Notre corps est notre temple sacré

Amour de soi et body positive

MMDV

En tant qu’individu, nous sommes un corps, un esprit, une âme et ce formidable Tout, se meut dans l’espace et le temps pour nous faire voyager dans l’histoire de notre vie. Notre corps garde dans chaque centimètre carré de sa peau, chaque expérience qui nous accompagne au fil des cycles de notre âge. Ce même corps nous a accueilli dans ses bras pour nous bercer du rythme de la vie dès notre  naissance, puis il s’est étiré encore et encore pour grandir et nous permettre de l’habiter, comme la première des maisons dans laquelle nous nous sommes édifiés, pierre à pierre, pas à pas, sur le chemin de notre croissance et de notre évolution au fil des ans.

Notre corps est notre véritable lieu de vie, c’est par lui que nous nous ressentons, que nous nous éprouvons et nous l’animons de nos actions. Notre corps n’est pas juste un corps, il est bien plus que ça, le socle de toutes nos aspirations. C’est par lui que nous percevons chaque mouvement, chaque pensée, chaque flux. C’est dans chaque respiration organique que nous activons notre force de vie. Notre énergie vitale le fait trépider, le fait trembler et parfois même chanceler. Il est le siège de toutes nos émotions, et c’est à travers nos sensations corporelles que nous exprimons ce que nous vivons.

Au début de notre vie, pour nous, notre corps n’est qu’un objet utilitaire, comme une séparation entre notre tête et nos pieds, puis nous comprenons qu’il forme bien plus que ça, une globalité et que si l’on continue à le croire dissocié, on devient un être désincarné, sans goût pour la vie, sans sentiment d’exister . Lorsqu’on prend conscience que notre corps est et restera notre unique repère, notre phare pour traverser ce que l’on a à vivre tout au long de notre destinée, alors on sait qu’il se transformera au fil de nos émotions refoulées, de nos non-dits sacrifiés, de nos blessures délaissées, de nos croyances erronées sur nous-mêmes, et sur notre personnalité.

Notre corps, porte l’empreinte de chaque souci, de chaque contrariété et si l’on n’apprend pas à le respecter en faisant de lui notre priorité, il se met à se rebeller. Il crie notre colère, il pleure notre tristesse, il s’épaissit du manque d’affection ou s’assèche des amertumes qui l’emprisonnent.

Notre corps raconte notre histoire de vie, il se courbe sous le poids des maux, il s’affaisse sous le joug des souffrances. Il hurle sa peine et noie sa solitude derrière des masques et des grimaces, derrière des troubles et des déformations. Notre corps souffre quand on l’empêche d’être tout simplement lui, quand on l’oppresse des diktats de la mode, quand on le dévalorise de notre regard trop exigeant qui perd toujours son temps à le comparer aux autres, en l’affligeant, en lui reprochant de n’être jamais assez bien. Notre corps devient alors comme une prison quand on le subit et qu’on oublie de lui accorder du temps, pour des activités saines, pour une alimentation équilibrée sans le juger, sans le détester,  autant d’excuses et de prétextes pour ne pas lui donner la possibilité d’exprimer ce qui pèse sous toutes les couches refoulées de ses traumatismes oubliés.

Des régimes excessifs à des addictions destructrices, il paie alors le lourd tribut de ce mal à le laisser être quand il veut raconter sa vérité.

Quand notre corps soupire sans plaisir, quand il se relâche sans effort, quand il procrastine et s’encrasse, alors il souffre et notre mental qui oublie de l’aimer devient négatif. Il est accusé d’être la cause de tous les désagréments, comme si ce Tout qui devrait être unifié pourrait s’accorder tout seul comme un instrument de musique délaissé. Il ne peut alors jouer que des notes discordantes si on ne lui donne pas l’autorisation de se dire, de s’écrire, de témoigner de ce qui l’oppresse et qui l’empêche de se déployer.

