Sortez votre bouclier « anti-ragots » !

Comment faire face aux critiques !

Lorsque la médisance s’exerce sans cesse contre vous, qu’est-ce que cela signifie ?

Pensez-vous être à ce point une mauvaise personne pour expliquer  les critiques dont vous êtes la cible ?
Avez-vous l’impression de mal vous comporter au point d’attirer sur vous les foudres du monde entier ?
N’est-ce pas plutôt parce que vous prônez avant toute chose la franchise et la sincérité ?
N’est-ce pas parce que vous détestez les mensonges et l’hypocrisie et que vous préférez confronter ceux qui dénigrent sans savoir ?
Peut-être avez-vous l’habitude de mettre les personnes face à leur propre responsabilité ?
Et peut-être même que vous avez l’habitude de dire ce que vous pensez sans crainte d’être rejeté ?

Vous faites donc partie de ces personnes qui attirent à elle les critiques car vous n’agissez pas comme les autres et que comme pour vous l’honnêteté et la loyauté sont les valeurs indispensables des vraies relations humaines saines et sereines, vous les privilégiez aux fausses relations superficielles et intéressées !

Pourquoi la médisance fait-elle autant souffrir ?

La médisance est un fléau de la pire espèce ! Insidieusement, elle se glisse dans les conversations les plus banales pour diffuser son venin sournoisement et diviser les uns contre les autres dans un climat délétère! Chacun se sent offensé et se met à son tour à critiquer et commence alors une chaîne interminable !

Qui a dit quoi ? A qui ? Pourquoi ? Non ce n’est pas moi, c’est lui ! Et pourquoi ? Et comment ? Est-ce que tu sais que … ? Chacun y va de sa propre interprétation en donnant sa version des faits et se met à répéter ce qu’il a entendu ! On s’éloigne petit à petit de la vérité et les ragots se déchainent comme une tempête qui souffle, qui ébranle, qui déracine jusqu’à tout détruire sur son passage !

Et commence la surenchère en théories fumeuses de toutes sortes où chacun affute son arme préférée : sa langue et ses petits potins ! Ceux qui sèment la discorde, récoltent inévitablement des orages qui ne cessent de gronder ! Parler aux autres devient comme « risqué » ! Sans devenir parano, même parler de la pluie et du beau temps paraît « dangereux » !

 On constate qu’il règne souvent au sein de certains milieux professionnels, familiaux ou amicaux  et surtout sur les réseaux sociaux comme un vent de rumeur constant qui alimente sans cesse les échanges et symbolise un reflet du mal-être de la société!

Juste écouter l’humeur de quelqu’un qui se confie à vous devient suspicieux tant la tendance est à la méfiance ! On ne connaît jamais les intentions des autres ! Et un simple petit mot peut être retourné contre vous et devenir l’objet de médisance !  Même quand on se met à converser de banalités, cela dérape très vite vers  des échanges de critiques contre les uns ou contre les autres. Plutôt que de tirer au clair une situation qui paraît confuse, chacun se contente de faire des commentaires douteux ou de donner sa propre analyse malveillante de ce qu’il pense être la vérité et cela crée indéniablement des flots de critiques dont certains raffolent.

Tout est déformé à la seconde ! Info ou intox, il faut apprendre à démêler le vrai du faux et quand cela se passe au sein des relations humaines, on ne sait plus qui ment ou qui dit la vérité ! Tout devient compliqué comme un écheveau de fils emmêlés, on doit tenter de retrouver la bonne information. Mais qui va le faire vraiment ! Tous se contentent de ce qu’ils ont entendu même si cela est répété par les mêmes personnes médisantes ! La délation devient donc une arme stratégique pour régler ses comptes et pour alimenter les ragots ! On dénonce pour cacher ses propres mensonges et ses propres failles ! On adore voir l’autre en difficulté et on se venge comme on peut !

Tout cela est affligeant, comment penser qu’un être humain se comporte d’une manière aussi abjecte en s’abreuvant de la calomnie et en se nourrissant de la haine et cela sans scrupule ? La critique cause énormément de dégâts et même collatéraux ! On peut perdre ses amis, sa famille, son travail voire sa santé à cause de la calomnie ! Il faut en être conscient ! Celui qui critique a toujours une mauvaise intention et a un esprit très destructeur. Il est donc important de s’en protéger !

