Sortez votre bouclier « anti-ragots » !

Comment faire face aux critiques !

Lorsque la médisance s’exerce sans cesse contre vous, qu’est-ce que cela signifie ?

Pensez-vous être à ce point une mauvaise personne pour expliquer  les critiques dont vous êtes la cible ?
Avez-vous l’impression de mal vous comporter au point d’attirer sur vous les foudres du monde entier ?
N’est-ce pas plutôt parce que vous prônez avant toute chose la franchise et la sincérité ?
N’est-ce pas parce que vous détestez les mensonges et l’hypocrisie et que vous préférez confronter ceux qui dénigrent sans savoir ?
Peut-être avez-vous l’habitude de mettre les personnes face à leur propre responsabilité ?
Et peut-être même que vous avez l’habitude de dire ce que vous pensez sans crainte d’être rejeté ?

Vous faites donc partie de ces personnes qui attirent à elle les critiques car vous n’agissez pas comme les autres et que comme pour vous l’honnêteté et la loyauté sont les valeurs indispensables des vraies relations humaines saines et sereines, vous les privilégiez aux fausses relations superficielles et intéressées !

Pourquoi la médisance fait-elle autant souffrir ?

La médisance est un fléau de la pire espèce ! Insidieusement, elle se glisse dans les conversations les plus banales pour diffuser son venin sournoisement et diviser les uns contre les autres dans un climat délétère! Chacun se sent offensé et se met à son tour à critiquer et commence alors une chaîne interminable !

Qui a dit quoi ? A qui ? Pourquoi ? Non ce n’est pas moi, c’est lui ! Et pourquoi ? Et comment ? Est-ce que tu sais que … ? Chacun y va de sa propre interprétation en donnant sa version des faits et se met à répéter ce qu’il a entendu ! On s’éloigne petit à petit de la vérité et les ragots se déchainent comme une tempête qui souffle, qui ébranle, qui déracine jusqu’à tout détruire sur son passage !

Et commence la surenchère en théories fumeuses de toutes sortes où chacun affute son arme préférée : sa langue et ses petits potins ! Ceux qui sèment la discorde, récoltent inévitablement des orages qui ne cessent de gronder ! Parler aux autres devient comme « risqué » ! Sans devenir parano, même parler de la pluie et du beau temps paraît « dangereux » !

 On constate qu’il règne souvent au sein de certains milieux professionnels, familiaux ou amicaux  et surtout sur les réseaux sociaux comme un vent de rumeur constant qui alimente sans cesse les échanges et symbolise un reflet du mal-être de la société!

Juste écouter l’humeur de quelqu’un qui se confie à vous devient suspicieux tant la tendance est à la méfiance ! On ne connaît jamais les intentions des autres ! Et un simple petit mot peut être retourné contre vous et devenir l’objet de médisance !  Même quand on se met à converser de banalités, cela dérape très vite vers  des échanges de critiques contre les uns ou contre les autres. Plutôt que de tirer au clair une situation qui paraît confuse, chacun se contente de faire des commentaires douteux ou de donner sa propre analyse malveillante de ce qu’il pense être la vérité et cela crée indéniablement des flots de critiques dont certains raffolent.

Tout est déformé à la seconde ! Info ou intox, il faut apprendre à démêler le vrai du faux et quand cela se passe au sein des relations humaines, on ne sait plus qui ment ou qui dit la vérité ! Tout devient compliqué comme un écheveau de fils emmêlés, on doit tenter de retrouver la bonne information. Mais qui va le faire vraiment ! Tous se contentent de ce qu’ils ont entendu même si cela est répété par les mêmes personnes médisantes ! La délation devient donc une arme stratégique pour régler ses comptes et pour alimenter les ragots ! On dénonce pour cacher ses propres mensonges et ses propres failles ! On adore voir l’autre en difficulté et on se venge comme on peut !

Tout cela est affligeant, comment penser qu’un être humain se comporte d’une manière aussi abjecte en s’abreuvant de la calomnie et en se nourrissant de la haine et cela sans scrupule ? La critique cause énormément de dégâts et même collatéraux ! On peut perdre ses amis, sa famille, son travail voire sa santé à cause de la calomnie ! Il faut en être conscient ! Celui qui critique a toujours une mauvaise intention et a un esprit très destructeur. Il est donc important de s’en protéger !