Quand notre corps redevient notre priorité comme une matière vivante animée du mouvement de la vie, alors on apprend de lui, de ses manques, de ses regrets, de ses chocs, de ses blocages. Lorsque notre corps danse la vie comme il la ressent , on voit tous les angles morts de ce qui n’est pas disponible, car retenu dans des amplitudes restreintes et des gestes automatisés à cause des blessures non traitées ni conscientisées. Le mouvement du corps lit la vie comme sur une partition où il retranscrit chaque note avec des maux si on n’apprend pas à l’écouter.

Être conscient que notre corps vibre et réagit à ce qui nous entoure et à notre environnement de vie, nous permet de comprendre les signaux qu’il peut émettre, quand nos désirs s’enfuient et que nos actes deviennent incohérents. Plus on regarde notre corps avec tendresse, plus il nous montre nos erreurs. Il nous confie les secrets de nos émotions refoulées et il nous apprend à réécrire l’histoire de notre vie en nous accordant davantage à son équilibre et à ses ressentis.

Il devient alors notre radar, notre boussole quand on s’égare et il nous réapprend qui nous sommes vraiment, quand on enlace chacune de nos fêlures et de nos cicatrices de vie.  Plus on l’aime comme il est, plus on le respecte pour ce qu’il est, plus on répare nos manques d’attention et nos excès qui l’ont abimé. Notre corps nous pardonne quand on sait l’aimer dans ses moindres imperfections, en suivant les traces de nos impasses, quand la vie nous a malmenés.

Notre corps sait nous aider à accueillir ce qui l’empêche d’être équilibré, il rejette ce qu’il ne peut plus supporter si on ne sait pas l’apprivoiser et développe les maladies, le mal à dire…

Lorsque l’on fait de notre corps notre sanctuaire pour sillonner la vie, on ne voit plus de différences entre toutes les parts de notre être enfin rassemblées, on rend grâce à ce Tout magnifié, grâce à  notre Présence attentionnée et à notre conscience éveillée pour le rendre plus solide, plus stable et plus heureux : le bonheur intérieur, l’Amour de Soi tout simplement !

Notre corps devient un vaste champ d’énergie prêt à s’élancer pour faire bouger toutes les émotions négatives et les remplacer par la joie de l’instant présent. Lorsqu’on n’est plus en résistance avec notre corps, cela le libère de tous ses blocages et l’énergie de vie peut circuler sans barrière et sans entrave, il n’y a plus de poids ni de courbes, notre corps devient comme un roseau qui se plie pour ne plus subir la vie mais pour la laisser exister dans un flux de vitalité et de vigueur, comme il est, comme on est…. Et on se pardonne et on pardonne à la vie pour le guérir enfin pleinement et profondément !

Cultivez l’équilibre intérieur comme unique socle de vie et remerciez votre corps à chaque instant !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Ne plus souffrir de la dévalorisation de soi

Ô toi qui erre dans les couloirs des relations aux autres avec ta confiance en soi éteinte, sais-tu que tu es capable de rallumer l’étincelle de ton être, pour faire rayonner la merveilleuse personne que tu es ?

MMDV

Qu’est-ce qui crée la dévalorisation de soi ?

Dans la société actuelle, tous les regards sont tournés vers l’apparence extérieure comme première loi de la relation aux autres. Les fils d’actualité font défiler la biographie des corps, bien plus que celle des cœurs. Les « Stories » sont animées par des gestuelles, par des mimiques et des mises en scène parodiques  pour espérer exister face à une quête de validation de soi insatiable à travers l’attente des réactions des autres.

Lorsqu’on reste comme immergé dans l’influence des contenus qui inondent notre paysage visuel, on comprend pourquoi certaines personnes ont des difficultés à se regarder dans leur miroir sans ressentir un certain mal-être face à leurs propres insatisfactions physiques ou morales.

Se regarder à travers le prisme des images de ceux qui s’exposent sans cesse et parfois même sans aucune limite, ne peut que nous faire nous interroger sur notre propre apparence extérieure.

Comment on nous perçoit? Comment faire pour correspondre aux attentes des tendances où la surexposition du soi est obligatoire pour espérer exister aux yeux des autres ? Cela semble devenir la règle d’or des liens à autrui.

