Quand la vie vous chahute …

Quand la vie vous chahute, vous ressentez dans votre cœur, le sentiment d’être coupable de ce que vous ne réussissez pas à obtenir. Comme si tout s’opposait à vos désirs et que vous étiez sans cesse confronté à vous-même, à vos choix, à vos besoins, à vos déceptions !

Et si on brisait le mur de nos insatisfactions !

La vie actuelle est faire d’insatisfactions liées à des grands renouvellements en cours, qui nous poussent tous dans nos retranchements pour qu’on apprenne davantage  à accepter les  directions qui se donnent pour les vivre avec notre cœur et non plus avec notre tête, pour nous obliger également à changer les schémas qui se répètent inconsciemment puisqu’on s’enferme dans des habitus qui n’ont plus lieu d’être ! Le passé est révolu, faites place au présent à celui qui est en vous à chaque respiration !

Il est temps de lâcher prise sur la répétition inconsciente de situations qui vous mettent à chaque fois dans les mêmes stratégies, dans des repères complètement obsolètes qui n’existent plus que dans votre imagination, d’où les échecs  ou les blocages qui apparaissent. Il est temps de lâcher vos attentes et vos manques ! Ce ne sont que des illusions que crée votre mental trop agité pour voir le monde autrement et qui vous verrouille dans une version pessimiste de la vie et de vous-même.

A chaque détour, vous tombez nez à nez avec des informations négatives et déprimantes parce que vous ne savez pas regarder ailleurs peut-être même là, tout simplement à l’intérieur de vous. A chaque cycle, des difficultés viennent noircir l’horizon de ceux qui ont déjà l’impression d’être à bout ! Il est nécessaire de ne pas se sentir accablé pour ce que nous n’avons pas choisi :  une société qui vit à un rythme accéléré où le stress tempête dans toutes les pensées avec cette sensation de manquer de temps pour vraiment se réaliser, comme une manière de vivre obligatoire qui  laisse  un goût d’inachevé, d’inaccompli, de démotivation, et  de découragement !

C’est comme si on regardait tous à travers une image déformée de la vie,  pour observer nos aspirations se faire broyer par des préoccupations matérielles, économiques, politiques… ! Alors, on cherche dans ce vaste tohu-bohu, dans cette spirale qui nous tourbillonne jusqu’à devoir mettre de côté nos rêves pour nous acharner à travailler en espérant mériter de vivre. L’amertume  fait grincer les dents, serrer les mâchoires à chaque mauvaise nouvelle ! On se sent vidé de notre essence, de notre âme, comme si on perdait jusqu’à notre véritable identité.

On croit que vivre, c’est se contenter de  conjuguer la vie en suivant uniquement la cadence infernale qu’on nous oblige à respecter : les vacances, la rentrée, les fêtes …Bref comme une joie qui semble feinte et fabriquée. C’est l’été, tout le monde est heureux, c’est l’hiver tout le monde se désespère…La vie n’est pas ce fatras d’idées qu’on veut nous faire voir comme l’unique vérité ! Elle se vit dans l’instant présent, ici et maintenant ! Sans attente, sans programme, sans projection.  La vie pulse dans nos veines l’élan qui correspond à nos inspirations dans le moment où on le ressent, Il n’y a pas à prendre rendez-vous avec elle, à  lui fixer nos impératifs de jour, d’heure …La vie, ce n’est pas vivre que le week-end et faire des autres jours un calvaire à subir !

Il est très ironique de voir comment on se laisse facilement manipuler à l’heure actuelle par ces injonctions à faire ou à ne pas faire, sur ces ordres à être ou à ne pas être ! Certains ne célèbrent la vie que lorsque cela est écrit en gros sur leur calendrier. D’autres oublient de se réjouir parce qu’ils sont trop fatigués pour aimer, pour parler, pour exister …D’autres prennent pour unique code de vie, ce que dictent les réseaux sociaux !

On perçoit alors chez beaucoup de personnes, de plus en plus ce sentiment de détresse ou de chagrin intérieur en lien avec des insatisfactions liées au diktat de la société qui exerce de plus en plus un pouvoir infernal sur les esprits fragilisés par les remous de la vie : crise sanitaire, guerre, inflation, rentrée …La morosité s’installe comme si elle avait  soufflé au vent en l’espace de quelques secondes, les belles résolutions. Les vacances sont vite oubliés et tout le monde est vite rattrapé par la déprime et la désolation de ne plus s’appartenir et de devoir obéir à des obligations de service !

Mettons fin à nos frustrations !

Les frustrations se vivent dans cette impression de ne pas obtenir ce que l’on souhaite quand on le veut, de ne pas vivre comme on veut vivre ! On se sent tyrannisé par un temps qui ne nous appartient pas ! Alors on devient capricieux et têtu, frustré de ne pas pouvoir faire exister nos désirs les plus profonds ! Comme une vie qu’on remplit de déni, de superflu, d’artifice, pour se mentir à soi-même et se dire que tout va bien ! Les frustrations se reconnaissent  à travers l’impatience et le manque de persévérance à travers lesquelles chacun abandonne ce qu’il a à faire, avant même d’avoir essayé sans accepter de se remettre en question.

