Comment ne pas perdre pied au cœur des relations humaines ?

L’équilibre dans les liens aux autres est indispensable et pourtant difficile à trouver!

MMDV

Au cours d’une journée, à chaque interaction, se renouvellent  les mêmes comportements, les mêmes plaintes, les mêmes médisances et les mêmes tensions. A chaque instant, on peut se retrouver à proximité de personnes qui sont submergées par leurs émotions, ce qui les met en difficulté trop souvent.

Comment se sentir bien dans des relations humaines tendues où se perçoit la souffrance bien plus que les mauvaises intentions ? Centrées sur leurs propres problématiques, certaines personnes se négligent et laissent leurs états d’âme entraîner les autres dans leurs propres sables mouvants. Elles deviennent le véhicule de paroles toxiques et créent un carrefour de mots durs, insensés qui reflètent leur souffrance intérieure et confrontent ceux qu’elles croisent.

Comment ne pas perdre pied ? C’est difficile de ne pas se laisser emporter par tant de négativité et l’on ne peut rien se reprocher si on essaie d’y résister de toutes nos forces.  Tout dépendra de notre propre humeur du jour, de notre état de fatigue, de notre énergie du moment !

Celui qui  sait mettre de la distance pour ne pas réagir émotionnellement à tout, réussit à faire preuve d’équilibre et de justesse.  Il convient donc d’apprendre à ne plus subir les autres, en restant fidèle à sa propre vérité.

Savoir ouvrir  un espace de réalisation de soi au cœur de nos journées embrumées par l’inconscience des autres.

Peut-on interagir quotidiennement sans avoir à demander aux autres de se remettre en question lorsqu’ils dépassent les limites et qu’ils font  rejaillir sur les autres leurs émotions mal gérées?

Oser faire entendre sa voix pour mettre fin à ces instants insoutenables où l’on ressent vivement la souffrance de l’autre à travers ses emportements est primordial!

Les blessures de l’égo se réveillent, quand on s’impose, pour affirmer sa manière de penser et ainsi mettre fin aux excès. Faire preuve d’empathie est une compétence humaine disponible en chacun de soi. Pour cela, on doit  prendre la décision d’éteindre son égo, pour être en mesure d’accepter l’autre comme il est, sans le juger.  C’est savoir s’adapter positivement et humainement pour ne pas descendre  au plus bas de sa propre échelle de valeurs personnelles.

Les questions importantes à se poser au cœur des relations humaines, sont :

  • Qui suis-je dans mes interactions aux autres ?
  • Quelle énergie est-ce que j’émets dans mes paroles ?
  • Quelle image je renvoie de moi à travers mon attitude ?
  • Suis-je fidèle aux valeurs que je prétends incarner ?
  • Pourquoi ai-je cette fâcheuse tendance à vouloir juger l’autre ?

Choisir de critiquer ou de médire, alors que l’on a le pouvoir de transformer, ce qui ne nous plaît pas en actions fortes, démontre d’une faiblesse certaine dans notre comportement. Quel bienfait cela peut-il nous apporter ? Il ne faut pas oublier l’effet miroir ! Si l’autre me dérange à ce point, peut-être reflète t-il l’un de mes défauts inconscients qui résonne dans cette interaction ?

Se demander pourquoi on critique quelqu’un, nous ramène immédiatement à nous:

  • Est-ce que j’envie cette personne ?
  • Ou pourquoi cela fait-il écho en moi ?

Prendre du recul, permet de mieux comprendre en quoi cela me confronte ! Juger constamment l’autre témoigne d’un mal-être personnel.

Prendre conscience que tous les schémas négatifs ne peuvent qu’entacher notre déploiement personnel, doit nous amener à préférer choisir une stratégie gagnante pour nous-mêmes !

  • Puis-je faire subir aux autres mes humeurs massacrantes, ou mes incapacités à savoir me remettre en question ?
  • Quelle est la petite histoire que mon égo me raconte pour me bercer d’illusions ? N’est-ce pas un filtre  que je projette sur une pseudo-vérité fabriquée de toutes pièces par mon mental enfermé dans mes propres restrictions ?

A travers la dureté de certaines paroles, on entend souvent bien plus que de la méchanceté, le poids des maux à travers des mots souvent  révélateurs de blessures émotionnelles profondes !

Chaque mot tranchant émet une vibration  lourde, qui va vers l’autre et l’enveloppe d un flux toxique qui tourbillonne son esprit et lui fait perdre son calme jusqu’à le faire basculer, à son tour, dans une spirale de colère et de négativité.

Être  trop emporté dans son caractère montre un  désaccordage avec soi-même, comme une absence de justesse à travers un manque de discernement dans ses jugements,  ce qui charge chaque parole de défiance, de résistance et de rébellion.

Rien ne peut arrêter la colère et les frustrations et faire d’autrui sa cible, c’est assurément  une stratégie perdante. Peut-être faudrait -il se demander pourquoi l’autre nous dérange t-il autant ? Personne n’est mieux ou moins bien qu’un autre, sauf si on veut le croire pour cacher sa propre souffrance inconsciente, liée à ses problématiques non résolues.

