Notre corps est notre temple sacré

Amour de soi et body positive

MMDV

En tant qu’individu, nous sommes un corps, un esprit, une âme et ce formidable Tout, se meut dans l’espace et le temps pour nous faire voyager dans l’histoire de notre vie. Notre corps garde dans chaque centimètre carré de sa peau, chaque expérience qui nous accompagne au fil des cycles de notre âge. Ce même corps nous a accueilli dans ses bras pour nous bercer du rythme de la vie dès notre  naissance, puis il s’est étiré encore et encore pour grandir et nous permettre de l’habiter, comme la première des maisons dans laquelle nous nous sommes édifiés, pierre à pierre, pas à pas, sur le chemin de notre croissance et de notre évolution au fil des ans.

Notre corps est notre véritable lieu de vie, c’est par lui que nous nous ressentons, que nous nous éprouvons et nous l’animons de nos actions. Notre corps n’est pas juste un corps, il est bien plus que ça, le socle de toutes nos aspirations. C’est par lui que nous percevons chaque mouvement, chaque pensée, chaque flux. C’est dans chaque respiration organique que nous activons notre force de vie. Notre énergie vitale le fait trépider, le fait trembler et parfois même chanceler. Il est le siège de toutes nos émotions, et c’est à travers nos sensations corporelles que nous exprimons ce que nous vivons.

Au début de notre vie, pour nous, notre corps n’est qu’un objet utilitaire, comme une séparation entre notre tête et nos pieds, puis nous comprenons qu’il forme bien plus que ça, une globalité et que si l’on continue à le croire dissocié, on devient un être désincarné, sans goût pour la vie, sans sentiment d’exister . Lorsqu’on prend conscience que notre corps est et restera notre unique repère, notre phare pour traverser ce que l’on a à vivre tout au long de notre destinée, alors on sait qu’il se transformera au fil de nos émotions refoulées, de nos non-dits sacrifiés, de nos blessures délaissées, de nos croyances erronées sur nous-mêmes, et sur notre personnalité.

Notre corps, porte l’empreinte de chaque souci, de chaque contrariété et si l’on n’apprend pas à le respecter en faisant de lui notre priorité, il se met à se rebeller. Il crie notre colère, il pleure notre tristesse, il s’épaissit du manque d’affection ou s’assèche des amertumes qui l’emprisonnent.

Notre corps raconte notre histoire de vie, il se courbe sous le poids des maux, il s’affaisse sous le joug des souffrances. Il hurle sa peine et noie sa solitude derrière des masques et des grimaces, derrière des troubles et des déformations. Notre corps souffre quand on l’empêche d’être tout simplement lui, quand on l’oppresse des diktats de la mode, quand on le dévalorise de notre regard trop exigeant qui perd toujours son temps à le comparer aux autres, en l’affligeant, en lui reprochant de n’être jamais assez bien. Notre corps devient alors comme une prison quand on le subit et qu’on oublie de lui accorder du temps, pour des activités saines, pour une alimentation équilibrée sans le juger, sans le détester,  autant d’excuses et de prétextes pour ne pas lui donner la possibilité d’exprimer ce qui pèse sous toutes les couches refoulées de ses traumatismes oubliés.

Des régimes excessifs à des addictions destructrices, il paie alors le lourd tribut de ce mal à le laisser être quand il veut raconter sa vérité.

Quand notre corps soupire sans plaisir, quand il se relâche sans effort, quand il procrastine et s’encrasse, alors il souffre et notre mental qui oublie de l’aimer devient négatif. Il est accusé d’être la cause de tous les désagréments, comme si ce Tout qui devrait être unifié pourrait s’accorder tout seul comme un instrument de musique délaissé. Il ne peut alors jouer que des notes discordantes si on ne lui donne pas l’autorisation de se dire, de s’écrire, de témoigner de ce qui l’oppresse et qui l’empêche de se déployer.

Quand notre corps redevient notre priorité comme une matière vivante animée du mouvement de la vie, alors on apprend de lui, de ses manques, de ses regrets, de ses chocs, de ses blocages. Lorsque notre corps danse la vie comme il la ressent , on voit tous les angles morts de ce qui n’est pas disponible, car retenu dans des amplitudes restreintes et des gestes automatisés à cause des blessures non traitées ni conscientisées. Le mouvement du corps lit la vie comme sur une partition où il retranscrit chaque note avec des maux si on n’apprend pas à l’écouter.

Être conscient que notre corps vibre et réagit à ce qui nous entoure et à notre environnement de vie, nous permet de comprendre les signaux qu’il peut émettre, quand nos désirs s’enfuient et que nos actes deviennent incohérents. Plus on regarde notre corps avec tendresse, plus il nous montre nos erreurs. Il nous confie les secrets de nos émotions refoulées et il nous apprend à réécrire l’histoire de notre vie en nous accordant davantage à son équilibre et à ses ressentis.

Il devient alors notre radar, notre boussole quand on s’égare et il nous réapprend qui nous sommes vraiment, quand on enlace chacune de nos fêlures et de nos cicatrices de vie.  Plus on l’aime comme il est, plus on le respecte pour ce qu’il est, plus on répare nos manques d’attention et nos excès qui l’ont abimé. Notre corps nous pardonne quand on sait l’aimer dans ses moindres imperfections, en suivant les traces de nos impasses, quand la vie nous a malmenés.