Tout le monde veut dominer la vie  à tout prix pour la contrôler selon ses propres exigences même si cela se fait sans justesse ni harmonie ni respect de la vie elle-même ! Les tentatives échouent et se terminent souvent en rage et en colère jusqu’à se répéter  inlassablement : c’est la faute de la société, c’est la faute du système, c’est la faute des autres, c’est la faute du passé…Quelles actions accompagnent ces reproches ? Y-a-t-il des décisions concrètes pour faire évoluer positivement ce qui bloque une situation ?

Les personnes qui se sentent frustrées se laissent facilement influencer par leur esprit négatif qui transforme tout en problème. C’est un peu comme si elle ne voyait la vie qu’à  travers les yeux de la colère et de la frustration ! Si on refuse de se soumettre à leurs désidératas, elles se ferment et n’ont plus qu’une seule et même intention se fâcher et s’énerver ! Quand on comprend que dans chaque obstacle qui se dresse sur notre chemin, se trouve une expérience à vivre pour mieux se connaître, pour mieux s’accepter, pour grandir, pour évoluer et pour s’élever dans notre mission de vie, alors on choisit de les transformer en booster et en déclencheur de défis à relever pour ne pas être freiné par le découragement !

S’apitoyer sur son sort ne fera que nous enliser davantage dans une terre inféconde et aride, sans voie de passage vers la réussite et le succès que l’on recherche tant ! Si un échec vous arrête actuellement, alors  n’arrêtez pas de vivre pour autant, n’oubliez pas que la vie est immense et ouverte à bien d’autres opportunités en accord avec ce que vous avez à expérimenter tout de suite et maintenant. Apprenez à accueillir vos difficultés, à les traverser, en vous nourrissant d’une énergie positive qui transcendera toutes les peurs et toutes les hésitations qui vous perturbent ! La vie vous aime suffisamment pour vous offrir le meilleur, si vous ne vous laissez pas déstabiliser par ses remous, en vous bloquant vous-même dans une situation difficile !

Prenez du recul et de la hauteur, pour survoler votre problématique en vous désidentifiant  de vos émotions et de vos réactions, comme s’il s’agissait d’une énigme à résoudre. Et le mystère se dévoilera, la solution se trouvera dans la leçon à en retirer comme autant de petites pépites de vie à collectionner. Transformez le négatif en positif pour vous faire dire plus tard : «  si je n’avais pas eu à vivre cela, je n’aurais jamais évolué vers le meilleur pour moi… » Le cadeau de la vie n’est pas emballé dans du papier de soie mais il a une valeur indéniable !

La frustration doit faire place à  la tempérance. Abattez dès aujourd’hui ce mur infranchissable entre  votre vie et vous-même. Mettez fin consciemment à toutes vos résistances et à toutes vos oppositions, en acceptant le cœur ouvert, ce que vous ne pouvez changer et en vous mettant en action pour créer ce qui s’accorde à votre être véritable quand il ne pense pas avec l’égo, l’orgueil, et la colère ! Ce n’est qu’une attitude émotionnelle qui crie face aux déceptions, et qui se transforme en amertume pesante en écrasant toutes vos bonnes résolutions ! Éteignez cette agitation mentale incontrôlable qui enserre votre cœur et paralyse votre esprit et vous enferme dans des inquiétudes sans fin !

Plus on vit dans un contrôle permanent de ce que l’on fait, plus nos frustrations sont immenses ! On ne laisse aucune place aux surprises ! On se trouve au cœur de la psychorigidité ! Plus notre volonté est forte, plus on a du mal à accueillir les événements de la vie sereinement ! Dicté par notre désir profond, on focalise sur ce qui nous empêche de trouver une voie de passage vers ce que l’on recherche et on obtient l’effet inverse ! Plus on cherche la solution en y opposant des exigences, plus on se ferme à un accès facile et juste ! On s’entête et on se rebelle jusqu’à perdre le contrôle et la maitrise de nos émotions !

Apprenez à libérer votre mental de l’emprise de la colère !

Une personne frustrée a la colère facile ! A chaque fois que ses exigences ne sont pas satisfaites, elle devient incontrôlable ! Elle refuse de se plier et s’enferme dans l’entêtement jusqu’à en souffrir. Une personne frustrée n’admet pas qu’on lui dise « Non ! », elle est souvent autoritaire et inflexible !  Et si on apprenait à vivre davantage dans la gratitude et dans la paix intérieure,à  l’opposé de la frustration ! Si on cultivait notre équilibre de vie,  en créant ce que l’on désire avec patience et avec persévérance !