Garder sa stabilité et son ancrage face à des personnes négatives est très difficile, c’est un challenge avec soi-même !

Comment peut-on accéder à une version expansée de soi-même si on est minuscule dans sa façon de penser, la vie, les autres, son travail, sa famille et la société autour de soi ?

Il est important de comprendre que le seul idéal vers lequel on doit tendre, c’est d’apprendre à regarder autrement les visages, les liens et les échanges et que le maître-mot demeure le respect réciproque!

Lorsqu’on prend suffisamment de hauteur pour filmer, comme avec un drone,  les interactions humaines, ce que l’on voit est accablant. On constate  la distance entre les êtres malgré l’effet de masse,  le rejet dissimulé derrière des sourires forcés,  l’irrespect sans attention marquée, l’intolérance voilée par la fausseté, la manipulation sur la scène de la comédia dell’arte.

Pourtant tous ces êtres se prétendent doués, dans leur capacité à se lier aux autres, et à être présents au sein  des temps sociaux à partager, alors que dans les faits, se révèle leur incapacité à être pleinement sociables puisqu’ils se montrent hermétiques à la singularité, à ce qui n’est pas commun. Si l’on diffère de leur modèle exigé, ils ne font aucun effort pour s’adapter et au contraire se ferment dans leurs idées étriquées !

Est-ce cela l’Humanité ? Sans exiger des déclarations d’amour, de douceur ou même de bienveillance, peut-être faudrait-il saupoudrer les manières d’être, d’un peu plus de sensibilité et d’acceptation au sens large du terme !

Juste faire preuve de respect de soi, de pardon de soi et d’estime de soi, permettrait déjà de transformer cette terre aride des relations  infertiles où ne poussent que trop souvent, l’arrogance, la suffisance et la souffrance !

Si l’on remplit ses paroles de négativité à l’égard des autres comment peut-on se dire heureux et puissant ?

Commenter sans cesse ce que font les autres, ne montre que du dépit et  de la jalousie, exprimés au travers de  mots souvent enflammés, par des colères intérieures, des rages, des frustrations personnelles, qui laissent transparaître plus qu’un discours, un désordre intérieur proche du chaos.

De même, être bon spectateur de ceux qui sèment la zizanie, par leurs médisances constantes,au sein des liens sociaux, c’est être  complices voire coupables  également!

Comment espérer une amélioration du bien-être au cœur des relations aux autres ?

Il convient de ne pas s’effacer, de ne pas se laisser piétiner, d’avoir pour mission
d’ « alchimiser » la noirceur des cœurs pour voir éclore à la place de tant de perfidies, des fleurs du soleil intérieur de chaque individu.

Le passé est source d’apprentissage pour nos relations.

Combien de fois au hasard des destinées, croisons-nous à nouveau les mêmes individus qui nous ont déjà blessés par le passé, ou d’autres qui reproduisent le même schéma négatif ?

Alors on se demande pourquoi on doit revivre une situation et on ressent comme un sentiment d’injustice et tellement de peines de devoir affronter à nouveau ces mêmes bourreaux, qui nous ont tellement empoisonnés l’âme, qu’on porte encore les cicatrices tatouées à fleur de peau !

Alors au final, on n’a pas d’autres choix que de défier la vie qui nous impose ce challenge.

On fait un bilan de nos expériences désastreuses pour faire un retour sur ce que l’on a appris :

  • Que suis-je devenu ? Qu’ai-je appris comme leçon de ces tourments ?
  • Suis-je apte à me pardonner d’avoir laissé l’autre m’infliger cette peine ?

On se voit dans le miroir de la personne qui nous fait face. On se rend compte que nous ne sommes plus le même et pas tout à fait un autre, et que ce que l’on a appris nous éloigne de toute envie de vengeance ou de représailles. Un nouvel espace de réalisation de soi s’est ouvert depuis, comme une preuve que notre courage est sans faille, quand on s’élève au-dessus de nos problématiques, grâce à la force de notre intelligence du sensible en mouvement, qui nous amène à une version de nous-mêmes encore plus forte et plus belle et plus en accord avec qui l’on est vraiment.

Les leçons de la vie sont comme des jeux de piste qui nous mènent à un accomplissement de nous-mêmes qui dépasse les petites perspectives qu’on s’impose.

Quand on laisse s’évaporer nos colères enfouies, dans le chaudron magique de l’alchimiste que nous sommes, apparaît alors la personne que l’on devient, riche de nos expériences de vie, de nos luttes, de notre mission d’âme sur terre, qui loin d’éteindre notre flamme intérieure, la ravive encore et encore pour lui permettre d’ouvrir comme un espace sacré dans lequel la chrysalide que nous sommes, se métamorphose en l’être suprême que l’on devient, à la lueur de notre  lumière intérieure.

Savoir suivre l’appel de son âme et de son cœur permet de lâcher prise sur les petites querelles dues à des attentes et à des exigences. Plus on se laisse porter en haut de la vague, plus on apprend à développer  sa force de résilience qui se déploie ! Chacun la possède si on accepte de voir avec les yeux du cœur et non avec notre rigidité psychique et notre égocentrisme froid et calculé.