Ce sentiment de mal-être que l’on perçoit de plus en plus, et  en particulier chez les adolescents à la recherche d’affirmation de soi ou chez les personnes qui souffrent de la blessure de dévalorisation, ne peut être qu’exacerbé par cette exhibition quotidienne que l’on voit défiler à chaque instant sur les écrans. Tout y est affiché pour essayer de capter l’intérêt des autres, au détriment  même du respect que l’on se doit et dans la protection d’une intimité fondamentale garante de l’épanouissement de soi.

Nous devons impérativement préserver cet espace de soi, seul axe central de l’équilibre mental nécessaire, pour entrer en relation avec les autres dans la vie réelle, sans souffrir de la dévalorisation.

Même s’il est difficile de nager à contre-courant  des réseaux sociaux où prédominent certains habitus dans cette nouvelle manière de vivre les relations aux autres,  on peut choisir d’exister malgré tout dans l’authenticité de son être.

A chaque fois qu’on ressent un sentiment de mal-être, il est important de réajuster immédiatement les pensées qui ont précédé ces émotions.

Qu’est-ce qui me fait me sentir mal dans mes relations interpersonnelles ? Qu’est-ce qui me freine ? Qu’est-ce qui me bloque ?

Se nettoyer l’esprit des prétendus attendus des autres, permet de s’alléger d’un poids énorme.

MMDV

Il est important de prendre une grande décision avec soi-même, en cessant de se regarder à travers les yeux des autres : « Et si je me voyais uniquement à travers la nudité de mon être? »

Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

Avant de vouloir ressembler à une influence ou à une mode, il convient chaque jour de se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qui me fait me sentir bien avec moi-même ? A quel moment est-ce que je me sens à l’aise quand je circule au milieu des autres ?

Si votre réponse inclut, des vêtements, une coiffure ou un parfum,…C’est-à-dire l’aspect superficiel du paraître.  il est urgent d’aller creuser au fonds de votre puits intérieur, là où vous avez négligé des bouts de votre être véritable, qui se complaît à survivre, plutôt qu’à réellement exister comme il est fait, c’est-à-dire de sa matière corporelle, de son identité profonde et alignée avec sa personnalité.

Lorsque l’on se regarde dans la nudité de son être, on n’est plus une simple apparence, on se voit vraiment comme l’on est. On peut choisir  alors de faire déborder ce mouvement de notre énergie de vie intérieure vers notre vie extérieure.

On n’est plus des mannequins de piste, on devient  des belles Présences, des battements de cœur, des esprits souriants, des âmes vibrantes. On redevient des êtres de chair et de sang. Il n’y a plus de couleur, ni d’origine. Il n’y a plus de poids ni de taille. Il n’y a plus de geste ni de mot. Notre seule Présence suffit pour nous faire rayonner au-delà même de l’extravagance de nos tenues, ou de notre caractère extraverti. Notre seule Présence même silencieuse et introvertie anime notre attitude. On n’est plus guindé comme étroit à l’intérieur de soi. On respire la vie de l’intérieur.

On devient consciemment  une merveilleuse énergie de vie qui vibre à travers nos interactions, dans la perméabilité de notre source intérieure intarissable et abondante qui nourrit nos actes  d’une réelle confiance en soi renouvelée qui n’est plus contenue dans le superficiel du paraître.

Il est nécessaire de sortir du mal-être en retrouvant en soi cette confiance,  grâce à la connexion à notre part la plus belle disponible et intacte de tout jugement, qui se trouve dans notre intériorité épurée de toute trace d’insatisfaction en lien avec l’apparence extérieure.

Qui suis-je vraiment dans la nudité de mon être, dépouillé de tout superflu ?

C’est là que se trouve votre réel équilibre intérieur qui vous habille et crée votre vrai style quand vous vous connectez vraiment à vous-même. Si l’essentiel n’est pas là, l’artificiel et le superficiel ne peuvent pas combler les manques intérieurs  à travers cette recherche de visibilité extérieure à tout prix.  C’est là qu’on souffre encore plus fort de toutes nos prétendues imperfections.

