Êtes-vous victime du jugement des autres ?


Personne ne doit juger l’autre sans savoir !

Lorsque vous vivez au quotidien, vous croisez des personnes autour de vous, que ce soit dans la rue, dans votre travail, dans votre famille… et inévitablement, comme chez tout être humain, vous voyez  cette propension à vouloir juger l’autre, c’est-à-dire à « Décider en bien ou en mal de son mérite, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions » et cela, juste en posant sur lui un regard critique sans même savoir qui il est vraiment , juste en observant son apparence extérieure. D’ailleurs vous en êtes vous-même victime, au point de vous sentir mal, quand vous sentez peser sur vous ces regards malveillants.

Les personnes qui jugent facilement les autres doivent se poser les questions suivantes :

Que savent –elles vraiment des autres quand elles décident de les juger sans appel ? Se fient-elles  uniquement à leurs certitudes, à leurs interprétations ? Est-ce qu’elles peuvent décider de la valeur de quelqu’un uniquement en observant par exemple ses vêtements, sa coiffure, sa voiture, son statut social, son attitude ?….


Un être humain ne se résume pas à son reflet extérieur, il porte en lui sa véritable identité.

Le jugement que chacun porte donc sur autrui peut être très sévère et destructeur, le pire c’est que tout le monde est convaincu d’avoir raison et s’amuse à le faire au détriment des autres sans penser aux conséquences.  Comme si en voulant rabaisser quelqu’un, on se donnait de l’importance, comme si en dévalorisant l’autre, cela permettait de ne pas voir ses propres défauts. On critique pour se rendre intéressant et pour se faire plaindre!

Souvent ceux qui jugent, se cachent derrière des suppositions infondées en fabriquant mentalement une version  qui les arrange pour se donner raison de ce qu’il croit connaître et réussir ainsi à convaincre les autres sans preuve concrète de leur analyse vide de sens.

Pourquoi tout le monde trouve cela normal de juger les autres ?

N’est-ce pas à cause d’un esprit trop critique qui se développe souvent dans des groupes? Ou d’une difficulté personnelle à laisser à l’autre le droit d’être comme il est en l’obligeant à répondre à des normes? Quel bien cela peut-il  faire de dire du mal des autres ou d’avoir des pensées négatives à son encontre ? N’est-ce pas l’écho de son propre mal-être intérieur qui s’exprime par ce comportement indigne que chacun préfère excuser en trouvant cela normal voire banal.


Critiquez sans savoir est destructeur, c’est indéniable.

Pourquoi faire des procès injustes à des personnes qui ne peuvent se défendre ? Certains se justifieront en arguant que ce n’est pas par méchanceté mais uniquement parce que c’est dans la nature humaine de tout commenter. En dressant de l’autre un mauvais portrait, qu’est-ce qu’on a à y gagner ? N’est-ce pas une façon de donner de soi une bien mauvaise image car la médisance est l’obscurité de l’esprit et la noirceur du cœur !

Est-ce que ceux qui passent leur temps à critiquer connaissent ce proverbe qu’ils pourraient appliquer à toutes ces situations négatives : « Ne jamais faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse »!

Si ces personnes arrêtaient de juger les autres, peut-être amélioreraient-elles en retour leurs propres relations ? Et peut-être même que les autres ne les jugeraient plus ? C’est souvent ceux qui ne sont pas très exemplaires et qui ont beaucoup de choses à se reprocher qui se permettent d’agir de manière vile et honteuse !


Juger l’autre, c’est se juger soi-même !

C’est cette loi de la réciprocité qu’il faut garder en tête. Si quelqu’un adore juger les autres, il ouvrira facilement la voie à la critique qui sera exercée à son tour contre lui.  Ce n’est donc pas le bon choix à faire ! Que ressentirait-il si on le jugeait mal ? La réponse à cette question l’aidera à bannir cette mauvaise habitude en se mettant à la place de celui qui subit ce jet de méchanceté. Il comprendra alors que subir le jugement alors qu’on est coupable de rien, c’est tirer à boulets rouges sur quelqu’un qui n’a rien demandé. C’est injuste et méchant à la fois !


Ne plus juger, c’est accueillir l’autre dans sa singularité et le laisser nous surprendre par ce qu’il pourrait faire en restant dans une posture de neutralité active qui permet à chacun de prendre sa place plus facilement. C’est ouvrir une voie vers l’acceptation et le non jugement, et voir s’illuminer dans sa vie d’autres manières d être. Il n’y a plus de modèle ni d’exemple. C’est accepter autrui sans vouloir le changer ou le faire entrer dans un moule. On le laisse libre, et tout est plus simple et plus spontané.