Comment faire face à la critique malsaine ?Jeter l’opprobre sur l’autre, c’est vouloir l’affaiblir parce qu’il dérange! A chaque fois qu’un individu cherche à   critiquer quelqu’un d’autre, cela signifie que sa manière d’être  ne lui plaît pas, que sa  part de mystère l’intrigue, que son côté trop personnel l’irrite, que sa réussite l’agace ! Ceux qui  jalousent vont tout faire pour atteindre par le feu de leurs critiques celui qui est dans leur collimateur et cela souvent  de manière insidieuse dans son dos !

Pourquoi se sentir  en danger  face à quelqu’un au point de se comporter de la pire des façons? Pourquoi chercher à  le discréditer aux yeux des autres ? Quel intérêt a-t-on à se comporter ainsi ? Est-ce un rival, un adversaire redoutable ?

N’est-ce pas plutôt une manière de faire rejaillir sur les autres ses propres problématiques de vie ? Peut-être même est-ce de la jalousie, de la rancune, de la méchanceté ! Tout cela démontre qu’il n’y a aucun intérêt à médire si ce n’est à vouloir  nuire à l’autre ! Exercer la critique sans arrêt  est donc un défaut terrible!

Pour s’en protéger, il est nécessaire de cultiver la neutralité dans sa manière de penser en ne répliquant jamais aux critiques formulées. Lorsqu’on sait rester stable dans ses propres opinions et qu’on les assume, on ne se laisse pas entraîner dans cette ambiance où règne la médisance. On partage son avis mais on fait attention à qui on a à faire ! On ne donne pas forcément sa confiance mais on reste toujours bienveillant sans jugement hâtif.

On apprend à repérer ceux qui ont des intérêts personnels à « diviser pour mieux régner ». On n’hésite pas à remonter à la source de la critique. On met en difficulté ceux qui médisent en se donnant pour mission la recherche constante de la vérité ! On reste dans ses valeurs de dignité et de respect humain !

Qui aime critiquer ?

Le profil de ces personnes qui critiquent à tout va, est facile à reconnaître. Ce sont le plus souvent des individus qui se sentent mal dans leur propre vie et qui ont des pensées négatives qui tournent en boucle dans leur tête au point de les assombrir dans leur rapport aux autres, au monde et à eux-mêmes. Ils se méfient de tout le monde ! Et comme ils ont l’habitude de critiquer à tout va, ils s’imaginent que tout le monde est comme eux ! Plutôt que de réfléchir à comment s’améliorer, ils observent les autres et les envient ! Bien sûr, vous comprendrez que lorsqu’on a  un discernement juste, on arrête de croire que « l’herbe est toujours plus verte chez les autres » et on apprend à se satisfaire de sa vie et à regarder l’autre avec plus de bienveillance et sans le juger!

Lorsqu’on sait accepter l’autre comme il est, pour lui accorder la place qu’il mérite, cela signifie qu’on ne se sent pas en danger par sa personnalité et qu’on le laisse totalement libre de ses opinions et de ses choix ! Il ne s’agit plus de chercher à le soumettre ou à le dominer ou même à l’utiliser comme une marionnette désarticulée qu’on juge faible et incapable de se défendre ! Et alors on n’a  plus aucune raison de le critiquer !

Lorsque quelqu’un critique, c’est qu’il a l’habitude de le faire et on découvre  que ce n’est pas quelqu’un de fiable ! Certains prêchent le faux pour  faire réagir ! Il faut déjouer les ruses diaboliques de ce type de personne ! Par eux, la rumeur enfle sans cesse et  se répand à la vitesse de l’éclair ! Ils peuvent nuire à la réputation de quelqu’un par pure méchanceté !

Il est très facile de reconnaître celui  ou celle qui vous critique !

Il suffit de regarder l’autre dans les yeux quand il vous parle : le regard fuyant est un signe de sa difficulté à vous faire face car il a du mal à cacher sa fausseté ! Sa tendance à ne pas vous écouter,  c’est une manière de vous dévaloriser et de nier votre liberté de penser ! Critiquer c’est vouloir affaiblir l’autre car on ne peut  l’atteindre autrement !

