Le regard des autres, un cauchemar ou une force ?

La Peur du jugement vous hante t-il ?

Le regard des autres a ses raisons que la raison ignore et peut faire souffrir terriblement…

Pas à pas, on avance dans la vie pour se construire et s’épanouir

On affronte à chaque moment des yeux qui nous oppressent

Qui nous blessent et qui nous empêchent de vivre librement

Face à nous, ces regards teintés de jugement nous écrasent de leur poids de géant

Comme dans des gouffres, ils nous aspirent dans le tourbillon de leurs émotions

On ne se voit plus autrement qu’à travers ce flot d’illusions

Qui se déversent à chacune de nos apparitions sans raison

On reconsidère notre rapport à nous-mêmes, on se sent défaillant

Ces regards deviennent notre pire cauchemar, la prison de nos élans…

Ils nous contrôlent, ils nous freinent, ils nous affaiblissent jusqu’à nous réduire à néant

Ils deviennent le joug qui pèse à chaque fois qu’on veut passer à l’action

Ils attirent notre attention comme si c’était une validation qu’on attendait inconsciemment

On n’arrive plus à respirer sans se sentir oppressé sous le feu insoutenable et contrôlant

De ces regards de pierre qui figent  chacun de nos pas et de nos mouvements

On se laisse  transpercer comme si c’étaient des flèches trempées dans du poison

Et on rêve de posséder un bouclier  magique pour s’en protéger à chaque instant

Le regard des autres a un étrange pouvoir sur notre état d’être quand on y accorde trop d’importance

Il stoppe toutes nos tentatives de déploiement quand on désire vivre plus grand

A chaque fois qu’on ressent en nous leur malveillance, on se sent comme impuissant

L’effet qu’on en perçoit nous impacte émotionnellement

Comme une blessure gardée de l’enfance durablement

On perd l’équilibre, on a l’impression de se noyer

On est troublé, on se met à douter, on recule au lieu d’avancer

On abandonne avant de commencer pour ne plus avoir à les affronter


Pourquoi  ces regards nous font-ils  autant souffrir ?

Quand on décide de se cacher pour les éviter, on s’enferme dans l’ombre

On a mal, on se sent aussi fragile que du cristal

On se condamne à être minuscule pour ne plus être visible

On suffoque, on ne respire plus, on devient pâle et inaccessible

On se mure dans le silence et on leur donne raison à tous ces regards effrayants

Ils nous assujettissent à leur pouvoir cruel et humiliant

On devient victime de la valeur qu’ils nous donnent à tort ou à raison

On les laisse  nous mépriser, nous dévaloriser, nous enterrer

On leur ouvre le champ libre pour nous empoisonner

Et pour être plus tranquille, on se tait, on cesse d’exister

Bien qu’on soit vivant, on pleure dans le noir du désespoir

On s’éloigne à grands pas de notre vérité, on adopte le mauvais filtre

On se voit déformé, à travers le prisme de ces croyances erronées

On ne se regarde plus comme on est, mais à travers ces yeux  ignorants

On devient victime de ceux qui pensent à travers leur esprit intolérant

On laisse ces regards nous atteindre, nous toucher au plus profond de notre âme

On souffre d’être l’esclave de leur cible, on laisse s’éteindre notre flamme

Et dans notre cœur, on se sent différent et on décide de faire semblant…


Et si on ouvrait les yeux pour nous voir autrement !

Le regard des autres est comme un bateau ivre

Qui dérive de port en port sans jamais atteindre la rive

Il parcourt à contre-courant des distances pour répandre ses dérives

Quand on apprend à ne plus leur donner raison en changeant notre rapport à nous-mêmes

Quand on ne leur donne plus notre accord de nous causer des torts parce qu’on s’aime

Ces regards se perdent dans le vide en se tournant vers leurs propres tourments

Ce ne sont plus nos juges car ils ne savent pas qui l’on est vraiment

Ce ne sont plus nos bourreaux car on n’accepte plus leur domination

Quand on reprend les rênes de l’amour de soi, ces regards malveillants

s’évaporent et disparaissent de notre vue

Ils errent vers d’autres proies faciles, vers d’autres destinations méconnues

Quand on s’élève sur notre piédestal intérieur pour régner enfin sur notre être de toute notre splendeur

On redore le blason de notre estime de soi pour nous permettre de renaître et de ne plus avoir peur

Quand on apprend à se donner de la valeur, le regard des autres n’a plus d’emprise, on lâche prise

Ils n’ont plus de place pour nous blesser, on garde notre pleine maîtrise

On les accepte comme ils sont sans les subir, sans les fuir

On sait que derrière chaque regard se cache un être faible et vulnérable

Qui ne cherche qu’à nuire et à asservir de manière implacable

On arrête d’en faire une souffrance, c’est dans la connaissance de soi qu’on apprend

A qui on a affaire vraiment…  Les yeux des autres deviennent le symbole de leur mal-être

De leur difficulté à tolérer l’autre, à être ouverts dans une bienveillance nécessaire

A travers leur refus de regarder au-delà des apparences  la vie qui circule et bat à l’intérieur de chaque être vivant

Quand on cesse d’attendre la validation dans ces regards

 On n’a plus besoin de  permission pour exister

On s’élève vers notre sérénité qui nous enveloppe de son halo lumineux

On croise alors d’autres yeux, plus doux, plus merveilleux, plus chaleureux et plus précieux…

On apprend ainsi à accueillir  tous les regards sans jamais perdre notre stabilité et notre ancrage à la vie…

S’aimer c’est notre force pour être pleinement vivant !