Plus chacun se libère de la critique négative et toxique, plus il agit avec un esprit plus ouvert, plus tolérant. Si on a du mal à changer ce rapport aux autres, il faut se poser  la question suivante : « quelles souffrances intérieures  m’enferment  vraiment au fond de moi à travers ces reproches que je fais à la vie?

Prendre conscience de la négativité d’un jugement hâtif, c’est amener chacun à se repositionner dans sa manière de voir les autres. Plus nous serons nombreux à ne plus participer à ces échanges de critique, à ces jugements infondés, plus les relations humaines s’embelliront du sens profond du mot « respect » et deviendront plus sereines et plus saines.

Devenez conscient que par cette attitude blessante, celui qui juge , ferme la voie à l’empathie et à la chaleur humaine. Nul n’est parfait alors laissez à chacun une chance d’exister comme il est, et si cela ne vous plaît pas, vous pouvez toujours passer votre chemin sans vous arrêter. Ce n’est jamais constructif d’avoir un avis trop arrêté sur quelqu’un ! Nul ne fait jamais l’unanimité et pourtant chacun a le mérite d’exister à sa manière.

Lorsqu’une personne juge trop vite l’autre, elle évite de se remettre en question. N’est-ce pas la résonance de quelque chose qui la dérange au fond d’elle-même et qui  l’amène à le reprocher aux autres, peut-être même est-ce par envie ou par jalousie . C’est difficile d’accepter cette idée, pourtant, pourquoi le fait-on? Ou pourquoi le font-ils tous ? N’est-ce pas l’écho assourdissant d’un mal-être personnel? Sinon, on n’a pas besoin de dénigrer l’autre sans raison . Il faut se tourner vers soi pour se dire que le problème est chez celui qui juge et non chez celui qui est jugé !

Beaucoup de raisons expliquent cette fâcheuse tendance à vouloir dénigrer autrui. Parfois, il faudrait juste se demander : « qui est celui qu’on juge ? Est-ce qu’on connaît vraiment  tout de lui? Est-ce qu’on a suffisamment d’information pour se faire un avis fiable ? Peut-être pourrait-on s’arrêter un moment et s’interroger :

Est-ce que je connais les peines et les souffrances de celui qui croise ma route ? Quelle épreuve  a-t-il traversé ? Quelle est son histoire de vie? Ai-je envie de me mettre à sa place pour mieux le comprendre?

 Prenons le temps de mieux  connaître les autres  et cela pourra changer  la face du monde et l’impact des relations humaines sur le développement personnel de chaque individu. C’est dans le regard des autres qu’on s’édifie, qu’on se construit, qu’on devient, qu’on s épanouit.

Devenons bienveillant et tolérant, le monde a besoin d’être guéri de ce terrible poison qui fait beaucoup de peine aux uns et aux autres et à tout âge. Nous avons tous déjà été victimes du jugement des autres alors mettons fin à cette chaîne de la calomnie, ouvrons nos cœurs et nos âmes pour faire briller l’étincelle qui anime chaque être humain, développons de meilleures compétences humaines ! Mettons fin aux critiques faciles …

Maryse de Mes Mots de vie

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Le regard des autres, un cauchemar ou une force ?

La Peur du jugement vous hante t-il ?

Le regard des autres a ses raisons que la raison ignore et peut faire souffrir terriblement…

Pas à pas, on avance dans la vie pour se construire et s’épanouir

On affronte à chaque moment des yeux qui nous oppressent

Qui nous blessent et qui nous empêchent de vivre librement

Face à nous, ces regards teintés de jugement nous écrasent de leur poids de géant

Comme dans des gouffres, ils nous aspirent dans le tourbillon de leurs émotions

On ne se voit plus autrement qu’à travers ce flot d’illusions

Qui se déversent à chacune de nos apparitions sans raison

On reconsidère notre rapport à nous-mêmes, on se sent défaillant

Ces regards deviennent notre pire cauchemar, la prison de nos élans…

Ils nous contrôlent, ils nous freinent, ils nous affaiblissent jusqu’à nous réduire à néant

Ils deviennent le joug qui pèse à chaque fois qu’on veut passer à l’action

Ils attirent notre attention comme si c’était une validation qu’on attendait inconsciemment

On n’arrive plus à respirer sans se sentir oppressé sous le feu insoutenable et contrôlant

De ces regards de pierre qui figent  chacun de nos pas et de nos mouvements

On se laisse  transpercer comme si c’étaient des flèches trempées dans du poison

Et on rêve de posséder un bouclier  magique pour s’en protéger à chaque instant

Le regard des autres a un étrange pouvoir sur notre état d’être quand on y accorde trop d’importance

Il stoppe toutes nos tentatives de déploiement quand on désire vivre plus grand

A chaque fois qu’on ressent en nous leur malveillance, on se sent comme impuissant

L’effet qu’on en perçoit nous impacte émotionnellement

Comme une blessure gardée de l’enfance durablement

On perd l’équilibre, on a l’impression de se noyer

On est troublé, on se met à douter, on recule au lieu d’avancer

On abandonne avant de commencer pour ne plus avoir à les affronter


Pourquoi  ces regards nous font-ils  autant souffrir ?

