Savez-vous contrôler vos pensées ?

En vous se trouve la clé de votre bonheur, le savez-vous ? Chacune de vos pensées construit votre réalité.

Être conscient de ce pouvoir ne peut que vous donner envie d’apprendre à le maîtriser.  Cette force ne peut venir que de votre intériorité.

Quelle est la couleur de votre humeur aujourd’hui ? La réponse à cette question vous aide à mieux comprendre ce que vous ressentez et ce qui teinte vos émotions de nuances claires ou foncées.

Vous cessez alors de blâmer l’extérieur pour observer votre sensibilité. Êtes-vous d’humeur joyeuse ?  Ou vous sentez-vous  submerger par un nuage obscur ? Que se passe t-il donc en vous ? Quel est cet élan qui vous habite ? Ou quelles résistances s’élèvent pour vous encombrer intérieurement ?

A partir du moment où vous vous mettez à l’écoute de vous-même, vous apprenez à mieux comprendre votre état d’esprit du jour et à essayer de gérer ce qui vous vient en tête.

Comment cela est-il possible ? Prendre conscience que vos états d’âme vous appartiennent, vous permet de ne pas en faire porter à quiconque la responsabilité, car même lorsque les autres vous influencent, vous êtes l’unique responsable de votre réaction.

Si certaines épreuves ou certaines difficultés de la vie vous apportent souffrance et tristesse, il ne faut pas résister à ces émotions désagréables qui vous assaillent, il faut les laisser être. Pour autant, il ne faut pas s’en servir pour vous isoler davantage dans un certain mal être en le ressassant intérieurement. Mettez-vous en mouvement pour chasser ces pensées toxiques par le sport, par la danse, par la peinture ou par la cuisine… mais ne le retournez pas contre les autres. Trouvez un exutoire pour exprimer ce qui vous dérange mais ne vous enfermez pas dans vos pensées.

Si des pensées parasites tournent en boucle sans s’arrêter, dites-vous immédiatement qu’elles n’ont aucune raison d’être, elles ne sont générées que par l’état d’esprit négatif que vous avez à un instant T en référence au passé ou en appréhension du futur.  Vous gâchez ainsi par des pensées inutiles votre instant présent tellement plus précieux.

Cette maîtrise n’est pas facile, mais avec de la bonne volonté et face à l’urgence de vous sortir de cette attitude destructrice pour vous-même mais aussi pour les autres, vous devez reprendre le contrôle et ne pas vous laisser  attirer vers les plans inférieurs  là où se côtoient haine, rancune,  colère, reproche, méfiance et tout son cortège de ressentiments. Vous devez au contraire plonger votre être dans un bain d’amour pour vous en purifier. Les rayons de l’amour éclairent l’obscurité. Ressentez donc en vous l’amour de la vie et tout ira mieux soudainement. Votre intériorité se colorera de la tendresse que vous avez pour vous-même.

Lorsque vous comprenez que votre vie n’est que le reflet de la priorité que vous accordez ou non  à des pensées qui n’existent que dans votre tête, vous réalisez que seuls les actes comptent, vos interprétations et vos jugements ne sont que des mirages, des illusions qui vous éloignent de la beauté et de la richesse de votre existence. Vous ne vivez pas dans votre réalité mais la tête dans des nuages qui vous pèsent.

En faisant davantage attention à vos pensées, elles finiront par s’évanouir, par apparaître puis par disparaître instantanément, vous avancerez alors pas à pas dans votre quête spirituelle pour acquérir cette pureté qui est l’unique pallier qui vous aidera à atteindre votre paix intérieure.Vous triompherez alors en vous libérant grâce à cette prise de conscience et vous apprendrez à résister à votre pire ennemi : vous-même.

Là, tout de suite, en lisant cette article, quelles sont vos pensées ?
Vous êtes ce que vous pensez alors j’espère qu’elles sont douces et agréables….