Comment faire face à la critique malsaine ?Jeter l’opprobre sur l’autre, c’est vouloir l’affaiblir parce qu’il dérange! A chaque fois qu’un individu cherche à   critiquer quelqu’un d’autre, cela signifie que sa manière d’être  ne lui plaît pas, que sa  part de mystère l’intrigue, que son côté trop personnel l’irrite, que sa réussite l’agace ! Ceux qui  jalousent vont tout faire pour atteindre par le feu de leurs critiques celui qui est dans leur collimateur et cela souvent  de manière insidieuse dans son dos !

Pourquoi se sentir  en danger  face à quelqu’un au point de se comporter de la pire des façons? Pourquoi chercher à  le discréditer aux yeux des autres ? Quel intérêt a-t-on à se comporter ainsi ? Est-ce un rival, un adversaire redoutable ?

N’est-ce pas plutôt une manière de faire rejaillir sur les autres ses propres problématiques de vie ? Peut-être même est-ce de la jalousie, de la rancune, de la méchanceté ! Tout cela démontre qu’il n’y a aucun intérêt à médire si ce n’est à vouloir  nuire à l’autre ! Exercer la critique sans arrêt  est donc un défaut terrible!

Pour s’en protéger, il est nécessaire de cultiver la neutralité dans sa manière de penser en ne répliquant jamais aux critiques formulées. Lorsqu’on sait rester stable dans ses propres opinions et qu’on les assume, on ne se laisse pas entraîner dans cette ambiance où règne la médisance. On partage son avis mais on fait attention à qui on a à faire ! On ne donne pas forcément sa confiance mais on reste toujours bienveillant sans jugement hâtif.

On apprend à repérer ceux qui ont des intérêts personnels à « diviser pour mieux régner ». On n’hésite pas à remonter à la source de la critique. On met en difficulté ceux qui médisent en se donnant pour mission la recherche constante de la vérité ! On reste dans ses valeurs de dignité et de respect humain !

Qui aime critiquer ?

Le profil de ces personnes qui critiquent à tout va, est facile à reconnaître. Ce sont le plus souvent des individus qui se sentent mal dans leur propre vie et qui ont des pensées négatives qui tournent en boucle dans leur tête au point de les assombrir dans leur rapport aux autres, au monde et à eux-mêmes. Ils se méfient de tout le monde ! Et comme ils ont l’habitude de critiquer à tout va, ils s’imaginent que tout le monde est comme eux ! Plutôt que de réfléchir à comment s’améliorer, ils observent les autres et les envient ! Bien sûr, vous comprendrez que lorsqu’on a  un discernement juste, on arrête de croire que « l’herbe est toujours plus verte chez les autres » et on apprend à se satisfaire de sa vie et à regarder l’autre avec plus de bienveillance et sans le juger!

Lorsqu’on sait accepter l’autre comme il est, pour lui accorder la place qu’il mérite, cela signifie qu’on ne se sent pas en danger par sa personnalité et qu’on le laisse totalement libre de ses opinions et de ses choix ! Il ne s’agit plus de chercher à le soumettre ou à le dominer ou même à l’utiliser comme une marionnette désarticulée qu’on juge faible et incapable de se défendre ! Et alors on n’a  plus aucune raison de le critiquer !

Lorsque quelqu’un critique, c’est qu’il a l’habitude de le faire et on découvre  que ce n’est pas quelqu’un de fiable ! Certains prêchent le faux pour  faire réagir ! Il faut déjouer les ruses diaboliques de ce type de personne ! Par eux, la rumeur enfle sans cesse et  se répand à la vitesse de l’éclair ! Ils peuvent nuire à la réputation de quelqu’un par pure méchanceté !

Il est très facile de reconnaître celui  ou celle qui vous critique !

Il suffit de regarder l’autre dans les yeux quand il vous parle : le regard fuyant est un signe de sa difficulté à vous faire face car il a du mal à cacher sa fausseté ! Sa tendance à ne pas vous écouter,  c’est une manière de vous dévaloriser et de nier votre liberté de penser ! Critiquer c’est vouloir affaiblir l’autre car on ne peut  l’atteindre autrement !