Quand on décide de se cacher pour les éviter, on s’enferme dans l’ombre

On a mal, on se sent aussi fragile que du cristal

On se condamne à être minuscule pour ne plus être visible

On suffoque, on ne respire plus, on devient pâle et inaccessible

On se mure dans le silence et on leur donne raison à tous ces regards effrayants

Ils nous assujettissent à leur pouvoir cruel et humiliant

On devient victime de la valeur qu’ils nous donnent à tort ou à raison

On les laisse  nous mépriser, nous dévaloriser, nous enterrer

On leur ouvre le champ libre pour nous empoisonner

Et pour être plus tranquille, on se tait, on cesse d’exister

Bien qu’on soit vivant, on pleure dans le noir du désespoir

On s’éloigne à grands pas de notre vérité, on adopte le mauvais filtre

On se voit déformé, à travers le prisme de ces croyances erronées

On ne se regarde plus comme on est, mais à travers ces yeux  ignorants

On devient victime de ceux qui pensent à travers leur esprit intolérant

On laisse ces regards nous atteindre, nous toucher au plus profond de notre âme

On souffre d’être l’esclave de leur cible, on laisse s’éteindre notre flamme

Et dans notre cœur, on se sent différent et on décide de faire semblant…


Et si on ouvrait les yeux pour nous voir autrement !

Le regard des autres est comme un bateau ivre

Qui dérive de port en port sans jamais atteindre la rive

Il parcourt à contre-courant des distances pour répandre ses dérives

Quand on apprend à ne plus leur donner raison en changeant notre rapport à nous-mêmes

Quand on ne leur donne plus notre accord de nous causer des torts parce qu’on s’aime

Ces regards se perdent dans le vide en se tournant vers leurs propres tourments

Ce ne sont plus nos juges car ils ne savent pas qui l’on est vraiment

Ce ne sont plus nos bourreaux car on n’accepte plus leur domination

Quand on reprend les rênes de l’amour de soi, ces regards malveillants

s’évaporent et disparaissent de notre vue

Ils errent vers d’autres proies faciles, vers d’autres destinations méconnues

Quand on s’élève sur notre piédestal intérieur pour régner enfin sur notre être de toute notre splendeur

On redore le blason de notre estime de soi pour nous permettre de renaître et de ne plus avoir peur

Quand on apprend à se donner de la valeur, le regard des autres n’a plus d’emprise, on lâche prise

Ils n’ont plus de place pour nous blesser, on garde notre pleine maîtrise

On les accepte comme ils sont sans les subir, sans les fuir

On sait que derrière chaque regard se cache un être faible et vulnérable

Qui ne cherche qu’à nuire et à asservir de manière implacable

On arrête d’en faire une souffrance, c’est dans la connaissance de soi qu’on apprend

A qui on a affaire vraiment…  Les yeux des autres deviennent le symbole de leur mal-être

De leur difficulté à tolérer l’autre, à être ouverts dans une bienveillance nécessaire

A travers leur refus de regarder au-delà des apparences  la vie qui circule et bat à l’intérieur de chaque être vivant

Quand on cesse d’attendre la validation dans ces regards

 On n’a plus besoin de  permission pour exister

On s’élève vers notre sérénité qui nous enveloppe de son halo lumineux

On croise alors d’autres yeux, plus doux, plus merveilleux, plus chaleureux et plus précieux…

On apprend ainsi à accueillir  tous les regards sans jamais perdre notre stabilité et notre ancrage à la vie…

S’aimer c’est notre force pour être pleinement vivant !

Laissez les autres vous regarder, donnez-leur une bonne raison d’apprendre de vous. Vous êtes des rayons d’amour, épatez-les par votre rayonnement intérieur, c’est comme ça que vous attirerez leur attention. Brillez, soyez, régnez et prenez votre place en  osant être enfin qui vous êtes vraiment dans votre vie!

