplir ! Le plein déborde vers les autres pour les inciter à leur tour à partir à la découverte d’eux-mêmes ! Vous rayonnez de cette unité parfaite entre votre corps et votre  esprit à travers la chaleur humaine  que vous dégagez et qui devient le centre de toute relation aux autres. C’est à travers la recherche de cette réciprocité que vous communiquez dans un échange constant de ce qui vous anime intérieurement dans chacune de  vos rencontres et qui vous permet de développer plus de  compassion et plus de gratitude !

Plus vous apprenez à vous aimer, plus vous vous connectez à tous vos talents cachés, à toutes vos potentialités jamais exploitées !

Vous ne craignez plus rien, vous devenez curieux, vous vous découvrez dans une tendre complicité ! Vous riez face à vos hésitations, vous trépignez d’impatience pour partir à la découverte de vous-même. Vous devenez gourmand de ces moments précieux comme des rendez-vous intimes pour mieux vous connaître.

Vous ne vous fuyez plus, vous vous aimez ! Vous trouvez du temps pour vous le dire, pour vous consacrer à prendre soin de vous, c’est votre priorité. Et vous prenez conscience que cela vous donne plus de confiance en vous et tout se simplifie . L’amour de soi devient l’axe sacré de votre rapport à la vie.

Comment atteindre cette sérénité en 5 étapes ?

  1. Si on ne vous aime pas pour ce que vous êtes, ne vous forcez pas à plaire à tout prix, ses efforts sont inutiles et épuisent votre énergie. Dites-vous tout simplement que ce chemin n’est pas le vôtre et que le meilleur vous attend ailleurs.
  2. Laissez venir à vous les personnes qui vous ressemblent car elles sont plus nombreuses que vous ne le pensez. Elles n’attendent que vous. Faites-leur de la place en ouvrant votre cœur !
  3. Soyez conscient de vos qualités et de votre valeur. Ne laissez plus personne vous dévaloriser. Fuyez ceux qui vous font vous sentir petit. Redorez votre estime personnelle en étant fier de vous, de votre parcours, de votre persévérance et surtout de votre résilience ! Faites taire votre égo !
  4. Ouvrez les bras pour accueillir la vie en grand. Cessez de vous démoraliser pour ce qui ne vous appartient pas. Chacun fait ses choix et doit les assumer. Ne vous enfermez pas dans un sentiment de culpabilité, redonnez à chacun ses responsabilités.
  5. Ne perdez plus votre temps à essayer de comprendre les mauvaises attitudes des autres. Pardonnez, remerciez la vie pour cette expérience et poursuivez votre chemin. Inutile de chercher à vous justifier pour qu’on vous comprenne. Quand vous comptez pour quelqu’un, vous n’avez pas besoin  de chercher à convaincre, tout se fait tout seul.

Atteindre sa sérénité, c’est se rapprocher de  soi, en ne laissant plus à quiconque la possibilité de vous faire douter. Quand vous vous aimez inconditionnellement, vous n’êtes plus en attente de l’affection des autres. Vous vous libérez de la souffrance du manque affectif et vous gagnez en proximité avec vous-même un peu plus  chaque jour.

Plus vous apprenez à vous connaître, plus votre rapport à la vie se radoucit. Faites donc confiance totalement à votre force de vie. Confiez-lui vos peines et laissez faire votre mouvement sensoriel. Vous apprendrez à diluer vos émotions trop lourdes en les regardant bien en face jusqu’à les chasser . Aucun reproche ne pourra plus vous atteindre. Seul l’amour  se diffusera jusqu’à vous.

Répétez tous les jours cette phrase comme un baume sur vos blessures pour les apaiser: « Je me reconnais et je m aime chaque jour un peu plus fort. »

Ne passez pas votre vie à vous faire piétiner le cœur par des personnes  qui ne vous méritent pas au final. Il est temps de vous retrouver.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Apprendre à accueillir sa peur d’aimer !

Le mot « amour » et ses connotations émotionnelles !

Qu’on en parle ou pas, un mot revient dans tout ce que nous faisons, c’est bien le mot « amour » avec tous ces dérivés passionnels. « Manquer d’amour, avoir besoin d’amour, filer le parfait amour, l’amour de soi, un amour impossible, un amour à sens unique, la saison des amours, avoir peur de l’amour,  … »

Comment faire pour s’extraire de la résonance intérieure de ce mot qui nous effraie ?

Tout ce que nous entreprenons finit irrémédiablement par mener à l’idée que l’on s’en fait !  Notre vie toute entière respire à travers le sens et la place qu’on lui donne ! Est-ce un simple sentiment d’affection ressenti  pour quelqu’un, pour les autres, pour soi-même ou un besoin intense d’être en relation pour exister pleinement ?  Est-ce un cocon de tendresse où l’on souhaite  s’immerger à jamais ou une tempête  dévastatrice qui nous fait fuir dans le sens opposé ?

Certaines vont jurer qu’ils peuvent s’en passer, qu’ils n’en ont pas besoin, d’autres après avoir souffert un enfer, ne veulent même plus essayer, d’autres encore persévèrent et espèrent réussir à l’amadouer, à le maîtriser, à le posséder …On en parle comme d’un animal à la fois attirant et redoutable ! Il nous rend  peureux mais également irrésistiblement curieux!

Mille pensées l’accompagnent :

  • Combien de temps cela va-t-il durer ?
  • Quelqu’un va-t-il m’aimer ?
  • L’amour fait souffrir, à quoi bon !  
  • Il vaut mieux être seul que d’avoir le cœur brisé !

Pour résumer, l’amour s’affiche en grand comme un sentiment fort et  incontournable dans notre vie mais ce qui prédomine, ce sont avant tout les conséquences inévitables que l’on redoute : perdre sa liberté, être blessé, devenir dépendant, souffrir , être trahi, vivre l’infidélité, le mensonge, la manipulation…Ainsi tout en occupant la première place dans le hit-parade des émotions, l’amour est considéré comme un ennemi cruel et sournois qui va inévitablement tôt ou tard nous ronger l’âme et nous nuire, si on y succombe !

Pourtant quand on ferme les yeux, c’est à l’amour qu’on rêve . Au grand Amour ! A l’amour inconditionnel des autres ! A l’amour protecteur de soi ! On veut aimer et être aimé, c’est un leitmotiv comme une obsession inconsciente qui dicte tous nos faits et gestes, qui nous fait vivre avec le cœur ouvert ou fermé !

L’amour erre dans notre âme et  tourbillonne dans nos pensées intimes, il nous fait trembler.  Il nous attire comme on respire, il nous consume comme on frissonne. Il laisse notre cœur s’emballer, notre esprit divaguer et notre corps se brûler !

L’amour a des yeux envoûtants derrière son regard brûlant. Il a des lèvres exquises avec ses baisers fébriles. Il a des mains de velours qui nous parcourent jusqu’à en perdre la raison. Il chatouille nos envies sans répit, il nous entraîne dans la déraison pour nous basculer dans la passion !

Comment changer de rapport à la peur d’aimer ?

L’amour se définit avant tout par sa charge émotionnelle, son emprise « addictionnelle » et son rapport à la fois fusionnel et confusionnel qui ne  laisse personne indemne. C’est un peu comme si aimer signifiait se perdre quelque part pour  ne plus jamais se retrouver en entier!

Les expériences passées laissent un goût souvent amer qui freine tout élan ou qui  met d’emblée en résistance ! Ceux qui ne se sont jamais lancés, sont tétanisés par la souffrance qui semble l’accompagner! Ils ont peur de ne jamais s’en remettre comme s’il s’agissait d’une terrible et effrayante maladie !

A force d’entendre les autres en parler négativement, c’est comme si on attestait qu’il valait mieux ne pas éprouver de sentiment amoureux pour rester sain de corps et d’esprit pour continuer à contrôler sa vie.

D’ailleurs, par la même occasion, on se bloque aussi à la possibilité de s’ouvrir à l’amour de soi, comme si on ne le méritait pas suffisamment et que de toute façon, cela ne servait à rien ! Vivre à distance de soi et des autres semble être la meilleure voie pour moins souffrir, en tout cas c’est ce que certains se forcent à penser ! « Mieux vaut être seul que mal accompagné » !

Mais, au final, est-ce vrai ? Est-ce que se condamner à garder le cœur fermé n’est pas antinomique de la valeur profonde du sens de la vie ! Est-ce que bannir l’amour de nos pensées est vraiment possible quoiqu’on en dise ? Est-ce que ceux qui jurent ne pas avoir besoin d’éprouver des sentiments amoureux pour être bien dans leur peau, ne se mentent pas à eux-mêmes pour ne pas craindre de se tromper ! Est-ce que toutes les histoires d’amour finissent vraiment mal en général? Et puis, quand bien même n’est-ce pas donner du sens à sa vie que d’aimer, d’aimer et encore aimer ! Pourquoi s’en priver alors que cela tourne en boucle dans nos pensées comme associé à un manque, à une privation, à une malchance !

Et c’est pour ça qu’on souffre, qu’on souffre encore et encore, et c’est pour ça qu’on pleure qu’on pleure toutes les larmes de notre corps, à côtoyer le gouffre de si près, à souffler le doute sur ce que l’on redoute si fort, qu’on finit par se brûler intérieurement de ne pas aimer, de ne pas s’aimer parce qu’on craint d’avoir tort !

Et si on dédramatisait un peu tout ça ! Si on sortait de toutes ces envolées contestataires autour du sentiment d’aimer pour revenir à une idée plus légère de l’amour ! Si on le « désincarcérait » de cette prison des émotions mal gérées, des ordres et des croyances qui l’engluent dans son aspect le plus hideux ! Et si on arrêtait d’y mettre des enjeux démesurés comme un ordre qu’on donne à  l’autre à qui on confie la mission de nous aimer, pour devenir responsable de notre bonheur ?

Et si aimer n’était plus ni une obligation ni une interdiction mais juste un mouvement libre vers le plus beau et le plus grand de soi ? Vers cette énergie  qui nous invite dans son élan. Vers cette nécessité intérieure qui fait battre notre cœur ? Vers cet appel qui vibre au plus profond de nous pour nous faire aimer la vie tout simplement !

Quelle importance donne-t-on au final à cette intention d’aimer et d’être aimé! Quel poids veut-on lui faire porter ? Avec quelle attitude intérieure accompagne-t-on cette démarche vers l’autre, vers soi, vers la vie ?

Si on avance ainsi verrouillé dans la cage de nos émotions, dans la forteresse de nos peurs, comment vouloir vivre l’amour sereinement ? Comment  vouloir vivre tout simplement?

Il faut choisir de se guérir de cette peur d’aimer en arrêtant de comparer ce que l’on veut vivre à un imaginaire, à un idéal imposé  par la Société !

Quelle dimension choisissez-vous de donner à cette force d’aimer, à cet art de co-créer avec l’autre un morceau ou tout un chemin ensemble ! Il n’y a pas de petite ou de grande histoire d’amour ! Il y  a juste un fil d’or qui s’étire entre deux cœurs pour s’emmêler et les lier le temps d’un partage d’émotions, de sentiments, de vibrations pour former une romance ou  une destinée !

C’est dans l’intensité de ce verbe créateur « aimer » que l’on peut mieux comprendre notre passage sur Terre le temps d’une incarnation ! De blessures en fêlures, de peines en détresse, de maux en mots, tout mène à la guérison, à la réparation, à la réconciliation avec soi-même jusqu’à retrouver la paix intérieure. Celle qui jamais ne s’ébranle, si on sait la retrouver là au fond dans notre intériorité intacte qui devient  comme notre refuge pour filtrer ce qui nous effraie, pour apprendre à nous renouveler et à nous réajuster à chaque seconde.

On ne peut jamais se couper de cette vague intérieure qui nous anime l’âme, même quand le cœur est abîmé, il reste cette force puissante et agissante en nous, pour nous pousser à nous relever et à repartir de plus belle, pour  conquérir la vie et les multiples projets qu’elle a pour nous !

Aimer, c’est ne jamais oublier qu’on est tous fait de cette énergie, celle du cœur , c’est le moteur de notre être, notre motivation intérieure !

Bien sûr, il faut attendre que le temps panse les plaies les plus difficiles à cicatriser. Bien sûr, il faut accepter  de se dire co-responsable du fait de souffrir ! Bien sûr, il ne faut pas y renoncer comme s’il s’agissait d’un sacrifice innommable !

Mais guérir de la peur d’aimer, c’est le plus beau cadeau à s’offrir,  pour reprendre goût à la vie, pour rééquilibrer ce qui vous fait souffrir, pour s’offrir un nouveau départ, avec une nouvelle flamme à entretenir, à raviver, à maintenir, un peu comme si c’était ce qui vous maintenait en vie !

Alors choisissez de vivre pour guérir cette peur d’aimer en suivant votre mouvement intérieur, votre force d’aimer, rien d’autre, en vous laissant guider par un vent plus léger, une envie  de vous amuser, de vous lancer le défi de ne pas abandonner, de ne pas vous décourager ! Plus vous enlèverez à l’amour ce poids trop lourd qui l’accable, plus vous vous laisserez porter par ses ailes de légèreté et de gaieté qui allègeront votre rapport à  l’amour en lui donnant plus de fluidité !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire du mal ?

Les pièges relationnels !

Au fil de votre existence, vous déambulez à tâtons dans les ruelles sombres de vos difficultés relationnelles. Pas à pas, vous hésitez face à l’incapacité à pouvoir comprendre comment les autres fonctionnent. Alors vous dérivez d’un port à l’autre, vous marchez sur un fil en équilibre, pour ne pas chuter dans le gouffre de vos appréhensions, face à ces êtres parfois malveillants qui vous attendent pour tisser des toiles, qui leur servent à capturer ceux qui se laissent manipuler par leurs illusions, par leurs faux sourires et par leurs fausses attentions !

Vous prenez le cap de la vie, en vous jurant de rester éternellement fidèle à vos valeurs de sincérité et d’honnêteté,  et naïvement, vous imaginez que les autres en feront de même ! Vous ouvrez votre porte relationnelle à tous ceux qui par leur attitude semblent vous tendre les bras. Vous les accueillez en pensant que vous vous ressemblez suffisamment, pour interagir ensemble avec les mêmes valeurs et avec le respect mutuel comme base de relation à l’autre ! Aveuglé par la lumière de votre soleil intérieur, vous croyez en un monde de bienveillance et de tolérance, et vous avancez le cœur ouvert et généreux avec l’intention positive de demeurer altruiste, quoiqu’il advienne, en partageant avec les autres bien plus que de la convivialité, des moments de confidences intimes et privées !

Vous êtes alors loin de vous imaginer ce que sont les pièges des relations humaines ! Vous laissez entrevoir à l’autre jusqu’à votre âme et même un peu votre jardin secret ! Vous vous sentez, tellement en confiance et entouré,  sur la même longueur d’onde, que vous ne vous doutez pas encore qu’on joue avec vos sentiments et avec vos émotions pour vous contrôler !

La joie d’entrer en relation totalement et pleinement avec les autres, est pour vous comme la seule et unique manière de voir la vie. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas pour les autres ! Cela peut dégénérer très vite en un cauchemar indicible, et tout ce que vous  acceptez à contrecœur pour ne pas vexer l’autre, ou pour lui faire plaisir ne sert à rien au final, si vous tombez sur de fins manipulateurs qui le sourire aux lèvres n’auront qu’une seule et unique intention, vous faire souffrir !

Bas les masques !

Le carnaval se vit au quotidien. Combien de visages masqués et de cœurs fermés ! Lorsque vous tendez la main vers quelqu’un, vous ne savez pas encore que peut-être vous vous  liez à celui ou celle qui sèmera le trouble dans votre vie à jamais ! Pas un sourire, ni un regard ne peut laisser voir la duplicité et la fourberie de certains êtres malveillants, qui guettent des proies faciles pour les entraîner dans leur monde factice fait de mensonges et de ruses !

Quand vous découvrez la vraie personnalité d’un « pseudo ami », d’un collègue ou de quelqu’un de votre famille ou de votre entourage proche,  vous vous demandez parfois jusqu’à quel point vous vous êtes laissé tromper et  jusqu’à quel point on vous a laissé croire à des sornettes et à des balivernes pour vous amadouer, et pour vous faire penser qu’on vous appréciait ! Pourquoi vos yeux ont-ils refusé de voir les stratégies de l’autre, pourtant évidentes, ses manigances et ses plans machiavéliques pour vous faire du mal à votre insu ?

Et vous culpabilisez … ! C’est de votre faute, à faire confiance trop vite, vous avez  fini par tomber dans des pièges pourtant prévisibles ! Alors vous vous  promettez de ne plus jamais recommencer,  vous décidez de rester seul pour ne plus susciter de jalousie ni de trahison et pour ne plus être  maltraité !  Mais tout cela n’est pas normal en soi, surtout quand les personnes malfaisantes réussissent à vous faire porter la responsabilité de leurs propres agissements ! Ce n’est pas à vous de fuir ni de vous cacher ! Au contraire !

Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire souffrir ?

Vous prenez conscience que des signes existent dans les relations toxiques, comme ces étranges malaises qui vous prennent quand vous côtoyez ces vampires émotionnels ! Comme la difficulté à prendre votre place malgré vos efforts acharnés, alors que personne ne vous y aide ! Cette souffrance lancinante à chaque fois que vous osez vous affirmer ! Et ces nombreuses fois où vous préférez pardonner, tellement vous ne voulez pas perdre une relation, à force de trop aimer !

Aimer les autres, ce n’est pas anormal mais quand on accepte leur manque de respect par affectivité, on n’est plus dans l’empathie mais dans les conséquences et dans les effets désastreux  des relations perverses narcissiques et malsaines !

Combien de fois avez-vous le cœur déchiré par l’envie de tout dire pour obliger ceux qui agissent mal à affronter leurs mauvais comportements ? Mais à chaque fois, vous vous taisez car vous vous dites que vous souffrez sans doute d’un manque de confiance en soi qui vous fait voir le mal partout ! Et puis, qui va vouloir vous croire? Les manipulateurs savent brouiller les pistes et faire passer leur victime pour des mauvaises personnes et  l’attitude d’isolement et de renfermement sur soi-même pour se protéger ne peut que leur donner raison ! « Ce n’est pas quelqu’un de fiable ! » murmurent-ils dans votre dos à qui veut bien l’entendre, c’est ainsi qu’ils sèment la médisance autour de vous, n’ayant rien de mieux à faire ! Seuls ceux qui leur ressemblent finiront par  y croire. Ces êtres odieux  signent ainsi par leur agissement leur propre culpabilité !

Il est urgent d’ouvrir les yeux sur la vraie réalité !

Pas celle que vous fabriquez dans votre tête sur la relation que vous idéalisez, pas les efforts que vous faites de manière surhumaine pour vous faire aimer en vain ! Non, une relation se vit non pas comme un combat ou comme un territoire à conquérir mais juste dans l’élan d’un mouvement spontané de votre cœur vers celui ou vers celle avec qui vous voulez vous lier sans effort, sans attente, sans souffrance !

Vous pouvez passer une vie à vous laisser fourvoyer par des personnes malhonnêtes qui trahissent la confiance que vous leur donnez, sans vous en rendre compte. Tellement vous vous bercez d’illusions, vous ne voyez pas clair en leur jeu, comme s’ils vous aveuglaient pour vous tromper! Quand la vérité éclate au grand jour, à un moment souvent difficile de votre vie, il ne vous reste que vos yeux pour pleurer, d’avoir cru que vous étiez important pour ces personnes au point de vous oublier vous-même et de les laisser vous manquer de respect ! Vous vous sentez tellement trahi et sali par de telles manigances que vous avez du mal à vous en remettre !

Vous ne voulez plus  être victime de votre naïveté mais il est difficile, quand on a le cœur généreux de s’obliger à devenir « égoïste », comme si on devait fermer la porte à la vie elle-même définitivement. On est souvent  triste de ne pas savoir écouter cette petite voix intérieure qui nous murmure « stop » en cas de danger ! Plutôt que de baisser les bras, choisissez d’ activer votre pouvoir créateur et grâce à vos intuitions de mettre fin ainsi au règne de la malveillance et de la manipulation, en révélant toujours  au grand jour la vérité !

On ne peut jamais vraiment s’expliquer un fiasco relationnel. Tant d’énergie déployée à aimer, à pardonner, à valoriser, à estimer l’autre qui est concentré en vain sur ses propres intérêts personnels ou sur ses objectifs pour réussir à soumettre, pour contrôler pour parvenir à ses fins, sans jamais éprouver le moindre petit sentiment venant du cœur : de la manipulation à tout point de vue !

Tous ces moments perdus sont pénibles à vivre mais combien de fois fermez-vous les yeux sur ce qui paraît tellement évident ! C’est ce qu’on appelle laisser les autres dépasser  les limites du respect, qu’ils doivent à tout prix vous accorder dans toute relation !  A trop vous impliquer, vous finissez parfois par vous perdre. Vous oubliez de  protéger votre cœur en vous engageant trop vite, les yeux fermés !  Vous y allez avec votre générosité et votre envie de croire que quels que soient les défauts de l’autre, il finira par changer, pour vous accepter et pour vous aimer ! C’est là que vous vous trompez le plus ! Vous laissez l’autre pénétrer dans votre espace le plus intime jusqu’à lui laisser voler vos états d’âme et dérober  vos tourments pour s’en servir comme des points faibles  et ainsi  mieux vous dominer en vous faisant souffrir !