Avez-vous remarqué que certaines personnes se manifestent à vous uniquement quand vous avez des problèmes ? On a le drôle d’impression qu’ils se réjouissent en secret de votre malheur et profitent de la situation pour se mettre en avant ! Ce n’est pas de la compassion mais de la manipulation malsaine avec une manière de dire  « Je suis indispensable ! » Mais  ils se mettent à vous critiquer dès que vous avez le dos tourné ! Cela montre  les relations toxiques qu’ils entretiennent avec les autres et de tels comportements ne peuvent qu’engendrer le mal-être et des conflits !

Sortez votre bouclier « anti-ragots « !

Faites fuir les médisants, les « rageux », les haineux, les « ragoteurs » !

Lorsque la critique s’exerce sur vous, il vous faut faire front et rester fort et digne malgré les tentatives de vos détracteurs de vous déstabiliser.

Apprenez à accueillir les critiques comme une force et non comme une faiblesse ! C’est vrai que ce n’est pas facile ! Surtout, si  on dresse toute une meute contre vous ! Mais il faut apprendre à faire face à l’adversité en restant fidèle à soi-même ! Quelque soit ce qu’on pourrait dire sur vous, ce n’est pas la vérité,  vous le savez ! C’est donc  à vous de continuer à cultiver votre liberté d’être ! Si cela déplaît, n’en tenez pas compte ! Cela est destiné à vous mettre des bâtons dans les roues ! Ne changez pas ! Apprenez plutôt à rebondir en étant toujours plus fier de qui vous êtes vraiment ! Gardez votre signature authentique !

Ne cherchez pas à confronter celui qui vous critique, c’est ce qu’il attend sournoisement, cela ne fera que lui donner de l’importance comme s’il avait raison ! Contentez-vous de l’ignorer, cela l’agacera car comme il veut vous dévaloriser, il ne faut surtout pas entrer dans son petit jeu ! C’est là le plus difficile ! Celui qui critique cherche le plus souvent à régler des comptes, à en découdre ! Ne tombez pas dans son piège !

Prenez de la hauteur pour observer la situation sous un autre angle de vue, la posture en surplomb vous permettra de ne pas vous laisser atteindre et vous évitera de vous rabaisser en descendant dans le caniveau de la médisance!

Certaines critiques sont constructives mais quand il s’agit de reproches sans discussion possible, cela ne mène à rien si ce n’est à faire du mal et à faire souffrir !

 Faites le choix de votre liberté de penser et ne laissez personne vous faire plier face à la critique ! Fuyez ceux qui répètent sans cesse les critiques des autres pour votre tranquillité d’esprit, ce sont les complices de ces ragots car ils deviennent responsables de cette chaîne de la calomnie ! Œuvrez  pour  le respect et pour l’harmonie dans les relations humaines.

Il est  important de ne pas vous laisser emporter par le vent de la haine et de faire rayonner sans cesse plus d’énergie positive ! C’est l’amour qui construit et la lumière qui édifie, sortez donc des ténèbres de la médisance et ouvrez-vous à la vie ! Mettez fin aux critiques faciles et repoussez avec force tous ceux qui veulent vous entraîner dans ces sentiers épineux et sans issue !

Vivre c’est laisser l’autre libre ! Alors si vous vous donnez comme vrai sens à la vie de lutter contre les vagues de médisance, vous ressentirez de plus en plus les effets de la chaleur humaine renouvelée autour de vous !

Maryse de mes mots de vie !

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Êtes-vous victime du jugement des autres ?


Personne ne doit juger l’autre sans savoir !

Lorsque vous vivez au quotidien, vous croisez des personnes autour de vous, que ce soit dans la rue, dans votre travail, dans votre famille… et inévitablement, comme chez tout être humain, vous voyez  cette propension à vouloir juger l’autre, c’est-à-dire à « Décider en bien ou en mal de son mérite, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions » et cela, juste en posant sur lui un regard critique sans même savoir qui il est vraiment , juste en observant son apparence extérieure. D’ailleurs vous en êtes vous-même victime, au point de vous sentir mal, quand vous sentez peser sur vous ces regards malveillants.

Les personnes qui jugent facilement les autres doivent se poser les questions suivantes :

Que savent –elles vraiment des autres quand elles décident de les juger sans appel ? Se fient-elles  uniquement à leurs certitudes, à leurs interprétations ? Est-ce qu’elles peuvent décider de la valeur de quelqu’un uniquement en observant par exemple ses vêtements, sa coiffure, sa voiture, son statut social, son attitude ?….


Un être humain ne se résume pas à son reflet extérieur, il porte en lui sa véritable identité.