Pour sortir des frustrations, il est important de revenir à la connexion à votre cœur. Libérez-le de ce poids ! Soulagez tout votre être, votre corps, et votre esprit de cette tension intérieure qui finira par se transformer en maladie, si vous vous entêtez à rester dans une situation qui vous pèse depuis trop longtemps ! Les qualités à développer sont le calme et la tolérance pour apprendre à mieux communiquer avec les autres, à vous affirmer sans colère, à accueillir la vie avec douceur. La communication et le respect sont les véritables piliers de nos interactions aux autres, quand on cesse de se culpabiliser pour ce qu’on n’a pas créé! Se pardonner d’avoir à vivre cela, c’est  s’offrir à soi-même la liberté d’être comme on est et de laisser aux autres leur propre liberté et  leurs propres choix, pour laisser entrer plus de sérénité dans notre vie ! On en a bien besoin, n’est-ce pas  ?…

Maryse de Mes Mots de Vie

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Agir pour ne plus souffrir !

Accumuler des souffrances, ce n’est pas vivre normalement !

Quand votre cœur se serre et que vos yeux se remplissent de larmes sans raison évidente. Quand une peine à l’intérieur de votre âme vous étrangle. Quand le chagrin coule en vous comme une rivière intarissable jusqu’à vous tourmenter de ses méandres. Vous êtes face à vous-même et à vos souffrances. Mais arrivez-vous clairement à définir pourquoi vous souffrez ?

Si c’est le cas, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel, pour ne pas laisser cet état s’aggraver ! Vous connaissez les raisons de ce qui vous fait mal. Alors, il est important pour votre équilibre de vie d’apprendre à gérer cette peine pour réussir à l’alléger ou à la guérir ! Vous le méritez ! Soyez fier de toute démarche visant à votre mieux-être !

Si par contre, vous n’arrivez pas à nommer les raisons exactes de votre mal-être et que cela perdure comme un état de tristesse permanent, comme si vous pensiez ne pas avoir droit au bonheur et être victime de votre vie, de vous-même et des autres ! Il est important de vous dire qu’il n’est pas normal de souffrir et d’essayer de mieux comprendre ce qui dans votre rapport psychologique à la vie vous donne cette impression de devoir souffrir pour atteindre vos objectifs ! N’est-ce pas dû au fait d’écouter vos peurs et de vivre uniquement en donnant de l’importance à vos pensées qui ne sont pourtant qu’illusion ?

Rompre le schéma mental de la programmation de la souffrance

Vous avez peur de quoi, d’ailleurs ? Qu’est-ce qui vous torture au point de vous donner ce sentiment désagréable de porter le monde entier sur vos épaules?  Qu’est-ce qui vous rend si méfiant dans l’idée d’avoir droit à votre part de bonheur? Pourquoi validez-vous le fait de souffrir comme quelque chose de normal ? Pourquoi, pensez-vous ne pas mériter le bonheur simple et facile ?

Pourquoi avez-vous comme l’impression d’être  programmé pour  vivre à travers un rapport défaillant à votre vie alors que d’autres réussissent mieux que vous ? Quelle part de votre éducation vous a si bien formaté, qu’inconsciemment, tout vous ramène à l’idée que souffrir c’est normal ? Un peu comme si vous pensiez faire partie de personnes condamnées à avoir la vie dure : « C’est normal, la vie est faite de difficultés, je ne dois pas me plaindre ! » ou  « Tant pis, c’est comme ça ! »

N’est-ce pas d’ailleurs cette croyance erronée qui cause dans votre vie des difficultés qui s’accumulent ? Comme un blocage de votre droit au bonheur  par des principes qui vous limitent mentalement dans les stratégies que vous adoptez sans cesse dans votre rapport à la vie: toujours travailler plus que les autres pour mériter votre salaire,  toujours faire plaisir aux autres pour ne pas être jugé,  toujours vivre modestement pour ne pas manquer d’argent …

Ainsi, vous pouvez constater que vous créez vous-même inconsciemment votre rapport difficile à la vie !

Personne ne doit accepter de souffrir sans réagir ! Libérez-vous  de vos souffrances !

Pourquoi laissez-vous la possibilité aux autres de  vous causer du tort, de réduire votre espace de vie, de vous imposer leurs règles ?  Pourquoi n’osez-vous pas vous regarder avec les yeux de votre liberté d’être, de vos envies, de vos propres désirs ?

Face à toutes ces questions, il est urgent d’agir pour effacer à jamais cette idée que la souffrance est une fatalité. Ce n’est ni un mauvais sort qui s’acharne sur vous ni un destin écrit à jamais ! Renouvelez vos croyances et remplacez-les par une réalité plus joyeuse, pus harmonieuse et plus légère !

Au détour de votre vie, vous faites sans cesse des apprentissages qui vous enrichissent dans votre croissance personnelle, lorsque vous êtes prêt à regarder  la problématique d’un autre point de vue, pour vous apprendre de vos propres angles morts.  Et oui, la vie est  une grande école de formation personnelle, où l’on vous apprend à devenir la meilleure version de vous-même !