La solution est de sortir de l’urgence de la vie que l’on perçoit au cœur des relations sociales rythmées par un métronome trop rapide et accéléré. Entrer dans une connexion véritable à l’autre demande de la patience à travers un temps suspendu et rempli de grâce et d’accueil.

L’autre redevient alors, un souffle, un cœur, une chaleur, une présence, un mouvement vers lequel on a envie d’aller qui laisse émerger le plus grand de la relation,  c’est ce qu’on appelle la reliance au vivant qui est en tout !

Il est impératif de s’éloigner des violents et des médisants, des agressifs, des odieux sans porter la culpabilité de mal agir et de rechercher davantage la connexion, à travers nos interactions sans nous forcer, pour enlacer des présences nourrissantes et réconfortantes qui nous remplissent le cœur de leur belle énergie de vie dans une réciprocité bienfaitrice.

Il est temps de souffler le changement sur les relations humaines, en inventant à chaque seconde cet idéal dans nos échanges.

Ne plus être une bonne oreille pour ceux qui ne savent pas se remettre en question, pour les obliger à se regarder en face.

Quand on ne sait que dire du mal des autres, nos mots  racontent nos propres maux !

En être conscient, c’est se mettre en route vers plus de sérénité, plus d’harmonie dans nos interactions.

Faire preuve d’empathie est une qualité noble du cœur et non un trait de l’esprit égotique, calculateur et manipulateur. C’est un alignement corps-esprit-âme. C’est pourquoi ceux qui feignent d’être dans l’empathie sont vite démasqués.

Sortir de l’égo et renouer avec sa véritable nature d’être humain, c’est s’ajuster aux autres sans s’enliser dans leurs dérives personnelles qui causent tellement de tort à travers les mensonges, les médisances et les manipulations. L’équilibre se fait en prenant sa juste place pour devenir créateurs de moments présents uniques et dignes. Se décomplexer et avoir pour mission de vie de refuser d’accepter l’inacceptable !

Nos actes portent la signature de notre vérité d’être ! S’assumer en déployant ses ailes, c’est vibrer avec sa nature  divine, c’est transformer le terreau de ses relations, en pépinière plus fertile pour faire naître les graines de la reconnexion des êtres entre eux, à travers des liens plus solides et plus fructueux.

Sortez des expressions sociales fabriquées et  décidez d’épouser les contours de l’intimité de votre âme !

Pour des relations humaines plus stables et plus sereines…

Maryse Ligdamis de Mes Mots de Vie

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Les yeux du cœur voient au-delà des apparences de la vie !

« Quand je porte mon attention sur l’intention de regarder la vie en plus grand, c’est tout un univers qui se dévoile » !

Poésie de la vie
Maryse de Mes Mots de Vie

Les yeux du cœur savent voir au-delà des mots, des gestes et des attitudes. Lorsque nous apprenons à changer notre regard sur ce qui nous entoure, un paysage inexploré s’offre à nos yeux et même dans nos relations aux autres.

Voir est un sens prodigieux qui nous permet de donner à la vie des nuances inédites. Ouvrir grand les yeux pour observer le monde et ses mille et une façons d’être est une expérience fondatrice et précieuse pour devenir humain.

On naît en tant qu’être humain mais l’est-on vraiment quand on ne sait que  focaliser notre regard sur des petits détails insignifiants en prétendant pourtant vivre intensément? Ouvrir son empan visuel permet par conséquent de sortir du regard étriqué qu’on porte trop souvent sur la vie.

Ne dit-on pas qu’il faut apprendre à « voir plus loin que le bout de son nez », c’est la sagesse même de la vie qui est ainsi exprimé dans ce proverbe pourtant banal. Avoir une observation fine et juste de ce qui se passe autour de nous, demande évidemment , de désactiver au préalable, les préjugés, les aprioris et la prétention de tout savoir, avant même de vivre l’expérience.

Chaque matin qui se lève est comme une  photographie de ce que notre mental veut bien capturer de la vie selon notre humeur, le programme de notre journée et les états psychiques et émotionnels liés.

Pourtant même quand la réalité est dure et confrontant, la nature qui nous environne s’invite à nos côtés, pour nous offrir des panoramas somptueux qu’elle décline à l’infini pour radoucir la vie, quand on sait l’honorer, de vrais moments de grâce et de douceur, à portée de nos yeux quand on sait y mettre tout notre cœur pour l’observer.

Changer de rapport à notre vie, c’est réapprendre à utiliser tous nos sens à bon escient. Ce ne sont pas des options facultatives dont on nous a dotés, mais bien des moyens de transformer notre vie à notre guise, à partir de cette capacité sensorielle qui est à déployer à chaque instant, pour créer la vie qui nous ressemble!

