Le reproche est un lien toxique que l’on crée avec l’autre

Les reproches inconscients nuisent aux relations humaines, il est nécessaire de détoxifier tout lien avec autrui.

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Commençons par redéfinir précisément ce que l’on appelle un reproche qui est le contraire du compliment et des encouragements.

Les reproches sont l’expression d’un mécontentement vis-à-vis d’une personne, pour son attitude ou pour sa manière de faire.  Ils peuvent prendre la forme d’un jugement, d’une critique ou d’une accusation.

Le reproche peut être dit ou non-dit : c’est ce que l’on va déclarer à quelqu’un pour exprimer un avis négatif  en cherchant à le blesser concernant un fait, une situation, un comportement. C’est une observation ou un commentaire qui critique ce que l’on considère comme contraire à des attentes déçues. Mais l’on peut aussi le taire même si cela peut se voir à travers un air de reproche ou une expression du visage qui montre une certaine désapprobation… Cela se perçoit à travers des remarques acerbes, des petites piques qui masquent le reproche mais qui teintent les mots qui deviennent alors ironiques et acerbes et font résonner l’irritation en lien avec les reproches non-dits.

Le reproche dépose au début un voile sur la relation puis devient épais et impénétrable pour transformer en plomb le lien jusqu’à l’étouffer tel un serpent qui s’enroule autour de sa proie. Cela s’entend à travers des silences lourds et éloquents. Des regards fuyants. Des sourires éteints. Jusqu’à laisser apparaître une mimique ou une grimace qui dessine les contours du reproche sans le cacher vraiment, et qui d’emblée installe un climat malaisant comme une certaine gêne entre les personnes.

Le reproche pèse comme un couvercle sur le lien à l’autre, il enferme la relation dans une ambiance souvent tendue et crispée, c’est le contraire d’une communication fluide et ouverte que l’on se doit normalement  d’entretenir avec tout individu.

Le reproche est un masque sur le visage qui empêche l’énergie du cœur et de l’amour inconditionnel d’arroser la relation pour la nourrir d’une sève féconde et prospère.

La relation se glace et devient fausse et surfaite, totalement superficielle, comme un lien qui s’effiloche de plus en plus, au fil du temps jusqu’à ne plus réussir à se renouveler.

Le reproche conscient ou inconscient empoisonne toute relation. Il laisse des traces indélébiles et entraîne  des conséquences négatives pour celui qui reçoit sans cesse ces reproches sans pouvoir véritablement se défendre ou répondre aux attaques personnelles et fréquentes.

Les manipulateurs usent de ce stratagème pour amener la personne à  une perte de confiance, comme un sentiment d’échec et de honte, pour faire naître un sentiment de culpabilité et ainsi exercer une forme de contrôle de la relation,  dans une tentative malsaine de dominer et d’isoler l’autre pour le soumettre.  Les reproches génèrent beaucoup de souffrance et fragilisent toute relation pour faire naître des conflits à travers les incompréhensions.

On peut considérer qu’aucun reproche n’est vraiment fondé, si on valide le fait que chacun agit selon ses propres capacités avec son regard personnel sur toute situation. On ne peut jamais se substituer à l’autre, tant on ne peut entrer dans sa propre perception de sa vie et de son caractère ainsi que de ses émotions. Cela signifie qu’on ne pourra jamais changer l’autre pour le transformer en ce qu’on voudrait qu’il soit. Si à un moment donné,  on peut penser avoir réussi, très vite la loi naturelle de la vie reprend le dessus et la personne suit sa propre  évolution où nul ne peut la forcer à être quelqu’un d’autre.

L’authenticité d’un être est sa nature intrinsèque sur laquelle, fort heureusement, on ne peut agir puisque son identité lui appartient à jamais. Imaginons que cela serait possible, ce serait néfaste et destructeur !

Une personne est ce qu’elle est, ni plus ni moins qu’une autre. On ne pourra jamais demander à quelqu’un de correspondre parfaitement à nos aspirations. Des efforts sont nécessaires de part et d’autre et doivent être réciproques, sans jamais altérer la liberté de la relation.