Vous constatez souvent, que ce qui vous cause le plus de peine, c’est le fait de ne pas être votre priorité,  mais de vous considérer comme le souffre-douleur des autres parce que vous le voulez bien inconsciemment, malgré vous. Pour parvenir à vous défaire  de ce mal qui vous ronge et qui était masqué à vos propres yeux jusqu’à présent,  vous devez vous tourner vers l’origine du chagrin intérieur qui est là au fond de vous et qui dicte vos choix, votre manière d’être, votre comportement incohérent!

Vous devez regarder bien en face tous vos schémas de vie qui se répètent et qui vous ramènent toujours à des échecs.

Que devez-vous changer dans votre manière d’agir et d’être pour ne plus reproduire ces mêmes situations douloureuses ?

De nombreuses questions vous agitent… Pourquoi à chaque chemin que vous empruntez se dresse face à vous, toujours le même mur ? Un  mur infranchissable tant la peur vous tétanise, tant les forces vous manquent, tant l’absence de courage vous affaiblit. Vous cherchez la clé de ce mystère pour vous libérer. Vous vous égarez dans les couloirs de vos suppositions, de votre mental conditionné. Vous préférez vous culpabiliser pour ce qui vous arrive, comme si ces reproches inconscients venaient faire de vous comme la cible idéale par votre conditionnement qui vous empêche de voir la vérité !

Vous vous dites : « C’est de ma faute ! Je suis victime des autres. Je ne sais pas me défendre, je me laisse trop faire, je suis trop gentil, trop naïf, trop influençable, trop manipulable… !» Et vous vous en voulez, vous vous traitez sans égard, vous vous détestez pour ce que vous êtes, pour ce que vous acceptez. Vous vous trouvez même faible!

Et pourtant vous ne changez rien dans vos stratégies car vous n’osez pas regarder votre réalité autrement pour créer ce que vous méritez vraiment ! Comme si vous étiez votre propre blocage ! A chaque fois, qu’une nouvelle situation plus prometteuse se présente à vous, vous revenez en arrière, comme si votre vision réduite de vous-même vous interdisait d’aller de l’avant !  » Vous avez de la valeur !  » Le savez-vous ?

Et si vous appreniez à vivre autrement . Et si vous vous disiez :

« L’autre me fait souffrir et si je profitais de cette occasion pour augmenter ma puissance intérieure en me relevant de ce qui m’accable à la force de l’amour indéfectible que je dois me porter à moi-même! »

« Et si pour une fois, je me choisissais en me libérant consciemment de l’emprise des autres par un rayonnement d’amour et d’intentions positives de manière illimitée et inconditionnelle pour remplacer les informations négatives qui n’ont plus de place en moi ! »

L’amour de soi est un élixir de vie, un antidote contre la souffrance. Quand vous cessez de vous en vouloir pour ce qui vous arrive,  et d’en vouloir à autrui, vous vous remettez au centre de votre rapport à la vie. Pas en retrait, au contraire, bien au milieu car vous êtes votre raison de vivre, vous ne donnez plus à personne le contrôle sur votre vie ! Si une relation vous cause du tort,  vous cherchez avant tout votre paix intérieure, et non pas la guerre de l’ égo qui fait beaucoup plus de mal ! Vous remplacez la rancœur et le ressentiment par l’acceptation ! Vous lâchez prise sur les combats inutiles, qui causent tellement de souffrances, vous sortez de la résistance ! « C’est ainsi ! » Vous respectez le choix de chacun et surtout vous vous choisissez enfin !

Qu’est-ce que je veux pour être serein et libre ?

Vous comprenez que la souffrance vient du fait, que vous ne vous positionnez pas assez dans l’ici et maintenant mais toujours dans un passé proche ou lointain, à travers les regrets d’hier et l’anticipation de demain. C’est ce mal-être qui vous ronge, d’ailleurs! Cette impression de porter comme un lourd  héritage de souffrance contre laquelle vous ne pouvez rien y faire ! Vous prenez conscience que vous n’avez pas besoin de vous sacrifier pour les autres ! Vous n’avez pas à vous comporter comme un saint-martyr  qui se  plie sous le joug d’une sombre destinée ! Vous n’êtes pas l’esclave de votre vie ni de votre histoire !

Quand vous cessez de vous voir aussi négativement, vous invitez plus de douceur et de paix dans votre relation à vous-même. Vous apprenez à vous faire confiance et vous ne vous sentez plus coupable de tout  mais libre, tellement libre et allégé du poids de votre conscience !

Lorsque vous abandonnez l’idée de souffrir, vous redevenez visible aux yeux des autres et du Monde !