Avez-vous remarqué que certaines personnes se manifestent à vous uniquement quand vous avez des problèmes ? On a le drôle d’impression qu’ils se réjouissent en secret de votre malheur et profitent de la situation pour se mettre en avant ! Ce n’est pas de la compassion mais de la manipulation malsaine avec une manière de dire  « Je suis indispensable ! » Mais  ils se mettent à vous critiquer dès que vous avez le dos tourné ! Cela montre  les relations toxiques qu’ils entretiennent avec les autres et de tels comportements ne peuvent qu’engendrer le mal-être et des conflits !

Sortez votre bouclier « anti-ragots « !

Faites fuir les médisants, les « rageux », les haineux, les « ragoteurs » !

Lorsque la critique s’exerce sur vous, il vous faut faire front et rester fort et digne malgré les tentatives de vos détracteurs de vous déstabiliser.

Apprenez à accueillir les critiques comme une force et non comme une faiblesse ! C’est vrai que ce n’est pas facile ! Surtout, si  on dresse toute une meute contre vous ! Mais il faut apprendre à faire face à l’adversité en restant fidèle à soi-même ! Quelque soit ce qu’on pourrait dire sur vous, ce n’est pas la vérité,  vous le savez ! C’est donc  à vous de continuer à cultiver votre liberté d’être ! Si cela déplaît, n’en tenez pas compte ! Cela est destiné à vous mettre des bâtons dans les roues ! Ne changez pas ! Apprenez plutôt à rebondir en étant toujours plus fier de qui vous êtes vraiment ! Gardez votre signature authentique !

Ne cherchez pas à confronter celui qui vous critique, c’est ce qu’il attend sournoisement, cela ne fera que lui donner de l’importance comme s’il avait raison ! Contentez-vous de l’ignorer, cela l’agacera car comme il veut vous dévaloriser, il ne faut surtout pas entrer dans son petit jeu ! C’est là le plus difficile ! Celui qui critique cherche le plus souvent à régler des comptes, à en découdre ! Ne tombez pas dans son piège !

Prenez de la hauteur pour observer la situation sous un autre angle de vue, la posture en surplomb vous permettra de ne pas vous laisser atteindre et vous évitera de vous rabaisser en descendant dans le caniveau de la médisance!

Certaines critiques sont constructives mais quand il s’agit de reproches sans discussion possible, cela ne mène à rien si ce n’est à faire du mal et à faire souffrir !

 Faites le choix de votre liberté de penser et ne laissez personne vous faire plier face à la critique ! Fuyez ceux qui répètent sans cesse les critiques des autres pour votre tranquillité d’esprit, ce sont les complices de ces ragots car ils deviennent responsables de cette chaîne de la calomnie ! Œuvrez  pour  le respect et pour l’harmonie dans les relations humaines.

Il est  important de ne pas vous laisser emporter par le vent de la haine et de faire rayonner sans cesse plus d’énergie positive ! C’est l’amour qui construit et la lumière qui édifie, sortez donc des ténèbres de la médisance et ouvrez-vous à la vie ! Mettez fin aux critiques faciles et repoussez avec force tous ceux qui veulent vous entraîner dans ces sentiers épineux et sans issue !

Vivre c’est laisser l’autre libre ! Alors si vous vous donnez comme vrai sens à la vie de lutter contre les vagues de médisance, vous ressentirez de plus en plus les effets de la chaleur humaine renouvelée autour de vous !

Maryse de mes mots de vie !

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Le regard des autres, un cauchemar ou une force ?

La Peur du jugement vous hante t-il ?

Le regard des autres a ses raisons que la raison ignore et peut faire souffrir terriblement…

Pas à pas, on avance dans la vie pour se construire et s’épanouir

On affronte à chaque moment des yeux qui nous oppressent

Qui nous blessent et qui nous empêchent de vivre librement

Face à nous, ces regards teintés de jugement nous écrasent de leur poids de géant

Comme dans des gouffres, ils nous aspirent dans le tourbillon de leurs émotions

On ne se voit plus autrement qu’à travers ce flot d’illusions

Qui se déversent à chacune de nos apparitions sans raison

On reconsidère notre rapport à nous-mêmes, on se sent défaillant

Ces regards deviennent notre pire cauchemar, la prison de nos élans…

Ils nous contrôlent, ils nous freinent, ils nous affaiblissent jusqu’à nous réduire à néant

Ils deviennent le joug qui pèse à chaque fois qu’on veut passer à l’action

Ils attirent notre attention comme si c’était une validation qu’on attendait inconsciemment