Laissez les autres vous regarder, donnez-leur une bonne raison d’apprendre de vous. Vous êtes des rayons d’amour, épatez-les par votre rayonnement intérieur, c’est comme ça que vous attirerez leur attention. Brillez, soyez, régnez et prenez votre place en  osant être enfin qui vous êtes vraiment dans votre vie!

Maryse de Mes Mots de vie

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Créer sa vie

Repeindre la toile de sa vie dans l’harmonie de ses pensées

Maryse de Mes Mots de vie

Au petit matin, toujours le même refrain qui freine notre entrain

Nos pensées nous agrippent dans son flux insensé

On perd pied, on se lance dans sa course acharnée

On suit comme automatisé ses intentions déguisées

On se lève comme dominé par cette agitation effrénée

Qui nous hypnotise jusqu’à perdre sa maîtrise

On oublie de vivre le moment présent qui se fige

On s’apprête à passer la journée et à faire de la haute-voltige

Et si on créait notre vie différemment, en reprenant le contrôle?
Et si on apprenait à penser autrement et à ne plus jouer de rôle?

Au crépuscule de sa vie , tout défile, on ne peut plus rien changer

On regarde dans l’entrebâillement de la porte de ses souvenirs

Et on apprend à compter les heures perdues sans rire

Combien de matins chagrins et de soirs désespoirs

Combien de secondes passées sans jamais les voir

Combien de minutes trempées dans du café noir

Amertume et rancune se côtoient au rang des infortunes

Tristesse et regret de n’avoir jamais décroché la lune

Que sont devenus tous ces instants remplis de rêves?

Quand la sève des arbres mouillaient allègrement nos idées?

Quand la pluie de nos projets traçaient mille sillons dorés?

Qu’avons-nous fait de ces élans et de ces envies de briller?

Lentement et insidieusement, les pensées ont rongé chaque parcelle de notre être

Impuissant, nous avons laissé s’installer l’inertie dans nos veines pour disparaître

Et si on recommençait à bâtir des châteaux en Espagne?

Et si on refaisait le monde à la lueur de nouvelles étincelles?

Et si, et si , seulement si, on remplaçait nos soupirs par des sourires?

En redevenant l’artiste de nos tableaux de vie

En revêtant notre tenue de lumière et de rubis

Pour nous laisser nous imprégner de notre magie créatrice

Celle qui tapisse notre inspiration de ses délices

Et chaque coin et recoin de notre potentialité à renaître

Quand on suit le mouvement de vie, et qu’on se laisse apparaître

Il nous entraîne vers l’inédit

Il devient notre Muse pour la Vie

Créons notre vie à l’encre de notre cœur et nos pensées s’illumineront pour nous faire rayonner de sa splendeur

Maryse de Mes Mots de vie


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Voyage, voyage…

Viens avec moi découvrir ton monde intérieur
Pas besoin de passeport ni de bagage ni d’avoir peur
Prends juste le temps qu’il te faut, sans te presser
Ferme les yeux et écoute le silence enchanté
Pose-toi dans ton corps, ouvre ta conscience sans méfiance
A la danse de la vie qui coule en toi dans sa puissance
Comme le ruisseau chantant dans une après-midi d’été
Comme le bruissement de l’alizé qui bat des ailes pour te caresser
Comme le printemps doré qui s’éclaire de ta nature réveillée
Viens, suis mes pas, fais comme moi.
Suis juste le chemin. Il n’y a plus de peur ni de mystère.
Il n’y a plus de guerre ni de misère. Juste Toi.
Et le mouvement de la vie qui te tend les bras
Pour t’apprendre à aimer cette Terre.
Pour t’apprendre à vivre sans barrière.
Retrouve ton humanité, elle est sacrée.
Sois l’étoile filante de tes rêves
Sois la lune argentée de tes projets
Souris à tes pensées, laisse-les se transformer
Et refléter l’éclat de ton miroir illuminé
Pose ton regard radouci sur le Monde qui resplendit
Quand tu lui offres la chaleur de ton cœur qui rit
Quand tu déploies la confiance de ton âme épanouie
Sois la luciole que tu admires
Sois la force de ton devenir
Sois la petite fée qui exauce tes vœux
Sois les mots qui te rendent heureux
Ta vie, c’est toi qui la nourris
Tu la crées à l’image de ton esprit
Plus tu es serein et apaisé
Plus tu la verras briller pour rayonner
Quand tu apprends à mieux t’aimer
Elle peut alors t’aimer encore plus fort et t’élever…