Le jugement que chacun porte donc sur autrui peut être très sévère et destructeur, le pire c’est que tout le monde est convaincu d’avoir raison et s’amuse à le faire au détriment des autres sans penser aux conséquences.  Comme si en voulant rabaisser quelqu’un, on se donnait de l’importance, comme si en dévalorisant l’autre, cela permettait de ne pas voir ses propres défauts. On critique pour se rendre intéressant et pour se faire plaindre!

Souvent ceux qui jugent, se cachent derrière des suppositions infondées en fabriquant mentalement une version  qui les arrange pour se donner raison de ce qu’il croit connaître et réussir ainsi à convaincre les autres sans preuve concrète de leur analyse vide de sens.

Pourquoi tout le monde trouve cela normal de juger les autres ?

N’est-ce pas à cause d’un esprit trop critique qui se développe souvent dans des groupes? Ou d’une difficulté personnelle à laisser à l’autre le droit d’être comme il est en l’obligeant à répondre à des normes? Quel bien cela peut-il  faire de dire du mal des autres ou d’avoir des pensées négatives à son encontre ? N’est-ce pas l’écho de son propre mal-être intérieur qui s’exprime par ce comportement indigne que chacun préfère excuser en trouvant cela normal voire banal.


Critiquez sans savoir est destructeur, c’est indéniable.

Pourquoi faire des procès injustes à des personnes qui ne peuvent se défendre ? Certains se justifieront en arguant que ce n’est pas par méchanceté mais uniquement parce que c’est dans la nature humaine de tout commenter. En dressant de l’autre un mauvais portrait, qu’est-ce qu’on a à y gagner ? N’est-ce pas une façon de donner de soi une bien mauvaise image car la médisance est l’obscurité de l’esprit et la noirceur du cœur !

Est-ce que ceux qui passent leur temps à critiquer connaissent ce proverbe qu’ils pourraient appliquer à toutes ces situations négatives : « Ne jamais faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse »!

Si ces personnes arrêtaient de juger les autres, peut-être amélioreraient-elles en retour leurs propres relations ? Et peut-être même que les autres ne les jugeraient plus ? C’est souvent ceux qui ne sont pas très exemplaires et qui ont beaucoup de choses à se reprocher qui se permettent d’agir de manière vile et honteuse !


Juger l’autre, c’est se juger soi-même !

C’est cette loi de la réciprocité qu’il faut garder en tête. Si quelqu’un adore juger les autres, il ouvrira facilement la voie à la critique qui sera exercée à son tour contre lui.  Ce n’est donc pas le bon choix à faire ! Que ressentirait-il si on le jugeait mal ? La réponse à cette question l’aidera à bannir cette mauvaise habitude en se mettant à la place de celui qui subit ce jet de méchanceté. Il comprendra alors que subir le jugement alors qu’on est coupable de rien, c’est tirer à boulets rouges sur quelqu’un qui n’a rien demandé. C’est injuste et méchant à la fois !


Ne plus juger, c’est accueillir l’autre dans sa singularité et le laisser nous surprendre par ce qu’il pourrait faire en restant dans une posture de neutralité active qui permet à chacun de prendre sa place plus facilement. C’est ouvrir une voie vers l’acceptation et le non jugement, et voir s’illuminer dans sa vie d’autres manières d être. Il n’y a plus de modèle ni d’exemple. C’est accepter autrui sans vouloir le changer ou le faire entrer dans un moule. On le laisse libre, et tout est plus simple et plus spontané.

Plus chacun se libère de la critique négative et toxique, plus il agit avec un esprit plus ouvert, plus tolérant. Si on a du mal à changer ce rapport aux autres, il faut se poser  la question suivante : « quelles souffrances intérieures  m’enferment  vraiment au fond de moi à travers ces reproches que je fais à la vie?

Prendre conscience de la négativité d’un jugement hâtif, c’est amener chacun à se repositionner dans sa manière de voir les autres. Plus nous serons nombreux à ne plus participer à ces échanges de critique, à ces jugements infondés, plus les relations humaines s’embelliront du sens profond du mot « respect » et deviendront plus sereines et plus saines.

Devenez conscient que par cette attitude blessante, celui qui juge , ferme la voie à l’empathie et à la chaleur humaine. Nul n’est parfait alors laissez à chacun une chance d’exister comme il est, et si cela ne vous plaît pas, vous pouvez toujours passer votre chemin sans vous arrêter. Ce n’est jamais constructif d’avoir un avis trop arrêté sur quelqu’un ! Nul ne fait jamais l’unanimité et pourtant chacun a le mérite d’exister à sa manière.

