Le sentiment d’abandon durcit votre rapport à la vie

Pourquoi votre blessure d’abandon a-t-elle un effet destructeur dans votre vie ? Soigner ce sentiment d’abandon vous permettra-t-il d’avoir plus d’équilibre dans votre vie ?  Et comment guérir cette blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon vous prive de votre liberté d’être !

Lorsque vous souffrez de la blessure d’abandon, vos interactions aux autres sont teintées de la peur qu’on vous abandonne, alors soit vous faites  tout pour leur plaire, soit vous gérez vos relations avec beaucoup de distance car vous êtes persuadé de leur fin inéluctable programmée! Pour vous, une relation est synonyme de souffrance et de trahison, de ce fait vous n’ouvrez pas facilement votre cœur aux autres et vous refusez de créer des liens, car vous êtes traumatisé par vos expériences malheureuses.  Vous craignez de vous attacher et ensuite d’être déçu une fois de plus!

Inconsciemment, vous construisez une vie où résonne cette difficulté relationnelle en écho à cette blessure d’abandon activée en vous par des souvenirs d’enfance encore vivaces.  Vous ne voulez plus créer de dépendance affective aux autres car vous vous dites que cela n’en vaut pas la peine et que vous avez encore du mal à digérer les nombreuses fois où l’on vous a brisé le cœur !

Pourquoi ce sentiment d’abandon est-il si difficile à réprimer ? Pourquoi demeure-t-il encore en vous comme une peur constante de l’enfant délaissé qui a  cette impression constante de ne pas réussir à compter suffisamment pour l’autre ?  Quel est ce sentiment d’existence qui est brimé à l’intérieur de vous, comme  emprisonné dans les fausses croyances  d’une époque à présent révolue?

On a souvent  du mal à le croire, pourtant les problèmes des blessures du passé se répètent et  perdurent même quand le temps passe, si on ne l’accompagne pas d’une prise de conscience nécessaire pour nettoyer et épurer  votre âme de ce qui continue à la tourmenter.

Quel est cet effet destructeur de la blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon se définit avant tout comme un sentiment profond d’insécurité du petit enfant comme si ses parents n’avaient pas réussi à lui donner une éducation dans un environnement serein, sécuritaire et apaisant pour lui permettre de grandir en toute quiétude, sans créer en lui cette peur terrible d’être abandonné à tout moment! L’enfant, lorsqu’il n’est pas le centre d’attention  de ses parents, devient  souvent anxieux, en s’imaginant ne pas compter suffisamment dans leur vie. Il a alors l’impression angoissante d’être  souvent laissé pour contre sans en comprendre les raisons.

L’enfant a à cœur d’essayer de tout faire pour garder ses parents près de lui. Au fond de lui  grandit  cette peur terrible de  perdre ce repère fort même pendant une seule seconde, et il dresse souvent une barrière entre les autres et lui pour qu’ils ne gâchent jamais sa relation fusionnelle avec ses parents. Les autres sont  considérés comme des ennemis qui peuvent nuire à cet équilibre c’est pourquoi il négligera souvent les interactions sociales pour rester dans sa bulle de protection avec ses parents et se sentira  inquiet sans leur présence à ses côtés. Il se laissera facilement surprotéger par eux et cultivera ce lien de dépendance affective. L’angoisse d’abandon l’empêchera  de se développer et de croître pleinement !

Vivre avec la blessure d’abandon.

Lorsqu’on souffre de la blessure d’abandon, c’est un peu comme si on s’abandonnait soi-même, c’est-à-dire qu’on se tournait parfois vers les autres pour leur supplier presque de s’intéresser à nous. Par conséquent, tous nos actes sont consacrés à chercher à faire plaisir et à mettre les autres en valeur ! On valorise tout le temps les autres et on finit par s’oublier et même par se dévaloriser soi-même!

On néglige ses goûts personnels et on n’apprend pas à se connaître soi-même puisque l’autre est  une priorité de chaque instant. On attend d’autrui une constante validation !