Le reproche relève souvent de la méconnaissance des limites des autres. Lorsqu’on fixe trop d’attentes dans une relation, on court tout droit vers des déceptions et  forcément vers les reproches.

Souvent, on souhaite que l’autre se comporte autrement, exactement comme cela nous arrange, selon nos exigences et nos souhaits ou alors qu’il soit carrément différent, cela est tout simplement impossible !

Le mot même reproche disparaît, quand on prend conscience que quelque soit ce que l’on pense, l’autre ne sera que l’expression de lui-même, en accord avec son plan de vie, que l’on ne doit jamais chercher à perturber, au risque de voir la situation se retournait comme dans un effet boomerang. Peut-on ensuite se plaindre d’avoir perdu la relation si elle ne génère que souffrance et tourment?

Nous ne pouvons pas nier l’autre dans son individualité et sa singularité ainsi que dans sa manière de concevoir sa vie. Si l’on n’accepte pas l’autre comme il est, on le fait subir le rejet, ce qui est un acte avant tout égoïste car l’on ne cherche pas à le comprendre mais on le veut le changer.

Toute emprise toxique est enveloppée de gros nuages de reproches. Celui qui accuse sans cesse l’autre, entretient avec la vie une relation négative et pessimiste et semble oublier ses propres défauts ou sa propre responsabilité dans une relation qui tourne mal. Nul n’est parfait !

Dans tous les cas, face à des reproches conscients ou inconscients,  il est préférable pour  l’équilibre de tous,  de se détacher de la relation ou alors d’y apporter des explications pour plus de clarté et de transparence ainsi que plus de flexibilité dans l’acceptation de l’autre et de ses actes.

Il ne faut jamais se verrouiller dans une relation en pensant que l’on a raison. Si la relation est impossible, cela signifie que des éléments opaques et obscurs demeurent et empêchent le lien d’être sain et serein. Si l’on ne démasque pas ces ombres, la relation est vouée à l’échec.

Si l’on utilise les reproches pour dominer quelqu’un, alors on devient toxique pour l’autre.

En prendre conscience, c’est rompre tous les liens de reproche que l’on peut entretenir dans notre subconscient à l’égard des autres. C’est une manière de se libérer de la toxicité de la relation et d’annuler tout simplement le poids que cela laisse dans les émotions.

Plutôt que de  faire des reproches, peut-être qu’il serait préférable de faire des efforts, pour  essayer de comprendre l’autre, plutôt que de le montrer du doigt. L’amour inconditionnel est la solution et le seul baume qui apaise toutes les blessures relationnelles. Plonger la relation dans le bain du pardon en renonçant aux reproches faciles, épure le lien pour lui redonner une possibilité d’exister.

On peut influencer positivement les relations que l’on noue avec les autres, en supprimant tout reproche et en essayant de donner l’exemple  le plus souvent possible par une bienveillance à toute épreuve!

Voilà une mission de vie, ô combien difficile, mais qui peut sauver toutes les relations auxquelles on tient le plus. Pour des relations saines et sereines.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le poids des émotions est un fardeau qui nous abime intérieurement

Quand la gestion de nos émotions nous apporte un confort de vie…

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Goutte à goutte, se remplit le vase de nos situations de vie compliquées, au rythme du temps et au fil de l’âge, puis arrive inévitablement le moment où ce vase menace de plus en plus fréquemment de déborder, à travers les influences émotionnelles négatives, qui nous submergent de plus en plus facilement, comme si l’on était resté trop longtemps en eaux troubles. On comprend alors que si ce flot torrentiel n’est pas maîtrisé, au plus vite, il finira par déferler violemment, pour nous mettre en difficulté et nous amener à regretter par la suite la dernière goutte d’eau qui a fait déborder le vase, pour nous entraîner trop loin de nous-mêmes.