Plus vous devenez dépendant d’une relation, plus vous êtes incapable de  surmonter seul les difficultés de la vie ! Tout cela perdure un bon moment mais ne peut continuer indéfiniment ! La souffrance a des limites, quand vous décidez d’ouvrir vos yeux pour sortir de cet état d’isolement dans lequel on vous plonge,  vous décidez d’apprendre à mieux vous connaître pour essayer de comprendre cet étrange sentiment de malaise qui vous envahit dans cette relation jusqu’à vous rendre malade.  Soudain tout s’éclaire,  vous n’arrivez plus à supporter l’insatisfaction absurde que génère ce lien, et  arrive la goutte d’eau qui fait déborder le vase déjà trop plein de vos émotions et des nœuds intérieurs qui vous bloquent dans votre déploiement personnel! Vous comprenez alors que vous êtes traité depuis toujours comme un « chien dans un jeu de quille » ! Vous réussissez enfin à élucider la zone d’ombre et à voir l’illusion de la relation !

Qu’est ce qui vous fait mal dans cette relation ? Qu’est ce qui ne se dit pas et  empoisonne chaque interaction ? Qu’est-ce qui est caché derrière ces reproches et ces exigences qu’on a de plus en plus à votre égard ? Pourquoi vos réussites suscitent-elles de plus en plus de jalousie comme si on cherchait sans cesse à éteindre votre lumière, à diminuer votre valeur ? Qu’est-ce qu’on n’accepte pas dans votre personnalité et dans votre manière d’être ? Qu’est-ce  qui dérange  l’autre  au point de le fâcher et de vouloir sans cesse vous nuire ? Pourquoi est-ce nécessaire de se contraindre sans aucun rapport fluide ?

C’est ici que se situe la vérité dans cette incapacité à s’entendre durablement avec quelqu’un au fil du temps et quel qu’en soit le sujet! Comme si à chaque fois, vous devez vous forcer pour que l’autre ne soit pas en colère ! Qui doit à chaque fois céder, concéder ou se sacrifier dans cette relation? Si c’est vous, alors vous avez compris que cette relation est vouée à l’échec et que l’autre dissimule la vraie nature de ses sentiments, inutile d’insister, vous perdez votre temps ainsi que votre santé, tôt ou tard, tout finira par basculer !

Quand vous reprenez les rênes de votre vie, vous n’acceptez plus de laisser l’autre vous manquer de respect, en bafouant votre personnalité, pour vous obliger à jouer le rôle d’une personne  négative et agressive que vous  n’êtes pas. Seules les personnes toxiques réussissent à faire ressortir les défauts de quelqu’un ! Mieux vaut tard que jamais!

Cela nécessitera une véritable reconstruction émotionnelle, après une telle catastrophe relationnelle. Se faire  maltraiter pendant des années laisse de lourdes traces émotionnelles, comme si vous vous étiez perdu très loin de vous-même !  Vous devez mettre un terme à toute relation malsaine, c’est la seule manière de vous accorder un long moment de guérison intérieure pour réussir à faire taire la souffrance qui demeure après une relation ratée !

Ne laissez plus jamais personne vous faire du mal ! Réagissez dès les premiers signes de malaise. Quand vous vous sentez mal au contact de quelqu’un, faites confiance à votre radar relationnel, il ne se trompe jamais ! Dites-vous surtout que dans toute relation, la première règle obligatoire et non négociable, c’est l’amour et le respect de soi :  l’autre doit vous accepter  comme vous êtes, sinon ce n’est pas la peine d’insister !

Croyez en vos propres valeurs et en votre liberté d’action, ne laissez plus personne mal vous traiter, vous méritez l’amour et la bienveillance, soyez-en convaincu ! Croyez en vous et  les autres devront faire acte de sincérité et d’authenticité . Fuyez les gens superficiels et préférez les gens vrais, vous ressentirez même à distance, la chaleur de leur cœur connecté à leur âme ! Refusez les relations désincarnées !

Maryse de Mes Mots de vie

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Ne pas savoir aimer est destructeur

L’amour est un sentiment pur, noble et précieux. Il se définit par ce lien d’affection qu’on noue aux autres dans une intention de réciprocité animée par la chaleur du cœur.

L’amour n’est donc en aucune façon ni manipulation, ni domination ni soumission.

Le pouvoir de l’amour vrai est immense tant il nourrit tous les élans et active toutes les plus hautes aspirations. Aimer c’est beau, c’est délicat, c’est être attentionné à l’autre en lui souhaitant à chaque instant  le meilleur pour l’élever vers ses idéaux même si cela l’éloigne de vous.

Quand ce sentiment se perd dans le brouillard des illusions, il est difficile de comprendre les agissements de ceux qui pervertissent l’amour en un sentiment d’obligation.

Même si on aime amoureusement ou affectueusement comme au sein des familles ou dans des relations amicales, l’amour reste toujours libre, il n’a jamais des nuances obscures, il se décline dans des tonalités douces et vives, il est le symbole même de la lumière dans toute sa vérité. Il n’y a pas d’amour dans les reproches, il n’y a pas d’amour dans les critiques ni dans les mensonges ni dans les actes malveillants et encore moins dans la jalousie ou dans les reproches.

On ne fait pas du mal à l’autre par amour. On ne se venge pas par amour pour pousser l’autre à admettre ses fautes. Agir ainsi est très loin, très loin de l’amour. A ce moment-là, ce sentiment qui doit toujours être positif et valorisant est remplacé par son opposé au pouvoir terrible et destructeur car on le sait, « il n’y a qu’un pas de l’amour à la haine »…

Bien sûr celui qui ne sait pas aimer, accuse toujours les autres de tous les travers, du manque de reconnaissance, du manque de compréhension, du manque de proximité. Vous avez donc compris que celui qui souffre lui-même d’un manque d’amour n’est pas capable d’aimer pleinement sans vouloir priver l’autre de sa liberté.

S’aimer est plus fort que tout

Avant de vouloir faire porter la responsabilité aux autres de vos difficultés à aimer, tout individu doit avant tout, commencer par analyser sa relation à l’amour. Très vite, les réponses vont le renvoyer à l’enfance et à ses blessures qui laissent malheureusement des traces indélébiles qui doivent être guéries impérativement  par des thérapies adaptées. Le risque serait de faire rejaillir sur les autres, tous les manques dont on a pu souffrir  à n’importe quel âge ! Ne pas savoir aimer n’est donc pas un défaut que l’on ne peut changer.  Il faut s’engager à développer l’amour de soi comme un élixir puissant qui vous permettra de pouvoir aimer l’autre.

Ne pas savoir aimer est terrible et destructeur ! Cela signifie que si on se voile la face en évoquant des sentiments d’amour pour l’autre alors qu’on est incapable de s’aimer soi-même, très probablement la relation souffrira de ce manque et finira par des conflits.

Qu’est-ce que cela signifie « s’aimer soi-même » ?

Apprendre à  vous aimer vous-même  c’est apprendre à vous connaître par cœur : vos goûts, vos talents, vos points faibles, vos points forts, vos limites, votre potentiel ! C’est vous assumer comme vous êtes sans vouloir manipuler ou prendre le pouvoir sur autrui dans l’intention de lui faire croire que vous l’aimez plus que tout. L’amour ne s’encombre pas de cette idée de combler l’autre de cadeaux pour soi-disant lui prouver votre amour. Au contraire, s’aimer c’est laisser à l’autre tout l’espace nécessaire pour son total épanouissement. C’est occuper la juste place qui laisse à l’autre la possibilité d’exister à son tour. Il ne faut pas créer de déséquilibre néfaste à l’amour. S’aimer soi-même c’est se respecter totalement et ne jamais donner aux autres la possibilité de vous manquer de respect !

Ne pas savoir s’aimer soi-même, c’est donc ne pas accepter qui vous êtes au final, votre statut, votre histoire de vie, votre origine, votre personnalité, … la liste est longue. C’est se trouver souvent tous les défauts de la Terre.

Ne pas s’aimer c’est être tellement mal avec vous-même que vous attendez que quelqu’un arrive pour vous sauver. L’amour n’est pas une histoire de secours.

De même  se percher très haut sur son piédestal pour faire croire qu’on maîtrise le monde, qu’on est omnipotent, et ce afin d’attirer l’autre, c’est une attitude de faiblesse qui cache  un manque de confiance en soi masqué par cette assurance déguisée et ce besoin de tout contrôler.

Quand on aime, on partage tout, on n’a pas besoin  d’envahir l’espace de l’autre !

S’aimer  n’est en rien synonyme d’égoïsme ou de narcissisme, c’est éprouver pour soi-même ce que vous voudriez que les autres ressentent pour vous. S’aimer c’est cette joie ineffable de pouvoir  se retrouver seul  à des moments choisis pour prendre soin de soi, pour avoir du temps pour soi, pour s’offrir à soi-même beaucoup de tendresse et de compréhension. S’aimer c’est avoir pour soi autant de compassion  qu’on en a pour les autres. Lorsqu’on s’aime, on reste totalement libre de ses choix, de ses décisions, de ses projets. Lorsqu’on s’aime, on se comprend, on apprend de ses propres attitudes, de ses propres comportements. Lorsqu’on s’aime, on s’ouvre à l’amour des autres sans peur, sans méfiance car on ne craint rien…

Ne pas s’aimer est destructeur car lorsque vous allez offrir votre amour aux autres, vous allez l’obliger à vous aimer, à combler vos manques, à réparer vos fêlures, à compenser vos failles et à répondre à toutes vos attentes. Cela n’est pas sain, il n’est pas envisageable de demander à quelqu’un d’autre de faire à votre place ce travail d’introspection nécessaire pour vous réconcilier avec vous-même, pour vous réparer afin de partager des relations plus apaisées.

Ce sentiment de « ne pas savoir aimer l’autre » existe dans tout type de relation. Par exemple, une mère qui a une défaillance dans son rapport à elle-même peut attendre de ses enfants cette obligation de dévouement insoutenable et toxique qui va détruire la vie de ses enfants, il en est de même dans un couple, ou entre amis …

L’amour est donc un sentiment complexe, il ne suffit pas de dire « Je t’aime », encore faut-il en percevoir tout le sens de cet engagement envers l’autre, toutes les concessions nécessaires, tous les accordages à faire pour ne pas forcer l’autre à vous aimer, pour laisser déborder naturellement  la chaleur et l’ouverture du cœur sans emprisonner l’autre dans une cage dorée, sans limiter son territoire , sans le pousser à se réduire ou à se restreindre par amour.

L’amour est la plus grande des libertés, aimer l’autre avec le cœur ouvert c’est le laisser libre de ses actes, de ses mots, de sa vie. C’est le regarder s’épanouir sans crainte de le perdre, c’est vouloir le pousser vers ses plus hautes ambitions, c’est l’aider toujours à garder sa liberté d’être.

On peut apprendre à aimer si on a l’impression de ne pas savoir  le faire, en être conscient, c’est s’autoriser à découvrir le vrai sens du verbe « aimer » et à vivre dans l’amour inconditionnel qui vibrera alors tout autour de vous dans un halo magique destiné à déborder de votre cœur vers le cœur des autres. L’amour n’a pas de chaîne…

Maryse de Mes Mots de vie

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Vous méritez votre propre respect et celui des autres !

Et si on définissait ce qu’est le respect pour vous ? Tout d’abord, c’est un sentiment que vous devez vous accorder à vous-même pour pouvoir ensuite l’exprimer aux autres à travers  la considération et la valeur que vous vous  reconnaissez et que vous devez également porter à l’autre.

Le respect se manifeste ensuite par une attitude de bienveillance envers soi-même et envers autrui avec le souci constant de ne pas  porter atteinte  à soi ou à l’autre et de ne pas heurter inutilement, physiquement ou psychologiquement.

Respecter, c’est donc faire attention  à ce que peut ressentir l’autre quand vous interagissez avec lui sans être trop abrupt ou directif. C’est en somme faire preuve de flexibilité et d’adaptabilité en ayant de la considération et de l’estime envers l’autre quelque soit sa personnalité. C’est aussi accepter ses différences sans chercher à le formater selon votre modèle, et ce même si vous n’êtes pas d’accord avec sa manière d’être, de vivre ou avec ses idées.

Tout cela s’avère difficile à appliquer au quotidien surtout dans les relations humaines et dans la communication, et demande un accueil nécessaire de la singularité de chacun.

Pensez-vous être respecté dans votre vie ? D’ailleurs, est-ce que vous savez respecter les autres ?

Qu’est-ce que cela signifie le respect de soi à soi ? Le respect de soi  se manifeste avant tout par une écoute attentive de qui vous êtes dans votre for intérieur et un effort véritable pour vous accepter pleinement en cultivant votre authenticité sans vous mentir à vous-même.

Être authentique, c’est exprimer à l’autre vos pensées et vos sentiments tels qu’ils sont. Ainsi, il ne peut y avoir d’ambigüité ni d’incohérence !

Le respect de soi est donc une valeur de base comme la confiance en soi. Il permet de bâtir  une relation solide en existant dans sa singularité. C’est par exemple accepter son corps, sa couleur de peau, son statut pour pouvoir s’intégrer dans ses relations aux autres, et par réciprocité recevoir le respect des autres également.

C’est être satisfait de  qui vous êtes dans votre manière d’être, dans vos actes. C’est prendre votre place face aux autres sans devoir être à chaque fois sur la défensive en développant davantage l’affirmation de soi. C’est arriver à faire des choix sans vous laisser influencer en les assumant pleinement et sans changer d’avis en cas d’opposition !

Si vous constatez qu’on vous manque souvent de respect, il faut vous poser cette question : qu’est-ce qui n’est pas cohérent dans votre comportement ou dans vos actes ? Pourquoi, vous prend-on  pour quelqu’un d’autre ?

C’est sans doute parce que vous agissez sans vraiment être vous-même, soit parce que vous ne vous connaissez pas suffisamment ou soit parce que vous vous forcez à jouer un rôle  imposé  qui n’est pas conforme à vos vraies valeurs.

Si on ne s’aime pas et si on ne se respecte pas non plus comme il se doit, le problème, c’est que ce respect que nous n’avons pas pour nous-mêmes, influencera malheureusement directement le respect que les autres nous accorderont! Si on n’a pas de valeur, on n’obtiendra pas de respect ! De manière logique, nous attirerons des personnes qui ne nous respecteront pas. D’où l’importance de savoir nous positionner clairement et de nous situer parfaitement par rapport à nos idées ! Nous devons nous estimer suffisamment pour mériter le respect des autres !

Si vous agissez à l’opposé de ce que vous pensez, vous communiquerez inconsciemment aux autres le message que vous ne valez pas leur respect ! Vous ne devez jamais rougir d’exprimer clairement vos émotions, vos ressentis, vos humeurs, vos rêves, vos envies, vos états d’âme ! Si vous êtes trop lisse, trop conciliant, trop prévisible vous n’existerez pas pour qui vous êtes et cela brouillera les pistes de ceux qui chercheront à vous comprendre. Personne ne saura vraiment comment se comporter avec vous ! On vous prendra pour ce que vous n’êtes pas et cela entraînera des situations incongrues et désobligeantes pour vous et pour les autres! Et vous sentirez incompris !

Lorsque vous exprimez vos idées et que vous revendiquez clairement vos goûts, vous vous montrez fier de vous-même sans avoir peur du jugement des autres !

Plus vous vous assumez totalement, plus vous vous récolterez en retour le respect des autres qui pourront même vous admirer en voyant tant d’assurance, de caractère, d’aplomb et de charisme ! Si vous ne vous assumez pas, vous allez vous mettre  naturellement au second plan dans vos relations, et cela vous fera souffrir,  car cela ne correspondra pas à vos désirs ! Ce type d’attitude ne peut que ternir et gâcher vos relations aux autres et celles-ci deviendront forcément dysharmonieuses. Vous finirez par préférer  vous retirer de toute relation en ne vous sentant pas respecté !

Combien de personnes savent vraiment qui vous êtes ?

Pourquoi vous cachez-vous des autres ? Il  sera difficile de convaincre les autres de vous respecter, s’ils ne vous connaissent pas vraiment ! Ils vous trouveront clairement sans consistance véritable si vous vous laissez facilement convaincre de tout ! Lorsque vous prenez votre place face aux autres, de manière évidente, vous devez le faire la tête haute sans vous cacher. Il n’y a pas de honte à être soi-même !

Il faut être satisfait de ce que vous êtes, en vous affirmant librement sans peur de causer des mécontentements ! Vous gagnerez ainsi en valeur ! Vous ferez vos propres choix sans culpabiliser, sans vous juger vous-même sévèrement et vous apprécierez de prendre ainsi votre plein pouvoir sur vous et non sur les autres !

Plus vous choisirez d’être respecté, plus votre estime pour vous-même grandira et les autres vous reconnaitront le droit d’être comme vous êtes!

Ne devenez pas facile à vivre pour faire plaisir aux autres ! Soyez juste vous en version originale !

Quels sont les clés du respect de soi ?

Voici les 6 clés du respect de soi :

1. La connaissance de soi comme base fondamentale du respect !

Mieux on se connaît, mieux on  se porte ! Quand nous portons une attention suffisante à nous-mêmes, on comprend mieux comment changer nos réactions, comment nous sentir mieux face aux autres ! De réajustement en réajustement, nous grandissons intérieurement, jusqu’à devenir la meilleure version de nous-mêmes ! Ce qui nous permet de développer plus de respect des autres à travers une image qui n’est plus façonnée mais parfaitement assumée !

« Il faut cesser de vouloir assurer à tout prix et au contraire s’assumer en grand comme on est vraiment ! »

2. Ne soyez pas incohérent !

Évitons la confusion en devenant plus cohérent dans nos attitudes sans chercher à plaire mais en  remplissant notre rôle avec notre véritable identité  qui correspond à qui nous sommes!

3. Soyez authentique !

Les autres admirent l’authenticité de quelqu’un, il aime celui qui suscite un grand respect car il est entier avec les autres et n’agit jamais en demi-teinte. Pas de demi-mesure mais une franchise et une honnêteté à toute épreuve !

4. Soyez humble

L’humilité et la modestie sont des valeurs sûres qui attireront bien plus de respect que l’orgueil et la prétention qui irritent ! Se vanter n’est pas nécessaire quand on est en phase avec soi-même et qu’on agit avec discernement sans marcher sur les plates- bandes des autres !

5. Aimez-vous en grand !

En renforçant votre estime de vous-même par une manière d’être qui sera toujours digne et qui ne cherchera pas la perfection mais toujours la vérité et la transparence, on montre que l’on est équilibré dans notre manière d’agir !

6. N’ayez pas peur d’exister !

Sortez de votre tanière, il est temps de briller, de rayonner, d’incarner votre potentialité ! Tout le monde est libre d’exister. Vivre c’est exister sans peur !

Quand le respect de soi facilite le respect des autres !

Plus vous apprendrez à vous respecter, plus vous respecterez les autres sans effort et les autres à leur tour vous respecteront naturellement ! Tout paraîtra plus fluide, plus ouvert ! Il n’y aura plus de retenue mais une envie de vivre qui abolira toutes les restrictions !

Le respect est une grande valeur de nos compétences humaines, il ne se négocie pas et il ne se néglige pas ! Il est la clé de toutes les relations avec soi, avec les autres, avec le monde.

Se respecter c’est se faire confiance et aborder la vie d’une autre manière pour voir apparaître plus de respect autour de nous !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le sentiment d’abandon durcit votre rapport à la vie

Pourquoi votre blessure d’abandon a-t-elle un effet destructeur dans votre vie ? Soigner ce sentiment d’abandon vous permettra-t-il d’avoir plus d’équilibre dans votre vie ?  Et comment guérir cette blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon vous prive de votre liberté d’être !

Lorsque vous souffrez de la blessure d’abandon, vos interactions aux autres sont teintées de la peur qu’on vous abandonne, alors soit vous faites  tout pour leur plaire, soit vous gérez vos relations avec beaucoup de distance car vous êtes persuadé de leur fin inéluctable programmée! Pour vous, une relation est synonyme de souffrance et de trahison, de ce fait vous n’ouvrez pas facilement votre cœur aux autres et vous refusez de créer des liens, car vous êtes traumatisé par vos expériences malheureuses.  Vous craignez de vous attacher et ensuite d’être déçu une fois de plus!

Inconsciemment, vous construisez une vie où résonne cette difficulté relationnelle en écho à cette blessure d’abandon activée en vous par des souvenirs d’enfance encore vivaces.  Vous ne voulez plus créer de dépendance affective aux autres car vous vous dites que cela n’en vaut pas la peine et que vous avez encore du mal à digérer les nombreuses fois où l’on vous a brisé le cœur !

Pourquoi ce sentiment d’abandon est-il si difficile à réprimer ? Pourquoi demeure-t-il encore en vous comme une peur constante de l’enfant délaissé qui a  cette impression constante de ne pas réussir à compter suffisamment pour l’autre ?  Quel est ce sentiment d’existence qui est brimé à l’intérieur de vous, comme  emprisonné dans les fausses croyances  d’une époque à présent révolue?

On a souvent  du mal à le croire, pourtant les problèmes des blessures du passé se répètent et  perdurent même quand le temps passe, si on ne l’accompagne pas d’une prise de conscience nécessaire pour nettoyer et épurer  votre âme de ce qui continue à la tourmenter.

Quel est cet effet destructeur de la blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon se définit avant tout comme un sentiment profond d’insécurité du petit enfant comme si ses parents n’avaient pas réussi à lui donner une éducation dans un environnement serein, sécuritaire et apaisant pour lui permettre de grandir en toute quiétude, sans créer en lui cette peur terrible d’être abandonné à tout moment! L’enfant, lorsqu’il n’est pas le centre d’attention  de ses parents, devient  souvent anxieux, en s’imaginant ne pas compter suffisamment dans leur vie. Il a alors l’impression angoissante d’être  souvent laissé pour contre sans en comprendre les raisons.