Belle journée à vous

Maryse de Mes mots de vie

 

 

 

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Mieux vivre avec ses blessures…

Poser des mots sur des épreuves difficiles nécessite de se sentir prêt à revivre ce qui est douloureux pour l’extraire définitivement et aborder le présent plus sereinement. Il est des blessures émotionnelles qui sont aussi vives que les plaies les plus profondes.

Malgré les efforts que vous faites pour les aider à se cicatriser, la vie provoque parfois des situations qui vous montrent qu’au fond de vous subsiste une douleur intense qui ne se calme que lorsque vous y appliquez le baume magique puisé dans votre cœur : l’amour de soi mais aussi des autres.

Après la blessure d’amour, évoquons aujourd’hui, la blessure de rejet et la blessure d’injustice.

Lorsque vous êtes hypersensible, un rien réveille vos émotions désagréables. Vous vous ouvrez aux autres mais vous vous heurtez à un terrible mur, miroir de votre état. Vous renvoyez l’image d’un être meurtri, fragile et sensible car votre blessure intérieure a recouvert votre visage d’un masque fuyant et distant malgré la beauté de votre âme. A chaque fois que quelqu’un s’invite de trop près dans votre intimité, vous vous repliez sur vous-même et vous prenez la fuite pour ne pas accepter cette intrusion par peur de revivre un nouveau rejet. Vous avez  peur du jugement et vous appréhendez de faire des erreurs. Afin d’éviter toutes ces peurs, vous devenez perfectionniste. Mais la blessure de rejet que vous portez en vous fait que vous n’êtes jamais accepté dans un groupe car comme vous  voulez à tout prix plaire aux autres, vous vous y prenez maladroitement en craignant de souffrir et vous obtenez l’effet inverse.

En prenant conscience de cela, vous devez affronter cette blessure qui vous hante afin de mieux en comprendre les causes pour y apporter des solutions de guérison.

Quant à la blessure d’injustice, elle rejoint souvent la blessure de rejet. Vous en souffrez lorsque vous ne vous sentez pas apprécié à votre juste valeur, vous ne vous sentez pas respecté et vous pensez ne pas recevoir ce que vous méritez. Vous êtes très rigide et très exigeant avec les autres. Vous paraissez froid alors qu’à l’intérieur de vous-même, se trouve beaucoup de sensibilité. Vous êtes plus apprécié pour ce que vous faites que pour ce que vous êtes. Vous souffrez à chaque fois que les choses ne sont pas équitables. Et ce désir de justice vous mène souvent à votre perte dans vos relations car vous finissez par exprimer votre mécontentement sans recevoir la compréhension que vous attendez. Votre colère masque votre profonde souffrance.

Il vous faut apprendre à réagir autrement sans chercher des réponses chez les autres mais plutôt en changeant votre attitude.  Certaines de vos qualités peuvent être vos pires défauts. En devenant plus cohérent avec vous-même, ce que vous voulez ou ne voulez pas, en fixant des limites afin d’éviter tout abus, vous éviterez de ressentir ce sentiment douloureux d’être exploité, d’être manipulé, d’être utilisé, d’être incompris. Vous ne serez plus jamais en attente de la reconnaissance des autres. Vous serez fier de vous-même, de votre autonomie dans la gestion de votre vie.

Derrière toutes ces blessures souvent liées à l’enfance, il faut comprendre que se trouvent des êtres qu’on doit apprendre à ne pas juger, chacun vit avec son histoire. Si vous estimez quelqu’un et que son comportement vous dérange, sachez que c’est parce que vous portez vous-même des blessures qui vous empêchent de le comprendre. Ne le rejetez pas, aidez-le au contraire à dépasser ses propres blessures, vous vous aiderez vous-même car nous avons tous des blessures émotionnelles cachées et nous aimerions tous être compris…

« Stop au jugement, apprenez à voir l’autre au-delà du masque qu’il porte, vous aurez une heureuse surprise… »

Maryse de Mes mots de vie

 

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Savoir vaincre ses peurs…

La peur fait peur, la peur empêche le bonheur. La peur poursuit, traque, assaille et laisse en vrac.