C’est comme si un écran vous masquait aux yeux des autres qui ne voyaient de vous qu’un reflet déformé ! Vous vous demandiez en vain, « d’où vient cette sensation d’être invisible, ce sentiment d’être incompris ? » Vous aviez l’impression de  faire tout ce qu’il fallait pour plaire et pour aimer les autres mais sans aucun résultat malgré vos attentes désespérées. Ce sentiment de ne pas être, de ne pas mériter d’exister vous laissait amer dans vos relations, au prix d’efforts surhumains !

De développements personnels en prises de conscience, il vous restait à comprendre le plus important : il n’est pas normal de souffrir, on n’a pas besoin de faire le don de soi pour mériter l’attention des autres !Vous méritez seulement le meilleur!

Lorsque vous cessez de vous regarder à travers les yeux du chagrin, vous voyez plus grand, plus intensément, votre vrai chemin de vie  devient un espace de tous les possibles ! Vous sortez du contrôle de votre mental qui vous avez habitué à toujours douter, à toujours vous culpabiliser ! Vous revenez à vous-même, à votre grandeur d’âme et de cœur !

Certaines relations vous amènent à souffrir et refuser de les subir c’est agir !

Lorsque vous choisissez de vous réveiller de votre léthargie, un souffle nouveau vous revigore. L’espoir ne meurt jamais malgré l’adversité, malgré ce qu’on vous fait ressentir, malgré les mauvais agissements à votre égard, malgré les mille peines qui ruissellent sur vos joues, qui vous empêchent parfois même de vous tenir debout. Vous gardez en vous intacte, cette lumière qui vacille mais qui jamais ne s’éteint. Vous gardez le sourire dans votre âme, vous restez présent aux autres, à leur demande d’aide et à leur soutien. Vous faites toujours face avec dignité ! Vous faites preuve de résilience pour vous avant tout et pour ceux qui savent vous aimer !

Et vous savez, oui vous savez que chaque petite joie est à vivre intensément dans la seconde, pour vous faire oublier le reste, pour effacer les effets indésirables de cette souffrance qui meurtrissait votre cœur comme un poison lent!

Le déclic se produit au moment juste pour mettre fin à votre mauvais rapport à la vie. Il finit par  arriver quand vous l’appelez de toutes vos forces car vous n’avez plus de place pour encaisser de nouvelles souffrances ! Vous apprenez alors à vous connecter à votre intériorité pour vous retrouver ! Vous revenez à vous-même plus fort, plus solide, plus stable, pour découvrir d’autres voies inexplorées, d’autres chemins ignorées, pour vous ouvrir enfin les yeux sur  la Vérité, comme si soudain la pièce manquante du puzzle de votre bonheur se dévoilait !

Vous découvrez alors que personne n’est né pour souffrir, qu’il ne faut pas attendre que la coupe soit trop pleine avant d’agir ! Si vous acceptez de subir, vous encouragez les autres à vous malmener, à vous manquer de respect. Accepter ce qui n’est pas bénéfique pour vous, c’est aller à l’encontre de vous-même ! Lorsque le brouillard se lève, le paysage est bien plus beau, rien n’est dévasté mais en voie de construction. Toutes les graines germées sur votre parcours du combattant vous tracent à présent un merveilleux chemin pavé de toutes vos bonnes intentions. Chaque petit bourgeon vous rappelle, ce que vous avez accepté d’offrir, de donner malgré vos tourments, dans l’attente de jours meilleurs. Et des milliers de fleurs embellissent votre chemin. Elles s’offrent à vos yeux pour effacer le noir du passé, pour renouveler votre regard sur la vie de manière plus colorée et à travers la poésie du vivant que vous avez toujours cultivée !

Oui la vie vous aime quand vous savez vous choisir, quand vous apprenez à ne plus laisser les autres vous faire du mal. Quand vous vous honorez chaque jour dans la gratitude de l’instant à vivre. Quand vous transformez chacune de vos pensées grâce à la baguette magique de votre créativité.

Vous laissez alors derrière vous toutes vos craintes, toutes vos désillusions. Le ressentiment fait place à l’amour, le vrai celui qui ne ment pas, ne triche pas, ne trahit pas, ne manipule pas ! La haine fait place à la paix. Vous savez au fond , du fond de vous-même, au plus profond de votre âme, que vous êtes sur la bonne voie, que le meilleur est  à venir, que demain est un autre jour toujours plus délicieux à consommer sans modération , si vous restez dans votre qualité de présence à vous-même, à vos choix, à votre liberté !

Lorsque votre cœur manque de place dans votre poitrine, cela génère des palpitations et des angoisses. Quand vous avez la sensation d’être trop à l’étroit dans votre corps,  votre énergie est basse et  votre amour de soi est en berne! Lorsque votre gorge est serrée, c’est que vous ne vous autorisez pas à exprimer ce qui vous fait souffrir. Lorsque votre ventre est noué et se tend, c’est que vos peurs bloquent la libre circulation de la vie et vous donnent la sensation d’être sur le point d’exploser intérieurement. Lorsque vos pensées s’assombrissent, c’est que votre mental est trop lourd à porter ! La souffrance est à l’origine de toutes les pathologies. Votre corps est votre plus belle intelligence de vie, il faut apprendre à s’en servir pour mesurer l’impact d’autrui sur votre météo intérieur !