L’enfant a à cœur d’essayer de tout faire pour garder ses parents près de lui. Au fond de lui  grandit  cette peur terrible de  perdre ce repère fort même pendant une seule seconde, et il dresse souvent une barrière entre les autres et lui pour qu’ils ne gâchent jamais sa relation fusionnelle avec ses parents. Les autres sont  considérés comme des ennemis qui peuvent nuire à cet équilibre c’est pourquoi il négligera souvent les interactions sociales pour rester dans sa bulle de protection avec ses parents et se sentira  inquiet sans leur présence à ses côtés. Il se laissera facilement surprotéger par eux et cultivera ce lien de dépendance affective. L’angoisse d’abandon l’empêchera  de se développer et de croître pleinement !

Vivre avec la blessure d’abandon.

Lorsqu’on souffre de la blessure d’abandon, c’est un peu comme si on s’abandonnait soi-même, c’est-à-dire qu’on se tournait parfois vers les autres pour leur supplier presque de s’intéresser à nous. Par conséquent, tous nos actes sont consacrés à chercher à faire plaisir et à mettre les autres en valeur ! On valorise tout le temps les autres et on finit par s’oublier et même par se dévaloriser soi-même!

On néglige ses goûts personnels et on n’apprend pas à se connaître soi-même puisque l’autre est  une priorité de chaque instant. On attend d’autrui une constante validation !

L’engagement pour aider les autres devient une manière de se rendre important à leurs yeux car on se juge incapable de pouvoir attirer leur intérêt autrement, sans rien avoir à leur offrir en échange !

La blessure d’abandon finit par vous verrouiller à l’intérieur de vous-même dans une détresse permanente face à votre solitude d’âme ! Vous avez peur de tout et vous avez le sentiment de devoir toujours tout faire seul  car vous êtes convaincu de ne pas être indispensable aux yeux des autres qui finiront par vous abandonner inévitablement !

Malheureusement, quand on souffre du sentiment d’abandon, on crée inconsciemment des situations où l’on va finir irrémédiablement par être laissé de côté. On pense tellement que les autres finiront par  nous abandonner qu’au premier signe de difficulté, on devance  cet abandon en prenant nous-mêmes de la distance ! De toute façon, on pense que c’est tout ce que l’on  mérite car on porte la blessure d’abandon comme un capteur qui colore notre vie négativement à chaque instant ! On se sent coupable d’être abandonné comme si on était responsable par notre comportement !

La blessure d’abandon vous rend froid et distant ! Vous craignez tellement le rejet des autres que vous préférez  vous enfermer avec votre égo blessé qui devient le masque que vous affichez dans les relations humaines ! Comme si vous étiez constamment sur la défensive et  blessé à chaque fois  par l’incompréhension des autres qui deviennent comme des bourreaux avant même qu’ils n’agissent! Cette attitude négative devient le rôle social que vous endossez! Cette crainte de ne pas être aimé et accepté dicte tous vos faits et gestes et selon son intensité devient un poison dans votre vie !

Votre estime de soi est brimée et vous avez tout le temps l’impression de ne pas être à la hauteur malgré vos réussites et vos talents évidents ! Vous êtes en demande constante d’amour et il est difficile de vous combler !

Vos attentes envers les autres sont excessives et démesurées et le manque d’amour qui en résulte peut effrayer ceux qui viennent vers vous malgré tout !

Vous paraissez tourmenté perpétuellement, torturé par cet idéal affectif qui n’existe pas !

Pour essayer de faire face à cela vous devenez dépendant des autres, de leur affection, de leurs attentes, de leurs ordres jusqu’à ce que vous finissiez par les repousser puisqu’ils n’arrivent pas à vous comprendre ! Vous les abandonnez car vous pensez que c’est ce qu’ils finiront par faire.

Comment guérir votre blessure d’abandon ?

Il est important de reprogrammer totalement votre manière d’entrer en relation avec autrui. Voici quelques règles simples :

  1. Se reconstruire émotionnellement à tout point de vue en commençant par une meilleure connaissance de soi est indispensable !
  2. Se libérer de toute forme de colère liée à votre enfance ou aux autres en faisant la paix avec votre histoire de vie, en vous pardonnant !
  3. Consoler votre enfant intérieur en le rassurant et en l’aidant à accueillir tout ce qui lui a manqué pour son développement serein et stable par l’affirmation de qui vous êtes vraiment aujourd’hui dans votre authenticité!
  4. Nettoyer vos croyances limitantes sur vous-même ! Arrêtez de vous juger, de vous dévaloriser, de vous sous-estimer.
  5. Vaincre la dépendance affective ! Développer une autonomie en cultivant l’amour de soi comme principe de croissance personnelle !
  6. Travailler sur soi permet de devenir plus résilient ! L’acceptation de ce que l’on ne peut changer est nécessaire pour sortir du syndrome de la victime  que l’on peut devenir bien malgré nous !
  7. Il est indispensable de mieux comprendre votre enfance en prenant du recul sur les sentiments ressentis et en renouvelant votre regard sur vous-même !
  8. Vous n’êtes pas responsable des circonstances de votre enfance mais vous devenez responsable de votre vie d’adulte ! A vous de réparer ce que l’on vous a fait subir en vous réappropriant chaque part de vous-même et en ne laissant aucune perte de votre entièreté !
  9. Dissipez votre sentiment de culpabilité, si on vous a fait ressentir ce sentiment d’abandon, ce n’est pas de votre faute mais il convient à présent de vous en libérer !
  10. Vous avez aujourd’hui la possibilité de vous transformer en changeant vos faiblesses en forces de vie inaltérables !

Ne craignez plus jamais d’être abandonné !

Remettez votre mental à sa place quand il veut vous enfermer dans des pensées sombres sur vous-même ! Replacez-vous dans votre cœur, le centre de votre énergie de vie. Tout part de là, vivez et pensez avec votre cœur et avec votre corps et plus jamais avec vos blessures du passé !

Éteignez votre mental négatif et aliénant et répétez-vous : « je ne suis plus aujourd’hui un enfant qu’on abandonne, je suis un adulte autonome et responsable de mon bien-être, j’ose être libre d’être moi-même!»

Affirmez-le encore et encore et devenez aussi léger qu’une plume en vous ôtant enfin ce poids trop lourd à porter qui vous écrase et bloque votre déploiement et votre envol ! Personne ne pourra jamais vous abandonner si vous apprenez à vous détacher des situations qui ne sont pas de votre responsabilité ! Devenez plus confiant de votre valeur !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les bleus de l’enfance sont des traumatismes qui pèsent sur votre cœur d’adulte

Les bleus de l’enfance sont faits de ces moments perdus indicibles, de ces incompréhensions malhabiles, de ces errances sans parole libre. Ce sont nos blessures d’enfance.

Les bleus de l’enfance déposent dans des âmes fragiles, le poids de fardeaux à porter qui restent invisibles jusqu’à ce moment où tout se dévoile, tout se révèle au hasard d’un fragment du temps qui s’arrête, pour éclairer les zones d’ombre qui se donnent pour être réparées.

Les bleus de l’enfance sont souvent physiques, mais surtout psychiques et verrouillent des histoires biographiques à double tour pour ne pas être dévoilées, pour ne pas avoir à assumer des actes ou des oublis de ce qu’on appelle l’irresponsabilité.

Derrière chaque regard d’un adulte, se cache souvent le cœur d’un petit enfant brimé, maltraité, dévalorisé, humilié. La mémoire telle une huître se referme sur ces plaies cachées pour taire ce qui paraît insupportable à dire, comme si on était coupable d’avoir été mal traité. C’est avec cette tempête intérieure que l’adulte se construit et pense pouvoir oublier ce qui l’empêche de respirer sereinement.

Le prisme de l’enfance est si réduit que les yeux du tout-petit  ne voient que le visible et préfèrent ignorer tout ce qui le sensibilise, le fragilise, le terrorise. Ces mots qui touchent, ces caresses qui attouchent, ces coups qui pleuvent, ces réprimandes qui affligent, ces colères qui oppressent, ces jeux teintés d’obscurité…

La violence éducative marque de son empreinte sombre  les souvenirs de tant de  petits êtres innocents et freine la croissance de leurs possibles, en soufflant comme une tempête dévastatrice  sur leurs espoirs et sur leurs rêves avortés.

Lorsqu’on se pose un instant au cœur de ses souvenirs d’enfance, on recherche parfois l’odeur de la fête foraine, le goût des pommes d’amour, la douceur d’une barbe à papa . Pourquoi a-t-on si souvent  du mal à les retrouver au milieu de tout ce qu’on a oublié, jusqu’à cette impression d’ignorer  l’insouciance liée à  l’enfance ?

Pourquoi alors qu’on essaie de se rappeler de ces moments heureux où l’enfant apprend normalement à explorer la vie, pourquoi y-a-t-il cette impossibilité à  se replonger dans cette période soi-disant heureuse et tant vantée par les parents comme s’ils n’avaient pas vécu la même réalité ?

A quel moment s’inventent-t-ils à eux-mêmes ce passé infructueux, ce temps nostalgique où ils préfèrent taire tout ce qui n’est pas à raconter ? Pourquoi l’album de famille ne révèle-t-il que des photos plaquées ? Pourquoi choisir de  taire ce qui est plus proche de la vérité ?

Redonner du sens à ses souvenirs, c’est apprendre à se réparer !

L’enfance est souvent séparée de son contexte. Chacun romance son histoire de vie pour se dire heureux comme s’il était inconvenant d’avouer tous ces moments affligeants,  pour choisir d’ignorer ce qui pèse sur le cœur!

Souvent quand on demande à un adulte de raconter son enfance, ses yeux se voilent de tristesse, sa voix se serre et son souffle devient plus court. C’est avec un petit air gêné qu’il s’excuse d’avoir oublié ou de ne pas avoir envie d’en parler…

Pourquoi a-t-on si peur de regarder dans le rétroviseur du passé ? A-t-on à ce point vécu des aventures insensées ? Des histoires innommables. ?  Le doigt sur la bouche,  pour  ne pas en parler, comme pour  dire chut… de ne rien révéler… !

Pourquoi a-t-on des difficultés à s’exprimer et à communiquer sur ce temps  mélancolique ? Qu’est-ce qui empêche la parole de l’enfant de se libérer dans sa bouche d’adulte ?  Qu’est-ce qui reste étouffé  à l’intérieur de son corps  qui devient comme une caisse de résonance pour amplifier  toutes les émotions mal digérées jusqu’à faire entendre une profonde amertume!

Lorsqu’on prend la décision de se réapproprier chaque parcelle de sa vie, on apprend aussi à ouvrir les yeux sur toutes ces blessures mal cicatrisées. Ce n’est pas pour se plaindre ou pour reprocher  mais seulement pour  prendre conscience qu’il est absolument  nécessaire d’éclairer la part d’ombre qui ne cesse de provoquer des remous et de perturber la progression d’une vie.

On doit à un moment donné avoir pour mission  de décoller  toutes les étiquettes dans lesquelles les parents enferment souvent les enfants pour expliquer ou pour excuser des comportements inappropriés à son égard, des peurs qui le bloquent encore émotionnellement aujourd’hui et qui l’empêchent de vivre librement en tant qu’adulte.

Lorsqu’on a été un enfant maltraité ou délaissé, la question qui se pose, c’est de savoir à quel moment les parents n’ont pas su créer  un environnement rassurant et sécuritaire ?

Les parents ont une mission importante dans l’éducation de leurs enfants : savoir  les protéger ou du moins leur expliquer ce qui n’est pas évident à  leurs yeux. A quel moment manquent-ils  à ce rôle,  sciemment ou inconsciemment ?

Pourquoi remplacent-t-ils souvent par  une réprimande, par une violence, par une colère ou par un coup,  l’attention nécessaire pour dissoudre les craintes d’un enfant au lieu de le rassurer ou de le consoler…

Les bleus de l’enfance sont en lien avec tous les traumatismes subis, tous ces moments d’inquiétude qui ont remplacé un développement positif  impossible.  Tous ces épisodes d’une histoire souvent ratée encore obscure pour l’adulte qui préfère tout oublier !

A quel moment la parole vient-elle expliquer ce qui est encore si troublé, si opaque, si difficile à comprendre à l’âge adulte?

Les bleus de l’enfance portent en eux la  maltraitance éducative qui s’exerce quand un enfant est différent, hypersensible, singulier …C’est cette violence qui s’acharne  pour l’obliger à être autrement et qui l’enferme dans un schéma de vie qui ne correspond pas à son authenticité.

L’adulte qui transporte dans son histoire le cœur d’un enfant tourmenté, a du mal à se positionner dans son identité véritable, il est comme inconnu à lui-même, et semble jouer un rôle de personnage factice dans le film de sa vie. Il se débat dans des conflits intérieurs entre être lui-même  en toute transparence ou correspondre à un modèle imposé par les autres !

Les bleus de l’enfance sont parfois difficiles à effacer tant la résonance de cette histoire non réglée continue à  perturber l’équilibre recherché tout au long d’une destinée. Ce n’est pas le baume du temps qui passe,  qui va réparer le bleu permanent tatoué  sur l’âme !

Comment guérir définitivement ces blessures de l’enfance ?

En premier lieu, il ne faut pas avoir peur de les regarder en face sans se mentir à soi-même ou sans en avoir honte. Lorsqu’une blessure se révèle au fil de sa vie,on doit se donner le temps de la compréhension de son histoire, en  accueillant toutes les émotions qui y sont associées.

On garde en mémoire des bribes des illusions perdues, des miettes des envies ralenties par le poids de ce qui n’est pas guéri. Un soupçon d’amour de soi vient réconforter le cœur de cet enfant intérieur qui s’autorise alors à  parler librement de ce qui le fait encore souffrir.

Quand le voile se lève sur des absences de sens, la lumière projette la vérité sur le rideau jusqu’alors tiré sur l’esprit d’enfant  apeuré.  On peut capturer l’essence des émotions enfouies en les laissant se révéler sur la scène des introspections qui amènent l’adulte à se réconcilier avec lui-même!

Défile alors sans scrupule et  sans gêne,  tout ce qui était caché dans le coffre-fort de ses sentiments alourdis par l’interdiction de laisser s’exprimer les non-dits qui sont en fait, les clés véritables de  l’histoire de vie de chaque individu, quand les baillons sont arrachés et les masques déchirés !

En second lieu, prendre le temps de faire la paix avec soi-même, en se donnant l’autorisation d’admettre les failles d’une éducation subie, c’est se permettre de recommencer à croître dans son développement personnel sans désobéir au diktat de l’éducation parentale.

On aime ses parents mais on sème aussi pour soi, sur son parcours, des graines d’espoirs pour réparer  jusqu’à toute une génération réprimée et enfermée dans des schémas ancestraux qui ne cessent de se  rejouer quand on préfère les ignorer.

La répétition des mêmes situations difficiles est un excellent indice de ce qui demande à être nettoyé pour faire de la place à une construction plus saine et plus sereine de son projet de vie.

Quand la résilience s’installe pour permettre d’accepter ce qui  a créé tant de souffrances, la guérison est possible pour extraire la force intérieure qui sera le pilier de l’épanouissement d’un être!

En dernier lieu, quand le poids des blessures de l’enfance arrête  de peser, alors l’adulte redevient aussi léger que l’innocence qu’on lui a volée par tant de négligences ou d’indifférences!  Ses ailes se remettent à se déployer pour reprendre son envol vers sa croissance  personnelle interrompue, comme si le temps suspendait son cours pour lui permettre de combler tous les manques qui l’avaient figé dans une version fabriquée de lui-même, à l’opposé de sa vraie personnalité .

Parfois, ce n’est que très tard qu’une personne se dévoile dans ce qu’on ne connaît pas encore d’elle, comme si durant de nombreuses années, elle n’avait pas su se délivrer de ce qui la bloquait , comme prisonnière d’elle-même! Il n’y a plus de conflit, plus de mal à dire, plus de pleurs, plus de mensonges, l’horizon s’éclaircit et laisse présager  d’un avenir meilleur où l’amour de soi prend le relais pour remplir chaque petit interstice à présent transmuté, alors l’enfant intérieur et l’adulte fusionnent   pour former un merveilleux duo plus harmonieux au cœur de leur histoire de vie et de nouveaux choix deviennent possibles !

Quand les bleus de l’âme s’estompent, les roses du cœur fleurissent et rendent notre existence allégée, parfumée aux senteurs de la liberté retrouvée.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment apaiser la blessure de dévalorisation qui vous empêche d’avoir confiance en vous ?

Comment reconnaître la blessure de dévalorisation ?

Prenez-vous les choses trop à cœur ? Êtes-vous à ce point perfectionniste comme si vous étiez responsable de chaque petit détail et que vous n’aviez pas le droit de mal faire ? Avez-vous tendance à  faire une affaire personnelle des critiques que vous entendez ? Placez-vous toujours la barre très haut à travers de nombreuses exigences inconscientes? Êtes-vous souvent très jugeant envers vous-même comme si vous aviez l’obligation d’ «assurer» pour  survivre, plutôt que vivre pleinement ? Pourquoi au fond de vous, avez-vous cette impression que quelque soit ce que vous puissiez faire, ce ne sera  jamais assez bien pour personne et certainement pas pour vous-même ? Quelle est la dernière fois où vous avez été totalement fier de vous ? A contrario, quel est le dernier reproche que vous vous êtes adressé ? Ils sont  nombreux, n’est-ce pas ! Dans votre miroir par exemple, ce matin en vous recoiffant une énième fois, sans jamais vous plaire tout à fait?

Ou alors dans ce dialogue intérieur constant où vous entendez cette petite voix qui vous répète inlassablement, que vous ne méritez  pas mieux que ce que vous avez, jusqu’à vous rendre facilement coupable de tout ce qui ne va pas! Vous avez donc dans votre manière d’agir des croyances qui vous limitent, comme un écho permanent d’une blessure qui pleure en vous et qui vous tourmente constamment en vous donnant cette impression d’être condamné à porter le poids du Monde sur vos épaules comme Atlas dans la mythologie grecque.

Ce profil correspond bien évidemment à celui de quelqu’un qui a du mal à se satisfaire de lui-même comme si des reproches ou des jugements le pourchassaient dans sa tête, dans son corps pour l’affaiblir et éteindre sa confiance en soi et le pousser à toujours se surpasser pour réussir quelque chose dans la souffrance et dans les épreuves.

Nous pouvons y lire comme  le signe d’une profonde  blessure de dévalorisation née de l’enfance et qui se cache depuis en lui  pour l’obliger à toujours être irréprochable à ses propres yeux jusqu’à le torturer dans son esprit ! « Suis-je suffisamment parfait pour exister, semble t-il se dire ? » « C’est normal de souffrir pour réussir ! » «  Je dois faire à la place des autres si je veux être accepté.» « Je dois m’en sortir seul car personne n’a le temps ni l’envie de m’aider ! »

D’où vient cette terrible  blessure qui vous a rendu si pessimiste ?

Il est nécessaire pour commencer de faire un petit retour en arrière dans votre enfance, pour vous souvenir, si cela est possible de cette situation humiliante  qui vous a traumatisé au point d’avoir laissé une trace indélébile qui vous enferme dans cet état d’âme négatif. Peut-être même avez-vous subi plusieurs événements traumatiques qui vous ont  dévalorisé au point d’avoir développé en vous comme un complexe d’infériorité par rapport aux autres : vos frères et sœurs par exemple…jusqu’à vous sous-estimer dans vos capacités réelles ?

Qu’est-ce que vous avez vécu au point de blesser si profondément l’enfant innocent et candide que vous étiez alors, et d’avoir aujourd’hui encore au fond de vous, comme une empreinte de ces moments, comme une sensation à la fois psychique et corporelle d’avoir été démoli intérieurement dans votre estime de soi jusqu’à vous faire douter de vous-même !

Qu’est-ce qui résonne en vous à chaque fois que vous avez l’impression qu’on vous juge sur votre apparence physique, sur vos compétences, sur votre niveau intellectuel, sur vos origines, sur votre histoire personnelle… ?

Soyez conscient que nous sommes nombreux à avoir ressenti un jour ce sentiment de déconsidération, la question est de savoir pourquoi cela vous touche toujours aussi intensément malgré le temps qui passe ? Est-ce qu’il vous arrive de penser  que vous n’êtes pas assez bien pour vos parents, pour vos proches, pour vos amis, pour vos voisins, pour vos collègues, ou pour tout un chacun, et ce tout au long de votre vie ? La liste serait encore longue des échos que cette blessure de dévalorisation peut laisser dans votre quotidien.

On pourrait  résumer ce que vous ressentez à une seule phrase : vous avez du mal avec les relations humaines car vous avez du mal à exister comme vous êtes vraiment et à prendre votre place sans crainte d’être jugé!

Vous avez l’impression que le regard de l’autre transperce votre âme pour y lire vos pires défauts. Vous détestez la plaisanterie car cela évoque pour vous des moqueries.  Vous avez du mal à vous intégrer au sein des groupes.Prendre la parole en public vous fait peur car vous ne vous sentez pas à la hauteur. Vous êtes souvent sur la défensive car vous vous sentez agressé. On vous dit susceptible et rancunier alors que vous ne vous sentez pas compris et respecté. Vous préférez la solitude à la foule car  elle vous effraie. Vous n’acceptez pas les invitations facilement car vous craignez de ne pas réussir à vous amuser en faisant preuve de légèreté. Vous ne pensez pas mériter des amis car vous n’avez pas envie de partager votre intimité. Vous détestez être sous les feux des projecteurs car vous craignez d’être jalousé. Vous préférez vivre caché car c’est mieux ainsi !

Mais qu’est-ce qui vous rend à ce point méfiant ? Qu’est-ce qui vous empêche aujourd’hui d’être pleinement vous-même. Qu’est-ce qui fait que vous avez du mal à trouver votre propre style, à assumer votre propre manière d’être ?