Un rééquilibrage émotionnel est par conséquent absolument nécessaire, à chaque instant de notre existence. Comme on fait du sport pour maintenir sa santé physique et mentale, on se doit de mettre en place une routine pour filtrer ce qui demande à s’évacuer régulièrement, surtout quand on sent peser à l’intérieur de nous comme un sac trop lourd à décharger, avec une envie de se délester de ce fardeau épuisant mentalement qui nous empêche de vivre sereinement, pour accepter les contraintes du quotidien sans les considérer  à chaque fois négativement.

Si notre sensibilité est de plus en plus à fleur de peau, alors il y a une urgence à se détoxifier  de nos émotions, qui ont pris semble t-il les commandes de notre vie. Si l’on est hypersensible, la tâche est ardue mais possible pour ne jamais entrer dans la zone rouge de nos réactions vives ou démesurées qui nous causent d’affreux tourments.

Chacun peut choisir sa façon de restaurer son équilibre intérieur, mais il convient d’avoir quelques habitudes bénéfiques. Qu’est-ce qui peut nous aider à faire de la place, quand on se sent encombré intérieurement et qu’on n’arrive plus à réfléchir de manière neutre et objective ? Pourquoi avons-nous comme l’impression de laisser des détails sans importance impacter notre humeur ? Qu’est-ce qui nous amène à ressentir la vie comme un enfer de problématiques à résoudre ? Pourquoi sommes-nous si inquiets pour tout, comme si rien n’était positif dans notre vie ? Comment en vient-on à nous laisser emporter par des tornades de colère dévastatrice ou à nous effondrer à travers un brouillard de tristesse qui nous accable ?

Sommes-nous arrivés à tous ces sentiments négatifs par hasard ou avons-nous juste oublié de prendre soin de nous, au cœur des problématiques de notre vie, pour réajuster notre regard et changer notre angle de vue? Si nous laissons s’accumuler autant de chagrins et de désespoirs comment avoir le cœur heureux malgré des brefs instants de bonheur ?

Certes, la maîtrise de soi s’acquiert  après des longues années d’entraînement, soit à travers la pratique d’ un sport où l’on apprend à développer sa force mentale, soit à travers des pratiques méditatives où l’on déploie l’acuité de nos sens pour mieux se ressentir,  soit à travers l’art thérapie où l’on se met en mouvement à travers une activité créative, mais parfois nous constatons que malgré tous ces beaux et courageux efforts, les éléments extérieurs continuent à se déchaîner malgré tout, en nous, pour nous faire sortir de nos gonds et nous déstabiliser.

C’est à ce moment précis que l’on prend conscience que l’on a peut-être oublié d’appliquer les principes à nous-mêmes avant de vouloir les conseiller aux autres, pour ne plus entretenir  nos émotions, comme s’il s’agissait de nœuds indénouables. On se doit de changer notre façon de les ressentir, sans nous blâmer ou faire porter la responsabilité aux autres. Quand on cesse de se plaindre ou de se sentir déçu, on supprime de nos pensées toutes les attentes vaines comme si les solutions devaient venir des autres.

Nos émotions vives sont les traces de notre mauvais rapport à notre vie. Quand on ramène au centre de nos préoccupations, uniquement ce dont on a la responsabilité, on arrête de regarder l’autre en se comparant ou en lui reprochant de ne pas être comme on voudrait qu’il soit.

Qui sommes-nous d’ailleurs pour juger si l’on ne veut pas que l’on nous juge ?

Malheureusement, on constate que pour réguler rapidement nos émotions, pour revenir au calme intérieur, il est indispensable de cesser les reproches pour suivre comme guide de vie notre propre bien-être intérieur ,qui n’est pas d’être aimé des autres mais bien d’être apte à nous auto-satisfaire dans nos besoins essentiels. Ce n’est pas être égoïste ou égocentrique, on comprend juste que le concept du bonheur se cultive en premier lieu à l’intérieur de soi dans la magie de chaque seconde que l’on honore avec reconnaissance, pour apprendre à valoriser et à conserver ce que l’on a déjà, sans chercher à courir après le « toujours plus », avec excès et sans goût véritable.