La peur dérive, esquive, balise et  brise. La peur résonne, assomme, frissonne, déraisonne.

Vous souvenez-vous de la dernière fois où vous avez eu peur, peut-être était-ce il y a bien longtemps ?

Peut-être cela vous arrive t-il  tout le temps ? Quel rapport entretenez-vous avec la peur ? Habite -t-elle chaque parcelle de votre cœur ? Vous colle t-elle à la peau pour ne jamais disparaître ? Vous empêche t-elle tout simplement d’être ?

Je vais vous conter une histoire ….

Il était une fois, un petit enfant qui avait peur de tout, de rien, des autres, de lui

Jamais il ne se confiait sur ce monstre intérieur qui hantait ses rêves la nuit, qui le suivait le jour

Il s’isolait loin de tous,  pour ne plus avoir peur à l’abri dans sa coquille

Toutes les histoires qu’il lisait évoquaient toujours cet ennemi omniprésent et effrayant

Alors il savait que nulle part il ne pourrait jamais se cacher sans être confronté à son pire ennemi

Autour de lui, il décida de dresser des murs, des barricades, entre les autres et lui

Il se percha dans sa tour d’ivoire, il porta une armure cadenassée

Et ainsi, il grandit avec pour seul ami cet amas de protection

Il ne savait pas marcher seul, respirer librement ou s’amuser vraiment

Toujours terrifié, il rasait les murs, n’empruntait jamais des chemins de traverse

Et il se réfugiait dans ses tourments devenus sa prison

Puis il grandit et il apprit à être autonome mais en lui demeurait cette peur viscérale

De tout, de rien, de lui, des autres, de la vie…

Et il devint un adulte peu courageux, peu aventurier, très renfermé

Il apprit à ses dépens qu’il était prisonnier des griffes de son tyran

Il avait beau le chasser, il revenait dans toutes les situations

Car ce mal, il l’avait entretenu, il lui avait donné toute la place

Il vivait avec lui comme si c’était normal, comme si tout le monde faisait comme lui

Il n’avait pas compris qu’en se comportant ainsi à chaque instant

Il lui donnait le pouvoir d’entrer dans sa vie, et de s’y installer éternellement

Avec l’expérience et la sagesse, il sut qu’en le nourrissant par ses mots, par ses actes, par son attitude

Il reviendrait pour l’assaillir attiré comme un aimant…

Alors il prit de grandes résolutions, il brisa son armure rouillée, il descendit de sa tour fortifiée

Il se dit que que même s’il fabriquait de solides fortifications, la vie ne valait pas la peine d’être vécue ainsi

Il affronta la peur et son armée d’émotions désagréables, il conquit la vie

Il planta à son sommet le drapeau de l’amour pour lui, pour les autres, pour le monde entier

Et il commença à vivre enfin, la peur s’était enfuie devant  la confiance et la foi en la vie

Il sut que personne ne pouvait prévoir l’imprévisible, que la vie était riche de ses hasards

Qu’elle était avant tout un cheminement dans la lumière qui permettait d’ être fort et solide

Pour résister à toutes les épreuves de la vie…

Il retint surtout un enseignement précieux : seuls les vivants avaient cette grande chance….

« A votre tour, donnez à votre enfant intérieur sa liberté, qu’il s’envole enfin au-dessus de sa peur d’être vivant… »

Maryse de Mes mots de vie

 

 

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Le pardon, un cadeau…

 

Chaque jour, au détour de la vie, vous croisez sur votre route des situations qui suscitent en vous des remous incontrôlables  qui font naître à travers des mots que vous entendez ou des actes que vous subissez des émotions désagréables.