Maryse de Mes Mots de vie

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Le sourire des yeux

Le regard est la porte de l’âme

Maryse de Mes Mots de vie

Dans les relations humaines, ce qui nous porte c’est la lumière du regard qu’on perçoit chez l’autre. Les yeux pétillants qui s’éclairent pour nous accueillir. Cette joie visible qui sourit à notre vue. Bien plus que les paroles, c’est ce qui nous donne envie d’interagir , de tisser des liens, de partager de vrais échanges. Un regard éteint, c’est une froideur qui nous restreint, qui nous freine dans nos élans, qui nous bloque d’emblée, comme une porte fermée qui nous fait reculer intérieurement. Cela ne nous donne pas envie de franchir le pas, ou alors on se met à distance naturellement de l’autre. L’échange est alors dénué de chaleur et devient vite comme désincarné comme déconnecté, vide et futile. Pourtant, il n’y a aucun effort à faire. L’attention à l’autre suffit, quand on s’engage à lui parler, à le côtoyer, à le voir avec les yeux du cœur, il n’y a plus de jugement, il n’y a plus de barrière. La relation s’ouvre dans une belle réciprocité chaleureuse nourrie par une attention bienveillante à l’autre. Comme s’il devenait à son tour le miroir de cet élan créateur. Nous sommes des êtres de relation, et ce n’est que dans la douceur de nos intentions que tout se crée …

« Nos yeux parlent pour nous, laissons-les raconter de belles histoires, d’amour, de bienveillance, de tolérance, d’acceptation de la vie comme on veut qu’elle soit… Soyons doux intérieurement !

Maryse de Mes Mots de vie

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Douceur et bienveillance

Lorsque je m’observe de l’intérieur les yeux fermés, je me vois comme je suis dans l’instant.

L’instant qui est alors la photographie exacte de ce qui m’anime, dans mes émotions, mes ressentis, mes humeurs.

Lorsque je contacte ma météo intérieure, je sais ce qui est agité en moi. Je découvre la couleur de mon humeur. Je prends alors la décision de déposer ce lourd fardeau émotionnel avant de me lancer dans mon quotidien afin de ne pas faire rejaillir vers les autres ce qui me déborde à l’intérieur de moi.

C’est à partir des variations de tonalités que je perçois de mon intériorité que je me recentre progressivement sur ce qui m’apaise grâce à mon attention bienveillante à mon relâchement corporel dans l’immobilité, à l’écoute du silence qui dilue mes pensées et à l’accès à mon mouvement interne qui anime de sa lenteur la vie qui respire en moi et qui me rappelle que je suis vivant.

Si la tempête gronde en moi et que je ne fais rien pour la calmer, l’orage relationnel risque de s’abattre sur ma vie avec ses conséquences les plus néfastes.

Savoir prendre le temps de sonder son état d’âme avant de se projeter vers les autres est indispensable pour ne pas gâcher les relations humaines.

Combien de fois, vous sentez-vous agressés par la mauvaise humeur de ceux qui déversent leur état tensionnel sans crier gare ? Cela démontre que communiquer, c’est faire attention à l’impact de ce qu’on transmet aux autres de nos humeurs . « Parlons peu mais parlons bien », ce proverbe rempli de sagesse est la base de toute bonne entente. « Bien » sous-entend, pour moi, ici, en étant présent à soi dans le moment qui se donne.

Quand quelqu’un vous reproche quelque chose, c’est son état réactionnel qui s’exprime en focalisant sur ce qui ne va pas. C’est sa part négative qui prédomine.

C’est pourquoi, méditer chaque jour est une manière de s’offrir un temps de décantation nécessaire pour se retrouver, intact et stable.

Lorsque l’on perçoit la chaleur de la vie qui circule en nous, on est au cœur de notre humanité, du vivant au cœur de nous. Et c’est de cette chaleur qui se diffuse que l’on cueille la bienveillance envers soi que l’on pourra ensuite tourner vers le Monde.

La bienveillance, c’est cette attention douce que je me porte et que je peux offrir aux autres naturellement dans une intention de réciprocité.

Vivre dans cette qualité de présence, c’est être conscient du caractère précieux de la vie qui s’écoule en nous à chaque seconde. On goûte alors à la chaleur humaine en soi avant de la désirer à l’extérieur de soi.

Les yeux fermés ou les yeux ouverts, on reste entier dans notre globalité intérieure où plus rien ne prédomine, on s’apaise, on s’autonomise, on devient plus grand, plus ouvert, plus rayonnant.

Lorsqu’une problématique émerge, on se recentre avant d’agir, pour trouver la solution. On apprend ainsi à gérer ses émotions, c’est indispensable, si on veut mieux vivre ses relations aux autres, car c’est ce qui nous empêche souvent d’apprécier les beautés simples de la vie.

Laissez briller votre soleil intérieur sans lui faire de l’ombre alors vous vivrez toujours au zénith de vos potentialités et dans la douceur et la bienveillance nécessaires pour rester libre de vous-même.

Au coeur du Vivant
Maryse de Mes Mots de vie

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