Quels que soient les rituels pour assainir nos émotions, il convient de comprendre que sans une remise en question sur notre manière de penser  ou d’agir, rien ne peut vraiment nous débarrasser de nos amertumes, de nos aigreurs, de nos douleurs liées au passé, qui se réactivent à chaque mauvaise expérience, parce qu’on sort de l’instant présent,  pour ressasser ou pour anticiper.

Lorsqu’on fait une liste des points positifs dans notre vie, on se rend compte que ce qui nous fait souffrir est souvent en lien avec notre égo blessé, qui mène le jeu dans notre vie et qui n’arrive jamais à fixer des limites à ses insatisfactions.

Alors si on n’apprend pas à vider le vase de nos émotions, rien ne pourra vraiment nous empêcher de les subir de plein fouet. Oui, nous sommes responsables de notre hygiène émotionnelle comme nous le sommes pour notre hygiène corporelle ou alimentaire, c’est à considérer comme un besoin vital qui permet l’équilibre de notre organisme. Vivre sainement sans le poids des émotions est essentiel à la fois à notre santé physique et psychique.

A chaque fois qu’on est souillé par des pensées malveillantes ou à travers des exigences démesurées, on oublie de regarder notre propre attitude ou notre propre comportement qui manquent pourtant de reconnaissance pour ce qui est là disponible dans notre vie.

Comment combler son vide existentiel, ce n’est certainement pas en demandant aux autres de le remplir à notre place ?

Rééquilibrer ses émotions, c’est avoir plus de pensées positives, moins de remarques dures à l’encontre des autres, moins de plaintes, moins de reproches, moins de déceptions…

Après tout, pourquoi pas essayé de changer sa façon de ressentir la vie, n’est-ce pas le début d’un retour vers soi et vers sa paix intérieure? Lorsqu’on construit sa vie à travers le regard des autres, on crée un gouffre dans lequel nos émotions ne peuvent que nous emporter.

Vivre heureux, c’est  y croire même qu’un peu et réaliser que ce l’on a,  que ce que l’on est,  est bien plus grand que nos pulsions et nos désirs. Il est indispensable de dépasser toutes les distorsions psychiques.

Le bonheur n’est pas matériel ni artificiel, il est avant tout dans l’équilibre émotionnel.  

Pour une vie saine et sereine

Maryse de Mes Mots de Vie

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La reconnaissance d’être soi tout simplement

Que la puissance de l’Amour de Soi rayonne…

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Nous sommes souvent en réflexion sur tout ce qui ne va pas dans la société, chez les autres, à travers les souffrances, les colères, les tristesses parce que l’on n’arrive pas atteindre nos idéaux. A force de déplacer notre regard vers l’extérieur qui nous impacte, on se laisse voler ce précieux temps de vie qui nous appartient pleinement. Et tout se modifie, quand on regarde autrement, quand on change nos perspectives, quand on devient moins exigeants, quand on se fait moins mal, quand on cesse de focaliser sur les manquements à notre égard et qu’on devient fiers de nos réussites, même les plus modestes. Au final, qui nous fait le plus souffrir si ce n’est nous-mêmes ?

Il est important quand on se sent comme déprimé par notre quotidien moins exaltant, de se remettre en question sur nos attentes. Que voulons-nous vraiment dans l’instant présent ? D’où viennent ces frustrations du moment ?   Est-ce que nous sommes incohérents entre nos volontés (les ordres donnés à la vie) et nos possibles ( ce qui est disponible) ?

S’asseoir face à l’océan, et comprendre que l’infini est ailleurs, dans l’ouverture à ce que l’on ne sait pas, à ce que l’on ne programme pas, à ce qui apparaît quand on laisse la vie agir sans la forcer à entrer dans le cadre qu’on lui a fixé.