On n’arrive plus à respirer sans se sentir oppressé sous le feu insoutenable et contrôlant

De ces regards de pierre qui figent  chacun de nos pas et de nos mouvements

On se laisse  transpercer comme si c’étaient des flèches trempées dans du poison

Et on rêve de posséder un bouclier  magique pour s’en protéger à chaque instant

Le regard des autres a un étrange pouvoir sur notre état d’être quand on y accorde trop d’importance

Il stoppe toutes nos tentatives de déploiement quand on désire vivre plus grand

A chaque fois qu’on ressent en nous leur malveillance, on se sent comme impuissant

L’effet qu’on en perçoit nous impacte émotionnellement

Comme une blessure gardée de l’enfance durablement

On perd l’équilibre, on a l’impression de se noyer

On est troublé, on se met à douter, on recule au lieu d’avancer

On abandonne avant de commencer pour ne plus avoir à les affronter


Pourquoi  ces regards nous font-ils  autant souffrir ?

Quand on décide de se cacher pour les éviter, on s’enferme dans l’ombre

On a mal, on se sent aussi fragile que du cristal

On se condamne à être minuscule pour ne plus être visible

On suffoque, on ne respire plus, on devient pâle et inaccessible

On se mure dans le silence et on leur donne raison à tous ces regards effrayants

Ils nous assujettissent à leur pouvoir cruel et humiliant

On devient victime de la valeur qu’ils nous donnent à tort ou à raison

On les laisse  nous mépriser, nous dévaloriser, nous enterrer

On leur ouvre le champ libre pour nous empoisonner

Et pour être plus tranquille, on se tait, on cesse d’exister

Bien qu’on soit vivant, on pleure dans le noir du désespoir

On s’éloigne à grands pas de notre vérité, on adopte le mauvais filtre

On se voit déformé, à travers le prisme de ces croyances erronées

On ne se regarde plus comme on est, mais à travers ces yeux  ignorants

On devient victime de ceux qui pensent à travers leur esprit intolérant

On laisse ces regards nous atteindre, nous toucher au plus profond de notre âme

On souffre d’être l’esclave de leur cible, on laisse s’éteindre notre flamme

Et dans notre cœur, on se sent différent et on décide de faire semblant…


Et si on ouvrait les yeux pour nous voir autrement !

Le regard des autres est comme un bateau ivre

Qui dérive de port en port sans jamais atteindre la rive

Il parcourt à contre-courant des distances pour répandre ses dérives

Quand on apprend à ne plus leur donner raison en changeant notre rapport à nous-mêmes

Quand on ne leur donne plus notre accord de nous causer des torts parce qu’on s’aime

Ces regards se perdent dans le vide en se tournant vers leurs propres tourments

Ce ne sont plus nos juges car ils ne savent pas qui l’on est vraiment

Ce ne sont plus nos bourreaux car on n’accepte plus leur domination

Quand on reprend les rênes de l’amour de soi, ces regards malveillants

s’évaporent et disparaissent de notre vue

Ils errent vers d’autres proies faciles, vers d’autres destinations méconnues

Quand on s’élève sur notre piédestal intérieur pour régner enfin sur notre être de toute notre splendeur

On redore le blason de notre estime de soi pour nous permettre de renaître et de ne plus avoir peur

Quand on apprend à se donner de la valeur, le regard des autres n’a plus d’emprise, on lâche prise

Ils n’ont plus de place pour nous blesser, on garde notre pleine maîtrise

On les accepte comme ils sont sans les subir, sans les fuir

On sait que derrière chaque regard se cache un être faible et vulnérable

Qui ne cherche qu’à nuire et à asservir de manière implacable

On arrête d’en faire une souffrance, c’est dans la connaissance de soi qu’on apprend

A qui on a affaire vraiment…  Les yeux des autres deviennent le symbole de leur mal-être

De leur difficulté à tolérer l’autre, à être ouverts dans une bienveillance nécessaire

A travers leur refus de regarder au-delà des apparences  la vie qui circule et bat à l’intérieur de chaque être vivant

Quand on cesse d’attendre la validation dans ces regards

 On n’a plus besoin de  permission pour exister

On s’élève vers notre sérénité qui nous enveloppe de son halo lumineux

On croise alors d’autres yeux, plus doux, plus merveilleux, plus chaleureux et plus précieux…

On apprend ainsi à accueillir  tous les regards sans jamais perdre notre stabilité et notre ancrage à la vie…

S’aimer c’est notre force pour être pleinement vivant !