L’engagement pour aider les autres devient une manière de se rendre important à leurs yeux car on se juge incapable de pouvoir attirer leur intérêt autrement, sans rien avoir à leur offrir en échange !

La blessure d’abandon finit par vous verrouiller à l’intérieur de vous-même dans une détresse permanente face à votre solitude d’âme ! Vous avez peur de tout et vous avez le sentiment de devoir toujours tout faire seul  car vous êtes convaincu de ne pas être indispensable aux yeux des autres qui finiront par vous abandonner inévitablement !

Malheureusement, quand on souffre du sentiment d’abandon, on crée inconsciemment des situations où l’on va finir irrémédiablement par être laissé de côté. On pense tellement que les autres finiront par  nous abandonner qu’au premier signe de difficulté, on devance  cet abandon en prenant nous-mêmes de la distance ! De toute façon, on pense que c’est tout ce que l’on  mérite car on porte la blessure d’abandon comme un capteur qui colore notre vie négativement à chaque instant ! On se sent coupable d’être abandonné comme si on était responsable par notre comportement !

La blessure d’abandon vous rend froid et distant ! Vous craignez tellement le rejet des autres que vous préférez  vous enfermer avec votre égo blessé qui devient le masque que vous affichez dans les relations humaines ! Comme si vous étiez constamment sur la défensive et  blessé à chaque fois  par l’incompréhension des autres qui deviennent comme des bourreaux avant même qu’ils n’agissent! Cette attitude négative devient le rôle social que vous endossez! Cette crainte de ne pas être aimé et accepté dicte tous vos faits et gestes et selon son intensité devient un poison dans votre vie !

Votre estime de soi est brimée et vous avez tout le temps l’impression de ne pas être à la hauteur malgré vos réussites et vos talents évidents ! Vous êtes en demande constante d’amour et il est difficile de vous combler !

Vos attentes envers les autres sont excessives et démesurées et le manque d’amour qui en résulte peut effrayer ceux qui viennent vers vous malgré tout !

Vous paraissez tourmenté perpétuellement, torturé par cet idéal affectif qui n’existe pas !

Pour essayer de faire face à cela vous devenez dépendant des autres, de leur affection, de leurs attentes, de leurs ordres jusqu’à ce que vous finissiez par les repousser puisqu’ils n’arrivent pas à vous comprendre ! Vous les abandonnez car vous pensez que c’est ce qu’ils finiront par faire.

Comment guérir votre blessure d’abandon ?

Il est important de reprogrammer totalement votre manière d’entrer en relation avec autrui. Voici quelques règles simples :

  1. Se reconstruire émotionnellement à tout point de vue en commençant par une meilleure connaissance de soi est indispensable !
  2. Se libérer de toute forme de colère liée à votre enfance ou aux autres en faisant la paix avec votre histoire de vie, en vous pardonnant !
  3. Consoler votre enfant intérieur en le rassurant et en l’aidant à accueillir tout ce qui lui a manqué pour son développement serein et stable par l’affirmation de qui vous êtes vraiment aujourd’hui dans votre authenticité!
  4. Nettoyer vos croyances limitantes sur vous-même ! Arrêtez de vous juger, de vous dévaloriser, de vous sous-estimer.
  5. Vaincre la dépendance affective ! Développer une autonomie en cultivant l’amour de soi comme principe de croissance personnelle !
  6. Travailler sur soi permet de devenir plus résilient ! L’acceptation de ce que l’on ne peut changer est nécessaire pour sortir du syndrome de la victime  que l’on peut devenir bien malgré nous !
  7. Il est indispensable de mieux comprendre votre enfance en prenant du recul sur les sentiments ressentis et en renouvelant votre regard sur vous-même !
  8. Vous n’êtes pas responsable des circonstances de votre enfance mais vous devenez responsable de votre vie d’adulte ! A vous de réparer ce que l’on vous a fait subir en vous réappropriant chaque part de vous-même et en ne laissant aucune perte de votre entièreté !
  9. Dissipez votre sentiment de culpabilité, si on vous a fait ressentir ce sentiment d’abandon, ce n’est pas de votre faute mais il convient à présent de vous en libérer !
  10. Vous avez aujourd’hui la possibilité de vous transformer en changeant vos faiblesses en forces de vie inaltérables !