Lorsqu’on apprend à regarder autrement, tout change, tout se métamorphose comme par magie. La meilleure façon de rééduquer notre sens visuel, c’est déjà de connaître et d’employer, les différents synonymes du verbe  « regarder », qui portent en eux une manière de voir extrêmement variable d’une acception à l’autre, ce qui peut tout modifier selon la manière dont on va poser notre regard.

Porter votre attention sur la vie, ce n’est pas seulement la voir, mais c’est aussi la contempler, la scruter, l’examiner, l’analyser, l’admirer… La percevoir !  C’est bien plus qu’un simple coup d’œil rapide et furtif, c’est découvrir tout un monde qui se donne à être exploré. Lorsqu’on regarde avec toute notre globalité corporelle, c’est une vue à 360 degrés qu’on porte sur la vie. Alors, elle ne peut plus nous échapper, elle ne peut plus nous décevoir, elle ne peut plus nous limiter.

Voir grand, c’est avoir cette envie de donner à la vie toutes les chances de nous satisfaire dans nos projets, dans nos envies, dans nos besoins de nous réaliser, sans nous contenter de faire défiler la vie sans vraiment voir l’essentiel.

Il ne s’agit pas de se laisser voler son regard, par une attention trop fugace, par une déconcentration à tout instant de ses objectifs, par une distraction constante où l’on zappe sans cesse à tout va, à travers les mille habitudes de la vie.

Être aveugle à la vie, c’est se laisser chaque jour hypnotisés par nos écrans, en restant le nez collé dessus, plutôt que d’apprécier ce qui se donne à vivre, sous nos yeux, sans vraiment s’intéresser à quelque chose en particulier.

Voir à travers un filtre déformant, ce n’est pas voir vraiment! Rien ne peut remplacer la vie réelle. Se perdre dans le virtuel et dans la connexion aux images pixelisées, c’est se déconnecter de soi pour s’enfermer progressivement dans une cécité perceptive qui ne peut que causer à la longue, des dégâts irréversibles et nous laisser comme désincarnés !

Quand on ne sait plus regarder la vie avec motivation et joie de vivre, sans écran interposé, on s’emprisonne soi-même, comme si notre perspective se rétrécissait pour ne plus fixer qu’un petit bout de vie à travers un angle de vue resserré.

Nourrir son regard, c’est comme s’alimenter de manière équilibrée. Tout excès nuit à notre santé physique et mentale. Si l’on visionne sans arrêt des images qui créent en nous des frustrations ou qui nous agressent ou nous donnent de la vie une impression de violence et de mal-être, alors comment trouver la voie d’accès vers plus de sérénité et de paix intérieure ? Comment se sentir pleinement épanoui avec des yeux déformés?

Lorsque l’on observe scrupuleusement les relations aux autres, on ne peut que constater la même dérive. Souvent, on regarde l’autre sans le voir, on se contente de l’apercevoir, de le considérer d’un point de vue faussé par cette incapacité à être présent au présent,  par une fermeture de notre cœur qui nous réduit à avoir un regard vide.  

Si l’on considère chaque être humain comme un monde à découvrir, à ressentir et à percevoir, peut-être pourrions-nous lui donner une chance de nous surprendre agréablement ? Quand l’on regarde l’autre, comment nos yeux se portent-ils vers lui ? D’ailleurs, le voit-on vraiment ou sommes-nous trop absents de nous-mêmes, pour ne distinguer qu’un reflet sans contour.

Voir avec le cœur, c’est avoir l’intention de changer de rapport à notre vie, en ayant une attention plus soutenue à tout ce qui nous entoure.

Là tout de suite, qu’avez-vous à regarder autour de vous ? Prenez une profonde respiration et fermez vos yeux en portant votre attention sur votre cœur. Puis ouvrez-les à nouveau et regardez tout ce qui se donne à voir. Que voyez-vous qui n’était pas visible jusqu’à maintenant ? Que ressentez-vous quand vous vous connectez à vos yeux, pour embrasser la vie comme s’il s’agissait d’un horizon infini ?

Que voyez-vous derrière le visage de celui ou celle qui vous fait face, de celui ou celle qui vous agace, de celui ou celle que vous aimez ? Que voyez-vous vraiment avec les yeux du cœur ? Bien plus qu’un échantillon de vie, sans nul doute. Bien plus que votre visibilité réduite par votre égo, par votre désintérêt, par votre méconnaissance!

Agrandissez votre regard, cherchez à voir l’invisible chez les autres et autour de vous ! Scrutez le ciel pour y découvrir l’étincelle de vie qui rallumera peut-être votre cœur trop éteint.

La vie n’est pas à vivre en mode restreint ni flou. La vie est immense à savourer à travers une introspection perpétuelle.

Maryse de Mes Mots de Vie

Lorsqu’on apprend à regarder la vie dans les yeux, elle nous offre d’autres couleurs, d’autres variations. Elle nous apprend à l’observer en surplomb, pour entrevoir un panorama  moins focalisé de manière plus neutre. Elle nous apprend à distinguer ses subtilités dans un regard plus précis et plus affuté. Elle nous apprend à l’examiner sous d’autres angles. Elle nous apprend à zoomer sur ce qui mérite d’être mis en valeur. Elle nous permet de ne plus nous voiler la face en raison d’ un manque d’attention à nous-même, pour la considérer plus précisément, jusque dans des petits détails significatifs de l’arrière-plan,  sans jamais porter de jugement de valeur.  Plus vous apprendrez à varier les cadrages, à travers un regard sans cesse renouvelé, plus vous verrez mieux la composition de ce qui s’offre à votre compréhension de la vie.