Laissez les autres vous regarder, donnez-leur une bonne raison d’apprendre de vous. Vous êtes des rayons d’amour, épatez-les par votre rayonnement intérieur, c’est comme ça que vous attirerez leur attention. Brillez, soyez, régnez et prenez votre place en  osant être enfin qui vous êtes vraiment dans votre vie!

Maryse de Mes Mots de vie

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Mood-board ou Move-board : journal pour un confinement épanoui et en mouvement…(4ème partie)

Capturer intérieurement la photographie de l’instant : un moment de grâce à savourer à l’infini.

Maryse de Mes Mots de vie

Se Relâcher en Soi

Et si on s’accordait un temps de vacances intérieur en arrêtant de trop penser? Pendant le confinement, on constate de manière désagréable qu’ on est souvent en proie à nos pensées trop nombreuses qui nous déstabilisent, comme si le fait d’être moins actifs, les rendaient encore plus envahissantes. Comment sortir de cet état anxieux, qui génère des insomnies ou des tensions internes? Lorsqu’on se sent à l’étroit dans nos envies, tout se crispe dans notre corps. Apprendre à se relâcher et à respirer profondément peut ouvrir alors un espace de possibles…

Regarder la Nature autrement

Le miroir de nos pensées

La Nature nous ressemble

A chaque situation difficile que nous traversons, nous avons du mal à prendre de la hauteur pour porter un regard plus panoramique sur ce qui nous arrive. Immédiatement, l’attention est hyper-focalisée sur des détails et ferme l’esprit en générant des réactions émotives contre-productives. La tendance la plus facile et la plus courante sera de pointer le doigt vers une responsabilité extérieure directe ou indirecte. Nos pensées, à ce moment-là deviennent des ennemis si nous les laissons nous enfermer dans le négatif.
Revenir à soi pour accueillir la difficulté, permet de la regarder en face sans la fuir afin de laisser apparaître le sens qui se donne dans le silence de nos pensées parasites et ainsi pouvoir trouver une voie de passage vers une solution.
Méditer peut apporter une aide considérable. Lorsqu’on se pose à l’intérieur de notre corps dans le silence, on dépose également nos fardeaux, pour s’alléger dans le calme intérieur, on retrouve alors un espace plus serein et plus disponible à la gestion de toutes les crises.
En se recentrant sur soi, on chasse la prédominance du mental trop agité pour trouver un apaisement dans l’accordage corps et esprit.
La vie devient alors un miroir parfait de cet équilibre, on peut davantage s’appuyer sur soi-même pour devenir le maître de nos choix.

Laisser agir…

Le vide est toujours plein…

Même quand tout semble figé, rien ne s’arrête, le mouvement de la vie continue… Et actuellement, c’est la meilleure manière d’accueillir la situation, sans se prendre la tête inutilement avec les inquiétudes.
Quand on renouvelle notre regard sur ce que l’on voit, on respire autrement, plus profondément, plus intensément. Quand on écoute autrement, tout prend plus de consistance, quand on vit l’instant comme si c’était le premier, un autre goût apparaît, celui de l’inédit, du singulier, de l’extra-ordinaire.
Et les choses se passent comme elles doivent se passer. On cesse de croire que l’on peut remplir tous les vides avec du superficiel, de l’artificiel et du superflu.
Le Plein naît de cet espace Vide, puisque tout paraît possible.
D’autres horizons se profilent, d’autres projets se dessinent. Il n’y a plus une seule direction mais une infinité de possibilités.
Et dans l’attente d’un avenir plus souriant, on se nourrit de chaque petit plaisir, de chaque petite fleur, du bruissement du vent dans les arbres, du chantonnement des oiseaux avant leur envol majestueux, du contact sensoriel avec le Vivant en chaque être qui nous entoure.
Et l’on peint sur notre toile vide, le plein de nos aspirations, de nos souvenirs heureux, de nos précieux moments partagés, de nos belles surprises. Et on laisse cette énergie de la vie nous envelopper de ses couleurs du temps, de l’Amour et de l’Espoir. Le vide est toujours plein de notre Présence. Il suffit juste d’apprendre à le percevoir, le cœur ouvert, les pieds ancrés dans le présent, la tête couronnée d’étoiles…