Pourquoi  avez-vous besoin sans arrêt d’en faire toujours plus pour espérer plaire aux autres mais en vain. Pourquoi agissez-vous comme un comédien dans votre propre vie comme si vous deviez jouer un rôle tout le temps, celui de l’être parfait, pour espérer être accepté ?

Voici un résumé clair  des conséquences de cette blessure de dévalorisation  en vous. C’est elle qui dicte vos choix et vous fait vous sentir mal  dans votre peau constamment.
Non, vous n’avez plus a subir cela! Non, vous n’êtes pas obligé de vous forcer pour faire ce que les autres veulent de vous! Non, vous n’avez pas à suivre ce qu’ils pensent être bon pour vous ! Non, vous n’avez pas à être soumis ! Il est temps, plus que temps, de guérir de cette blessure  en travaillant activement  à la valorisation de votre être! Vous verrez que vous finirez par y prendre du plaisir pour retrouver le goût intense de la vie!

Il est temps d’être à la hauteur de vos belles qualités inexploitées !

Commencez par définir clairement et précisément qui vous êtes véritablement. Comme une carte d’identité de votre être intérieur qui se dénude pour enfin se dévoiler dans la profondeur de son authenticité. Enlevez tous les filtres, tous les masques, tout ce qui vous cache encore à vous-même. Retrouvez votre essentialité. Listez tous vos succès, toutes vos qualités, tout ce qui vous fait vibrer quand vous parlez de vous-même, de vos aspirations, de vos envies !

Qu’est-ce qui vous ferez vous sentir infiniment libre ? Danser sous la pluie, sauter en élastique, défiler sur un catwalk, chanter devant un public, … Qu’est-ce que vous ne vous êtes jamais autorisé à faire alors que vous en rêviez ? Quel enfant auriez-vous été si vous n’aviez pas été humilié, dévalorisé, rejeté ?

Il est temps d’effacer de votre mémoire, cette personne que  vous n’avez jamais été pour devenir enfin celle que vous êtes vraiment, au cœur de vous-même, quand votre âme d’enfant sourit et que vous retrouvez votre confiance épurée, nettoyée de tous ces faux-jugements.

Enlacez votre enfant intérieur et embrassez-le, rassurez-le en regardant ce que vous avez pu tout de même accomplir, malgré cette blessure. Ressentez la fierté de cette force intérieure qui reste intacte malgré tout et renaissez à vous-même guéri et heureux et répétez encore et encore  « Je suis de plus en plus puissant » !

Aujourd’hui vous êtes un adulte et cette histoire qui vous appartient vous a appris à  évoluer, malgré tout pour surmonter la honte, la timidité, la colère, le ressentiment. Regardez la beauté de cette personne que vous êtes intérieurement quand vous rayonnez  de votre estime de soi revalorisée. Oui, c’est cette personne que vous êtes ! Aucune humiliation ne doit plus jamais vous atteindre, vous êtes à présent renouvelé pour devenir la meilleure version de vous-même, celle que vous vous autorisez à être sans vous cacher ! Il n’y a plus personne pour vous freiner ! Et c’est dans cet élan que vous devez à présent considéré votre vie, dans cette ouverture au plus grand. Ressentez ce que cela vous fait de vous regarder avec d’autres yeux, ceux de l’amour de soi qui est en votre cœur. Dites-vous à haute voix à quel point vous vous aimez ! Personne d’autre ne pourra le répéter avec cette même intensité.

Remplissez chaque recoin de votre âme de cette énergie d’amour réparatrice ! Dites à vous-même tout au long de la journée : « Je m’accepte comme je suis et je m’aime ! »  Nourrissez-vous de cet amour à chaque fois que quelqu’un essaiera de vous faire douter de vous-même. Devenez ainsi le gardien de votre temple intérieur !

Aimez-vous encore plus fort chaque jour, offrez-vous de la douceur à travers un cadeau qui vous rappellera votre valeur à chaque fois qu’on cherchera à vous déstabiliser. Récompensez vos efforts avec tout ce qui vous pourra vous faire vibrer, pour vous faire rayonner du plaisir d’être vous-même pour exister !

Maryse de Mes Mots de vie

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Manquer d’affection peut rendre dépendant des autres !

Qui n’a pas besoin d’aimer ou d’être aimé ?

Le sentiment d’amour se vit avant tout  comme un besoin vital de recevoir de l’amour pour pouvoir le donner en retour. C’est ce mouvement de partage réciproque qui crée l’équilibre psychique indispensable dans le processus d’évolution  de chaque être humain. Dès le plus jeune âge, ce besoin apparaît et doit être nourri. Tout d’abord, par les parents qui à travers leur disposition et leur disponibilité suffisantes choisissent d’accorder tout le temps, l’attention et l’affection nécessaires à la croissance de leurs enfants, et ce de manière naturelle et positive ! C’est à partir du respect fondamental de cette loi de la vie que chaque enfant pourra ensuite, se développer et grandir sereinement pour devenir un adulte capable à son tour, de donner et de recevoir de l’amour de manière inconditionnelle. Il apprendra tout au long de sa vie, à mieux se connaître pour s’aimer, aimer et être aimé !

Malheureusement, les choses sont loin d’être  aussi évidentes. Il existe beaucoup de parents à travers les générations et encore aujourd’hui, qui pensent par-dessus tout, aimer leurs enfants mais qui ignorent dans les faits, comment s’y prendre véritablement, si bien que cela finit inévitablement par causer des blessures qui auront des conséquences graves et ne parviendront jamais à s’effacer malgré le temps qui passe !

Énumérons des situations fréquentes : par exemple, lorsqu’un parent décide d’accorder plus de  temps à sa réussite professionnelle ou encore à ses contraintes du quotidien, ou à ses soucis personnels, prétextant ne pas avoir vraiment le choix ! Cela mènera de manière inéluctable à des carences affectives, nuisant à la construction individuelle du petit enfant qui ressentira au fil du temps, comme une sensation de manquer de quelque chose, comme l’impression d’un vide intérieur inexplicable.

Quand la vie se vit dans un rapport superficiel, les besoins affectifs sont ignorés comme masqués par des compensations matérielles qui prennent le pas sur cette nécessité de transmettre de l’affection à son enfant.  Considérer que donner de l’affection est un acte secondaire, c’est ne pas prendre en compte l’importance d’aider son enfant à construire le socle même de son individualité à travers un rapport à l’amour sans peur ni manque pour son bon développement.

L’enfant a  besoin de se lancer dans sa vie d’adulte  avec une « jauge » remplie à ras bord  de cet amour ressenti et reçu durant toute son enfance, comme une coupe pleine qui pourra déborder ensuite dans sa vie et vers les autres ! A travers le regard tendre de ses parents sur ses premiers pas, à travers la complicité affectueuse partagée au moment de son adolescence, grâce aux conseils transmis avec douceur et avec confiance au moment de quitter le foyer parental. Autant de beaux souvenirs qui permettront à cet enfant devenu grand, à son tour de transmettre cette affection sans limite, à sa propre famille qu’il aura la joie et l’envie de construire sans peur de mal faire, sans crainte du jugement des siens sans restriction au niveau de ses propres choix et de sa propre liberté !

Moins on sait s’aimer et aimer, moins on pourra œuvrer à développer cet amour au cœur de notre vie.

Prendre conscience de l’importance de cette étape cruciale dans l’éducation parentale, c’est permettre à chacun de se positionner en faveur du respect de l’être avant que d’insister uniquement sur le paraître et sur la performance.  Les erreurs que l’on peut commettre maladroitement dans l’éducation d’un enfant, peuvent souvent être à l’origine des difficultés relationnelles pour cet enfant, qui en grandissant aura  l’impression étrange et douloureuse, d’être incompris dans ses intentions, dans ses attentes, dans ses besoins, dans ses manques!

Mieux, comprendre l’importance de l’amour et de l’affection pour un enfant, c’est lui donner la possibilité de prendre un meilleur départ dans sa vie d’adulte, en lui donnant la possibilité de s’ouvrir aux autres sans crainte du rejet, pour ne plus avoir à souffrir du manque affectif et de ses effets destructeurs.

Aimer n’est pas un sentiment matériel !

Certains parents se contentent souvent d’avoir pour but principal  de combler les besoins vitaux de son enfant :  lui donner un toit, des vêtements, de la nourriture, pour  l’amener très vite à être autonome et à réussir  sa scolarité comme gage du bonheur parfait !  Ils  s’imaginent à tort que c’est la meilleure façon d’aimer son enfant,  pour qu’ils ne manquent de rien, oubliant que l’amour occupe  une place primordiale au cœur de cette éducation ! Ils négligeront ainsi de construire ce lien affectif important, solide, sécuritaire, tellement nécessaire pour son bon épanouissement et  feront toujours passer l’amour après tout le reste. L’enfant qui grandira ainsi, pensera inévitablement  quand il sera adulte que tout est toujours plus important que l’amour et aura à gérer  les effets de ce manque affectif.

Aimer et être aimé, c’est comme une respiration fondamentale de notre être. Comment vivre sans aimer ou sans savoir aimer ? Comment réussir sa vie avec le cœur vide ?

C’est ce que l’on constate  de plus en plus autour de nous, à travers des attitudes très fermées ou très dures voir très exigeantes ! Comme si à force de manquer d’amour, chacun s’enfermait dans son armure pour se protéger et ne plus souffrir jusqu’à se dire pour se résigner que ce n’est pas important d’aimer, puisqu’on est heureux  avec sa belle voiture, sa magnifique villa et son compte en banque bien rempli !

La dépendance affective rend esclave de l’amour !

Le rapport à l’amour n’est pas si simple ;  Comment peut-on savoir aimer si l’on manque d’amour ? Cela ne peut qu’engendrer des difficultés à se lier aux autres et cela finit par faire souffrir inévitablement. Celui  qui a un manque affectif très marqué  dérivera vers les autres, à partir de ce manque ! Sans assurance ni aisance, ses relations seront forcément le reflet de cette détresse intérieure qu’il portera en lui et qui se réveillera dans toutes les situations de la vie.  Il finira souvent par se sentir comme rejeté, trahi, voire abandonné  par les autres.  Il devra à chaque fois compensé  ce manque affectif par des stratégies inconscientes  qui ne seront pas forcément justes et bénéfiques pour lui !

C’est ainsi que commence la dépendance affective !

  • faire toujours passer l’autre avant soi-même
  • faire toujours les choses à la place des autres pour se sentir indispensable
  • Être au lieu de paraitre pour se prouver à soi-même qu’on mérite sa place !
  • Laisser les autres vous manquer de respect en ne fixant jamais de limites !
  • Ne pas s’autoriser à vivre librement ses propres envies !
  • Ne pas savoir dire non et se soumettre !
  • Ne pas être cohérent avec soi-même et avec ses convictions
  • Ne pas se respecter et devenir un étranger pour soi-même
  • Avoir peur de tout et surtout de la solitude !

Le besoin prédominant de s’attacher aux autres pour se sentir bien témoigne d’un manque d’affection immense ! Plus on manque d’amour, plus on cherche à combler maladroitement ce vide qui nous tourmente par une soumission aux exigences des autres.

On pense ne pas mériter mieux ! On se contente de l’ombre alors qu’on est un être de lumière ! On se met en second plan  à travers un manque de confiance criant ! On perd en authenticité et en consistance. Nos actes sont comme dénués de sens et sonnent creux ! On culpabilise même de sentir heureux!

Comment avoir des relations faciles aux autres si on ne sent pas assez bien pour mériter d’être aimé ? Comment fonder une famille si aimer et souffrir sont les faces d’une même pièce dans notre rapport à la vie ? Comment apprendre à son enfant à s’aimer si on n’arrive pas soi-même à s’accepter comme on est avec amour ?  Comment se sentir légitime dans ce que l’on accomplit ? Comment attirer à soi le succès si on doute de ses propres capacités ? Comment vivre en grand si on se sent tout petit à l’intérieur de soi ? Comment mettre fin à ses tourments sans fin qui nous agitent et nous tyrannisent au point de nous ensevelir sous une montagne de questionnements intérieurs : « Suis-je assez bien pour mériter ça ? Ai-je eu raison de postuler à ce poste ? Suis-je à la bonne place ? Si on ne m’aime pas, c’est de ma faute ? Je préfère être seul …. »

Une personne ne pourra s’épanouir  harmonieusement que si elle a été aimée et entourée  dès son plus jeune âge par des parents soucieux de l’aider à grandir dans un environnement bienveillant, protecteur, chaleureux et sécurisant.C’est l’amour de ses proches qui doit lui donner l’envie de  s’éveiller à son propre amour. C’est ce qui  lui donnera forcément confiance en elle, pour qu’elle apprenne à s’aimer et surtout à se respecter dans sa relation avec les autres ! Un individu qui aura reçu suffisamment d’affection au cours de son éducation pourra à son tour accepter sa relation aux autres de manière libre et indépendante sans peur de l’abandon et du rejet.

Se voir à travers le regard des autres, exister dans leur validation, se nourrir de ce lien qui nous fait nous sentir comme vivant démontre d’une difficulté à s’aimer, à aimer par manque d’amour !

Souffrir sans agir, c’est ne jamais combler ce manque affectif.  Se respecter est  aussi important que de s’aimer !

En effet souffrir n’est pas une fatalité. On ne peut concevoir sa vie entière dans cette attente démesurée de l’amour des autres. Être digne,  c’est se laisser apparaître aux yeux des autres comme on est. Notre identité est la signature de notre bonheur, à aucun moment cela se négocie même dans un couple. Une personne doit impérativement avoir la vision d’elle-même la plus juste possible pour ne pas être incohérente dans ses attentes avec les autres. Par exemple, quand on veut nouer une relation amoureuse, on ne le fait pas pour combler un manque affectif. Il est indispensable avant tout, de prendre conscience le plus rapidement possible de cette difficulté, pour suivre un cheminement personnel vers la conquête de soi ! De même, il faut être capable d’apprendre l’amour de soi et le respect de soi comme  priorités, pour le transmettre ensuite à ses enfants !

La dépendance affective vient du pouvoir qu’on donne aux autres dans notre vie ! On attend de l’autre qu’il comble nos propres vides, qu’il soit notre modèle de bonheur !  On ne doit jamais confier nos manques à quelqu’un d’autre sans risque de devenir dépendant et de créer un lien toxique jusqu’à ressentir un sentiment de non-être !

On ne peut pas régler ses difficultés à aimer en les confiant à quelqu’un d’autre ! Plus on sera capable de s’aimer en grand, plus on sera apte à être aimé des autres !

L’ouverture du cœur est indispensable pour aller vers les autres !

Manquer d’affection n’est pas une honte, en prendre conscience, c’est  se mettre en route vers l’amour de soi pour le déployer en grand dans notre vie comme une ressource indispensable !

Nous avons tous besoin d’amour, c’est l’oxygène de  notre être, c’est la force de notre énergie, c’est la plus belle qualité de notre esprit. Quand on ne le trouve pas chez les autres, il n’est pas très loin, il est là au cœur de nous-mêmes dans notre source intérieure intarissable !

Se connecter à soi, c’est revenir au pouvoir de cette source en nous, puis de la laisser déborder vers les autres dans une confiance en la vie qui nous porte à ouvrir notre cœur ! Aimons-nous et notre âme sourira enfin pour ne jamais dépendre des autres !

Quand on prend conscience de nos difficultés à aimer, on arrive à mieux cerner nos relations aux autres. On se place enfin dans un rapport à nous-mêmes plus doux, moins jugeant ! On s’autorise à regarder ce qui nous tourmente sans le craindre. On efface nos peurs par une acceptation plus bienveillante. On se donne pour mission d’apprendre chaque jour à s’aimer un peu plus et à aimer l’autre différemment comme un support de cet amour et non comme une obligation à nous rendre heureux !

Maryse de Mes Mots de vie

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Quand vos blessures vous pèsent et masquent votre vraie personnalité

Comment vivre avec ses blessures émotionnelles?

Il est des blessures émotionnelles qui sont aussi vives que les plaies les plus profondes. Malgré les efforts que vous faites pour les aider à se cicatriser, la vie provoque parfois des situations qui vous montrent qu’au fond de vous subsiste une douleur intense qui ne se calme que lorsque vous y appliquez le baume magique puisé dans votre cœur : l’Amour.

Poser des mots sur des épreuves difficiles nécessite de se sentir prêt à revivre ce qui est douloureux pour l’extraire définitivement et aborder le présent plus sereinement.

Comment faire pour regarder en face l’histoire biographique de vos blessures sans plonger dans la faille prête à vous engloutir ?

Cela demande beaucoup de courage et de détermination pour aller jusqu’au bout du processus et réussir à se libérer de ce poids qui vous freine dans votre vie à chaque instant. Lorsque vous vivez avec vos blessures, vous n’êtes jamais serein. Chaque situation de la vie vient vous confronter au réveil de vos souffrances qui se réactivent instantanément dans votre corps et dans votre esprit. Votre subconscient est malheureusement le gardien de ces souvenirs que vous pensiez avoir effacés depuis de longues années.

En effet, les blessures émotionnelles se produisent dès l’enfance et perdurent au-delà de la vie d’adulte. Pourquoi à 50 ans, auriez-vous encore des réminiscences d’un traumatisme subi à 6 ans ? Parfois, vous êtes surpris de ressentir cet impact toujours vivace. Toutes les fois que vous revivez une situation similaire, vous avez l’impression de revoir le même film de vos émotions et cela vous fait souffrir terriblement et vous en êtes désarçonné !

Le temps permet d’oublier pas de réparer !

Blessures de manque d’amour : quand l’amour ne se calcule pas !

Les blessures d’amour sont infligées à l’estime de soi et ne trouvent leur guérison que dans le pardon et dans l’acceptation. Lorsque la porte du cœur reste fermée, chacun résiste et se fait plus mal.

Savoir aimer est donc primordial dans la vie de chaque être et ce dès l’enfance, on ne peut refouler ce sentiment vital. Chacun doit apprendre à éduquer son enfant en remplaçant les reproches par de la bienveillance, sans  juger, sans détester. Il faut juste l’aider  à réparer ses ailes après chaque chute. Il faut le relever pour qu’il s’envole à nouveau et non chercher à l’emprisonner et à le garder dans une cage dorée au risque de le voir s’étioler et se faner jusqu’à perdre le goût de vivre.

Accueillir son enfant dans l’amour inconditionnel est la règle d’or de l’éducation pour éviter les blessures émotionnelles!

Lorsque l’amour est  illimité, on ne doute jamais de l’autre. On lui apprend à grandir et à s’épanouir sans être envahissant. On sourit à son bonheur, on compatit à sa peine, on accepte ses erreurs. On lui communique une confiance infaillible qui le porte à se dépasser. On lui apprend la persévérance et la patience. On l’honore dans son individualité et non pour son exemplarité. On cultive sa singularité avec une tolérance infaillible. On l’aide à construire sa confiance en la vie !

Chaque enfant apprend ainsi à aimer et à s’aimer, sans peur d’être comparé, en toute liberté, avec sincérité dans son authenticité d’être. Il n’y a plus  d’exigence, tout se vit avec  indulgence et en toute transparence. Nul n’exerce un contrôle sur le droit de vivre de l’autre. L’éducation parentale doit impérativement avoir pour socle la sincérité, la confiance et la douceur comme les maîtres d’œuvre de l’édifice de la personnalité de chaque enfant. Celui-ci pourra ainsi aborder sa croissance personnelle avec l’amour de soi comme seul guide !

Aimer l’autre sans condition, c’est  se mettre à sa véritable hauteur.

Lorsqu’ on accepte l’autre comme il est et lorsqu’on l’aime totalement, on s’accepte et on s’aime aussi. C’est l’unique chemin de vérité qui empêche la souffrance et les blessures. Aimer est un don de soi à chaque instant, un pardon spontané à chaque seconde,  un élan du cœur  à chaque minute, il n’y a plus de contrôle de l’esprit, il y a uniquement un mouvement rempli de chaleur vers l’autre pour l’élever.

Toutes les blessures d’amour guérissent quand on les plonge dans un bain d’affection et de compréhension au pouvoir régénérant, tendre et réconfortant et aux senteurs de douceur et de confiance et ce à n’importe quel âge !

Il faut donc fuir ceux qui ne savent pas vous aimer, vous êtes si précieux ! Accordez-vous ce droit d’être aimé, vous le méritez. C’est cette validation qui guérira  toutes vos blessures définitivement. L’amour vrai n’a pas de limite!

Quand les blessures intérieures s’expriment et s’impriment dans votre vie !

Un rien réveille vos émotions désagréables. Le  sentiment de rejet par exemple, apparaît à chaque fois que vous vous ouvrez aux autres et que vous vous heurtez à un terrible mur qui vous renvoie au miroir inconscient de votre état d’esprit, c’est-à-dire à ce sentiment de ne jamais compter pour personne. Vous souffrez lorsque vous ne vous sentez pas apprécié à votre juste valeur, vous avez l’impression de ne pas être respecté et  cela impacte votre estime de soi. Personne ne vous comprend vraiment et chacun s’impose à vous sans voir vos désirs réels et votre vraie personnalité. C’est comme si vous étiez invisible ! Vous entendez résonner l’écho douloureux de la blessure de rejet que vous avez subie quand vous étiez petit dans votre famille. Et à chaque fois la souffrance est plus grande !

Votre réaction est l’écho de vos souffrances émotionnelles

Il vous faut apprendre à réagir autrement sans chercher la validation dans le regard des autres mais plutôt en changeant votre attitude. Plus vous vous affirmez dans votre singularité, plus vous  devenez puissant ! Plus vous êtes cohérent avec vous-même, plus vous savez ce que vous voulez et ce que vous ne voulez plus, vous fixez vos propres limites pour ne pas être manipulé ou envahi. Vous n’êtes plus jamais en attente de la reconnaissance des autres. Vous cultivez votre fierté personnelle, vous gagnez en autonomie et en assurance dans la gestion de votre vie. Plus vous vous aimez fort malgré vos imperfections, plus la vie vous aime elle aussi de plus en plus fort  et personne ne peut plus vous faire du mal car vous ne leur donnez plus cette autorisation ! Vous mettez un baume d’amour sur votre blessure de rejet en ne donnant plus à l’autre le droit de vous faire du mal.