Ne craignez plus jamais d’être abandonné !

Remettez votre mental à sa place quand il veut vous enfermer dans des pensées sombres sur vous-même ! Replacez-vous dans votre cœur, le centre de votre énergie de vie. Tout part de là, vivez et pensez avec votre cœur et avec votre corps et plus jamais avec vos blessures du passé !

Éteignez votre mental négatif et aliénant et répétez-vous : « je ne suis plus aujourd’hui un enfant qu’on abandonne, je suis un adulte autonome et responsable de mon bien-être, j’ose être libre d’être moi-même!»

Affirmez-le encore et encore et devenez aussi léger qu’une plume en vous ôtant enfin ce poids trop lourd à porter qui vous écrase et bloque votre déploiement et votre envol ! Personne ne pourra jamais vous abandonner si vous apprenez à vous détacher des situations qui ne sont pas de votre responsabilité ! Devenez plus confiant de votre valeur !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les bleus de l’enfance sont des traumatismes qui pèsent sur votre cœur d’adulte

Les bleus de l’enfance sont faits de ces moments perdus indicibles, de ces incompréhensions malhabiles, de ces errances sans parole libre. Ce sont nos blessures d’enfance.

Les bleus de l’enfance déposent dans des âmes fragiles, le poids de fardeaux à porter qui restent invisibles jusqu’à ce moment où tout se dévoile, tout se révèle au hasard d’un fragment du temps qui s’arrête, pour éclairer les zones d’ombre qui se donnent pour être réparées.

Les bleus de l’enfance sont souvent physiques, mais surtout psychiques et verrouillent des histoires biographiques à double tour pour ne pas être dévoilées, pour ne pas avoir à assumer des actes ou des oublis de ce qu’on appelle l’irresponsabilité.

Derrière chaque regard d’un adulte, se cache souvent le cœur d’un petit enfant brimé, maltraité, dévalorisé, humilié. La mémoire telle une huître se referme sur ces plaies cachées pour taire ce qui paraît insupportable à dire, comme si on était coupable d’avoir été mal traité. C’est avec cette tempête intérieure que l’adulte se construit et pense pouvoir oublier ce qui l’empêche de respirer sereinement.

Le prisme de l’enfance est si réduit que les yeux du tout-petit  ne voient que le visible et préfèrent ignorer tout ce qui le sensibilise, le fragilise, le terrorise. Ces mots qui touchent, ces caresses qui attouchent, ces coups qui pleuvent, ces réprimandes qui affligent, ces colères qui oppressent, ces jeux teintés d’obscurité…

La violence éducative marque de son empreinte sombre  les souvenirs de tant de  petits êtres innocents et freine la croissance de leurs possibles, en soufflant comme une tempête dévastatrice  sur leurs espoirs et sur leurs rêves avortés.

Lorsqu’on se pose un instant au cœur de ses souvenirs d’enfance, on recherche parfois l’odeur de la fête foraine, le goût des pommes d’amour, la douceur d’une barbe à papa . Pourquoi a-t-on si souvent  du mal à les retrouver au milieu de tout ce qu’on a oublié, jusqu’à cette impression d’ignorer  l’insouciance liée à  l’enfance ?

Pourquoi alors qu’on essaie de se rappeler de ces moments heureux où l’enfant apprend normalement à explorer la vie, pourquoi y-a-t-il cette impossibilité à  se replonger dans cette période soi-disant heureuse et tant vantée par les parents comme s’ils n’avaient pas vécu la même réalité ?