Se remettre en question soi, c’est savoir accueillir les autres et les comprendre à partir d’un autre lieu, pas celui de nos angoisses mais bien celui du cœur, le cœur que l’on apprend à redéfinir comme un espace sacré immense et doux, chaleureux et flexible, étiré vers le meilleur à goûter en tout.

Quand on défocalise nos sens de tout ce qui nous heurte, nous exaspère ou nous afflige, pour aller davantage observer les détails qui font la beauté de la vie, on change les couleurs de ce que l’on apprend à accepter car au milieu du désert, des tempêtes, des orages, des gouffres et des impasses, il reste la lumière de l’espoir qui telle la flamme qui ne s’éteint jamais, continue à briller pour éclairer ce qui est toujours disponible au fond de soi à travers  la reconnaissance d’être tout simplement Soi.

Les autres peuvent nous montrer du doigt en refusant de faire l’effort de nous comprendre, nous rejeter parce qu’on les dérange, nous ignorer parce qu’on les met face à leurs mensonges, ou nous dénigrer parce que nous osons être authentiques. Quand on connaît  l’histoire de  notre vie avec nos peines et notre parcours difficile, à travers les embûches, on n’a plus envie de perdre notre temps à nous justifier, à nous expliquer, à nous défendre, on se console au cœur de nous-mêmes là où l’amour de soi est un feu de cheminée qui réchauffe tous les froids de l’âme quand on ne cesse jamais de l’alimenter en bonnes vibrations.

A trop lutter contre l’incompréhension des autres, on finit par se culpabiliser d’être peut-être différent, et on s’en veut de ne pas accepter l’inacceptable. C’est comme si les dérives des autres nous faisaient douter de notre personnalité. Quand se lève ce brouillard qui nous fait oublier notre mérite personnel  pour nous relever des assauts des autres, alors on doit se regarder comme un être valeureux et sacré, une force incomparable qui n’a pas de plus puissant bouclier que de se reconnaître comme un chevalier de sa vie à la table ronde de ses propres valeurs qui sont le reflet de  l’âme, le Graal de son existence.

Se remettre en question quand on souffre des inepties des autres, du chaos extérieur qu’on cherche à nous faire porter, c’est posséder l’invincible épée qui nous permet de chasser une à une les émotions qui n’ont pas leur place, quand on regarde autrement la réalité.

Ne pas faire l’unanimité, ne pas être aimé des autres, ne pas être populaire, ne pas être compris, ce ne sont que des exigences de l’égo, ce ne sont que des paillettes que l’on saupoudre sur nos envies d’être et non sur notre identité profonde. Chercher la reconnaissance chez les autres, c’est dériver entre l’orgueil et la vanité. On se convainc qu’on existe parce qu’on est indispensable aux autres, mais au fond de soi, on sait pertinemment que cela ne fait plaisir qu’à une petite parcelle de nous-mêmes, hantée par la peur de la solitude.

Et pourtant, la reconnaissance d’être soi ne peut être savouré qu’au cœur de ces instants solitaires où l’on se regarde à travers notre intériorité pour se valider d’être comme on est, parce que l’on ne se ment jamais, parce que l’on se remet en question pour se réajuster, parce qu’on se respecte tellement qu’on ne peut pas laisser les autres se montrer irrespectueux à notre égard.

La reconnaissance de soi, c’est la gratitude que l’on a aussi bien pour nos exploits de la vie, mais également pour nos erreurs, pour nos imperfections. Changer de perception nous ramène à nous, pour sortir de l’opinion des autres, des influences qui ne sont pas en accord avec notre être.

Placer son regard sur les pépites de sa vie dans la gratitude, c’est en faire naître d’autres. Même quand les bruits de la vie résonnent trop brutalement, on peut développer notre harmonie intérieure pour écouter autrement et amortir les nuisances qui ne sont que les errances des autres, incapables de trouver leur propre satisfaction.

Rester dans la reconnaissance de soi, c’est abandonner ses attentes pour garder l’esprit ouvert, c’est augmenter ses ressources assurément, pour entrevoir d’autres solutions qui se montrent alors plus adaptées à la situation du moment.