L’amour de soi est l’élixir qui vous guérira de toutes vos blessures émotionnelles…

Derrière toutes ces blessures liées à l’enfance, il faut comprendre que vous portez en vous quelque chose de rare et de précieux, votre Sensibilité. C’est l’or de votre être, c’est le cœur de votre âme. Laissez votre sensibilité vous apprendre à toucher à la plus belle part de vous-même et embrassez vos fêlures pour les réparer.Le silence intérieur apaisera toutes vos peines !

Vous êtes votre propre réconfort, vous savez comment vous guérir si vous écoutez le chant de votre âme et la mélodie de votre intériorité. En prenant conscience de cela, vous apprenez à affronter les blessures qui vous hantent afin de mieux en comprendre les causes pour y apporter des solutions de guérison.

N’ayez pas peur de vous-même ! Osez apparaître au grand jour sans peur du regard des autres. Autorisez-vous vos imperfections. Apprenez à prendre votre place en vous affirmant vraiment ! Ouvrez-vous totalement à votre épanouissement personnel ! Sortez de votre zone de confort qui vous servait de refuge jusqu’à maintenant et enlacez la vie pour une danse d’amour avec ce que vous êtes vraiment, à la fois votre force et votre fragilité, votre colère et votre douceur, votre peur et votre confiance. Unissez-vous intérieurement à vos blessures et c’est dans cette unité que vous deviendrez pleinement vous-même ! Plus vous arriverez à regarder en face ce qui vous fait souffrir, plus vous réussirez à atténuer ce mal !

Considérez vos blessures émotionnelles, comme une occasion de vous transformer. Ne ratez pas l’occasion de vous libérer de leur écho.  Elles sont une part de vous et elles vous appartiennent, quand vous apprenez à les comprendre, elles cessent d’être vos ennemies,  elles s’apaisent pour disparaitre. Quand vous les acceptez comme une mémoire de votre vie et  une expérience pour grandir, vous commencez même à les aimer car elles sont une parcelle de votre identité.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Soigner sa blessure de rejet pour mieux vivre sa vie !

Quand s’ouvrir aux autres est souvent  un parcours difficile !

Quand on souffre de la blessure de rejet, toute notre vie est marquée de l’empreinte douloureuse du mal-être dans nos relations humaines. Les autres ont du mal à cerner notre personnalité, et n’arrivent pas à comprendre comment on fonctionne car on semble tellement différent ! Comme s’il leur fallait un mode d’emploi pour pouvoir interagir avec nous !

Qu’est-ce que la blessure de rejet ? On entend souvent parler de ceux qui souffrent de ce sentiment de rejet, c’est-à-dire de cette impression étrange de ne pas être acceptés comme ils sont et qui peinent alors à trouver leur place sereinement au milieu des autres !

Les individus qui portent en eux cette blessure de rejet, sont tendus à chaque fois qu’ils doivent entrer en contact avec autrui, et ils ont sans cesse cette crainte de se sentir jugés, ou alors d’être de trop,  ils se ferment par conséquent et rendent leur présence parfaitement invisible sans s’en rendre compte au final ! Et c’est pour eux un véritable paradoxe, d’un côté, ils désirent ardemment occuper plus de place et de l’autre, ils font tout pour ne pas se faire remarquer, animés par la peur obsessionnelle d’être rejetés !

C’est à travers ce grand écart permanent, qu’ils essaient de se frayer une voie de passage au milieu des autres. Ils finissent indubitablement par récolter des sentiments négatifs et désagréables. Ils s’attendent toujours à ce que quelqu’un leur facilite leur adaptation  et ils se fabriquent une attitude pour séduire. Ils naviguent alors, difficilement au milieu des extravertis qui eux ont le vent en poupe et ont peu de temps à accorder à ceux qui sont hésitants et qu’il faut aller chercher au fond de leur grotte !

Ils finissent donc inévitablement par en vouloir aux autres de ce qu’ils portent inconsciemment en eux, ils se disent  rejetés alors qu’ils se rejettent eux-mêmes par cette manière de se comporter qui est inappropriée puisqu’ils renient leur propre identité d’être. Comme ils se forcent, les relations ne sont pas fluides  comme s’ils étaient toujours en attente de quelque chose de la part des autres !

Ces autres ne se doutent même pas de leurs difficultés relationnelles et préfèrent justifier leur attitude en parlant de timidité, de manque de confiance en soi, de caractère introverti ou réservé voire même d’indifférence ou d’égoïsme !

L’origine du sentiment de rejet

Cette blessure de rejet est la plupart du temps infligée à l’enfant à sa naissance, selon la manière dont il  sera accueilli par ses parents et par son entourage à sa venue au monde.  Avec beaucoup de joie ? Avec angoisse et  avec  inquiétude ? Avec sérénité et confiance ? Avec indifférence ou tristesse ? Comme un bébé pas attendu du tout, surtout s’il s’agit d’un enfant non désiré, qui arrive à un moment inopportun et qu’on est contraint d’accueillir sans grande envie ni motivation ou comme un enfant de trop….

Tous les sentiments éprouvés par les parents vont créer l’épanouissement ou non de l’enfant dès ses premières heures ! Même si à la naissance, on pense que le bébé est le bienvenu, celui-ci va très vite percevoir bien malgré lui l’envers du décor, c’est ce qui va se graver alors dans son subconscient ! Petit à petit, il se rend compte de la vraie place qu’on lui a réservée et l’enfant se sentira comme coupable de la difficulté de ses parents pour le gérer et fera tout son possible pour n’occuper soit qu’une minuscule place pour ne gêner personne ou au contraire se rebellera souvent pour attirer l’attention !

C’est cette place qui définira d’ailleurs le caractère de l’enfant ! S’il doit sans cesse chercher sa place au milieu de la famille, il ne pourra que développer sa difficulté à comprendre les relations aux autres et ne saura pas du tout comment se comporter  pour mériter d’exister. Il recherchera l’autonomie pour ne pas causer de soucis supplémentaires à sa famille et essaiera par tous les moyens de créer le moins de problèmes possibles en devenant perfectionniste et  soucieux de sa réussite à tout prix pour espérer « briller » aux yeux de ses parents !

C’est là que commence pour lui un long et douloureux parcours de vie ! Il pensera sans cesse que l’autre n’a pas de place à lui accorder, pas de temps, pas d’amour et qu’il doit donc tout faire tout seul ! Et c’est cette blessure de rejet qui  résonnera de plus en plus fort à chaque interaction tout  au long de sa vie jusqu’à ce qu’il se rende  compte qu’il ne fait que répéter encore et encore les mêmes situations de rejet : comme il se sent rejeté, il rejette  les autres et les autres  le rejettent à leur tour et au final il choisit de s’auto- rejeter complètement pour moins souffrir et se ferme ainsi dans sa carapace !

Bref, toute sa vie aura comme fil directeur cette blessure de rejet, il finira par ressentir une profonde solitude au milieu de ce désert relationnel, et il aura comme une impression d’être un éternel incompris des autres !

Pourtant, ce n’est pas tout à fait sa faute même si c’est sa faute quand même !

Comment en venir à bout de ce sentiment de rejet tellement destructeur ?

De l’enfance à l’âge adulte, le chemin sera long et semé d’embûches ! Quand on pense à chaque instant qu’on n’a pas de place, forcément on interagit avec les autres avec cette blessure. On pense qu’on doit toujours faire plus d’efforts, qu’on doit sans cesse faire plaisir pour qu’on daigne  nous accorder de l’attention, qu’on doit prendre une petite place pour ne pas gêner,  qu’on doit se faire tout petit,  qu’on doit rester dans l’ombre pour ne pas causer de problèmes ! On achète comme un droit de vivre, on demande sans cesse aux autres comme une autorisation d’être ! Un laissez-passer pour vivre notre vie !

On peine à comprendre pourquoi c’est si compliqué d’interagir, pourquoi malgré tous les efforts surhumains, on obtient des résultats catastrophiques toujours marqués négativement par des incompréhensions, des vexations, des brimades, des reproches. On pense que c’est à cause de nos défauts, qu’on n’est pas assez bien, qu’on n’est pas comme les autres, qu’on est trop difficile à vivre ! Le sentiment de rejet nous pèse, nous affaiblit, nous freine dans notre déploiement et dans notre plein épanouissement.

On se pose mille questions pour essayer de se remettre en question, encore et encore ! On se fabrique jusqu’à une attitude, une manière d’être ! Mais on a de plus en plus de mal à comprendre ce qui dysfonctionne, on souffre de toutes ses difficultés et  on finit par sombrer dans le découragement ! On n’a plus du tout envie d’essayer, alors on devient distant, on se ferme aux autres, on se méfie d’eux !

On tourne le dos aux relations humaines ! On interagit à minima quand on n’a pas le choix ! On devient presqu’ asocial comme un petit poisson rouge dans son bocal qui se perd lorsqu’il se retrouve perdu dans l’océan agité des autres! On se renferme pour ne plus être blessé par la maladresse inconsciente des autres. Et on vit avec  ce conflit intérieur dont on ne vient jamais à bout ! On a beau changé de relations, jamais on ne se sent vraiment intégré !

Cela nous fâche et nous met en colère ! Pourquoi est-ce qu’on doit sans cesse faire plus d’efforts ? Pourquoi est-ce que les autres ne nous respectent pas ? Pourquoi nous jugent-ils différents ? A force, on le devient différent, on vit sans cesse avec des pensées négatives, on ressent comme un sentiment d’exclusion ! Pourquoi est-ce qu’on n’attire pas les bonnes personnes ? Pourquoi est-ce qu’ils ne nous voient pas ? Et ces pensées sombres qu’on transporte, nous enveloppe d’un voile obscure qui nous bloque émotionnellement dans tout ce que l’on entreprend !

La blessure de rejet cause beaucoup de tourments et il est nécessaire de prendre conscience qu’une réconciliation avec soi est plus qu’urgente pour retrouver son équilibre !

Il est temps de faire la paix avec soi-même !

Se rendre compte que si l’on souffre, c’est parce qu’on doit guérir de cette blessure de rejet, permet de se donner la possibilité d’apprendre à  s’ouvrir aux autres pour  sortir de l’ombre,  pour mettre fin aux pensées sombres qui nous agitent ! Ce n’est pas devenir quelqu’un d’autre ! C’est prendre conscience qu’il y a en soi comme un aimant qui va attirer ce que l’on ressent. Si on ressent le rejet, on attirera le rejet. Rien de plus !

C’est assez difficile à concevoir et on se dit que dans ce cas, ce sera compliqué de surmonter ce rejet ! Lorsqu’on accepte l’émotion qu’on ressent, en la vivant pleinement pour mieux la comprendre jusqu’à la traverser et la faire disparaître, on met toutes les chances de notre côté pour espérer se transformer positivement ! On accueille cette blessure de rejet en nous donnant beaucoup de tendresse et on cherche alors un sentiment d’unité et de justesse avec soi-même!

Quand arrive l’envie d’exister pleinement, on est en route vers la guérison !

La guérison passe avant tout par l’acceptation de cette souffrance en sortant du déni et de la culpabilité d’être ainsi fait! Quand on arrive à se dire que ce qui nous arrive n’est pas la faute des autres, on trouve le chemin vers un retour à soi. Quand on regarde les émotions qui accompagnent notre comportement, on se rend compte de ce qu’il faut réajuster. Quand on  comprend qu’on est créateur à  100% de notre vie, on se donne les moyens de surmonter les obstacles qui s’opposent à notre croissance personnelle !

On libère chaque mémoire liée au rejet pour ne plus laisser dominer en soi ce qui n’a plus lieu d’être ! S’aimer et s’accepter comme on est, dans notre authenticité et se voir dans les yeux des autres comme important et merveilleux, permet de changer de regard sur qui l’on pense être. Les pensées négatives nous ferment aux autres et quand on décide de ne plus les écouter, on reprend notre liberté d’être et notre plein pouvoir créateur !

Quand on a peur des autres, les autres ont peur de nous, quand on se méfie des autres, les autres se méfient de nous ! Faire confiance, c’est rompre avec les mauvaises habitudes de se juger avant que les autres nous jugent ! Si on s’aime, plus rien n’a d’importance ! Et ceux qui ne nous aiment pas ne peuvent plus nous affecter, nous les laissons libres de leur choix !

Transformer le rejet en désir de renaître à soi-même en se redonnant sa totale légitimité d’être, est un merveilleux cadeau à s’offrir! Il est temps de mettre fin à cet auto-sabotage de vous-même ! Laissez les autres vous aimer, vous apprécier pour ce que vous êtes sans croire qu’il faut faire à chaque fois des choses remarquables pour mériter leur intérêt ou leur admiration! Ne les privez pas de votre présence parce que vous pensez qu’ils ne vous aiment pas assez !

Arrêtez de croire qu’on ne vous apprécie pas, sortez de ces pensées limitantes, de ces remous émotionnels qui n’ont plus lieu d’être ! Ne donnez pas cette impression de toujours bouder, de bouder  la vie, de bouder les autres, d’être sans cesse en colère car on ne vous réserve pas l’accueil chaleureux que vous méritez ! Nul ne peut le savoir ! Personne ne connaît vos tourments !

Revivez le film de votre naissance en vous appropriant votre droit d’être au monde, en imaginant que vous étiez un enfant attendu et désiré sur cette Terre dans votre mission de vie et d’âme ! Et à chaque fois que vous interagissez avec les autres, sentez-vous accueilli à l’intérieur de vous-même comme cet enfant béni et sacré qui a vu le jour et qui s’est transformé en le merveilleuse personne que vous êtes devenue à vos propres yeux,  en vous répétant : « Je mérite ma place, je mérite d’être là, je mérite d’être qui je suis, je m’aime comme je suis ». Ouvrez votre cœur à un immense amour de vous-même, infini et bienfaiteur  jusqu’à le laisser déborder dans vos relations autour de vous en ressentant beaucoup de gratitude !

Plus vous allez changer votre rapport à vous-même, plus votre relation aux autres se modifiera ! L’amour de soi en est le pivot nécessaire pour réparer la blessure de rejet!

Toutes les blessures peuvent se guérir quand on cesse d’avoir des attentes… et qu’on se tourne enfin vers soi pour s’accueillir pleinement dans la reconnaissance qu’on se doit à soi-même !

Ayez foi en votre âme pour vous ouvrir enfin à une vie qui n’attend que vous ! Vous êtes béni et aimé !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Apprendre à comprendre vos émotions permet de moins souffrir

Les émotions  nous assaillent ! Les émotions sont des révélateurs dans notre quotidien de ce qu’on valide, de ce qu’on rejette, de ce qu’on refuse d’admettre. Ce sont de véritables capteurs de l’essence même de la vie comme des petits radars qui nous connectent à notre âme sans cesse ! On les considère comme trop envahissantes, pourtant plus on apprend à se fier à nos émotions, plus on sait ce qu’on veut et ce que l’on ne veut pas, ce qui nous pèse, ce qui nous rend heureux, ce qui nous fait du bien, ce qui ne nous appartient pas !

Dans notre gestion habituelle de nos émotions, on entre trop facilement en résistance avec ce que l’on perçoit des situations vécues, en essayant de  combattre nos émotions plutôt que de les laisser s’exprimer ou de les laisser nous guider.

On choisit souvent  de les enfouir par peur d’elles, par crainte qu’elles nous affaiblissent. On finit par les redouter comme des bombes à retardement,  et on ignore que tôt ou tard à force de les retenir, elles finiront par  nous submerger ! On les cadenasse à double tour à l’intérieur de nous, comme si c’était mal de les ressentir jusqu’à ce qu’elles nous empoisonnent et nous remplissent d’amertume! Avec l’âge, elles se transforment en détresse psychologique !

Il n’est pas normal de s’interdire de vivre ses émotions librement ! Choisir de vivre sans cesse sur la défensive sans dire ce qui nous dérange, consomme toute notre bonne énergie, c’est une stratégie perdante qui témoigne de notre incapacité à savoir gérer nos émotions et à avoir une bonne maîtrise de soi !

Cette manière de se protéger  est négative et épuisante car on bloque à l’intérieur de nous les ressentis que l’on a et qui doivent circuler librement pour nous permettre de prendre notre place plus sereinement.  Cela ne signifie pas qu’on doit les laisser exploser de manière brutale mais juste de ne pas sans cesse les réprimer. On doit rester fidèle à cet engagement d’un respect infaillible que l’on se doit à soi-même, à travers une sincérité à toute épreuve. Toute vérité n’est pas bonne à dire mais mentir sur ce que l’on pense vraiment  n’est pas favorable à de bonnes relations !

Plus on laisse se dérouler normalement la vie à travers les différentes résonances qu’on ressent, plus on accueille ce qui vient, sans s’y opposer et sans  masquer ce l’on veut laisser sortir ! Les autres avec lesquels on interagit, apprennent ainsi à nous respecter, à ne pas croire qu’ils peuvent tout se permettre de dire ou de faire sans réaction de notre part ! Par exemple si quelqu’un vous heurte dans votre sensibilité par des remarques désobligeantes,  le lui dire est la meilleure façon de vous respecter, sans colère ni violence, juste dans la spontanéité de l’instant. Remettre quelqu’un à sa place lui permet de comprendre  en quoi il dépasse les limites de votre liberté d’être et d’agir selon votre libre-arbitre, vos goûts ou  votre manière de penser !

 Personne ne peut prendre le contrôle de votre vie!

Votre vie  vous appartient avec ses imperfections et ses petites nuances claires ou foncées. Elle vous appartient totalement. Si quelqu’un vous manque de respect, qu’avez-vous pu laisser transparaître dans votre attitude, qui lui permet de dépasser les limites ? En quoi n’avez-vous pas été cohérent ? Parfois lorsqu’on autorise les autres à s’inviter dans notre vie, on ne fixe pas suffisamment les limites à ne pas dépasser. Certains caractères effrontés et manipulateurs ont vite fait de trouver là un accès direct à notre espace privé et intime où ils se permettent de nous blesser, de nous vexer ou de nous humilier de manière éhontée ! Sans réplique de notre part, cela grave en nous une blessure où notre estime personnelle est violemment percutée ! On souffre alors de ce que l’autre peut nous faire. A ce moment-là, il faut juste se demander : »qu’est-ce que j’apprends de la situation? » « Où est-ce que j’ai baissé trop vite ma garde »!  En réajustant votre posture, vous obligerait l’autre à revoir la sienne ! Personne ne peut vous forcer à faire quelque chose, votre choix est votre liberté:  ne la laissez jamais être bafouée par quiconque!

Nous sommes tous des êtres uniques, faits de chair de sang et d’émotions !

Quand nos émotions nous étouffent, on se sent mal comme sous pression ! Dire ou ne pas dire ! On finit par se résigner  et à l’intérieur de notre âme, on entend cette douleur lancinante, ce cri silencieux de colère jusqu’à la haine sans doute ! Plus on mange nos émotions, plus on n’arrive plus à les gérer. Elles deviennent des sanglots intérieurs qu’on peine à refouler ! Elles s’accumulent jusqu’à former une masse volumineuse qui se densifient  et s’expansent à travers une prise de poids incontrôlable ou des problèmes de santé innombrables : hypertension, diabète, cholestérol… « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime »!  Tout le monde connaît cet adage ! La mauvaise gestion de nos émotions est à l’origine d’un bon nombre de problèmes de santé et de maladies graves !

On pense se protéger de nos émotions face aux autres, alors qu’en fait on se durcit en façade au lieu de laisser être ce qui doit se révéler ! Et on perd en sérénité et en paix intérieur jusqu’à devenir agressif, colérique ou déprimé ! C’est ainsi qu’on se construit une cuirasse d’acier pour cacher cette « hypersensibilité » qui  nous  rend, soudain plus vulnérable. On ne reconnait pas suffisamment nos émotions comme la source même de notre intelligence la plus sensible ! Quand on apprend à les gérer, on apaise notre mental, on tonifie notre corps et on vibre d’une meilleure énergie, elles deviennent le phare de nos intuitions !

A chaque fois, qu’une situation nous fait perdre le contrôle, on se retrouve comme empêtré dans mille tourments comme si on habitait  un fort assailli qui doit se barricader deux fois plus, plutôt que d’affronter l’ennemi. Au contraire, c’est à ce moment là qu’il convient de se poser les questions suivantes : « pourquoi est-ce que cette situation déclenche en moi ce tourbillon d’émotions ? » On accueille ainsi la vraie raison de notre réaction émotionnelle à ce qui se passe pour comprendre ce que cela nous apprend !

Si on refuse cette étape de prise de conscience, on s’enferme dans les conséquences néfastes pour nous-même, cela peut aller jusqu’à générer des somatisations ou des pathologies car derrière tout trouble ou tout état de malaise se dissimule une cause visible et une autre invisible cristallisée par des sentiments mal gérés et des blessures non cicatrisées.

Plus on génère des pensées positives, plus on attire de bonnes choses dans notre vie ! Le contraire est aussi vrai !  Fuyez donc tous ceux qui viennent médire auprès de vous, ne les autorisez pas à croire que vous cautionnez leur mauvais comportement et que vous leur ressemblez!

Apprendre à mieux vivre ses émotions, c’est indispensable surtout dans la vie actuelle où le stress nous empêche de nous reposer mentalement.