Soyons des êtres humains ancrés dans notre humanité, le cœur en avant, prêts à aimer…

Maryse de Mes Mots de vie




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Tombez vos rigidités

Êtes-vous de tempérament psychorigide, c’est-à-dire, avez-vous du mal à lâcher le contrôle dans votre manière d’être et de faire ?
Comment accueillez-vous votre relation à l’autre?
Avec votre égo ou avec votre cœur?
Avec votre statut social ou avec votre identité réelle?
Avec vos a-priori ou avec votre regard neutre et bienveillant?
Avec votre esprit fermé ou avec vos bras ouverts intérieurement?
Avec le passé ou dans l’instant présent …

Dans les relations humaines, il est fréquent de constater à quel point l’attitude qu’on a, est un signal fort pour les autres. C’est malheureusement à partir de ce que vous renvoyez comme image que vous existez dans l’interaction sociale. D’où la nécessité d’en prendre conscience, pour faire évoluer vos difficultés relationnelles.

Comment vous parlez, comment vous écoutez, comment vous regardez comment vous bougez, comment vous agissez…Est-ce que vous vous forcez dans un rôle en en faisant trop ou est-ce que vous savez vous adapter à chaque situation en restant mesuré, calme et stable?

Bref, lorsque vous vous mettez en mouvement pour aller vers l’autre, pour lui faire face, pour lui parler, pour lui répondre physiquement ou à distance c’est la manière dont vous le ferez qui déterminera ce qui pourra se passer dans l’échange.

A savoir qu’on pose d’emblée les conditions d’accès d’une relation saine en adoptant une approche constructive et ouverte qui fera naître une communication facile et fluide quel qu’en soit le sujet plutôt qu’un rapport dur et autoritaire voire trop dominant.

Aborder l’autre du haut de son piédestal, c’est ne pas être capable d’entendre sa détresse, ce qu’il attend de vous comme aide , ou dans une écoute active et empathique. C’est réduire l’échange à une bataille de l’égo parce que vous vous sentez inconsciemment jugé . C’est être au final « un mauvais communicant », en s’éloignant de votre authenticité qui est le seul garant de la relation et en vous enfermant dans votre cuirasse de non communication.

Souvent, cela cache une vulnérabilité à vos propres failles. Comme si c’était à partir d’elles que vous voyiez le monde, dans la méfiance qui vous enferme , à partir de vos propres peurs qui vous durcissent, et habité de ce manque d’ amour pour vous-même qui vous condamne à créer en l’autre une résonance de ce qui vous emprisonne l’âme.

Être vulnérable, ce n’est pas être faible. C’est au contraire montrer son humanité qui même imparfaite est toujours la plus juste.
La dissimuler en se comportant de manière excessive, donne l’impression de compenser une incapacité.
C’est au final, ne pas réussir à bien communiquer, en restant prisonnier de ses rigidités mentales qui finissent toujours par engendrer des tensions, des conflits, des incompréhensions. Moins on est à l’écoute, plus on ferme toute discussion possible.

Comment peut-on apprendre à mieux communiquer?
Tout d’abord en tombant ses rigidités en s’ouvrant aux possibles sans les craindre puis en accueillant sans aucune prédominance de caractère, de tempérament, de posture, de fonction, l’autre comme il est sans le blesser.
Enfin, en ouvrant son cœur dans la confiance et en arrachant son masque d’acier.

Lorsqu’on communique avec l’autre à partir de son cœur d’humain, on lui tend une main universelle, celle qui ne choisit ni la race, ni la couleur, ni le lien, juste à partir de cette belle intention de réciprocité actuante à partir de laquelle on peut tout créer, pour redonner à la vie le goût profond et intense du vivant .

L’énergie sociale est une force de notre monde. Se couper d’elle par une attitude psychorigide, c’est aussi attiser le feu de la colère en transformant les fleurs en pierres, les désirs en ruines, les rêves en châteaux de sable.
Que choisissez-vous au final dominer ou communiquer?
Que choisissez-vous la peur ou l’amour?
Que choisissez-vous la froideur ou la chaleur humaine ?
Que choisissez-vous la guerre ou la paix?
Votre choix vous appartient, soyez-en conscient, personne ne choisit à votre place !

Tombez vos rigidités car elles étreignent votre cœur jusqu’à le réduire, votre esprit jusqu’à le tourmenter, votre corps jusqu’à le raidir. Ne soyez plus prisonnier de vous-même. Connectez-vous à votre intériorité pour vous apaiser et laissez-vous guider et vous verrez le monde beaucoup plus grand, infiniment plus doux et tellement plus aimant.

La flexibilité, l’accueil, la confiance, le sourire, permettent à la vie d’être tellement plus simple.

Pour une communication saine et sereine

Maryse de Mes mots de vie




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