A quel moment s’inventent-t-ils à eux-mêmes ce passé infructueux, ce temps nostalgique où ils préfèrent taire tout ce qui n’est pas à raconter ? Pourquoi l’album de famille ne révèle-t-il que des photos plaquées ? Pourquoi choisir de  taire ce qui est plus proche de la vérité ?

Redonner du sens à ses souvenirs, c’est apprendre à se réparer !

L’enfance est souvent séparée de son contexte. Chacun romance son histoire de vie pour se dire heureux comme s’il était inconvenant d’avouer tous ces moments affligeants,  pour choisir d’ignorer ce qui pèse sur le cœur!

Souvent quand on demande à un adulte de raconter son enfance, ses yeux se voilent de tristesse, sa voix se serre et son souffle devient plus court. C’est avec un petit air gêné qu’il s’excuse d’avoir oublié ou de ne pas avoir envie d’en parler…

Pourquoi a-t-on si peur de regarder dans le rétroviseur du passé ? A-t-on à ce point vécu des aventures insensées ? Des histoires innommables. ?  Le doigt sur la bouche,  pour  ne pas en parler, comme pour  dire chut… de ne rien révéler… !

Pourquoi a-t-on des difficultés à s’exprimer et à communiquer sur ce temps  mélancolique ? Qu’est-ce qui empêche la parole de l’enfant de se libérer dans sa bouche d’adulte ?  Qu’est-ce qui reste étouffé  à l’intérieur de son corps  qui devient comme une caisse de résonance pour amplifier  toutes les émotions mal digérées jusqu’à faire entendre une profonde amertume!

Lorsqu’on prend la décision de se réapproprier chaque parcelle de sa vie, on apprend aussi à ouvrir les yeux sur toutes ces blessures mal cicatrisées. Ce n’est pas pour se plaindre ou pour reprocher  mais seulement pour  prendre conscience qu’il est absolument  nécessaire d’éclairer la part d’ombre qui ne cesse de provoquer des remous et de perturber la progression d’une vie.

On doit à un moment donné avoir pour mission  de décoller  toutes les étiquettes dans lesquelles les parents enferment souvent les enfants pour expliquer ou pour excuser des comportements inappropriés à son égard, des peurs qui le bloquent encore émotionnellement aujourd’hui et qui l’empêchent de vivre librement en tant qu’adulte.

Lorsqu’on a été un enfant maltraité ou délaissé, la question qui se pose, c’est de savoir à quel moment les parents n’ont pas su créer  un environnement rassurant et sécuritaire ?

Les parents ont une mission importante dans l’éducation de leurs enfants : savoir  les protéger ou du moins leur expliquer ce qui n’est pas évident à  leurs yeux. A quel moment manquent-ils  à ce rôle,  sciemment ou inconsciemment ?

Pourquoi remplacent-t-ils souvent par  une réprimande, par une violence, par une colère ou par un coup,  l’attention nécessaire pour dissoudre les craintes d’un enfant au lieu de le rassurer ou de le consoler…

Les bleus de l’enfance sont en lien avec tous les traumatismes subis, tous ces moments d’inquiétude qui ont remplacé un développement positif  impossible.  Tous ces épisodes d’une histoire souvent ratée encore obscure pour l’adulte qui préfère tout oublier !

A quel moment la parole vient-elle expliquer ce qui est encore si troublé, si opaque, si difficile à comprendre à l’âge adulte?

Les bleus de l’enfance portent en eux la  maltraitance éducative qui s’exerce quand un enfant est différent, hypersensible, singulier …C’est cette violence qui s’acharne  pour l’obliger à être autrement et qui l’enferme dans un schéma de vie qui ne correspond pas à son authenticité.

L’adulte qui transporte dans son histoire le cœur d’un enfant tourmenté, a du mal à se positionner dans son identité véritable, il est comme inconnu à lui-même, et semble jouer un rôle de personnage factice dans le film de sa vie. Il se débat dans des conflits intérieurs entre être lui-même  en toute transparence ou correspondre à un modèle imposé par les autres !