Plus nos émotions désagréables s’accumulent, plus  elles se dressent comme une barrière dans notre vie, un barrage à nos élans, à nos aspirations. On ne vit plus, on survit, on a l’impression d’être comme un lion en cage, un dragon prêt à cracher du feu. On fulmine, on râle, après tout ce qui passe, tout nous irrite ! On devient rageux, colérique, comme épuisé intérieurement ! La colère, la tristesse, la haine, la rancune, le reproche prennent alors le dessus sur l’amour, la joie, la confiance, la douceur…On ne se reconnaît plus !

Il est urgent de comprendre que les émotions génèrent des souffrances qui persistent si on n’apprend pas à mieux vivre avec. Il ne s’agit pas de s’empêcher d’être sensible mais de mettre cette sensibilité au service d’une vie plus équilibrée plus expressive plus harmonieuse et de se sentir vivant et fort malgré nos émotions !

Si vous choisissez d’explorer vos émotions plutôt que de les enfouir, vous les transformerez en énergie pour vous relever plus fort de vos difficultés ! Lorsqu’on souffre, les émotions de tristesse et de colère dominent. On a tellement mal à l’intérieur de nous, que cela résonne tout autour de nous dans une énergie sombre et tourmentée, jusqu’à nous fermer aux autres.

Nos émotions se figent en nous et nous donnent un air sévère, austère et autoritaire !A travers chaque visage fermé, on peut lire la souffrance,  à travers chaque crispation, chaque tension comme autant de duretés non exprimées ! Un regard sombre témoigne d’une guerre intérieure, un tic dans le visage trahit des maux cachés, une grimace laisse voir un mal-être, une irritation. Une voix agacée laisse transparaître des ressentis négatifs.

Les émotions même quand on les enfouit se montrent dans notre attitude, dans nos gestes, notre corps ne ment pas, il est le premier révélateur de tous les non-dits !

Combien de fois vous forcez-vous à sourire alors que votre cœur pleure silencieusement ? Combien de fois mangez-vous vos émotions jusqu’à devenir une cocotte-minute prête à exploser ? Ces petits mouvements nerveux qui accompagnent vos gestes, ces raideurs corporelles qui font écran à votre détente et à votre bien-être témoignent du fait que vous refoulez vos émotions trop souvent. Laissez-les donc s’échapper de votre cage corporelle. Redonnez à votre corps toutes ses libertés!  Tout vous trahit quand la charge émotionnelle impacte votre vie !

Comment voulez-vous aimer quelqu’un si vous avez si mal ?

Quand on souffre, on n’a pas de disponibilité intérieure suffisante à l’autre. On n’a pas de place suffisante pour accueillir quelqu’un dans notre vie ! On se doit d’être sincère et honnête avec celui qui veut partager notre vie en lui confiant nos difficultés et en apprenant peut-être ensemble à mieux gérer nos émotions. Nous sommes tous impactés par elles au quotidien dans notre vie ! Les mêmes réactions, les mêmes effets nous confrontent comme un vase trop plein, toujours sur le point de déborder.

Ce n’est pas donc très honnête de les faire rejaillir sur ceux qui ne vous ont rien fait, ce n’est pas normal de se défouler sur les autres parce qu’on  ne veut pas canaliser ce qui nous déborde ! Quelques techniques simples et efficaces existent pour s’auto-accompagner : la méditation, l’écriture, le sport, l’art créatif… A chacun de nous de trouver sa manière d’extérioriser ce qui nous fait souffrir, de trouver un exutoire, un amortisseur à nos émotions. Ce ne sont pas des chevaux sauvages qu’on doit laisser galoper sans bride !

Les émotions mal gérées sont à l’origine de nombreuses problématiques de la société actuelle, tout le monde en pâtit, les enfants en premier ! Il est urgent d’en prendre conscience et de décider d’apprendre à mieux gérer ses émotions pour un monde plus apaisé !

Il n’y a pas de colère ni de tristesse ni de joie qu’on doit laisser déborder sur les autres ! Chacun est libre et à sa place. Ne devenons pas des éponges émotionnelles utilisées puis jetées par les autres qui ne se prennent jamais en charge. Tout le monde est capable d’apprendre à dompter ses émotions. Tout le monde… ! Soyez-en conscient ! Personne ne souffre plus que vous, si vous apprenez à vivre avec vos émotions, les autres peuvent aussi décider de le faire !

Les émotions sont des maux qu’on cache pour ne pas les regarder en face ! Il n’y a pas d’âge pour changer et pour devenir une personne plus stable, plus solide et plus sereine.  Faites taire ce dialogue intérieur qui vous nuit ! Laisser parler vos émotions ! Regardez-les en face, embrassez-les comme des petits bouts de vous qui demandent à guérir, puis regardez-les s’apaiser dans un tourbillon d’amour de soi renouvelé , le seul baume guérisseur de vos émotions !

Répétez-vous sans cesse: « je m’aime malgré tout, qu’est-ce qui est plus important que cela ? »

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment réparer la blessure d’injustice en renouvelant votre regard?

A quoi reconnaît-on la blessure d’injustice ?

D’où vient cette résonance du sentiment d’injustice dans votre histoire de vie ? Quel est ce point commun incessant à toutes vos problématiques ?

Bien plus que cela, quelle est cette blessure inconsciente qui a toujours teinté de ses nuances les plus sombres votre manière de vivre ?

Qu’est-ce qui vous fait vous sentir mal soudainement ? N’est-ce pas le regard que vous portez autour de vous et qui vous montre les nombreuses injustices dont souffre la société, ce qui fait écho à l’intérieur de vous dans cette impression de ne jamais être entendu dans vos demandes directes ou indirectes et de ne jamais ressentir un équilibre juste des choses !

Vous êtes-vous déjà demandé ce qui altérait votre regard sur la vie, ce qui rendait flou l’image de sa vérité, ce qui voilait l’éclat de sa splendeur ?

Qu’est-ce qui vous rend à chaque fois si morose pour vous empêcher de cueillir l’instant présent dans sa vigueur et pour ne jamais faiblir dans votre intention de l’honorer ?

Qu’est-ce qui vous met des freins dans vos envies ? Pourquoi avez-vous du mal à vous laisser tomber dans les bras de votre destinée et à vous laisser porter plus légèrement vers ce qu’il y a de plus grand à vivre ?

Souvent, lorsque vous cherchez à comprendre vos insatisfactions, à décoder vos incompréhensions, à déverrouiller votre esprit fermé, vous vous heurtez à la difficulté de voir la vie comme elle et non  pas telle que vous voudriez qu’elle soit,  mais juste à lire et à interpréter son sens visible et clair.

Vos yeux semblent comme aveuglés  par  vos déceptions et par vos blessures comme si c’était le seul goût que vous aviez de la vie ! Comme si vous vous prépariez à l’avance à vivre des échecs !

D’ailleurs, ce qui vous est arrivé hier, est toujours présent aujourd’hui dans les secondes qui s’affichent sur votre cadran et demeurera sans doute encore longtemps dans votre mémoire, comme si celle-ci aimait capturer le temps pour l’empêcher d’être libre.

Mais qu’est-ce qui vous trouble autant ? Qu’est-ce qui vous bloque le passage vers ce que vous désirez si ardemment ? Qu’est-ce qui fait obstacle depuis toujours à  vos rêves et à vos espoirs ? Qu’est-ce qui se refuse à vous constamment sans raison consciente ?

La réponse est en vous, là sous l’épais manteau de vos désillusions qui vous empêche de vous mouvoir librement, pour laisser circuler le flow intense de la vie qui palpite pourtant  au cœur de vos résistances et qui vous emprisonne dans un rapport sans cesse négatif.

Une nouvelle fois,  il convient de se plonger dans l’enfance pour retrouver l’origine de la blessure d’injustice infligée au petit enfant entre 4 ans et 8 ans. Vous avez sans doute subi un traumatisme qui a laissé en vous de forts  ressentiments et même si ces injustices ne vous ont pas impactés directement mais plutôt un membre de notre famille, cela peut vous donner sans cesse un sentiment de victimisation à chaque fois qu’une problématique émerge !

Quelles sont les manifestations de cette blessure dans votre état psychique ?

Et si vous preniez le temps d’écouter vos pensées, de ressentir la souffrance qui se donne en vous, goutte à goutte  et qui empoisonne lentement vos aspirations. Et si vous alliez questionner un peu plus profondément vos crispations ! N’est-ce pas un étau qui broie votre intériorité inconsciemment ?

Souvent, vous vous sentez tourmenté sans comprendre vraiment d’où vient cette baisse de moral ou ce découragement. Vous vous sentez las, démotivé, comme affaibli, et vous en ignorez la cause. Cela vous entraîne bien malgré vous, dans un état d’âme pessimiste qui vient nouer  tout votre corps et qui freine jusqu’à votre élan pour rendre difficile votre rapport aux autres !

Quel est au fond de vous cet écho lancinant qui résonne dans votre manière de regarder la vie ? Que voyez-vous de si sombre que les autres ne voient pas ? Quel ombre vous masque à vous-même ? Avez-vous oublié de vider la corbeille de vos expériences passées ?

Pourquoi respirez-vous avec difficulté comme si  l’air était  vicié ? Qu’est-ce qui vous oppresse et vous angoisse à un point tel que vous refusez de faire confiance à la vie elle-même et aux autres en particulier? Pourquoi tout vous agace ? Pourquoi avez-vous cette tendance fâcheuse à tout critiquer sans laisser une chance au positif !

Quels sont les fardeaux que vous portez si lourdement sur vos épaules si bien que vous paraissez à ce point découragé ?  Avez-vous sans cesse  ce goût d’amertume qui vous empêche de croquer dans la nouveauté et d’ouvrir votre curiosité au plaisir de vivre l’instant présent?

Avez-vous cette terrible impression d’être condamné à  ne jamais obtenir la reconnaissance que vous méritez pour tous vos efforts ?

Traînez-vous dans votre sillage la blessure de ne jamais être compris ni entendu dans vos demandes, comme si les autres faisaient exprès de vous voler à vous-même ? Entendez-vous gronder en vous de plus en plus souvent  la rage de  devoir faire toujours plus sans qu’on ne vienne jamais vous réconforter ?

La blessure d’injustice est la plus violente de tous les tourments de l’esprit. Elle provoque des sentiments tellement désagréables que la vie ressemble à un combat acharné où vous avez l’impression d’être toujours perdant quels que soient vos succès car vous vous sentez perpétuellement lésés dans toutes les situations ,  ce qui déclenche en vous  des ouragans de plaintes, de colères et de mal-être !

C’est la blessure la plus dévastatrice qui laisse se déchainer  en vous de bourrasques violentes de vents tempétueux qui assombrissent le ciel de vos pensées pour laisser poindre des orages de plus en plus fréquents. Vous trouvez tout injuste, inadmissible ! C’est comme si tous complotaient contre vous pour vous donner toujours la même vision du monde inéquitable et ingrat ! Alors vous vous sentez sans cesse furieux!

Souffrir de la blessure d’injustice est destructeur pour vous mais aussi pour les autres qui vous côtoient. On ne sait jamais comment vous allez prendre les choses. On ne discerne pas le flou de  vos errances dans votre manière d’être ! On vous craint car vous êtes intraitable si on marche sur vos plates-bandes. Vous donnez l’impression extérieurement que vous êtes calme mais nul ne peut percevoir le raz-de-marée qui vous submerge à chaque fois que vous êtes face à une injustice !

Vous avez d’ailleurs de plus en plus de mal à partager vos idées, tant vous subissez à chaque fois  la mauvaise expérience de vivre des trahisons d’idées sans aucune reconnaissance ni récompense !

Ressentir de l’injustice est une source continue de frustrations, vous n’arrivez jamais à vous faire comprendre pour espérer mettre plus d’harmonie dans votre vie, tant s’accumulent des situations où l’on vous prive de ce que vous méritez ! Et ce schéma devient tellement récurrent que vous baissez les bras et vous ne voulez plus faire aucun effort ! Vous perdez votre  motivation !

Au final, vous ne savez pas que tout s’explique dans votre manière de voir la vie, c’est ce rapport  qu’il convient de changer. Comment espérer obtenir des résultats différents si vous pensez que tout est injuste ! C’est un cercle vicieux, plus on souffre des injustices, plus on se ferme, et plus on a du mal à croire possible un changement !

Souvent on se résigne et on sombre dans un profond mal-être, on regarde les autres obtenir facilement ce que l’on doit s’évertuer à arracher à la sueur de son front, alors on désespère de voir les choses changer ! On capitule et on laisse nos idées au placard, on devient l’ombre de nous-même! On perd notre élan!

C’est là où se trouve le problème, à force de croire que tout sera toujours plus difficile pour vous, inconsciemment vous attirez à vous des situations d’injustice dans votre manière de concevoir les choses, vous finissez par en tirer les mêmes conclusions : « La vie est tellement injuste ! »

Il est donc vital pour votre bien-être de changer de rapport  pour vaincre une bonne fois pour toute ce sentiment négatif ! Si l’autre se comporte d’une manière qui ne correspond pas à votre vision du monde, ce n’est pas de votre faute ! C’est votre façon de juger ce qui est juste et ce qui ne l’est pas,  qui va  influencer votre manière de penser.  C’est à partir de votre subjectivité marquée par vos expériences malheureuses que vous allez vivre  vos problématiques avec plus de négativité et moins d’ouverture d’esprit !

Comment guérir votre sentiment d’injustice ?

Vous devez impérativement  renouveler votre regard :

  • Vivez les situations qui se donnent  sans rien anticiper sur les conséquences éventuelles.
  • Faites davantage confiance aux autres et à vous-même! Il existe des personnes honnêtes !
  • Sortez de votre repli intérieur par peur de  nouvelles déceptions et ouvrez la porte à un monde plus lumineux.
  • Accueillez  la vie comme une nouvelle partie à jouer, amusez-vous davantage sans craindre des conséquences fâcheuses !
  • N’ayez pas peur des critiques !  Les autres ne sont pas dangereux si on fait confiance à la vie !
  • Laissez votre cœur libre d’aimer, libre de penser, libre d’être lui-même ! Ne réfrénez pas ce qui demande à s’exprimer !
  • Ne recherchez plus la justice mais l’harmonie et l’équilibre dans la justesse !
  • Prenez conscience du fait que vous n’êtes pas un justicier mais un être humain, un héros de la vie qui croit en sa magie, un alchimiste du cœur qui préfère penser qu’il y a toujours une solution à tout !
  • Percevez de plus en plus ce qui vous unit aux autres et non ce qui vous sépare ! Laissez de côté vos clivages et accueillez la diversité du monde dans une volonté de partage et en étant plus tolérant. Ayez foi en la bonté de tous et de chaque expérience à vivre !

Plus votre regard se réajustera, plus vous cesserez de voir la vie déformée et injuste. Vous changerez enfin de rapport pour opter pour une stratégie plus gagnante. C’est ainsi que votre blessure d’injustice s’effacera de plus en plus jusqu’à disparaître complètement !

A chaque fois que vous faites une action, regardez-la autrement avec un autre goût, celui de pouvoir incarner ce que vous souhaitez vraiment au fond de votre cœur et ressentez votre communion parfaite avec la vie qui mettra  alors un baume plus doux sur toutes vos blessures pour laisser enfin votre âme sourire !

La justesse n’est pas dans votre mental mais avant tout dans votre cœur ! Pour un monde plus juste dans l’harmonie collective…

Maryse de Mes Mots de Vie

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S’aimer pour ne plus attendre l’affection des autres!

Ce n’est pas si grave si on ne vous aime pas !

Combien de fois vous sentez-vous en décalage avec votre environnement ou votre entourage, comme si vous aviez du mal à y trouver votre place et à être à votre avantage ?

Combien de fois ressentez-vous la solitude de ne pas réussir à attirer l’attention  malgré tous vos efforts ?

Combien de fois recevez-vous en pleine poitrine cette sensation de ne pas être visible ?

Combien de fois êtes-vous servi en dernier dans vos demandes auprès des autres comme si vous ne comptiez pour personne ?

Combien de fois essuyez-vous des larmes de rage en ressentant cette souffrance intérieure qui résonne en vous, quand on vous parle mal et qu’on vous manque de respect, jusqu’à vous faire dire à vous-même : « Que dois-je faire pour exister plus grand et plus fort ? »

Combien de sourires forcés pour cacher la grimace de votre cœur qui saigne quand on vous délaisse, qu’on vous ignore ou qu’on vous méprise ?

Autant de questions qui vous amènent à vous culpabiliser encore et encore ! Et à vous dire : « Pourquoi personne ne m’aime, je le mérite tellement? ». « Comment faire pour m’accorder aux autres, pour ne plus être à part, pour plaire, pour attirer l’attention ? » Et vous commencez à douter de  vous : « Peut-être est-ce à cause de mon physique, de mon caractère, de ma personnalité… ? » Vous vous en voulez d’être si difficile, de ne pas être comme les autres. Vous cherchez en vain des modes d’emploi !

De toute façon, c’est  uniquement de votre faute,  vous  ne savez pas y faire, vous vous y prenez mal, vous êtes trop difficile ! Alors vous y réfléchissez en boucle ! Comment vous habillez pour être vu ? Comment vous comportez pour être entendu ? Quel rôle jouer pour être compris ?  Peut-être devriez-vous changer de style, de coiffure, de parfum…!

Bref, de dévalorisations en remises en question, vous attendez encore et toujours que cela change enfin ! Votre âme meurtrie vous tourmente de jour comme de nuit et vous ressassez encore et encore les mêmes pensées, pour essayer de surmonter ces  impressions de rejet, d’abandon, d’humiliation, d’incompréhension, d’injustice, de trahison dont vous êtes  victime, toutes ces blessures qui se réveillent à chaque mauvaise expérience. Et vous vous demandez comment  faire pour vous libérer définitivement de ce mal-être ?

Comment sortir de ce mauvais rapport à votre vie relationnelle ?

La solution n’est pas inaccessible, elle est à votre portée ! Et si vous arrêtiez tout simplement de vous morfondre, de vous apitoyer sur votre sort, sur votre besoin d’être aimé et d’être accepté à tout prix ! Vous avez tout essayé et rien ne marche  ! Peut-être devriez-vous changer de stratégie et reconsidérer la situation autrement ? Peut-être serait-il temps de mettre un terme à vos jugements sur tout ce que vous faites? Peut-être devriez-vous  cesser de vous faire des films dans votre tête en attendant désespérément  ce que les autres ne pourront jamais vous donner ? Balayez toutes ces anciennes manières  de penser et soyez enfin la personne que vous souhaitez pour vous-même !

Qu’est-ce qui repoussent les autres dans votre attitude ? N’est-ce pas toutes ces questions  qui vous agitent et que vous vous posez sans cesse sur ce qui doit être d’après vous ! Il n’y a plus ni à analyser ni à moraliser, il est temps de vous libérer de cet amour des autres que vous recherchez à tout prix.

Regardez bien autour de vous. Êtes-vous vraiment seul ou refusez-vous de voir les personnes qui s’intéressent vraiment à vous et que vous ne voyez plus tant votre regard est déformé par  vos exigences ! Il n’y a pas de méthode ni de recette miracle pour être aimé, il est important de vous aimer vous-même pour ce que vous êtes !

Être aimé, ce n’est pas un diktat qu’on impose aux autres !

On entend parler de cet amour de soi indispensable au bonheur. Certains critiquent le fait que cela puisse paraître  utopique! D’autres évoquent  la souffrance liée à cette quête insatiable  quand on n’y arrive pas malgré tous les efforts !

Aimer est un sentiment naturel qui ne se force pas ! Chacun a le droit de choisir ce qu’il veut comme il le souhaite! Il n’y a pas d’ordre à donner à la vie !

On ne peut pas  obliger les autres à nous aimer ! Ils sont totalement libres de leurs actes !

Vous pouvez  attirer vers vous cet intérêt des autres ou au contraire leur indifférence ou leur insensibilité !  Ainsi va la vie, vous ne décidez de rien pour personne ! C’est le choix de chacun qu’on ne peut pas remettre en cause ! Quand vous cessez de mettre la pression à une forme de relation idéalisée, vous laissez les choses être comme elles sont ! Ce qui doit se passer, se passera. Vous acceptez l’idée de n’avoir aucune emprise sur les autres, si ce n’est de respecter leur liberté individuelle !

Se sacrifier pour « soi-disant être accepté des autres » est parfaitement inutile ! S’ils ne vous aiment pas, ils ne se forceront jamais ! D’ailleurs est-ce que vous aimez tout le monde de la même manière ?

Bien sûr, on peut évoquer l’amour inconditionnel qu’on se doit de porter à tous les êtres, pour faciliter les relations et l’esprit de fraternité nécessaires au développement d’une communauté mais on le sait bien que c’est difficile d’y parvenir ! Plus on se force moins ça marche !

Lorsqu’on apprend à cultiver la présence à soi au lieu de se focaliser sur les autres, on se relie autrement à ceux qui croisent notre route ! On apprécie davantage la pluralité de caractères, de genres, d’individualités, on se laisse guider par la richesse des échanges ou des partages qui en résultent ! On ne sent plus faible par rapport aux critiques ni aux regards mais plus compréhensifs et plus compatissants ! On pardonne plus facilement à ceux qui nous blessent !

Vous êtes le pivot le plus important de votre relation aux autres ! Soyez vous-même et tant pis si ça ne plaît à personne !  Plus vous serez capable d’ouvrir votre conscience à l’amour qui circule en vous dans votre cœur , plus vous aimerez les autres naturellement ! Plus vous serez en lien avec cette source de paix intérieure, plus cela vous permettra d’aller vers les autres sans crainte !  Il se passera ce qui devra se passer ! Il n’y aura plus cette sensation désagréable de devoir à chaque fois faire des efforts surhumains pour ne pas « rater » sa relation aux autres !