Lorsqu’une personne juge trop vite l’autre, elle évite de se remettre en question. N’est-ce pas la résonance de quelque chose qui la dérange au fond d’elle-même et qui  l’amène à le reprocher aux autres, peut-être même est-ce par envie ou par jalousie . C’est difficile d’accepter cette idée, pourtant, pourquoi le fait-on? Ou pourquoi le font-ils tous ? N’est-ce pas l’écho assourdissant d’un mal-être personnel? Sinon, on n’a pas besoin de dénigrer l’autre sans raison . Il faut se tourner vers soi pour se dire que le problème est chez celui qui juge et non chez celui qui est jugé !

Beaucoup de raisons expliquent cette fâcheuse tendance à vouloir dénigrer autrui. Parfois, il faudrait juste se demander : « qui est celui qu’on juge ? Est-ce qu’on connaît vraiment  tout de lui? Est-ce qu’on a suffisamment d’information pour se faire un avis fiable ? Peut-être pourrait-on s’arrêter un moment et s’interroger :

Est-ce que je connais les peines et les souffrances de celui qui croise ma route ? Quelle épreuve  a-t-il traversé ? Quelle est son histoire de vie? Ai-je envie de me mettre à sa place pour mieux le comprendre?

 Prenons le temps de mieux  connaître les autres  et cela pourra changer  la face du monde et l’impact des relations humaines sur le développement personnel de chaque individu. C’est dans le regard des autres qu’on s’édifie, qu’on se construit, qu’on devient, qu’on s épanouit.

Devenons bienveillant et tolérant, le monde a besoin d’être guéri de ce terrible poison qui fait beaucoup de peine aux uns et aux autres et à tout âge. Nous avons tous déjà été victimes du jugement des autres alors mettons fin à cette chaîne de la calomnie, ouvrons nos cœurs et nos âmes pour faire briller l’étincelle qui anime chaque être humain, développons de meilleures compétences humaines ! Mettons fin aux critiques faciles …

Maryse de Mes Mots de vie

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Tombez vos rigidités

Êtes-vous de tempérament psychorigide, c’est-à-dire, avez-vous du mal à lâcher le contrôle dans votre manière d’être et de faire ?
Comment accueillez-vous votre relation à l’autre?
Avec votre égo ou avec votre cœur?
Avec votre statut social ou avec votre identité réelle?
Avec vos a-priori ou avec votre regard neutre et bienveillant?
Avec votre esprit fermé ou avec vos bras ouverts intérieurement?
Avec le passé ou dans l’instant présent …

Dans les relations humaines, il est fréquent de constater à quel point l’attitude qu’on a, est un signal fort pour les autres. C’est malheureusement à partir de ce que vous renvoyez comme image que vous existez dans l’interaction sociale. D’où la nécessité d’en prendre conscience, pour faire évoluer vos difficultés relationnelles.

Comment vous parlez, comment vous écoutez, comment vous regardez comment vous bougez, comment vous agissez…Est-ce que vous vous forcez dans un rôle en en faisant trop ou est-ce que vous savez vous adapter à chaque situation en restant mesuré, calme et stable?

Bref, lorsque vous vous mettez en mouvement pour aller vers l’autre, pour lui faire face, pour lui parler, pour lui répondre physiquement ou à distance c’est la manière dont vous le ferez qui déterminera ce qui pourra se passer dans l’échange.

A savoir qu’on pose d’emblée les conditions d’accès d’une relation saine en adoptant une approche constructive et ouverte qui fera naître une communication facile et fluide quel qu’en soit le sujet plutôt qu’un rapport dur et autoritaire voire trop dominant.

Aborder l’autre du haut de son piédestal, c’est ne pas être capable d’entendre sa détresse, ce qu’il attend de vous comme aide , ou dans une écoute active et empathique. C’est réduire l’échange à une bataille de l’égo parce que vous vous sentez inconsciemment jugé . C’est être au final « un mauvais communicant », en s’éloignant de votre authenticité qui est le seul garant de la relation et en vous enfermant dans votre cuirasse de non communication.