Soyez-en conscient et fier d’être vous-même. Apprenez à briller du fond de votre être, à partir de votre vraie confiance en soi disponible,  juste dans votre souffle connecté au plus grand de vous-même. Une Présence, un petit rien et pourtant tout…

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment transformer votre manque affectif en élan pour créer votre vie?

Vos manques contiennent votre lumière, à vous de les transmuter !

Maryse de Mes Mots de Vie

Le manque affectif teinte votre vie de ses nuances sombres, parfois quand vous pensez avoir réussi à dépasser ce besoin d’être aimé.

Vous apprenez à vous donner de l’amour à vous-même, vous recevez aussi  l’affection des autres mais demeurent en vous ces vides qui jamais ne se comblent vraiment, ce besoin d’être aimé encore plus et toujours plus, sans raison.

Lorsque vous êtes au cœur des relations humaines, ce chagrin intérieur inconsolable frappe souvent à la porte de votre cœur, comme pour exiger des autres de remplir ce manque affectif. Comment? Vous ne le savez pas vous-même.  Et vous existez alors à travers cette peine inconsciente, qui reste comme adhérée aux parois de votre vie et qui vous donne cette impression désagréable d’avoir à traîner ce boulet, tout au long de votre destinée.

Rien ne réussit à effacer cette sensation de manque affectif définitivement !

Au gré de votre humeur, de votre état émotionnel, de vos fluctuations hormonales, des énergies, des variations et des nuances du quotidien, vous essuyez encore et encore les larmes de votre cœur sans comprendre pourquoi. Lorsque votre cœur devient lourd et qu’il est comme gorgé de peines, vous accueillez ces moments douloureux et vous essayez de vous aimer encore plus !

D’où viennent-elles ces souffrances qui larmoient dans votre intériorité sans fin ? Vous constatez qu’elles résident souvent en votre schéma fondateur, en votre processus de croissance, de votre naissance à aujourd’hui et qui a sa source à l’origine même de votre existence.

Pourquoi le manque affectif est-il davantage marqué chez les uns plutôt que chez les autres ? Tout vient peut-être des premières heures de la venue au monde du nourrisson, quand la porte de la délivrance s’ouvre et qu’il est projeté à l’extérieur. L’enfant arrive-t-il sans crier gare ? Met-il de longues heures avant d’oser apparaitre ? Ressent-il jusqu’à les douleurs d’enfantement de sa mère ou encore l’inquiétude de son environnement ? Reçoit-il immédiatement une étreinte chaleureuse qui le fait se sentir désiré et aimé ? Ou au contraire, éprouve-t-il comme une sensation de froid qui gèle son cœur, comme s’il avait été expulsé de son cocon protecteur.

Cette sensibilité à fleur de peau qui fait tout ressentir de manière décuplée semble appartenir à ce « bébé intérieur », comme s’il n’avait pas reçu les bonnes gorgées d’amour dès sa naissance. Les bonnes et saines tétées qui n’ont peut-être pas réussi à nourrir la soif de ce tout-petit, d’être aimé encore plus ! Ces longues heures passées sur le sein maternel parfois pour certains enfants, témoignent souvent d’un besoin de s’abreuver de cette fusion pour ressentir comme un état de plénitude, d’amour et d’équilibre dans son cœur de nourrisson, en cueillant dans la chaleur de sa mère des instants magiques comme une métaphore de ce manque affectif éprouvé lorsque on le coupe de cette présence!

Le mystère de notre venue au monde garde prisonnier en notre âme ces petits et grands traumatismes qui ont créé en nous des peurs inconscientes et des besoins différents d’un individu à l’autre.

Revenir à ce manque affectif originel n’a rien de blasphémant pour les parents, ce n’est pas un reproche ni une critique mais juste essayer de comprendre ce qui pourrait nous aider à nous réparer quand le manque affectif résonne trop fort!

Et si la solution était dans le problème.

Avec Mes Mots de Vie, je vous invite à apprendre à « alchimiser » vos émotions!