Si je m’aime…

Invitation à s’aimer

Si je m’aime, je ne me fais pas de mal
Si je m’aime, je garde le moral
Si je m’aime, je soigne mes pensées
Si je m’aime, j’apprends à m’accepter
Si je m’aime, je guéris mes ressentiments
Si je m’aime, je chasse mes tourments
Si je m’aime, j’embrasse mes blessures
Si je m’aime, je répare mes fêlures
Si je m’aime, j’apaise mes émotions
Si je m’aime, je relâche la pression
Si je m’aime, je respecte mes fragilités
Si je m’aime, je sais me consoler
Si je m’aime, je me souris
Si je m’aime, je me choisis

Car la vie, Elle m’aime…

Alors est-ce que vous vous aimez? C’est le moment de vous choisir et de vous accorder du temps pour prendre soin de vos désirs, et pour nouer avec vous une meilleure relation basée sur la confiance et la douceur. Soyez davantage à l’écoute de vous-même….

Maryse de Mes Mots de vie




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Quelle est la valeur que vous vous donnez?

Bien souvent, au gré de la vie, on cherche toujours à l’extérieur ce qui pourrait nous convenir le plus, à travers une terrible course effrénée contre la vie qui nous mène à bout de souffle et au bout de nos éternelles insatisfactions.
Puis, on s’arrête épuisés et agacés, on se remet en question, on doute de notre capacité à combler le vide immense de nos idéaux. On se reproche nos faiblesses, nos doutes, nos peurs et nos limitations. Et on regarde autour de nous pour voir comment font les autres. Alors, on s’imagine derrière notre filtre mental, qu’ils ont tous trouvé la recette magique et qu’ils sont tous très heureux à part nous.
On reprend donc notre inlassable quête malgré notre lassitude et on cherche encore et encore le bonheur, à travers des montagnes de projets, dans des déserts de questionnements, dans des océans d’incertitudes et on en ressort une fois encore désabusés, déçus de ces errances inassouvies, de cette volonté déguisée de vouloir contrôler la vie, de lui imposer nos choix, d’exiger des résultats à tout prix et de vouloir combler par des compensations multiples ces attentes vaines.
Et ça continue encore et encore, et un beau jour, enfin le voile de brume se lève, le brouillard s’estompe et apparaît dans la clarté de notre esprit, la leçon qui émerge : rien ne sert de courir après la vie, il faut juste la laisser s’exprimer dans la valeur qu’on se donne et qu’on lui donne pour créer notre sentiment d’exister.
Le bonheur n’est plus alors un concept ni une chanson, on prend conscience qu’il est juste là derrière notre petit cœur qui bat de joie quand on s’éveille à la vie, quand on sourit à ce qui est présent, à ce qui nous appartient vraiment : notre droit de nous aimer. Cette place indispensable qu’on doit s’accorder à soi-même pour accueillir la vie dans la gratitude et la confiance.
On découvre alors que le bonheur c’est la valeur qu’on donne à notre être, à notre personnalité en accord avec notre constitution physique, avec notre caractère, dans notre pleine authenticité. Il ne s’agit pas de se forcer à changer totalement mais de se transformer au contact du Sensible pour apprendre à accepter qui l’on est, tel qu’on est et surtout à être en accord avec nous-mêmes.
Quand on arrête de lutter pour ressembler aux autres, à ceux qui nous forcent par leur comportement à jouer un rôle, à devenir quelqu’un d’autre, on apprécie vraiment qui l’on est, on n’a plus d’efforts à faire, tout devient fluide, tout est en harmonie. On n’est plus en résistance avec la vie. On se laisse porter par son mouvement et on s’aime de plus en plus.
La course s’arrête et on prend le temps de se redécouvrir dans la simplicité, dans la nudité de notre âme. Et on s’élève enfin à notre hauteur qu’on n’avait jamais estimée.
On comprend que plus on se donne de la valeur, plus la vie est douce et belle et plus on l’aime, plus elle nous aime dans une belle réciprocité.

Quelle est donc la valeur que vous vous donnez à vous-même?
Il est temps de revenir à soi, c’est la meilleure façon de se connaître vraiment et de s’apprécier en toute sérénité.
Maryse de Mes Mots de vie



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