Plus vous vous aimez, plus vous vous validez, plus vous ressentez votre  pouvoir d’être comme vous êtes ! Vous devenez plus solide, plus fort ! Vous arrêtez de vous dévaloriser vous-même et de diminuer votre puissance par des commentaires inutiles qui polluent vos pensées ! Vous attirez ceux qui méritent de vous connaître ! Vous devenez  votre propre maître !  Vous ne cherchez plus à faire l’unanimité !

 Vous n’êtes pas « moins bien » que les autres !

Il est important de vous répéter sans cesse cette phrase pour valoriser l’estime de soi qui décline aussi vite que la météo ! Apprendre à se connecter à soi-même, c’est découvrir toute votre puissance d’être pour vous déployer pleinement dans votre vie, en arrêtant de marteler dans votre tête que vous n’êtes pas assez bien ou que vous n’avez aucun pouvoir, et que les autres sont forcément dix fois mieux que vous !

Vous comprenez surtout que ce n’est pas dans le reflet que vous renvoient les autres que vous devez mesurer votre valeur mais bien dans votre manière d’interagir avec eux ! Si ceux que vous côtoyez ne  savent pas apprécier votre présence, c’est bien parce que vous avez peut-être-vous-même cette fâcheuse tendance à  vous placer dans vos relations en dessous des autres !

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous aviez cette habitude  de prendre cette position d’infériorité à chaque fois que vous entrez en relation avec les autres ? Pourquoi voulez-vous vous leur donner cette impression d’être  plus « petit » qu’eux ? Pour leur laisser toute la place pour étaler leur égo en raison de votre peur de ne pas être accepté ?  A cause de votre incapacité à vous affirmer et à valider votre puissance intérieure ? Par politesse pour ne pas les mécontenter ? Par crainte qu’ils vous repoussent ?

Non, changez de stratégie : il est urgent de soigner ce complexe d’infériorité qui vous empêche de vous sentir épanoui dans vos relations et qui fait que vous souffrez de cette impression d’être moins bien que les autres !

Cela ne signifie pas pour autant que vous devez piétiner les autres mais que vous devez tout simplement exister à travers l’image valorisante que vous avez de vous-même. Si  avant de prendre votre place, vous agissez de manière « petite » et que vous valorisez l’autre sans arrêt comme si vous étiez admiratif de lui, celui-ci ne vous voit plus, il se sent tellement flatté qu’il vous jugera inintéressant ! Il s’imaginera à cause de votre attitude que vous n’avez pas de grande estime de vous-même et il vous trouvera  sans consistance réelle et sans importance à ses yeux!

Bien sûr, être gentil avec les autres, c’est une grande qualité mais pourquoi ne pas se mettre sur le même pied d’égalité ? Pourquoi ne pas vous contenter d’être vous-même et de laisser la relation se faire naturellement ? Il n’y a aucune pression à se mettre, pas besoin de flatterie ni de faux-semblants !

Les autres ont besoin de votre présence pas de votre soumission ou de votre obéissance  ! Souvent, ils  ne font que projeter sur vous  leurs propres difficultés,  leurs propres peurs et  leurs propres souffrances. S’ils ne font pas attention à vous, c’est qu’ils sont trop occupés à penser à eux-mêmes et à leurs problématiques ! S’ils vous blessent par leur manque d’intérêt, c’est surtout parce que vous attendez trop d’eux-mêmes !

Sortez de cette recherche de l’amour des autres comme une quête de votre propre vie ! Lorsque vous vous libérez de ces exigences  relationnelles qui vous volent l’essentiel de votre identité, vous apprenez à vous contenter de ceux qui viennent à vous comme attirés par votre rayonnement. Vous ne collectionnez plus des liens factices mais vous cultivez un terreau plus fertile de relations et de connaissances qui vous redonnent espoir en l’humanité et en vous-même !

Ce n’est pas grave si on ne vous aime pas pour ce que vous êtes ! Il est préférable que l’on vous mette de côté parce qu’on n’aime pas votre belle singularité et votre authenticité, plutôt que d’être populaire pour un rôle que vous devriez jouer !

Avez-vous seulement envie d’ailleurs de vous mentir à vous-même ? De gaspiller votre temps libre à exister dans des relations superficielles ? D’épuiser votre énergie à être ce que vous n’êtes pas au fond de vous !

Lorsque vous faites taire cette petite voix dans votre tête qui vous demande d’être à la hauteur des autres tous les jours, vous lâchez cette pression qui vous freine et vous fait vous sentir mal ! Vous prenez la décision de ne suivre que vos envies ! Vous ne vivez plus à travers le regard des autres, mais uniquement selon ce que vous pensez être le plus juste pour vous ! Vous n’avez plus besoin de compliments pour flatter votre égo ! Vous vivez dans la puissance de votre confiance intérieure qui grandit pour vous révéler au grand jour!

Vous cessez d’être fan des autres, vous devenez votre plus fervent admirateur ! Vous vous félicitez pour tous vos progrès ! Quand vous comprenez que ce n’est pas si grave si on ne vous aime pas, car ce n’est pas  le but de votre vie en soi, vous redonnez un autre sens à vos relations !

Fermez les yeux et ressentez cette source d’amour infinie et de sagesse qui coule en vous et qui pénètre au plus profond de votre être ! Libérez-vous de la peur de ne pas savoir aimer les autres parce que vous avez du mal à vous aimer vous-même ! Le moment viendra où vous ne douterez plus de votre valeur. Donnez-vous le temps nécessaire pour y parvenir et laissez agir cet amour précieux comme un bouclier magique !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Retrouver la confiance après avoir été trahi

De l’amour à la haine, il n’y aurait qu’un pas, d’après le proverbe !

Comment penser qu’au centre des relations que l’on entretient chaque jour, se jouent parfois des accords tonitruants qui viennent rompre l’équilibre et l’harmonie au cœur de nos vies ?

Lorsqu’on considère l’histoire d’une vie en prenant du recul, on s’aperçoit que l’on a croisé au détour des chemins des êtres, auxquels on a été lié par des liens soit d’amour, soit d’amitié et pourtant jamais, on aurait pu imaginer qu’on finirait par dériver si loin les uns des autres jusqu’à même oublier le moment sacré de la rencontre qui a fait naître cette relation qui  s’est alors éteinte comme un feu qu’on aurait oublié de raviver !

Qu’est-ce qui fait que l’on passe de relations soudées à des crises relationnelles ?

Comment expliquer cette effroyable transformation de la confiance et de l’amour donnés au début d’une relation en colère et déception pour résultat final ?

Les relations  sincères se comptent sur les doigts de la main : aujourd’hui on aime, demain on déteste, il est difficile de comprendre ce qui peut faire naître de tels sentiments si contradictoires et si destructeurs !

Si hier, on avait la main sur le cœur de l’autre, pourquoi aujourd’hui, cette complicité s’est-elle enfuie comme si elle n’avait jamais existé ? Pourquoi ne voit-on pas les conséquences de nos actes quand à un moment  on se met à  maltraiter quelqu’un qu’on était supposé aimer?

Pourquoi certains traits de caractère sont-ils difficiles à changer et pourquoi nos défauts inconscients nous mènent-ils par le bout du nez ? Pourquoi alors que l’on rencontre des personnes formidables que l’on apprécie tellement, pourquoi ces mêmes personnes deviennent-elles au fil  du temps  les pires relations qu’on regrette amèrement !

Cela n’est pas toujours le cas, il est vrai, mais l’on peut constater que conserver de bonnes relations demeure un véritable challenge, voire même un difficile parcours où l’on n’est pas au bout de nos surprises !

L’être humain est comme tout être vivant. Il est voué à évoluer, à se transformer, à changer, à grandir, à vieillir, à mourir et on se demande bien pourquoi malgré tout, il est si difficile de tendre vers le meilleur de soi-même, sans croiser sur sa route des personnes malintentionnées qui provoquent votre déroute avec leurs doutes et  leurs manigances !

Malheureusement, quelle que soit la relation amoureuse, amicale, familiale, professionnelle …arrivent les pires sentiments qui mènent à l’éloignement !

Apprécier quelqu’un suffisamment sans jamais l’envier semble relever du défi, tant le mal-être des uns et des autres affaiblissent les relations par des médisances et de la malveillance ! Les plus belles relations finissent par s’éteindre en raison d’incompréhensions. Comme si pour être en relation avec quelqu’un, il fallait à tout prix, perdre sa liberté, son authenticité et le respect de soi ! Comme s’il fallait toujours  répondre aux attentes des autres!

Il n’y a pas que l’amour qui doit être inconditionnel, les règles qui permettent à une relation de rester saine et sereine sont réelles et absolument nécessaires pour maintenir un lien toujours apaisé et épanoui !

On ne peut pas par exemple aimer quelqu’un et attendre de cette personne, une soumission à nos propres choix, à nos exigences et à nos décisions !

Non ! L’autre doit demeurer libre sans limite et sans nécessité de se justifier sur sa manière d’être et de vivre ! Si on décide de le faire entrer dans notre vie, on l’accepte entièrement comme il est, sans négociation possible en cherchant à le dénaturer de sa véritable identité !

C’est dans le croisement de nos typologies diverses et variées que naissent la merveilleuse et précieuse alliance de nos différences qui viennent donner naissance aux multiples facettes  envisageables de l’être humain et de toutes ses déclinaisons possibles à travers une multitude de manières d’être et d’exister !

Nous ne sommes pas faits pour nous uniformiser, nous standardiser, ou nous formater ! L’être humain est avant tout pluriel et c’est dans cette diversité que nous puisons l’essence même de ce que nous sommes !

Lorsqu’on cherche à contrôler quelqu’un par nos agissements, on ne peut que provoquer des difficultés.

Comment espérer l’harmonie et la tranquillité, si on n’empêche l’autre de respirer par lui-même ? Si on lui inculque des valeurs contraires au verbe « aimer »? Si on n’essaie pas de le comprendre dans son caractère, si on n’apprend pas à le connaître dans son unicité, si on n’a pas envie de l’écouter, s’il ne nous intéresse jamais ? Si  on ne lui accorde qu’une petite place dans nos priorités, si on n’aime pas son indépendance, le fait qu’il refuse nos principes et nos croyances ! Si on se fâche, on s’irrite, on se ferme, on se retranche dans une attitude d’insatisfaction perpétuelle.

Comme si on recherchait uniquement chez les autres, ce qui nous plaît et ce qui nous manque. On n’oublie alors de regarder, ce qui est là présent sous nos yeux et que l’on ne voit pas trop obnubilé par nos exigences envers la vie !

A quel moment cessons-nous de voir ce qui est pourtant si rare dans certaines relations, la chaleur du cœur qui devrait masquer tout le reste ! A vivre dans le mental, on gâche l’essentiel, on ne laisse pas notre cœur prendre toute la place !

Et quand tout s’envole, il ne nous reste que les yeux pour pleurer nos regrets en prenant conscience de la perte qu’on subit, trop égaré dans notre prédominance de caractère, dans notre inflexibilité et dans notre difficulté à nous adapter et à  accepter de nous remettre en question!

L’amour est un merveilleux sentiment où l’on fait  don de soi à quelqu’un d’autre mais la trahison en est le fiel, l’amertume, la rancœur  quand on se laisse guider par autre chose que par le cœur !

Comment comprendre ce sentiment de rejet ou d’abandon que va laisser la trahison !

La confiance n’est pas un vain mot. Faire confiance à quelqu’un, c’est lui donner comme les clés de chez soi pour ne jamais craindre qu’il en fasse quelque chose de négatif ! Dans une relation, quand on partage avec l’autre, notre intimité, on ne s’attend jamais à ce que cela se termine mal ! Pourtant, les ruptures, les séparations, les difficultés relationnelles témoignent encore et encore de ces souffrances émotionnelles qui sont de véritables ouragans dans notre vie !

Lorsque l’amour perd ses belles couleurs pour se ternir jusqu’à noircir notre cœur alors on voit se dessiner les couloirs sombres de la trahison, des manigances et des mauvais agissements de la part de la personne qui hier  encore prétendait nous aimer!

Comment peut-on franchir ce pas désastreux qui vient nier tous les beaux souvenirs partagés ?

Au nom de quelle vérité ? Quand des êtres se lient dans des relations d’entente et d’affection, qu’est-ce qui peut faire disparaitre la profondeur des sentiments et créer comme un fossé ? Hier si proche, aujourd’hui si éloigné, comme étranger ! On a du mal à comprendre, n’est-ce pas ?

Les relations reposent-elles à ce point sur des illusions ? Il est indispensable d’essayer de se poser toutes les questions pour réussir à accepter ce que l’on ne peut changer ! Pourquoi se trompe-t-on si souvent  sur les gens ? Sont-ils à ce point manipulateurs, faux, et fourbes ? Changent-ils de personnalité pour plaire aux autres, le temps d’un instant en cachant qui ils sont vraiment ?

Pourquoi vous regardaient-ils hier avec gentillesse et comment peuvent-ils avoir à présent tant de haine à votre égard ?

Quand on s’arrête au milieu des décombres d’une histoire relationnelle pour observer ce qui s’est passé, on reconnaît quelques éléments habituels qui mènent toujours au même résultat : la jalousie, la médisance, la domination, la manipulation, les mensonges, les intérêts personnels, les ressentiments…Et derrière tout cela, qu’a-t-on fait de l’amour ! Quel sens a-t-on donné à ce mot pour faire ainsi fausse route?

L’amour n’est pas qu’un petit brin de vie, c’est tout un champ d’émotions qui convergent toujours vers la même intention : aider l’autre à devenir toujours meilleur, à grandir, à évoluer ! Ne jamais l’arrêter, ni le freiner ou le bloquer dans son évolutivité ! Ne jamais l’enchaîner avec des vieux fers rouillés ! Ne jamais laisser d’autres personnes interférer !

Ce que l’on décide de partager avec quelqu’un en amour ou en amitié n’appartient qu’à nous, nul ne doit se permettre d’agiter ou de séparer !

Lorsque des morceaux de nous-mêmes restent prisonniers des autres qui nous ont blessés, alors il est extrêmement important de récupérer notre entièreté, pour ne pas avoir l’impression de rester perdu quelqu’un part  à cause d’une histoire ratée, comme si on devait demeurer éternellement brisé !

Comment se reconstruire émotionnellement pour se réparer totalement ?

L’écriture est la meilleure des thérapies relationnelles. Plus on écrit sur ce qui nous fait souffrir, plus on redonne à notre vie toutes ses saveurs. Comme on défriche un jardin abandonné, comme on restaure un vieux meuble oublié, comme on recolle les morceaux d’un objet précieux ! L’écriture vient nous apaiser !

Lorsque les lettres s’associent pour nous aider à mettre des mots sur nos maux, tout se libère, on se purifie le corps, le cœur et l’esprit ! Être capable de mettre des mots sur nos souffrances, c’est garder ou reprendre les rênes de notre existence ! Les mots nous aident à tout comprendre, à tout accepter, ils nous consolent car on sait grâce à eux ce qui s’est vraiment passé !

Chaque mot s’accompagne d’une sensation, chaque texte est fait de nos frissons, de nos peurs, de nos larmes, de nos tremblements ! Sur la page se dessinent les lueurs de ce qui nous est montré pour nous aider à  nous reconstruire instantanément. C’est ce pouvoir de dire avec les mots ce qui nous chagrine, nous opprime, nous déprime ! Alors quand on se relit, c’est tout un monde qui se livre pour nous permettre de nous guérir au fil du temps grâce à  cette lumière qui nous montre la voie de passage vers notre guérison intérieure sans amertume ni colère dans une totale libération pour une renaissance nécessaire!

Faire la paix avec soi-même commence par la reconquête de chaque espace intérieur perdu ! Écrire est une déclaration d’amour à soi-même ! Ce n’est plus cherché des prétextes pour se fuir, au contraire c’est à travers nos mots qu’on enlace notre cœur pour y  souffler un baume de douceur et de compréhension !

Quand j’écris « Je t’aime » sur la page, ces lettres éclairent l’âme de celui qui le lit !

Pensez-y pour dessiner les contours d’une relation, décrivez-la avec vos mots le plus précisément possible et alors vous saurez si elle est sincère ou imaginée ! Si vous savez trouver les mots précis pour la décrire, vous saurez peser la valeur de cette relation ! Si vous ne trouvez pas les mots alors …Ce n’est pas seulement parce que vous n’avez pas envie d’écrire, les mots ne viennent pas quand une relation a du mal à nous inspirer et que demeure une zone d’ombre ! L’écriture ne ment pas et ne triche pas ! Elle laisse se déposer sur la page la vérité de notre cœur !

Essayez juste d’écrire à quelqu’un pour lui dire que vous l’aimez : les mots se bousculent-ils ou se perdent-ils ? …. La clé est cachée dans votre cœur ! Nul besoin de réfléchir, quand on est sincère, les mots  viennent naturellement ! Comme l’eau qui coule de la source, les mots se laissent couler sur la page !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les pièges de l’orgueil nuisent aux relations humaines

Quand le sentiment d’orgueil empêche d’être soi-même !

Qu’est-ce que le sentiment d’orgueil ? 

Définissons ensemble ce sentiment provenant de l’ego !

Dans nos relations quotidiennes avec les autres, nous côtoyons différentes personnalités, au sein de notre travail, dans nos fréquentations amicales ou familiales, et même dans nos activités courantes comme aller au restaurant, faire les courses, attendre dans une file ou dans un embouteillage…. Nous avons donc l’occasion d’observer différents comportements humains et de constater qu’il est de plus en plus difficile d’être en lien avec les autres, sans se faire envahir ou sans être débordé par des attitudes déstabilisantes et déconcertantes.

L’orgueil et ses conséquences !

Essayons de mieux comprendre aujourd’hui, l’orgueil et ses conséquences !

Encouragés dès le plus jeune âge par leurs parents, certains individus se sentent comme obligés de toujours occuper toute la place, pour se dire  meilleurs, parfaits, premiers à  tout point de vue et ainsi attirer l’attention sur eux pour recevoir en récompense les félicitations qui flatteront  leur orgueil si bien qu’ils finiront par se croire vraiment supérieurs aux autres. Cette attente de la validation d’autrui comme un trophée restera dans leur stratégie de vie ! Ils agiront toujours dans la seule intention d’obtenir quelque chose en retour pour satisfaire leur amour-propre !

Ils feront tout ce qui sera en leur pouvoir  pour à chaque instant obtenir les bonnes grâces et les faveurs des autres.  Par conséquent, à force d’être habitués à être au centre de tout,  ils se placeront naturellement avant tout le monde dans toutes les situations, et feront tout pour être appréciés grâce à leur fine manipulation. Ils développeront ainsi un sentiment d’orgueil qui prédominera dans leur caractère.

Profil de la personne trop orgueilleuse :

  • Toujours vouloir avoir raison
  • Contrôler tout ce qui se passe.
  • Occuper la première place.
  • Tout diriger pour se faire remarquer.
  • Couper la parole et ne pas savoir écouter l’autre.
  • Accorder plus d’importance au statut social qu’à l’individualité d’un être.
  • Mépriser les autres en les dévalorisant et en les jugeant durement.
  • Penser qu’il n’y a qu’une seule réussite celle de l’argent et du pouvoir !
  • Ne pas vouloir se rabaisser en s’adressant à ceux qui ne sont pas de son statut.

Lorsqu’on croise ce type d’individu, on les reconnaît immédiatement : ils en font toujours trop  comme s’ils surjouaient constamment ! Ils développent inconsciemment l’idée que personne ne devra jamais passer avant eux quitte à devoir  les « écraser » ou à les piétiner pour continuer à avancer et pour les empêcher de leur faire de l’ombre.

L’être trop orgueilleux n’aura que cet objectif obsessionnel en tête, être le meilleur coûte que coûte et quoiqu’il advienne eu égard à sa  suprématie ! Il deviendra inévitablement égocentrique et se placera sur un piédestal dans sa relation aux autres. Il sera celui qui saura toujours tout mieux que quiconque sans même en faire l’expérience ! Il n’écoutera jamais les vrais arguments mais se placera toujours comme « un sacré donneur de leçon » !

L’orgueil se résume donc principalement  à cette idée pour une personne,  d’avoir une  haute opinion et une considération excessive d’elle-même, au point d’avoir une attitude méprisante à l’égard des autres et de faire de ce sentiment exagéré comme une valeur qu’elle se donne à elle-même pour se mettre au-dessus des autres.

L’orgueilleux ne connaît pas l’humilité ni la modestie. Il n’a ni le temps ni l’envie de penser aux autres. Il a pour règle de vie de valoir plus que les autres car il est irréprochable ! Il cultive son perfectionnisme et  ne se voit qu’à travers les  qualités qu’il se donne, sa beauté, sa force, son intelligence, ou encore ses accomplissements professionnels, sportifs ou artistiques, ses moyens financiers ou son patrimoine …

Son bonheur factice est centré sur l’idée que pour être heureux, il faut être au-dessus des autres ! Bref, tout ce qui le concerne directement sera à son sens toujours plus important et ce  à chaque événement de la vie! Il se montrera dans les faits, fâché avec l’empathie, avec la bienveillance et avec le sens de l’humanité. Il préfèrera épouser la cohorte d’émotions désagréables qui accompagnent l’orgueil : l’arrogance, la prétention, la fierté, la vanité, la suffisance…

Pour la personne orgueilleuse, il n’y aura pas de relation sans intérêt personnel, sinon ce serait perdre son temps !

Ce type d’individu mènera d’ailleurs une course insatiable au pouvoir, avec l’idéal de pouvoir occuper la place hiérarchique la plus élevée de son domaine de compétences. Si quelqu’un le gêne dans son ascension sociale, il s’en débarrassera en le discréditant, pour l’éloigner, pour l’éclipser et ainsi obtenir  toute la place. C’est ainsi qu’il conçoit d’ailleurs les relations, toujours se placer au -dessus de l’autre sinon cela n’en vaut pas la peine ! Quand il se sent  reconnu comme meilleur que l’autre, son égo surdimensionné brille comme la couronne la plus étincelante. Il ne fera jamais rien avec le cœur!