Maryse de Mes Mots de Vie

Quand tambourine à la porte de votre cœur un besoin plus fort d’être aimé, vous savez à présent que ce manque ne vient pas de l’extérieur mais sans nul doute de l’intérieur, de ce vide qui vous happe quand vous vous éloignez trop de vous-même ! Quand vous vous oubliez pour être plongé comme aspiré par  les interactions aux autres, vous n’êtes plus assez proche de vous-même pour vous préserver et pour puiser dans votre ressource intérieure qui reste pourtant disponible, l’énergie qui vous permet de rester stable émotionnellement. Alors, vous basculez encore et encore dans toutes vos blessures qui se ravivent au contact des autres, quand vous les laissez  vous impacter ou vous confronter sans prendre garde à la distance de proximité, qui doit vous protéger dans votre espace personnel et vous permettre de toujours rester fidèle à vous-même!

Qu’est-ce qui fait que vous perdez ce contact à vous-même aussi facilement ?

Il n’est pas question ici de vivre les yeux fermés pour rester dans votre bulle ! Vivre avec les autres, c’est rester vous-même !

A chaque fois que vous baissez la garde et que vous devenez quelqu’un d’autre pour être en phase avec les autres, vous omettez que c’est ainsi que vous vous rapprochez le plus de vos failles inconscientes.

Ressentir le rejet ou la peur des autres, montre tout simplement que vous n’êtes pas ancré dans votre intériorité, parce que vous vous contentez de paraître ! C’est comme si vous interagissez à partir de votre vide intérieur, ce même vide qui vous fait basculer dans le manque affectif très rapidement et qui réveille vos peurs !

Il est absolument nécessaire de comprendre que quand vous vous absentez de votre intériorité, l’écho de vos manques retentit et devient la vibration que vous émettez et qui va forcément induire votre manière de réagir face aux autres.

Lorsqu’on ressent la fatigue après de longues journées harassantes, ou juste à travers des relations un peu compliquées, cela signifie qu’ on a manqué sans doute  d’attention à soi-même et qu’on a réagi comme si on était déconnecté de notre globalité.

Revenir à soi, c’est prendre le temps de s’octroyer ce temps de reconnexion à vous-même pour remplir tous les interstices de votre cœur d’énergie d’amour et de lumière pour ne pas retomber à chaque fois dans les mêmes travers selon votre humeur, votre emploi du temps ou vos occupations.

Comment faire pour ne plus créer cet état émotionnel et sensible qui vous replonge à chaque fois comme dans un état de manque affectif ?

Vivre en étant emporté par le rythme effréné de la vie, c’est s’absenter de sa Présence et de sa connexion à soi-même ! Pensez-vous normal d’avoir deux manières d’être ? Non, un accordage est absolument nécessaire pour arrêter de naviguer trop loin de vous-même et vous mettre à chaque fois en difficulté.

C’est comme si vous vous manquiez à vous-même assez fort pour éprouver encore et encore le vide qui rend votre cœur lourd. Le manque affectif vient du fait  ne pas réussir à être comblé par soi-même, par sa propre présence, par sa propre personnalité, par ses propres désirs car  votre regard se porte davantage vers l’extérieur dans vos interactions, et vous n’êtes plus capable de rester  vous-mêmes

Comment apprendre à ne pas perdre pied dans vos relations aux autres !

Le rituel est simple :

-Au réveil, connectez-vous à votre intériorité pour prendre des nouvelles de votre état d’être. Fermez les yeux, accueillez-vous en vous ! Comme si vous vous disiez bonjour à vous-même ! C’est une manière de vous souhaiter une belle journée dans la gratitude d’être vivant !

-Puis au moment de votre douche, purifiez-vous de toutes les émotions nocturnes ou matinales, comme une douche extérieure et intérieure nécessaires à travers cette eau revivifiant et ressourçant qui vous permet alors de porter le parfum unique de chaque nouvelle journée : la fragrance de l’énergie universelle.

– Honorez-vous par une tenue en accord avec vos envies du jour, dans ses couleurs, sa forme, sa matière. Parez-vous pour honorer votre divinité intérieure. Tout ce qui fera que vous aurez l’impression de vous glisser dans un nouveau Vous, pour aborder ce jour nouveau dans une énergie renouvelée.  Retenez  que nous sommes comme chaque jour qui se lève une nouvelle version de nous-mêmes à créer, prête à faire de chaque jour, une nouvelle histoire à écrire !