Regarder avec les yeux du cœur, c’est voir une vie plus exaltante et plus ouverte, à travers une vision agrandie, avec un plan large, grâce à un capteur précieux, celui de votre cœur.

Au fait, avant de regarder, n’oubliez surtout pas d’enlever le cache ou les œillères inconscients qui ne peuvent qu’assombrir votre rapport à la vie en lui mettant des limites inutiles.

Pour une vie étincelante et lumineuse de vérité, connectez vos yeux à votre cœur  et saisissez alors son éclat véritable!

Ouvrez vos yeux, votre vie vous attend !

Maryse de Mes Mots de Vie
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Faites de votre hypersensibilité une force pour vous faire respecter!

La lumière de l’hypersensibilité

L’hypersensibilité est un diamant qu’il faut apprendre à polir pour laisser apparaître son éclat le plus prestigieux et sa puissance indicible en le préservant dans un écrin précieux au cœur des relations aux autres…

Maryse de Mes Mots de Vie

Deux points de vue s’opposent sur la sensibilité. Certains la classent automatiquement dans les défauts, alors que l’intelligence sensible est l’or de la créativité et de l’humanité.

Commençons par essayer de mieux comprendre la notion de sensibilité au cœur de l’être.

Les personnes sensibles vivent sous l’emprise de leurs émotions décuplées qui les rendent plus réactives que les autres. Elles sont directement impactées de manière plus profonde dans les interactions et les maladresses inconscientes qui se trouvent dans les relations humaines.

Une parole trop vive, une remarque trop personnelle, une moquerie appuyée, un excès de négatif dans la critique ou la médisance et la personne sensible perd pied et se voit  déstabilisée par cette ambiance trop lourde et pesante, comme si elle devenait une véritable éponge de la toxicité qui se dégage, en s’imprégnant automatiquement des émotions négatives des autres inévitablement, ce qui la pousse à être sur la défensive , à réagir par l’attaque , par les larmes ou à fuir pour se protéger !

Ce n’est pas un choix de  sa part. Être sensible ne se contrôle pas, on ne devient pas hypersensible, c’est une nature propre à un individu. Cette hyper empathie n’est pas simple à gérer au quotidien. Avoir cette envie constante d’être agréable aux autres, de faire attention à eux, d’être dans une écoute bienveillante, est vraiment éprouvant, si bien que le moindre petit détail infime que les autres ne voient pas, finit par l’ébranler dans sa stabilité émotionnelle.

Malheureusement, l’être sensible est rarement compris des autres, on le pointe du doigt comme s’il s’agissait d’une faiblesse de caractère, on critique sa manière d’être. On le traite de « faible », de « trop gentil », on l’accuse de manquer de caractère, d’être trop pleurnicheur. Ce n’est pas une forme de lâcheté, mais bien une manière de l’individu sensible de créer la vie à partir des bases plus saines et des valeurs du cœur, dans la douceur et la délicatesse de son âme et non dans la brutalité, la violence et le chaos des emportements des autres !

Être hautement empathique attire à soi des personnes parfois malveillantes, qui usent alors de leurs stratégies manipulatoires pour profiter abusivement des bonnes ondes de la personne sensible, de ces aptitudes à être bienveillant et à partager généreusement ses idées ou sa manière de penser !

Être une personne hypersensible a des avantages aussi : être plus compatissant, hyper créatif, plus intuitif !

Mais la plupart du temps, dans une société où les extravertis mènent la danse, être une personne sensible se résume à devoir se plier aux désidératas des autres, pour ne pas avoir à lutter dans un bras de fer trop douloureux et insupportable qui fait perdre du temps et beaucoup d’énergie!

L’être sensible capitule mais il ne se résigne jamais à être dans l’ombre des autres trop dominants. Son projet secret et sacré est toujours de démontrer qu’être sensible est une qualité hautement appréciable pour mener une vie en accord avec soi-même. Il lui reste ensuite à trouver le courage nécessaire pour apprendre à s’extraire de la vie rapide et surchargée des autres,  qui ne savent pas se recentrer sur eux-mêmes, en se fixant des priorités pour ne pas perdre face,  et préfèrent se perdre dans des liens qui leur donnent comme un sentiment d’existence et au passage brutalisent la sensibilité des autres !

L’être sensible n’a pas besoin de ce style de vie. Il existe dans sa bulle où il sait prendre soin de lui  pour s’épanouir. Il sait apprécier sa solitude pour toujours mieux se connaître et pour vivre dans une perpétuelle source d’inspiration intérieure. C’est parce qu’il sait regarder la vie avec les yeux de son intériorité qu’il réussit à vivre avec les autres et à attirer à lui des relations harmonieuses et positives en mettant à distance, ceux  qui lui causent du tort ou le dévalorisent en l’empêchant d’être lui-même.