Pourtant, de manière étrange, il ne sera jamais satisfait de ce qu’il aura obtenu, il en voudra toujours plus et consacrera sa vie entière à se démener, pour prendre l’ascendant sur les autres, sans jamais se remettre en question quelque soit son âge.  Son sentiment d’exister passera obligatoirement par la réussite sociale.  Il aura besoin que tout soit toujours plus « gros », plus « grand » pour être contenté dans sa fierté personnelle. Forcément, toute cette pression qu’il se met  finira bien par  l’épuiser tôt ou tard et par le mener à sa propre détresse, mais il préfèrera rendre alors les autres responsables de  ses propres insatisfactions, oubliant qu’il a perdu beaucoup trop de temps à courir après des futilités dans son existence superficielle !

Il existe chez ces individus un besoin de reconnaissance permanent qui transparait dans de nombreux comportements jusqu’à nuire à l’entente au sein d’un groupe, d’une communauté ou d’une famille. C’est ce besoin d’être validés par les autres qui crée chez ces personnes trop orgueilleuses comme une distorsion psychique jusqu’à leur faire perdre leur rapport à eux-mêmes. Trop occupés à plaire aux autres plutôt que de vouloir plaire à elles-mêmes, elles deviendront imbues de leur personne et auront besoin sans arrêt d’être au milieu de toutes les relations !

Attention à la différence entre l’orgueil et l’estime de soi !

L’orgueil ne doit pas être confondu avec l’estime de soi, c’est là l’un des défauts les plus  fréquents de l’égo. Être arrogant et prétentieux n’a rien à voir avec le fait d’avoir confiance en soi ! Si  quelqu’un adore le  « m’as-tu vu ? » cela ne signifie pas qu’il sait mieux gérer sa vie que quelqu’un d’autre qui serait plus  effacé ou plus réservé par respect de lui-même ! Avoir un air hautain n’a rien à voir avec le fait d’avoir un excellent amour de soi ! Bien au contraire, plus on apprend à être simple  dans sa  manière d’être, plus on fait preuve  d’une intériorité équilibrée et saine.

A la recherche d’une meilleure estime de soi, il faut faire attention à ne pas devenir auto-suffisant ! L’égo porte plusieurs masques, il convient d’apprendre à les reconnaître pour ne pas  tomber dans ses pièges ! Il y a  ainsi différentes formes d’orgueil à reconnaître.

Il y a le fait d’être méprisant et dévalorisant à l’égard des autres sans se dire que c’est inconvenant ! Il y a cette fierté de toujours se sentir irréprochable sans changer sa mauvaise attitude.  Il y a cette difficulté à laisser de la place aux autres en ne voyant que ses propres priorités. Il y a ce besoin d’envahir l’espace personnel de l’autre pour le réduire, le diminuer et restreindre sa liberté.  Il y a cette façon de s’adresser à l’autre sur un ton condescendant pour l’humilier ! Il y a ce besoin de se mettre en avant  constamment !

L’orgueil est un défaut qui crée beaucoup de souffrances. Le fait de ne jamais se remettre en question en assumant sa part de responsabilité, de ne jamais vouloir  reconnaître ses torts, de faire des autres son bouclier personnel,  de se cacher derrière des jolies manières, montre le vrai visage caché de ceux qui manipulent derrière leur masque de perfection surfait !

Avec tous ces exemples, on comprend mieux l’importance d’être vrai ! La personne orgueilleuse est  convaincue d’avoir raison et de devoir tout faire pour arriver à convaincre les autres. Elle ne veut pas partager et c’est la raison de nombreux conflits relationnels ! A vouloir tout gagner, on finit par tout perdre ! Il est urgent d’apprendre à partager dans la générosité que la vie nous donne !

N’oubliez pas que derrière ce défaut d’orgueil  se cachent des personnes avec une très faible estime de soi ! L’estime excessive de sa propre valeur et de ses connaissances est exagérée et se rapproche de l’égoïsme qui  fait prendre en compte de façon démesurée ses propres intérêts, sans faire attention à ceux des autres et sans respecter la liberté de l’autre ! On ne peut pas vivre pour nuire aux autres !

Savoir à qui on a affaire évite bien des déceptions et des trahisons ! Il est donc important de rester digne car l’excès de vanité est fortement déconseillé pour des relations saines et sereines avec les autres ! Le bien-être et la paix intérieure sont importants pour la santé, pensons à les préserver et cultivons la chaleur humaine !

Maryse de Mes Mots de vie

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Comment ne plus souffrir du manque affectif ?

La vie passe et au cœur de vous, un trou béant qui jamais ne se remplit…
Ce vide intérieur résonne à chaque fois que vous vous sentez seul ou incompris. Même avec les autres, vous l’entendez cet écho de mal-être qui vous empêche d’être…
A chaque émotion, votre âme pleure en silence sans larme
A chaque sensation, votre corps frisonne et se tend
A la moindre tension, tout votre être s’alarme
A la moindre pression, votre mental s’agite et se défend
Pas un moment de votre vie ne parvient à effacer ce manque que vous ressentez comme une seconde peau, comme une part de vous qui n’arrive jamais à s’exprimer…

Alors vous cherchez comment attirer l’attention? Comment provoquer une avalanche de sentiments à votre égard? Comment devenir plus visible et plus intéressant? Et vous peinez à trouver ce qui parviendra enfin à vous égayer, à vous donner le sourire, à vous faire éprouver de la joie, à vous faire vivre dans la plénitude…Ce gouffre à l’intérieur de vous s’est creusé en raison d’un manque affectif criant dont vous avez souffert et qui ne s’est jamais vraiment guéri vous condamnant comme à la solitude de vos questionnements intérieurs…

Le manque affectif s’ inscrit sans doute dès la première seconde de la naissance du bébé, qui en passant de la chaleur du ventre de sa mère à la vie extérieure expérimente un passage difficile entre deux mondes. Si chez certains, très rapidement les bras de la mère réussissent à réchauffer cette nouvelle réalité et à effacer ce manque. Chez d’autres, l’arrivée au monde est ressentie de manière plus brutale voire agressive. Et c’est cette empreinte qui demeure alors comme une blessure de l’âme qui vient décupler les tourments.
A chaque fois qu’on se réveille maussade, notre humeur comme en berne éteint nos envies
A chaque fois qu’on se sent blessé par les autres, notre valeur comme en chute libre efface notre confiance
A chaque fois, qu’un regard nous agrippe, un malaise intérieur nous fait frémir et provoque notre méfiance.

Comment combler ce manque affectif?

Bien sûr, la réponse rapide serait de vous conseiller toutes sortes de compensations pour vivre votre vie dans l’impression d’être entouré, d’être aimé, d’être joyeux… Malheureusement, si vous faites semblant d’être heureux, cet état masquera certes, votre manque affectif, mais chacun de vos actes sera néanmoins marqué par cette intention voilée de se faire aimer des autres. Et à l’intérieur de vous, le vide restera vide et résonnera à chaque mauvaise expérience!

Au final, qu’est-ce qui fait souffrir vraiment?

C’est avant tout le manque d’attention, les maladresses de communication, les brimades, les reproches sous-entendus, les vexations, comme un refus de vous voir comme vous êtes. Cette impression d’être invisible, d’être facilement oublié et rejeté…Ou d’être ignoré pour vos goûts, pour vos besoins, pour vos désirs. Ce qui vous fait souffrir dans ce manque affectif, c’est de vous sentir désespérément seul même au milieu de la foule. Comme une incapacité de la vie à vous combler vraiment. Il n’y a pas de richesse, ni de bonheur artificiel , sans chaleur du cœur.

Comment y remédier pour mieux vivre sa vie ?

Il n’existe pas de solution miracle pour réparer en un tour de magie, ce manque affectif que vous ressentez.
Par contre en prendre conscience, c’est une bonne façon de cheminer vers vous, pour vous redonner à vous-même toute cette attention dont vous manquez cruellement.
Méditer est par exemple une excellente manière pour vous tourner vers vous et pour vous accorder ce temps nécessaire pour prendre soin de vous . Comme si vous vous occupiez vous-même de votre petit jardin intérieur, pour en éliminer toutes les mauvaises herbes.
Se recentrer sur soi, et se laisser aller dans le silence à la rencontre de cette part de vous qui demande à apparaître permet de regarder en face ce qui vous fait souffrir pour vous réconcilier avec vous-même.
Lorsqu’on s’accepte comme on est, on s’abandonne à cette mauvaise habitude d’attendre toujours des autres ce qu’on ne peut combler soi-même. On regarde avec amour le manque qui nous attriste et on invite dans notre vie un nouveau rapport. On cesse de donner pour plaire, et on accepte aussi les belles surprises qui viennent nous rappeler que nous méritons aussi de recevoir si on se l’autorise …
L’affection, on peut le percevoir au cœur de notre matière vivante, de notre être en mouvement, de notre vie en action, de notre intention d’oser pour vivre notre vie. Lorsqu’on est à notre vraie place, on peut donner libre cours à notre créativité, faire tout ce qu’on aime et ressentir enfin la plénitude affective.

L’amour de soi s’écrit en lettres d’or dans notre cœur, à nous de savoir prendre le temps de nous aimer et de faire vibrer cette énergie qui se libère en nous quand on y porte toute notre attention…

Ne plus souffrir du manque affectif, c’est s’ouvrir à l’amour de soi en devenant sa priorité… Soyez attentif à qui vous êtes, c’est votre plus grande force!

Maryse de Mes Mots de vie




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Le sourire des yeux

Le regard est la porte de l’âme

Maryse de Mes Mots de vie

Dans les relations humaines, ce qui nous porte c’est la lumière du regard qu’on perçoit chez l’autre. Les yeux pétillants qui s’éclairent pour nous accueillir. Cette joie visible qui sourit à notre vue. Bien plus que les paroles, c’est ce qui nous donne envie d’interagir , de tisser des liens, de partager de vrais échanges. Un regard éteint, c’est une froideur qui nous restreint, qui nous freine dans nos élans, qui nous bloque d’emblée, comme une porte fermée qui nous fait reculer intérieurement. Cela ne nous donne pas envie de franchir le pas, ou alors on se met à distance naturellement de l’autre. L’échange est alors dénué de chaleur et devient vite comme désincarné comme déconnecté, vide et futile. Pourtant, il n’y a aucun effort à faire. L’attention à l’autre suffit, quand on s’engage à lui parler, à le côtoyer, à le voir avec les yeux du cœur, il n’y a plus de jugement, il n’y a plus de barrière. La relation s’ouvre dans une belle réciprocité chaleureuse nourrie par une attention bienveillante à l’autre. Comme s’il devenait à son tour le miroir de cet élan créateur. Nous sommes des êtres de relation, et ce n’est que dans la douceur de nos intentions que tout se crée …

« Nos yeux parlent pour nous, laissons-les raconter de belles histoires, d’amour, de bienveillance, de tolérance, d’acceptation de la vie comme on veut qu’elle soit… Soyons doux intérieurement !

Maryse de Mes Mots de vie

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Les bras du silence

Le silence, cet ami qui vous veut du bien

Maryse de Mes Mots de vie

Lorsque la vie nous malmène, souvent on se réfugie dans des compensations extérieures pour soulager nos peines.

Pourtant, il existe une manière bien plus simple de se faire du bien.

Fermer les yeux et écouter le silence dans son amplitude infinie.

Juste se déposer comme dans des bras protecteurs pour lui confier nos questionnements intérieurs, et se relâcher dans cette immobilité de repos jusqu’à se laisser faire par cette puissance en action, par ce temps pour soi qui n’est pas une absence de bruits mais un espace de reconnexion à l’essentiel.

Et sentir s’ouvrir un lieu d’accueil où il n’y a plus ni jugement, ni attente, ni volonté où nos pensées les plus lourdes se diluent pour laisser aller tout ce qui pèse sur notre cœur.

Lorsqu’on écoute le silence, il nous écoute à son tour , notre corps devient la caisse de résonance de son écho plein et profond jusqu’à entendre le bruit de la vie qui cogne à l’intérieur de nous pour nous rappeler ce qui nous anime vraiment, ce qu’on veut vraiment, le cœur de notre vivant.

La vastitude du silence desserre nos rigidités les plus tenaces, nos fixités les plus inconscientes, nos peurs les plus viscérales.

Quand le silence nous pénètre, nous pénétrons dans notre intériorité comme dans une demeure sacrée pour être réconforté et apaisé par sa sérénité.

Dans les bras du silence, notre cœur ressent la chaleur humaine qui circule et se diffuse comme un baume pour réparer nos blessures. On a la sensation de devenir aussi immense que l’infini, et on retrouve de la place pour gérer nos émotions envahissantes.

Dans les bras du silence, on se laisse porter vers nos aspirations, et on remplace ce que l’on ne veut plus, par des pensées plus en harmonie avec notre bonheur.

Le silence nous enveloppe de son manteau protecteur, pour nous redonner la force de nous renouveler, de nous re-créer dans sa parfaite stabilité et une solidité retrouvée.

Lorsqu’on épouse le silence, la rencontre entre notre êtreté et sa vérité décuple notre perception et nous met en relation avec la vie dans un rapport différent. Nous goûtons vraiment à l’instant présent . Nous devenons pleinement vivants, grâce à cette parfaite unité.

Grâce au silence, on repousse toutes nos limites pour suivre le rythme de ce qui nous anime et on chasse tout ce qui nous empêche d’être présent à nous-même, à la vie.

Le silence est un allié pour réconcilier nos parts éparpillées entre ce que l’on est vraiment et ce qu’on nous force à être . On retrouve notre authenticité, notre sensibilité, notre force…

Lorsqu’on se retrouve dans les bras du silence, on apprend à s’aimer et à aimer , on sait ce qu’il nous faut vraiment, on arrête de s’empêcher de vivre.

Laissez-vous guider par le silence, il est le seul qui sait …

Maryse de Mes Mots de vie

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Douceur et bienveillance

Lorsque je m’observe de l’intérieur les yeux fermés, je me vois comme je suis dans l’instant.

L’instant qui est alors la photographie exacte de ce qui m’anime, dans mes émotions, mes ressentis, mes humeurs.

Lorsque je contacte ma météo intérieure, je sais ce qui est agité en moi. Je découvre la couleur de mon humeur. Je prends alors la décision de déposer ce lourd fardeau émotionnel avant de me lancer dans mon quotidien afin de ne pas faire rejaillir vers les autres ce qui me déborde à l’intérieur de moi.

C’est à partir des variations de tonalités que je perçois de mon intériorité que je me recentre progressivement sur ce qui m’apaise grâce à mon attention bienveillante à mon relâchement corporel dans l’immobilité, à l’écoute du silence qui dilue mes pensées et à l’accès à mon mouvement interne qui anime de sa lenteur la vie qui respire en moi et qui me rappelle que je suis vivant.

Si la tempête gronde en moi et que je ne fais rien pour la calmer, l’orage relationnel risque de s’abattre sur ma vie avec ses conséquences les plus néfastes.

Savoir prendre le temps de sonder son état d’âme avant de se projeter vers les autres est indispensable pour ne pas gâcher les relations humaines.

Combien de fois, vous sentez-vous agressés par la mauvaise humeur de ceux qui déversent leur état tensionnel sans crier gare ? Cela démontre que communiquer, c’est faire attention à l’impact de ce qu’on transmet aux autres de nos humeurs . « Parlons peu mais parlons bien », ce proverbe rempli de sagesse est la base de toute bonne entente. « Bien » sous-entend, pour moi, ici, en étant présent à soi dans le moment qui se donne.

Quand quelqu’un vous reproche quelque chose, c’est son état réactionnel qui s’exprime en focalisant sur ce qui ne va pas. C’est sa part négative qui prédomine.

C’est pourquoi, méditer chaque jour est une manière de s’offrir un temps de décantation nécessaire pour se retrouver, intact et stable.

Lorsque l’on perçoit la chaleur de la vie qui circule en nous, on est au cœur de notre humanité, du vivant au cœur de nous. Et c’est de cette chaleur qui se diffuse que l’on cueille la bienveillance envers soi que l’on pourra ensuite tourner vers le Monde.

La bienveillance, c’est cette attention douce que je me porte et que je peux offrir aux autres naturellement dans une intention de réciprocité.

Vivre dans cette qualité de présence, c’est être conscient du caractère précieux de la vie qui s’écoule en nous à chaque seconde. On goûte alors à la chaleur humaine en soi avant de la désirer à l’extérieur de soi.

Les yeux fermés ou les yeux ouverts, on reste entier dans notre globalité intérieure où plus rien ne prédomine, on s’apaise, on s’autonomise, on devient plus grand, plus ouvert, plus rayonnant.

Lorsqu’une problématique émerge, on se recentre avant d’agir, pour trouver la solution. On apprend ainsi à gérer ses émotions, c’est indispensable, si on veut mieux vivre ses relations aux autres, car c’est ce qui nous empêche souvent d’apprécier les beautés simples de la vie.

Laissez briller votre soleil intérieur sans lui faire de l’ombre alors vous vivrez toujours au zénith de vos potentialités et dans la douceur et la bienveillance nécessaires pour rester libre de vous-même.

Au coeur du Vivant
Maryse de Mes Mots de vie

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Le Mouvement du cœur

Tel l’oisillon qui découvre le battement de ses ailes,

Notre cœur frémit quand il pétille du souffle de la vie

Comme le vent qui chante dans les arbres

Notre cœur frissonne de la caresse de notre âme

Ainsi qu’un enfant qui sourit à sa mère

Notre cœur frétille quand l’amour le chatouille

Quand le soleil rayonne, quand les papillons s’égayent

Notre cœur se gonfle de leur douce chaleur

Dans un mouvement ample et gracieux, il s’ouvre comme une rose

Il vagabonde au gré de ses humeurs

Il sait que la Terre est ronde et il n’a pas peur

Il écoute le battement de la vie autour de lui

Il ressent la fureur, la tristesse , les émotions qui s’enfuient

Quand il se met à vibrer de la joie d’aimer

Un halo de tendresse se dessine dans son sillage

Il se pare de son flow , il combat tous les maux

Il plonge dans sa délicatesse

Il diffuse sa douce chaleur

Il accorde de son harmonie

Le chaos qu’il rencontre autour de lui

Il se remplit pour déborder de son flot continu

Notre cœur s’anime quand il ressent les belles intentions

Il s’élance pour enlacer la vie et danser sa mélodie

Il attire de sa bienveillance les autres coeurs

Pour former ensemble un chœur universel

Soyez présent à votre cœur, et suivez son mouvement, il vous attend pour éclairer la vie de la chaleur humaine.

Maryse de Mes mots de vie

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L’amour guérit tout…

L’amour guérit tout, il panse vos plaies, il essuie vos larmes

Il vous console, Il pardonne, il désarme

Il défie, il fleurit, il s’épanouit

 Il vous donne la force de tout dépasser

 Il est votre élan de vie

Il est à la fois l’amour que vous portez aux autres mais surtout l’amour que vous ressentez pour vous-même

Lorsque vous cessez d’être en attente de cette affection de la part des autres, vous vous ouvrez au monde

Vous comprenez que la solution réside en vous car l’amour  a des pouvoirs magiques inimaginables

Vous pouvez en user et en abuser sans modération, il vous donne foi en vos forces et en vos possibilités intérieures

S’aimer n’est pas un acte égoïste à partir du moment où il s’agit d’un amour de soi-même et non de l’image que l’on a de soi

S’aimer n’est pas un acte narcissique ou égo-centré, c’est au contraire enlacer la vie avec son cœur en toute sincérité

C’est comprendre  que lorsque vous vous acceptez comme vous êtes, avec vos particularités, avec votre authenticité, avec votre richesse

Vous vous éloignez de la fausseté, des mensonges, des faiblesses, vous vous élevez vers ce qui est meilleur en vous

Le manque de confiance en soi est le signe du désamour que l’on éprouve à notre égard

On attend tellement  des autres que l’on finit par devenir esclave de ce qu’ils veulent que l’on soit

Est-ce cela s’aimer? Agir sans aucune liberté ? Dépendre de la volonté des autres? N’exister que dans leurs regards?

Plaire? Impressionner ? Se façonner selon ce qu’on voudrait qu’on pense de nous?

Non, l’amour de soi est bien plus grand que cela. Il est tellement immense qu’il va au-delà de votre être

Il rayonne avec une telle intensité qu’il vous enveloppe et vous illumine

Lorsque vous êtes amoureux, les signes de cet amour se perçoivent dans votre attitude

Votre cœur vibre, vos yeux brillent, votre visage resplendit, vous êtes éclairé par cet amour

Lorsque vous vous aimez, c’est pareil, tout votre être est amplifié comme transcendé par cet état qui vous donne force et assurance

A partir du moment, où vous est êtes en accord avec vous-même, autour de vous tout s’harmonise

Vous vous transformez chaque jour, nourri par cette sève permanente qui vous permet de vous épanouir

L’important n’est plus alors ce que les autres pensent de vous mais le fait que votre attitude reste positive en tout temps

L’amour guérit tout, il panse vos plaies, il essuie vos larmes

Il vous console, Il pardonne, il désarme

Il défie, il fleurit, il s’épanouit

 Il vous donne la force de tout dépasser

 Il est votre élan de vie

Alors  fleurissez à la vie dès aujourd’hui, n’attendez plus pour aimer, pour vous aimer, pour remercier la vie du cadeau qu’elle vous fait en vous permettant d’exister. Donnez,recevez et partagez tout cet amour, c’est si sacré…

Maryse de Mes mots de vie

 



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