Oui, les convenances exigent de ne point être fâché avec les autres. Oui, la bienséance nous dicte d’accepter  l’autre même quand il nous manque de respect ! Oui la société nous fait croire qu’il faut  subir pour plaire et être aimé !

Non, non, non, ce n’est pas vrai tout ça ! Enlevez de vos pensées toutes ces croyances, toutes ces limitations et toutes ces restrictions ! La règle d’or qui sous-tend notre responsabilité envers nous-mêmes, c’est de ne donner à personne, ni à aucune situation la permission de nous faire souffrir. Chaque problème doit nous mettre en mouvement vers la solution pour un passage à l’action immédiatement. Personne ne doit se plier devant autrui jusqu’à se sentir mal !

Si des mauvais agissements vous ont tenu à l’écart de vous-même pendant de longues et pénibles années, prendre conscience de ce qui a dysfonctionné, c’est ouvrir enfin la voie vers ce qui doit vous ramener à la paix et à l’harmonie avec vous-même ! Le pardon se trouve dans chaque acte de réconciliation que l’on fait avec soi-même ! Pardonner aux autres, ce n’est par leur donner la possibilité de recommencer à vous faire souffrir ! Tant que ces souffrances ne sont pas réparées, elles aggraveront votre sentiment de mal-être ! Encore faut-il savoir ce qui vous fait souffrir ? En vous posant comme question, chaque jour : est-ce que je me respecte si je fais ceci ou cela !

On sait que l’on a pardonné à celui ou à celle qui nous a fait du mal, quand il n’y a plus aucune résonance douloureuse, quand il n’y a plus aucune peur ni  aucune méfiance ! Et quand on est enfin en harmonie avec nos propres pensées et que notre mental ne nous rappelle plus un schéma dépassé !

Vivre pour guérir de ses souffrances, ce n’est pas les masquer, mais c’est remplacer la réflexion du mental par la perception corporelle des sensations qui nous animent quand on est face aux autres ! C’est cette perception toujours juste et fine qui doit nous guider sur le chemin de notre guérison ! Quand nous nous sentons bien avec les autres, c’est qu’il y a un respect mutuel, et c’est pour ces relations chaleureuses que nous devons œuvrer !

Il est urgent d’agir pour ne plus souffrir, parce qu’on s’aime vraiment !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Apprendre à comprendre vos émotions permet de moins souffrir

Les émotions  nous assaillent ! Les émotions sont des révélateurs dans notre quotidien de ce qu’on valide, de ce qu’on rejette, de ce qu’on refuse d’admettre. Ce sont de véritables capteurs de l’essence même de la vie comme des petits radars qui nous connectent à notre âme sans cesse ! On les considère comme trop envahissantes, pourtant plus on apprend à se fier à nos émotions, plus on sait ce qu’on veut et ce que l’on ne veut pas, ce qui nous pèse, ce qui nous rend heureux, ce qui nous fait du bien, ce qui ne nous appartient pas !

Dans notre gestion habituelle de nos émotions, on entre trop facilement en résistance avec ce que l’on perçoit des situations vécues, en essayant de  combattre nos émotions plutôt que de les laisser s’exprimer ou de les laisser nous guider.

On choisit souvent  de les enfouir par peur d’elles, par crainte qu’elles nous affaiblissent. On finit par les redouter comme des bombes à retardement,  et on ignore que tôt ou tard à force de les retenir, elles finiront par  nous submerger ! On les cadenasse à double tour à l’intérieur de nous, comme si c’était mal de les ressentir jusqu’à ce qu’elles nous empoisonnent et nous remplissent d’amertume! Avec l’âge, elles se transforment en détresse psychologique !

Il n’est pas normal de s’interdire de vivre ses émotions librement ! Choisir de vivre sans cesse sur la défensive sans dire ce qui nous dérange, consomme toute notre bonne énergie, c’est une stratégie perdante qui témoigne de notre incapacité à savoir gérer nos émotions et à avoir une bonne maîtrise de soi !

Cette manière de se protéger  est négative et épuisante car on bloque à l’intérieur de nous les ressentis que l’on a et qui doivent circuler librement pour nous permettre de prendre notre place plus sereinement.  Cela ne signifie pas qu’on doit les laisser exploser de manière brutale mais juste de ne pas sans cesse les réprimer. On doit rester fidèle à cet engagement d’un respect infaillible que l’on se doit à soi-même, à travers une sincérité à toute épreuve. Toute vérité n’est pas bonne à dire mais mentir sur ce que l’on pense vraiment  n’est pas favorable à de bonnes relations !