– Si vous avez le temps, faites une méditation matinale avant de commencer vos activités.

-Au cours de la journée, ressentez dans votre cœur cette Présence activée. Quand vous sentez que votre respiration s’accélère sans raison, cela signifie que vous perdez votre contact à vous-même, revenez à vous seulement en agissant sur votre respiration consciente jusqu’à inspirer profondément et expirez jusqu’à évacuer ce qui vient vous agiter mentalement.

– Si vous le pouvez fermer vos yeux même quelques secondes, cela permet de vous connecter à votre intériorité et à vous auto-centrer pour activer votre force de régulation autonome.

– Si vous ressentez dans votre corps des crispations ou des tensions, isolez-vous quelques minutes pour vous  retrouver comme un tête à tête avec vous-même !

-En fin de journée, faites un bilan avec vous-même, en méditant pour filtrer vos émotions et pour vous recharger afin de préserver l’équilibre de votre intériorité qui est la clé de votre santé mentale et physique. Évacuez tout ce qui ne vous appartient pas !

– Terminez par un temps d’écriture pour faire émerger des prises de conscience et des réajustements nécessaires. A vous de décider du temps que vous allez y accorder.

– Couchez-vous l’esprit serein ! Avant de vous endormir, prenez le temps de quelques respirations amples et laissez-vous vous déposer dans votre sommeil, sans lutter et sans résister dans la confiance d’une énergie réparatrice activée pour la nuit.

Et retenez pour finir, que l’instant présent contient votre bonheur, à vous de ne pas le laisser filer dans votre absence à vous-même ! Personne ne pourra combler votre manque affectif, si vous ne le comblez pas vous-même par votre présence inconditionnelle et fidèle à vous-même .

Je m’aime et je m’accepte comme Je Suis à chaque seconde de ma Vie! Merci, merci, merci!

Maryse de Mes Mots de Vie
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Pourquoi faut-il chasser l’amertume et la rancœur de votre vie?

Qu’est-ce que l’amertume ? Au sens figuré,  c’est un sentiment  de tristesse, mêlé de rancœur, qui perdure, malgré le temps qui passe, jusqu’à faire baisser votre estime de soi, en raison de nombreuses frustrations ressenties.

Ces émotions désagréables sont souvent liées à de mauvaises expériences, à travers des déceptions, des trahisons ou des injustices, mais également en raison des blessures émotionnelles  encore vives,  telles que la dévalorisation , l’humiliation, le rejet, l’abandon, … qui peinent à se cicatriser !

Autant de moments  qui vous ont marqué vous laissant comme un goût amer et le profond ressentiment d’avoir été maltraité par la vie, avec des mauvais coups du sort et des événements malheureux.

L’amertume apparaît  face aux désillusions accumulées  et concernent également les personnes qui vous ont fait souffrir et qui ont  impacté votre vie, par leurs mauvais agissements, par leur malveillance, par leurs mensonges et par leur manipulation ! Autant de situations que vous n’avez pas digérées. Le souvenir de ces temps difficiles vous hante encore et encore, comme des échecs cuisants qui vous empêchent de vivre heureux et serein !

Comment savoir si l’on ressent de l’amertume ?

Vous savez que l’amertume colore négativement votre vie, à chaque fois qu’une grimace intérieure vient tordre votre  cœur, quand vous repensez à une situation malheureuse, lorsque vous croisez une personne qui vous a fait du mal. Si vous avez alors l’impression de recevoir comme un coup de poignard, à l’intérieur de votre cœur, avec un sentiment d’ oppression, comme une sensation de malaise, une envie de pleurer, une envie de crier une colère sourde qui n’arrive pas à s’extérioriser, comme un chagrin inconsolable,  comme si vous reviviez sans cesse la même scène et que personne ne comprenait ce que vous pouviez ressentir, alors vous savez que vous avez de l’amertume à éliminer ! …

Si cette amertume coule en vous, encore et encore, indéfiniment, comme une rivière éternellement en crue, alors il est urgent de faire la paix avec vous-même pour ne plus vivre avec cette rancœur qui au fil du temps, deviendra  un véritable poison !