Les bleus de l’enfance sont parfois difficiles à effacer tant la résonance de cette histoire non réglée continue à  perturber l’équilibre recherché tout au long d’une destinée. Ce n’est pas le baume du temps qui passe,  qui va réparer le bleu permanent tatoué  sur l’âme !

Comment guérir définitivement ces blessures de l’enfance ?

En premier lieu, il ne faut pas avoir peur de les regarder en face sans se mentir à soi-même ou sans en avoir honte. Lorsqu’une blessure se révèle au fil de sa vie,on doit se donner le temps de la compréhension de son histoire, en  accueillant toutes les émotions qui y sont associées.

On garde en mémoire des bribes des illusions perdues, des miettes des envies ralenties par le poids de ce qui n’est pas guéri. Un soupçon d’amour de soi vient réconforter le cœur de cet enfant intérieur qui s’autorise alors à  parler librement de ce qui le fait encore souffrir.

Quand le voile se lève sur des absences de sens, la lumière projette la vérité sur le rideau jusqu’alors tiré sur l’esprit d’enfant  apeuré.  On peut capturer l’essence des émotions enfouies en les laissant se révéler sur la scène des introspections qui amènent l’adulte à se réconcilier avec lui-même!

Défile alors sans scrupule et  sans gêne,  tout ce qui était caché dans le coffre-fort de ses sentiments alourdis par l’interdiction de laisser s’exprimer les non-dits qui sont en fait, les clés véritables de  l’histoire de vie de chaque individu, quand les baillons sont arrachés et les masques déchirés !

En second lieu, prendre le temps de faire la paix avec soi-même, en se donnant l’autorisation d’admettre les failles d’une éducation subie, c’est se permettre de recommencer à croître dans son développement personnel sans désobéir au diktat de l’éducation parentale.

On aime ses parents mais on sème aussi pour soi, sur son parcours, des graines d’espoirs pour réparer  jusqu’à toute une génération réprimée et enfermée dans des schémas ancestraux qui ne cessent de se  rejouer quand on préfère les ignorer.

La répétition des mêmes situations difficiles est un excellent indice de ce qui demande à être nettoyé pour faire de la place à une construction plus saine et plus sereine de son projet de vie.

Quand la résilience s’installe pour permettre d’accepter ce qui  a créé tant de souffrances, la guérison est possible pour extraire la force intérieure qui sera le pilier de l’épanouissement d’un être!

En dernier lieu, quand le poids des blessures de l’enfance arrête  de peser, alors l’adulte redevient aussi léger que l’innocence qu’on lui a volée par tant de négligences ou d’indifférences!  Ses ailes se remettent à se déployer pour reprendre son envol vers sa croissance  personnelle interrompue, comme si le temps suspendait son cours pour lui permettre de combler tous les manques qui l’avaient figé dans une version fabriquée de lui-même, à l’opposé de sa vraie personnalité .

Parfois, ce n’est que très tard qu’une personne se dévoile dans ce qu’on ne connaît pas encore d’elle, comme si durant de nombreuses années, elle n’avait pas su se délivrer de ce qui la bloquait , comme prisonnière d’elle-même! Il n’y a plus de conflit, plus de mal à dire, plus de pleurs, plus de mensonges, l’horizon s’éclaircit et laisse présager  d’un avenir meilleur où l’amour de soi prend le relais pour remplir chaque petit interstice à présent transmuté, alors l’enfant intérieur et l’adulte fusionnent   pour former un merveilleux duo plus harmonieux au cœur de leur histoire de vie et de nouveaux choix deviennent possibles !

Quand les bleus de l’âme s’estompent, les roses du cœur fleurissent et rendent notre existence allégée, parfumée aux senteurs de la liberté retrouvée.

Maryse de Mes Mots de Vie

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