Plus on laisse se dérouler normalement la vie à travers les différentes résonances qu’on ressent, plus on accueille ce qui vient, sans s’y opposer et sans  masquer ce l’on veut laisser sortir ! Les autres avec lesquels on interagit, apprennent ainsi à nous respecter, à ne pas croire qu’ils peuvent tout se permettre de dire ou de faire sans réaction de notre part ! Par exemple si quelqu’un vous heurte dans votre sensibilité par des remarques désobligeantes,  le lui dire est la meilleure façon de vous respecter, sans colère ni violence, juste dans la spontanéité de l’instant. Remettre quelqu’un à sa place lui permet de comprendre  en quoi il dépasse les limites de votre liberté d’être et d’agir selon votre libre-arbitre, vos goûts ou  votre manière de penser !

 Personne ne peut prendre le contrôle de votre vie!

Votre vie  vous appartient avec ses imperfections et ses petites nuances claires ou foncées. Elle vous appartient totalement. Si quelqu’un vous manque de respect, qu’avez-vous pu laisser transparaître dans votre attitude, qui lui permet de dépasser les limites ? En quoi n’avez-vous pas été cohérent ? Parfois lorsqu’on autorise les autres à s’inviter dans notre vie, on ne fixe pas suffisamment les limites à ne pas dépasser. Certains caractères effrontés et manipulateurs ont vite fait de trouver là un accès direct à notre espace privé et intime où ils se permettent de nous blesser, de nous vexer ou de nous humilier de manière éhontée ! Sans réplique de notre part, cela grave en nous une blessure où notre estime personnelle est violemment percutée ! On souffre alors de ce que l’autre peut nous faire. A ce moment-là, il faut juste se demander : »qu’est-ce que j’apprends de la situation? » « Où est-ce que j’ai baissé trop vite ma garde »!  En réajustant votre posture, vous obligerait l’autre à revoir la sienne ! Personne ne peut vous forcer à faire quelque chose, votre choix est votre liberté:  ne la laissez jamais être bafouée par quiconque!

Nous sommes tous des êtres uniques, faits de chair de sang et d’émotions !

Quand nos émotions nous étouffent, on se sent mal comme sous pression ! Dire ou ne pas dire ! On finit par se résigner  et à l’intérieur de notre âme, on entend cette douleur lancinante, ce cri silencieux de colère jusqu’à la haine sans doute ! Plus on mange nos émotions, plus on n’arrive plus à les gérer. Elles deviennent des sanglots intérieurs qu’on peine à refouler ! Elles s’accumulent jusqu’à former une masse volumineuse qui se densifient  et s’expansent à travers une prise de poids incontrôlable ou des problèmes de santé innombrables : hypertension, diabète, cholestérol… « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime »!  Tout le monde connaît cet adage ! La mauvaise gestion de nos émotions est à l’origine d’un bon nombre de problèmes de santé et de maladies graves !

On pense se protéger de nos émotions face aux autres, alors qu’en fait on se durcit en façade au lieu de laisser être ce qui doit se révéler ! Et on perd en sérénité et en paix intérieur jusqu’à devenir agressif, colérique ou déprimé ! C’est ainsi qu’on se construit une cuirasse d’acier pour cacher cette « hypersensibilité » qui  nous  rend, soudain plus vulnérable. On ne reconnait pas suffisamment nos émotions comme la source même de notre intelligence la plus sensible ! Quand on apprend à les gérer, on apaise notre mental, on tonifie notre corps et on vibre d’une meilleure énergie, elles deviennent le phare de nos intuitions !

A chaque fois, qu’une situation nous fait perdre le contrôle, on se retrouve comme empêtré dans mille tourments comme si on habitait  un fort assailli qui doit se barricader deux fois plus, plutôt que d’affronter l’ennemi. Au contraire, c’est à ce moment là qu’il convient de se poser les questions suivantes : « pourquoi est-ce que cette situation déclenche en moi ce tourbillon d’émotions ? » On accueille ainsi la vraie raison de notre réaction émotionnelle à ce qui se passe pour comprendre ce que cela nous apprend !

Si on refuse cette étape de prise de conscience, on s’enferme dans les conséquences néfastes pour nous-même, cela peut aller jusqu’à générer des somatisations ou des pathologies car derrière tout trouble ou tout état de malaise se dissimule une cause visible et une autre invisible cristallisée par des sentiments mal gérés et des blessures non cicatrisées.

Plus on génère des pensées positives, plus on attire de bonnes choses dans notre vie ! Le contraire est aussi vrai !  Fuyez donc tous ceux qui viennent médire auprès de vous, ne les autorisez pas à croire que vous cautionnez leur mauvais comportement et que vous leur ressemblez!

Apprendre à mieux vivre ses émotions, c’est indispensable surtout dans la vie actuelle où le stress nous empêche de nous reposer mentalement.