Être une personne sensible n’est pas simple mais apprendre à se respecter est une étape fondamentale dans la vie d’un hypersensible. Plus il apprend à fixer des limites aux autres sans jamais les laisser l’envahir, plus il devient une personne ressource et inspirante.

Le jour où l’on découvre qu’on est hypersensible, c’est un moment de grâce que l’on célèbre car où on sait qu’on contribuera à l’équilibre du Monde, du haut de nos sens éveillés et amplifiés. C’est cette acuité perceptive qui devient alors comme le radar de la vie de l’être sensible.

C’est parce qu’il ressent vivement ce qui le confronte qu’il apprend à vivre en conscience et en présence, pour préserver son bien-être indispensable à l’équilibre de sa vie !

Se sentir vidé par une relation, n’est pas normal ! Être happé par les problèmes des autres n’est pas concevable ! Se sentir comme vampirisé montre bien que quelque chose est néfaste dans ce que l’on vit avec les autres.

Les relations épanouissantes nous inspirent, nous donnent de l’élan, ouvrent notre cœur.  Si l’on doit porter une cuirasse ou une carapace face à quelqu’un, c’est que cette personne ne nous fait pas du bien et nous apporte comme un malaise intérieur !

Réagir aux sentiments des autres par des sensations corporelles agréables ou désagréables permet de réajuster sans cesse les interactions d’un hypersensible. Quand il n’a pas le choix, il convient de faire confiance à son baromètre intérieur, en prenant du recul par rapport à la situation, pour ne pas se condamner à souffrir encore et encore !

Il est important d’observer la qualité de nos relations plutôt que la quantité. L’être sensible a besoin plus que tout de s’entourer de personnes aimantes, attentionnées, bienveillantes et protectrices, dans une réciprocité « actuante »  où se nouer à l’autre devient un réel plaisir et une source de joie constante, même quand il faut surmonter certaines difficultés.

L’individu sensible est invité à prendre conscience de l’importance de placer son corps au centre de sa vie comme une caisse de résonance active, dans l’intention de prendre sa place au cœur de ses relations aux autres, sans qu’on l’affaiblisse ou qu’on lui manque de respect !

Prendre soin de son moi sensible devient une force et accroît l’énergie et le calme intérieur. L’être sensible a besoin de faire plus souvent des pauses avec lui-même car il s’épuise très vite dans les interactions. Par exemple, au cours d’une journée, prendre seul sa pause-déjeuner lui permet  une parenthèse qui le recharge immédiatement pour poursuivre ensuite ses activités plus sereinement! L’hypersensible a besoin de s’octroyer plus de temps pour soi que les autres.

C’est parce qu’on aime cette part de nous sensible que l’on apprend à vivre avec dans une globalité rassurante et sécuritaire.

L’être sensible apprend à s’écouter pour ne pas être désorienté. Il s’adonne à  des activités créatives et créatrices, pour laisser libre cours à ses talents personnels car l’être sensible est un artiste dans l’âme. Lorsqu’il apprend à utiliser la créativité comme un exutoire, il s’offre une voie d’expression libre et engagée et se révèle et s’affirme à travers ses inspirations et ses créations !

L’être sensible, en reconnaissant sa sensibilité, répond mieux à ses besoins et s’accepte entièrement comme il est, sans se juger et s’aime de plus en plus fort !

Grandir de son hypersensibilité, c’est s’ouvrir à une connexion d’âme et de cœur au « plus grand que soi » et au sacré et à l’universalité de la vie.

Si vous côtoyez des personnes sensibles, pensez à les respecter sans chercher à envahir leur espace personnel, appréciez la part de mystère qu’ils dégagent, car à leur contact, si vous savez les honorez pour ce qu’ils sont, ils deviendront vos meilleurs alliés !

Et n’oubliez pas que nous sommes tous quelque part fait de sensibilité, quand on ne renie pas cette part de notre humanité, qui nous donne un regard plus doux et plus éclairé sur la vie !

Je suis moi-même hypersensible et fière de l’être!

Pour mieux vivre votre hypersensibilité, n’hésitez pas à me contacter pour des conseils plus individualisés.

Maryse de Mes Mots de Vie

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La bienveillance n’est pas un leurre : c’est l’équilibre des relations humaines!

Depuis le début du XXIème siècle, le mot « bienveillance » est entré dans le hit-parade des mots à la mode dans les discours, en matière d’éducation ou de bien-être au travail et au sein des relations humaines.

Tout le monde emploie ce mot comme un fourre-tout pour se dire soi-disant à l’écoute des autres.

Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment être à l’écoute des autres pour faire preuve de bienveillance ?

Être bienveillant ne se résume pas à une simple définition, où l’on se prétend gentil, attentionné et indulgent envers autrui, pour se donner bonne conscience. Cela concerne toute l’attitude qui accompagne l’idée même de bienveillance. Il convient d’insister sur la deuxième partie de la signification de ce mot, qui est souvent omise et qui pourtant est la plus importante : la bienveillance, c’est se montrer compréhensif d’une manière désintéressée, c’est-à-dire, accepter l’autre sans condition.