Souvent le sentiment que vous éprouvez dans le moment vous assomme comme un coup de massue ou vous révolte et vous entraîne dans un torrent de ressentiments. Vous assistez  au réveil de vieilles colères réprimées qui vous ébranlent comme un véritable séisme.

Ainsi, des attitudes, des paroles, ont sur vous un impact inimaginable. Comment cela peut-il s’expliquer?

Souvent vous avez imprimé en vous des blessures causées par des situations similaires et à chaque fois, qu’une personne vous donne à revivre par son comportement la même situation, les émotions liées à votre histoire de vie remontent à la surface et vous font éprouver une douleur aussi vive que par dans le passé. Cela s’explique par le fait que vous n’avez jamais été guéri de ce qui a causé en vous ce mal atroce. Pour pouvoir enfin dépasser cette blessure émotionnelle, vous devez la laisser être, en analyser les causes, et surtout l’exprimer pour  qu’elle ne s’imprime pas en vous négativement.

Le remède magique qui vous aidera à réparer cette blessure n’est pas facile à appliquer mais il demeure la clé de votre prospérité intérieure : le pardon. En pardonnant, vous choisirez de vous alléger d’un fardeau trop lourd à porter. Chacun sera ainsi délivré et aura une attitude plus heureuse et plus positive avec les personnes qui  l’entourent et les relations humaines deviendront plus saines.

En apprenant à pardonner, ce qui paraissait impossible, pourra enfin se réaliser car le pardon libère des tensions accumulées qui sont souvent à l’origine du mal-être, des maladies et des freins dans votre vie.Vous vous donnerez enfin le pouvoir d’accueillir toutes les possibilités avec amour et avec bienveillance.

Cependant, pardonner n’est surtout pas se mentir à soi-même pour faire semblant d’accepter une situation, c’est être prêt à pardonner en effaçant toute rancœur, pour que la blessure puisse enfin se cicatriser. Lorsqu’on décide de pardonner uniquement parce que c’est une « chose gentille à faire » alors les mêmes situations se répèteront avec les mêmes personnes car on ne peut pas faire semblant de pardonner. Cela ne sert strictement à rien si ce n’est à faire  souffrir davantage.

Il ne faut pas se contenter de dire : « Je te pardonne ». Il faut avant tout accepter la réalité telle qu’elle est, satisfaisante ou pas, sans jugement. Si vous n’apprenez pas à pardonner alors une partie de l’énergie intérieure de votre vie restera piégée dans la colère et la souffrance. Pardonner, c’est reconnaître que l’on commet des erreurs sans en avoir honte. C’est surtout mettre fin à ce sentiment de culpabilité qui vous étreint chaque matin et qui vous empêche de bien respirer.

C’est en pratiquant le pardon,  que vous deviendrez plus ouvert aux opportunités de la vie et que celles-ci trouveront leur chemin jusqu’à vous. Si une personne ne s’est pas pardonné à elle-même, elle ignore ce que cela signifie pardonner à quelqu’un d’autre car le pardon n’est pas qu’un simple mot, il est un état puissant qui guérit tous les maux. Encore faut-il être capable de le ressentir !

Lorsqu’on pardonne vraiment, on le sait au fond de notre cœur car la joie et l’amour s’invitent alors dans notre vie. On réalise à quel point le pardon est bénéfique, on s’ouvre enfin au bonheur car le vrai pardon nous rend libre et léger : c’est un acte d’amour universel.

Si un jour, vous avez pardonné à quelqu’un et que cette personne a continué à vous blâmer. Ne regrettez pas votre acte, mettez cette situation à distance car vous n’en êtes plus responsable. Vous vous en êtes libéré et c’est ce qui compte plus que tout. A chacun ensuite d’assumer ses responsabilités.

« Le pardon crée l’abondance alors illuminez votre vie de ses rayons lumineux . N’ayez plus peur de pardonner, vous serez le premier à en être heureux. »

Maryse de Mes mots de vie

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