Plus nos émotions désagréables s’accumulent, plus  elles se dressent comme une barrière dans notre vie, un barrage à nos élans, à nos aspirations. On ne vit plus, on survit, on a l’impression d’être comme un lion en cage, un dragon prêt à cracher du feu. On fulmine, on râle, après tout ce qui passe, tout nous irrite ! On devient rageux, colérique, comme épuisé intérieurement ! La colère, la tristesse, la haine, la rancune, le reproche prennent alors le dessus sur l’amour, la joie, la confiance, la douceur…On ne se reconnaît plus !

Il est urgent de comprendre que les émotions génèrent des souffrances qui persistent si on n’apprend pas à mieux vivre avec. Il ne s’agit pas de s’empêcher d’être sensible mais de mettre cette sensibilité au service d’une vie plus équilibrée plus expressive plus harmonieuse et de se sentir vivant et fort malgré nos émotions !

Si vous choisissez d’explorer vos émotions plutôt que de les enfouir, vous les transformerez en énergie pour vous relever plus fort de vos difficultés ! Lorsqu’on souffre, les émotions de tristesse et de colère dominent. On a tellement mal à l’intérieur de nous, que cela résonne tout autour de nous dans une énergie sombre et tourmentée, jusqu’à nous fermer aux autres.

Nos émotions se figent en nous et nous donnent un air sévère, austère et autoritaire !A travers chaque visage fermé, on peut lire la souffrance,  à travers chaque crispation, chaque tension comme autant de duretés non exprimées ! Un regard sombre témoigne d’une guerre intérieure, un tic dans le visage trahit des maux cachés, une grimace laisse voir un mal-être, une irritation. Une voix agacée laisse transparaître des ressentis négatifs.

Les émotions même quand on les enfouit se montrent dans notre attitude, dans nos gestes, notre corps ne ment pas, il est le premier révélateur de tous les non-dits !

Combien de fois vous forcez-vous à sourire alors que votre cœur pleure silencieusement ? Combien de fois mangez-vous vos émotions jusqu’à devenir une cocotte-minute prête à exploser ? Ces petits mouvements nerveux qui accompagnent vos gestes, ces raideurs corporelles qui font écran à votre détente et à votre bien-être témoignent du fait que vous refoulez vos émotions trop souvent. Laissez-les donc s’échapper de votre cage corporelle. Redonnez à votre corps toutes ses libertés!  Tout vous trahit quand la charge émotionnelle impacte votre vie !

Comment voulez-vous aimer quelqu’un si vous avez si mal ?

Quand on souffre, on n’a pas de disponibilité intérieure suffisante à l’autre. On n’a pas de place suffisante pour accueillir quelqu’un dans notre vie ! On se doit d’être sincère et honnête avec celui qui veut partager notre vie en lui confiant nos difficultés et en apprenant peut-être ensemble à mieux gérer nos émotions. Nous sommes tous impactés par elles au quotidien dans notre vie ! Les mêmes réactions, les mêmes effets nous confrontent comme un vase trop plein, toujours sur le point de déborder.

Ce n’est pas donc très honnête de les faire rejaillir sur ceux qui ne vous ont rien fait, ce n’est pas normal de se défouler sur les autres parce qu’on  ne veut pas canaliser ce qui nous déborde ! Quelques techniques simples et efficaces existent pour s’auto-accompagner : la méditation, l’écriture, le sport, l’art créatif… A chacun de nous de trouver sa manière d’extérioriser ce qui nous fait souffrir, de trouver un exutoire, un amortisseur à nos émotions. Ce ne sont pas des chevaux sauvages qu’on doit laisser galoper sans bride !

Les émotions mal gérées sont à l’origine de nombreuses problématiques de la société actuelle, tout le monde en pâtit, les enfants en premier ! Il est urgent d’en prendre conscience et de décider d’apprendre à mieux gérer ses émotions pour un monde plus apaisé !

Il n’y a pas de colère ni de tristesse ni de joie qu’on doit laisser déborder sur les autres ! Chacun est libre et à sa place. Ne devenons pas des éponges émotionnelles utilisées puis jetées par les autres qui ne se prennent jamais en charge. Tout le monde est capable d’apprendre à dompter ses émotions. Tout le monde… ! Soyez-en conscient ! Personne ne souffre plus que vous, si vous apprenez à vivre avec vos émotions, les autres peuvent aussi décider de le faire !

Les émotions sont des maux qu’on cache pour ne pas les regarder en face ! Il n’y a pas d’âge pour changer et pour devenir une personne plus stable, plus solide et plus sereine.  Faites taire ce dialogue intérieur qui vous nuit ! Laisser parler vos émotions ! Regardez-les en face, embrassez-les comme des petits bouts de vous qui demandent à guérir, puis regardez-les s’apaiser dans un tourbillon d’amour de soi renouvelé , le seul baume guérisseur de vos émotions !

Répétez-vous sans cesse: « je m’aime malgré tout, qu’est-ce qui est plus important que cela ? »

Maryse de Mes Mots de Vie

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