Souvent, cela cache une vulnérabilité à vos propres failles. Comme si c’était à partir d’elles que vous voyiez le monde, dans la méfiance qui vous enferme , à partir de vos propres peurs qui vous durcissent, et habité de ce manque d’ amour pour vous-même qui vous condamne à créer en l’autre une résonance de ce qui vous emprisonne l’âme.

Être vulnérable, ce n’est pas être faible. C’est au contraire montrer son humanité qui même imparfaite est toujours la plus juste.
La dissimuler en se comportant de manière excessive, donne l’impression de compenser une incapacité.
C’est au final, ne pas réussir à bien communiquer, en restant prisonnier de ses rigidités mentales qui finissent toujours par engendrer des tensions, des conflits, des incompréhensions. Moins on est à l’écoute, plus on ferme toute discussion possible.

Comment peut-on apprendre à mieux communiquer?
Tout d’abord en tombant ses rigidités en s’ouvrant aux possibles sans les craindre puis en accueillant sans aucune prédominance de caractère, de tempérament, de posture, de fonction, l’autre comme il est sans le blesser.
Enfin, en ouvrant son cœur dans la confiance et en arrachant son masque d’acier.

Lorsqu’on communique avec l’autre à partir de son cœur d’humain, on lui tend une main universelle, celle qui ne choisit ni la race, ni la couleur, ni le lien, juste à partir de cette belle intention de réciprocité actuante à partir de laquelle on peut tout créer, pour redonner à la vie le goût profond et intense du vivant .

L’énergie sociale est une force de notre monde. Se couper d’elle par une attitude psychorigide, c’est aussi attiser le feu de la colère en transformant les fleurs en pierres, les désirs en ruines, les rêves en châteaux de sable.
Que choisissez-vous au final dominer ou communiquer?
Que choisissez-vous la peur ou l’amour?
Que choisissez-vous la froideur ou la chaleur humaine ?
Que choisissez-vous la guerre ou la paix?
Votre choix vous appartient, soyez-en conscient, personne ne choisit à votre place !

Tombez vos rigidités car elles étreignent votre cœur jusqu’à le réduire, votre esprit jusqu’à le tourmenter, votre corps jusqu’à le raidir. Ne soyez plus prisonnier de vous-même. Connectez-vous à votre intériorité pour vous apaiser et laissez-vous guider et vous verrez le monde beaucoup plus grand, infiniment plus doux et tellement plus aimant.

La flexibilité, l’accueil, la confiance, le sourire, permettent à la vie d’être tellement plus simple.

Pour une communication saine et sereine

Maryse de Mes mots de vie




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Et si on se faisait des câlins ?

A la rencontre de l’autre, nos mots se fanent, nos gestes se limitent
De timides embrassades en accolades, on se serre trop vite la main, les contacts se veulent furtifs comme évasifs accompagnés d’un murmure de sons vides vite échangés…

L’élan du cœur n’a pas cette peur, il se lit dans l’envie de fusionner avec l’autre même le temps de quelques secondes, l’accueillir en soi là où il n’est pas besoin de se parler…
Une étreinte, un câlin vaut bien plus que tout l’or du monde
Se sentir en étroite connexion au moment où les cœurs se touchent
Pour faire résonner la musique des âmes enchantées de s’aimer
De se tolérer, de se respecter, de se dévoiler, de se regarder, de se rencontrer
Plaisir divin, o combien, délicat, subtil mais profond
Les corps deviennent des enveloppes de douceur dans ce désir de sentir et de ressentir l’autre à travers cette touchante réciprocité
Le temps d’une simple communion d’être à être
Comme un regard vers l’intérieur là où l’on se sent happés dans un délicieux mouvement

Pas de masque ni de mascarade, pas de regard fuyant ni de sourire figé
Juste incarner  cette chaleur humaine comme un baume de vie
Comme un espace d’accueil  des relations plus humanisées

J’aime les câlins sensoriels
J’aime me laisser bercer par ce doux va et vient qui anime mon cœur
Qui me fait me sentir si vivante
Là où tout est chaud, onctueux si savoureux qu’on se sent comme renouvelés
Ce contact matiéré est un merveilleux souffle léger qui épouse le temps d’un instant les contours animés des êtres dans leur envie de fusionner pour former le cœur de l’humanité.

Et si on se faisait des câlins, il est temps d’apprendre à aimer la vie plus chaleureusement …C’est si bon pourquoi s’en priver?

Maryse de Mes mots de vie

 



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