La neutralité dans les liens sociaux peinent à exister. Par conséquent, être bienveillant est une compétence humaine à acquérir par une absence totale de jugement, pour accueillir l’autre dans sa singularité, sans exiger de lui un quelconque conformisme ou une soumission à des règles édictées par les autres.

Au sein de la société, nous comprenons très vite que le mot « bienveillance » dans la bouche de certains, a du mal à nous convaincre.

Revenons sur la vraie notion de bienveillance qu’on se doit d’avoir à l’égard des autres. La bienveillance est une manière d’être qui n’admet qu’une seule loi : le respect de l’autre !

Bienveillance et respect sont les deux faces d’une même pièce qui représente l’équilibre dans des relations aux autres aussi bien dans le milieu familial que professionnel.

Comment se dire « bienveillant » si on est incapable de maîtriser des émotions telles que la colère ou l’emportement, sans penser aux conséquences de ses actes ?

Comment peut-on se dire « bienveillant » avec les uns quand on est « médisant » et « maltraitant » envers les autres ?

Comment peut-on même parler de bienveillance quand la seule manière d’agir est la manipulation, le mensonge et la domination pour « écraser » les autres !

La bienveillance nécessite des valeurs morales qui n’admettent pas la fausseté, le manque de sincérité et la trahison.

Ainsi, le concept de la bienveillance que tout le monde utilise pour se justifier d’être une meilleure personne que les autres, reflète avant tout, une forme d’hypocrisie qu’on aurait avec soi-même , ce n’est qu’un piège pour duper ceux qui ne savent pas faire preuve de discernement !

Personne ne peut se prétendre meilleure que les autres, il n’y a pas de concurrence mais l’obligation de rester  Humain. Il n’y a pas de prix, ni de récompenses à recevoir parce qu’on a coché une case sur son tableau de bonnes actions, comme si on accrochait un trophée ! C’est avec soi-même que l’acte de compassion prend de la valeur.

La bienveillance demande avant toute chose qu’on pense avec son cœur et ce, dans toute  situation ! C’est une inclination du cœur qui n’a qu’une seule et même intention « se mettre à la place de l’autre » pour comprendre la problématique qui vient le confronter, sans l’interpréter à travers un filtre déformant de la réalité.

Le contraire de la bienveillance se lit chaque jour dans les comportements humains : ce plaisir que certains éprouvent à médire, à voir chez l’autre uniquement ses défauts, à voir le mal en toute chose, à manquer d’empathie, c’est-à-dire de considération suffisante pour l’autre, en refusant de le comprendre dans sa détresse,  sans voir qu’un tel comportement qu’on assume est une atteinte profonde à la prétendue bienveillance qu’on affiche !

La bienveillance apaise les conflits en montrant la pureté d’âme !

La bienveillance n’est pas un vain mot. C’est un élan de l’esprit, pour apporter à l’autre une lueur d’espoir. C’est une grande qualité relationnelle envers soi, envers les autres, envers le Monde ! Lorsque l’autre se sent écouté et compris, on peut se dire qu’on a été bienveillant à son égard parce qu’on l’accepte inconditionnellement.

La bienveillance est un engagement à rester dans la justesse de la relation sans aucun déséquilibre de part et d’autre. Lorsqu’on sait se montrer bienveillant, l’autre se sent existé dans la relation, il se sent considéré car il ressent la disponibilité qu’on a pour lui, dans ce lien que l’on nourrit par l’accueil de l’autre dans sa globalité et dans sa liberté d’être!

La bienveillance requiert de l’implication dans la relation à l’autre. On  reçoit autrui dans son intériorité pour être attentif au message qu’il véhicule. Quand on est bienveillant, il nous arrive sans cesse d’être touché par les autres, c’est-à-dire de nous laisser émouvoir par l’histoire de l’autre qui vient résonner en nous pour nous rappeler notre humanité partagée et que nous sommes tous Un !

La personne bienveillante vit les événements en conscience et en présence !

Lorsque gronde la colère, comment être bienveillant envers celui qui vous agresse par son manque d’écoute et de compréhension ?

Cela demande énormément d’efforts et de lâcher prise, il s’agit de ne pas se laisser emporter par l’autre dans ses agissements qui vous perturbent. La phrase qui résonne dans votre for intérieur, c’est « j’en ai assez de toujours subir le manque de respect des autres ! ».

Le sentiment de frustration qui accompagne souvent le manque de bienveillance des autres à notre égard est l’une des premières raisons du mal-être dans les relations humaines toxiques ! On constate que les autres sont absents d’eux-mêmes, c’est-à-dire de leur intériorité ! Comment peuvent-ils parler de bienveillance, quand ils vivent à distance d’eux-mêmes. Ils se complaisent toujours dans l’apparence extérieure jamais dans la consistance intérieure !