Vous vous empêchez d’être heureux par ces ruminations incessantes qui empoisonnent chaque seconde de votre vie ! Et rien de bien, ne pourra  vous arriver, si à l’intérieur de vous pleure constamment cet état négatif et pessimiste pour vous rappeler un passé meurtri !

Il n’y a pas de bonheur ni de succès possible dans l’amertume !

Pour éviter les effets nocifs de l’amertume, il est absolument nécessaire de rester ancrer à l’instant présent et d’apprendre à maintenir un état mental plus positif et plus optimiste,  pour dépasser vos difficultés, sans créer de complications inutiles liées à des émotions négatives !

Comment aborder votre vie légèrement et joyeusement, si à l’intérieur de vous, vous êtes rongé sans cesse par cette tristesse perpétuelle qui pollue toutes vos bonnes intentions et tous vos nouveaux projets ?

Comment laisser la porte ouverte aux opportunités, si vous entretenez en vous indéfiniment, comme un puits  sans fond, de ressentiments, de haine, de colère qui vous mine trop souvent le moral et vous rend malheureux ?

Cela signifie tout simplement, que vous êtes en guerre à l’intérieur de vous, dans votre cœur, dans votre corps, dans votre esprit, dans votre âme ! Une guerre qui  aura forcément des séquelles tôt ou tard, sur votre santé et  sur votre bien-être, si vous ne prenez pas la décision d’y mettre  fin rapidement !

En ressassant sans cesse les mauvaises pensées qui vous perturbent, vous n’avancez plus, vous stagnez, et vous n’arrêtez pas de pointer du doigt les autres, soi-disant responsables. Ils l’ont sans doute été à un moment, mais si vous n’arrivez pas à  tourner la page et à passer à autre chose, vous êtes alors votre propre blocage !

Plus vous êtes amer, sinistre et méfiant, plus votre vie vous semble  hostile et compliquée. Tant que vous n’aurez pas nettoyé votre cœur des ressentiments qui l’emprisonnent dans une cage d’acier, vous vous empêcherez de respirer librement, vous ne pourrez pas  cheminer vers votre bonheur ! Vous vous retrouverez face à une impasse où vous devrez choisir : traverser ces obstacles en retrouvant votre paix intérieure ou vous laisser engloutir par votre rancœur !

L’amertume est un poison insidieux qui modifie jusqu’à votre manière d’être, si vous n’apprenez pas à la transmuter ! Ce sentiment de reproche constant à la vie,  vous rend dur, insensible, égoïste et antipathique ! Êtes-vous conscient de toutes ces fois où vous froncez les sourcils sans vous en rendre compte, de toutes ces fois où votre regard s’assombrit comme si un ouragan allait s’abattre, de toutes ces fois où votre bouche se contracte dans un rictus, comme si un flot de colère vous submergeait ! De toutes ces fois où votre corps se crispe jusqu’à devenir rigide  en vous fermant aux autres !

Pour attirer la bienveillance et la générosité, il convient d’assainir vos pensées pour vous épurer de cette énergie sombre,  au risque d’attirer à vous des mauvaises personnes ou de mauvaises situations ! Vous devez décider d’arrêter de faire porter la faute à l’autre, et d’envisager de mener une vie dépolluée de toutes ces rancœurs  passées ! L’amertume attire l’amertume !  Et si vous préfériez plutôt l’Amour ?

Que choisissez-vous : Aimer ou Haïr ?

La fureur ne peut que vous consumer jusqu’à éteindre la flamme de la motivation dans votre vie ! Lorsque vous choisissez la haine, vous récoltez aussi les conséquences de cette haine !  Lorsque vous êtes enclin à la critique facile et tendancieuse, cela signifie que votre égo montre ses faiblesses ! Vous vous affaiblissez par votre manière de considérer la vie à travers  un jet d’amertume qui vous enveloppe de son agressivité ! Par cette attitude, vous ne donnez pas aux autres l’envie de mieux vous connaître ni de venir vers vous ! C’est comme si vous affichiez sans cesse  une mine sombre et peu avenante !