C’est atteindre une forme de quiétude parce que l’on apprend à calmer enfin nos inquiétudes qui viennent de l’extérieur, à travers des stéréotypes ou des idées préconçues qui ne sont que des déformations qui bloquent l’énergie de la vie et créent des frustrations non productives.

Se reconnaître soi, c’est une façon de devenir plus tolérant pour se lancer comme défi de vivre son existence comme une palpitante aventure riche en joyaux et en trésors imprévus. C’est ne plus être dans les ressentis des autres mais entrer dans de nouvelles expériences qui nous donnent plus de motivation.

C’est ne plus forcer la réalisation de ses souhaits pour créer un pont vers des cadeaux merveilleux qui peuvent alors venir jusqu’à nous, puisqu’on met fin à nos résistances qui empêchent le flux naturel de la vie.

La reconnaissance d’être soi, c’est une part essentielle de notre confiance pour croire que tout se fait toujours dans la justesse de ce qui est donné à vivre. Abandonner le contrôle et la planification de notre vie, c’est lui donner un goût plus audacieux, plus intrépide avec la curiosité enfantine, comme s’amuser à danser pieds nus sous la pluie de l’insouciance libérée.

La reconnaissance d’être soi nous montre que la vie se vit le mieux dans l’instant présent comme acte de foi puissant. C’est se libérer des angoisses inutiles, c’est laisser derrière soi les blessures du passé, et mordre dans l’avenir comme dans un fruit juteux et sain pour notre devenir.

C’est ne plus laisser notre esprit nous raconter des histoires à propos des personnes et des situations, pour permettre à nos émotions de s’épurer des pensées illusoires.

Se reconnaître soi, c’est apprivoiser notre mental et l’empêcher de nous entraîner dans ses dérives qui nous font voir uniquement ce qui est négatif.

Lorsqu’on se valide en grand, on laisse notre présence libre déborder d’un enthousiasme indéfectible pour honorer notre « vivance ».

Soyez reconnaissant envers vous-même, dans la gratitude d’être tout simplement Soi!

Maryse de Mes Mots de Vie

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Nouveauté sur Mes Mots De Vie : 21 lettres d’Amour de Soi : Abonnez-vous à la Newsletter ‘Message de votre Muse’

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Bonjour chèr(e) Toi,

Je t’invite pendant 21 jours à t’immerger dans le cocon de Mes mots de vie, pour dérouler le fil de “soi-e” qui te guidera dans le labyrinthe de l’être ignoré qui sommeille en toi jusqu’à ton envol majestueux vers ta liberté d’être. 

Chaque jour, tu recevras une lettre parfumée aux senteurs délicates de l’amour de soi qui réveillera tes sens endormis pour des prises de conscience éclairées.

Ainsi, tu broderas la plus belle des dentelles, celle de ton esprit et de ton cœur accordés, pour recoudre les blessures de ton âme avec le fil de la joie retrouvée.

En suivant, lettre à lettre, la reconstruction de ton histoire de vie, de l’enfance à aujourd’hui, tu formeras les 21 cases complètes de ta renaissance intérieure. 

C’est grâce à une meilleure connaissance de ta singularité que tu apprendras à sécher tes peines pour réécrire ton chemin de vie grâce aux lettres d’or de la confiance en soi renouvelée. Tu pourras prendre ton envol avec des nouvelles ailes plus solides pour concrétiser tous tes projets. 

Alors n’oublie pas de t’abonner ou de te réabonner pour être sûr de recevoir la nouvelle newsletter ‘message de votre muse’ by Mes Mots De Vie 2023 pour bénéficier d’une méthode gratuite d’épanouissement personnel et d’expression de soi qui te mènera à la conquête de tous tes talents cachés.

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Parce qu’avec Mes Mots De Vie, tout devient possible quand on croit en soi,

Avec tout notre amour,

MMDV

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