La bienveillance nous structure et nous apporte un profond sentiment d’être et d’exister  en parfaite harmonie avec tout ce qui nous entoure pour nous sentir comme universel ! Plus on ressent ses relations ,  moins on les subit !

On redevient comme un souffle d’amour que l’on répand autour de soi, dans des intentions positives de relations stables et sereines. Rien ne peut nous diviser ou nous séparer des autres, puisque nous formons un Tout unique et tellement identique.

Quand on est bienveillant, on attire d’ailleurs à soi des personnes qui nous invitent à co-créer la vie avec eux.

Vivre avec les autres, ce n’est pas subir les autres ! Le concept du « Ensemble, on est plus forts » ne fonctionne que si un parfait équilibre existe au sein des relations qui ne doivent être ni contraintes ni forcées ! Comment peut-on être plus fort avec les autres, quand ceux-ci renient le sens même de notre individualité ?

Nous ressemblons aux autres uniquement par nos qualités du cœur pas par un statut, une origine ou un caractère.La différence est le fer de lance de la bienveillance. C’est parce que nous sommes différents que l’on est bienveillants car on sait s’adapter.  On perçoit l’autre comme une continuité  de nous-mêmes ce qui nous démontre notre appartenance à une même histoire de vie !

La bienveillance est un art de vie qui réside dans une capacité d’Écoute optimale ! Cela signifie que nous ne faisons pas que prêter l’oreille à l’autre, mais toute notre attention, on  ouvre un temps d’existence pour les autres, dans notre espace personnel ! C’est une capacité cognitive qui n’appartient qu’à l’être humain.

N’est-ce pas la meilleure façon de vivre avec les autres en acceptant cette rencontre entre différents univers, une manière de prendre conscience de l’existence de l’autre, de manière plus intuitive moins orientée. Cela permet d’éviter toute maladresse malencontreuse dans les relations humaines qui peuvent aller jusqu’à la fâcherie!

Lorsqu’on est bienveillant, on honore la vie et on lui rend grâce à chaque instant !

Quand on sait être bienveillant, on déambule sur le fil des relations humaines, sans jamais perdre l’équilibre car on devient adroit dans l’art et la manière de respecter l’autre ! Faire preuve de tact dans ses relations n’est pas simple mais quand notre mouvement va vers l’autre depuis notre intériorité, on est plus humain !

La porte d’entrée vers plus de bienveillance est facile d’accès, lorsqu’on la laisse ouverte aux singularités qui caractérisent l’être humain. Nous sommes tous uniques et tellement semblables ! Visiter les nuances de chaque personnalité est une formidable aventure à vivre au cœur de la bienveillance !

Malgré des relations humaines fluctuantes, demeure un fond commun perceptif, à travers la vibration de l’énergie de la vie au cœur de nous-mêmes !

Pour des relations solides, stables et bienveillantes, plongeons davantage notre cœur dans notre nuancier intérieur et donnons à nos relations plus de lumière.

Comment rester calme quand on manque de bienveillance et de respect à votre égard ?

Il est difficile de ne pas être perturbé par le manque de bienveillance des autres ! Comment ne pas se laisser emporter dans leur tourbillon de toxicité ? Il convient de rester calme et observateur, conscient et présent.

  1. Ouvrez votre cœur, en restant dans une présence ancrée et alignée à vos propres valeurs.
  2. Accueillez chez l’autre sa part défaillante et en prise avec son égo et pacifiez votre propre colère en ne cherchant pas à refléter la négativité des autres.
  3. Faites preuve de bienveillance envers vous-même, écoutez la colère de l’autre, sans vous emporter et  sans le prendre pour vous personnellement. Dites-vous que la colère est souvent  un signe de souffrance inconscient chez celui qui ne sait pas la maîtriser. Faites rayonner l’énergie d’amour, de lumière et de compassion pour vous protéger.
  4. Respirez en conscience de manière ample et élevez-vous au-dessus de la situation. La vie vous envoie parfois des épreuves pour tester votre capacité à rester vous-même en restant libre, puissant et patient .
  5. Pour autant, être bienveillant ne signifie nullement rester passif.  L’action n’est pas une réaction émotionnelle. Faites confiance à la vie et laissez-la simplement agir dans le respect, l’amour et la bienveillance que vous vous devez à vous-même.

N’oubliez jamais vous n’êtes pas responsable des comportements des autres lorsqu’ils  ne savent pas se remettre en question, cela  leur appartient !

Retenez que la vie est souvent un mystère et que trop se poser de questions vous éloigne du moment présent. Pourquoi vivez-vous cette situation ? Inutile de  chercher à y répondre ?

Cultivez  votre paix intérieure. L’importance est de vous respecter quand les autres ne vous respectent pas et de laisser aller le libre cours de la vie sans vous opposer à elle !

La bienveillance est un acte d’amour qui élève votre fréquence vibratoire. N’hésitez pas à vous abreuver à la source de la bienveillance qui se trouve dans votre cœur  !

Que la vie soit  bienveillante et respectueuse envers vous.

Maryse de Mes Mots de Vie

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