Lorsqu’on se rend compte qu’on est le créateur de sa propre vie, on ne veut plus vivre dans l’amertume.

C’est sans doute à cause de ces ressentiments qu’on a du mal à s’aimer soi-même et à se faire aimer des autres ! Même si vous avez toutes les raisons de vous sentir blessé par vos expériences malheureuses, il est bon de se réparer de cette négativité qui pèse sur toute votre vie !

Tout d’abord, commencez par regarder en face ce qui vous rend si triste, ce qui vous chagrine encore de votre passé ! Qu’est-ce que vous pouvez mettre en place pour réparer ce qui vous a fait tellement souffrir ? Vous pouvez pour cela passer par l’écriture ou vous faire accompagner par un professionnel !

Si cela concerne des personnes qui vous ont causé du tort,  leur pardonner, c’est la meilleure voie pour trouver votre propre sérénité ! Cela ne signifie aucunement oublier ce qu’ils vous ont fait, mais juste porter sur la situation un regard différent rempli d’amour, pour vous-même, en vous disant au final, que vous avez fait de votre mieux !

Ce que vous vous voulez aujourd’hui, dans l’instant présent, c’est ouvrir en vous un espace d’accueil immense, pour absorber toute l’amertume encore présente et pour revenir à  des sentiments plus légers. Plus vous changerez de rapport à la situation et à vous-même, plus vous grandirez de cette mauvaise expérience, jusqu’à vous sentir puissant !

Quand quelqu’un vous a fait quelque chose et que vous arrivez à vous relever sans vous laisser abimer intérieurement par des ressentiments, vous pouvez alors proclamer votre victoire, celle du cœur pas de l’égo !

Que voulez-vous au fond de vous, souffrir à cause des autres ou vous aimer encore plus fort grâce aux autres ?

Quand vous transformez toute cette épaisse couche de noirceur qui enveloppe votre cœur à cause de l’amertume, vous voyez apparaître votre lumière intérieure qui perce les nuages les plus sombres pour vous révéler à vous-même et pour faire apparaitre votre grandeur d’âme, votre petit supplément d’âme unique et précieux !

L’amertume vous ôte votre bonheur, vous cache dans les ténèbres. Le pardon vous donne des ailes en  vous réconciliant avec vous-même, avec la vie, avec tout votre être ! Vous cessez de vous sentir coupable de ce que vous n’avez pas souhaité. Vous rendez à chacun sa part de responsabilité ! Vous refusez de devenir une personne aigrie en redorant votre blason personnel de votre mérite et de votre fierté de réussir à surmonter ce qui vous accable !

Lorsqu’on rejette l’amertume et qu’on le remplace par un flot d’amour, d’allégresse, d’enthousiasme, on voit un nouveau chemin s’ouvrir devant nous, avec de nouveaux visages, des sourires plus joyeux et des paysages humains plus en accord avec ce que l’on attend de la vie !

Chassez l’amertume de votre vie, en ouvrant votre cœur à l’amour d’être vous-même ! Faites la paix avec votre âme tourmentée pour vous protéger grâce à votre bouclier fait d’amour de soi, de tendresse et de confiance !

Invitez la paix dans votre cœur. Délestez votre vie de tout ce qui est sombre et lourd ! Nettoyez-vous de toute forme de ressentiments. A chaque fois que vous viendra à l’esprit une pensée sombre liée à une histoire passée, revenez à l’instant présent, voyez le chemin parcouru malgré tout, prenez conscience de votre capacité de résilience et remerciez la vie pour ces étapes dépassées à la force de votre courage et de votre persévérance !

Faites la paix  avec cette partie sombre qui vous agite, regardez-la en face, consolez-vous de ce que vous ressentez encore et donnez vous le temps nécessaire pour  la voir se dissoudre enfin dans l’absolu de votre réconciliation avec vous-même !

La vie se vit intensément et sans amertume ! Libérez votre bonheur de toute entrave  !

Maryse de Mes Mots de Vie

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