Notre corps sait nous aider à accueillir ce qui l’empêche d’être équilibré, il rejette ce qu’il ne peut plus supporter si on ne sait pas l’apprivoiser et développe les maladies, le mal à dire…

Lorsque l’on fait de notre corps notre sanctuaire pour sillonner la vie, on ne voit plus de différences entre toutes les parts de notre être enfin rassemblées, on rend grâce à ce Tout magnifié, grâce à  notre Présence attentionnée et à notre conscience éveillée pour le rendre plus solide, plus stable et plus heureux : le bonheur intérieur, l’Amour de Soi tout simplement !

Notre corps devient un vaste champ d’énergie prêt à s’élancer pour faire bouger toutes les émotions négatives et les remplacer par la joie de l’instant présent. Lorsqu’on n’est plus en résistance avec notre corps, cela le libère de tous ses blocages et l’énergie de vie peut circuler sans barrière et sans entrave, il n’y a plus de poids ni de courbes, notre corps devient comme un roseau qui se plie pour ne plus subir la vie mais pour la laisser exister dans un flux de vitalité et de vigueur, comme il est, comme on est…. Et on se pardonne et on pardonne à la vie pour le guérir enfin pleinement et profondément !

Cultivez l’équilibre intérieur comme unique socle de vie et remerciez votre corps à chaque instant !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Les mots sont une énergie de vie en mouvement

Parce les mots détiennent un pouvoir libérateur et réparateur!

Maryse de Mes Mots de vie

Vous souvenez-vous des derniers mots que vous avez prononcés?

Être conscient de ce que l’on communique comme message implicite à travers les mots qu’on emploie, c’est apprendre à réajuster notre rapport à la vie.

Lorsqu’on prend conscience que bien plus que des mots, c’est une énergie que l’autre reçoit de nous, dans la communication, on comprend très vite, les nœuds qui se forment à travers les interprétations qui naissent et font apparaître parfois des conflits en raison de la maladresse des propos parfois irréfléchis.

Il est donc important de poser des mots ressentis et conscientisés dans vos liens aux autres, pour rester toujours fidèle à vos intentions et pour éviter des incompréhensions.

C’est parce qu’on apprend à employer des mots justes que l’on peut faire naître bien plus que des phrases, des moteurs d’action vers des objectifs à atteindre sans frein et sans entrave.

Un mot est comme un souffle, dans l’air du temps, dans les espaces à remplir, dans les secondes qui défilent et tellement d’impasses sans fil à enfiler.

Un mot passe puis dépasse jusqu’à toutes ces attentes fugaces qui se lassent et s’effacent.

Un mot s’évanouit au cœur de nos silences, évanescence de nos évidences en déroute.

Un mot s’envole puis bâtit comme une passerelle, pour donner des ailes aux racines du monde.

Un mot, quelques lettres, une é-mot-ion, une mot-ivation, un mot-eur vers l’ailleurs, vers le meilleur de la vie, de nous en somme.

Un mot, des mots tellement de maux à guérir, à faire rire, des états d’âme en panne: entrelacement de nos cœurs et de nos esprits épris.

Conquête du monde, ronde des mots.
Et si on mettait des mots à la tête de nos rêves, ils deviendraient des sources fécondes de nos humeurs vagabondes.

Un mot, un frissonnement jusqu’au battement d’ailes d’un papillon, une lenteur rapide, un flow vibratoire, un flot de vie libéré et libérateur.

Douceur, apaisement…

Un mot, rien et tout, une parole, une écriture, un roman…

Une ébauche d’un monde, des sentiments dans un tourbillon, une force, un point c’est tout!

Un mot, une onde dans son déplacement

Le Pouvoir en action

Accueillez les mots, ceux des autres, les vôtres et ressentez ce qui émerge de chaque sonorité, de chaque lettre, de chaque murmure, de chaque cri, jusqu’à sa signification la plus pure, dans la justesse de l’immensité des possibles à décrire.

Des mots à foison, des mots poison, des mots effusion, des mots interconnexion…

Avec Mes Mots de vie , les mots sont une inspiration, une respiration sur la page. Pas de mots réfléchis juste des mots ressentis. Cueillez en chacun de mes mots, une force pour vous faire du bien et prendre soin de votre âme !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Faire la paix avec soi-même permet de vivre libre

Pour trouver la paix intérieure, il est nécessaire de cultiver la sérénité dans sa vie en faisant attention à ses pensées et en apprenant à délimiter ses priorités ! Plus on a l’esprit et la conscience tranquilles, plus on goûte à ce havre de bonheur possible!

Comment mettre en place un rapport à la vie différent pour laisser venir à soi cet espace d’accueil intérieur plus réconfortant ? Tout d’abord, il s’agit de se demander au quotidien quel état d’esprit domine !

Avez-vous l’esprit tranquille ?

Quand vous vous réveillez le matin de quelle humeur êtes-vous, dans quel état d’âme vous sentez-vous?

Vous levez-vous avec les ruminations de la veille en tête, ou avec l’anxiété de la journée à venir qui vous oppresse ? Ouvrez-vous les yeux déjà agacé par ce que vous ne voyez jamais changer jour après jour, ou exaspéré des contraintes qui pèsent toujours plus lourd sur votre mental qui s’entête à croire que le bonheur n’est pas accessible pour vous ?

Quelle est donc votre première pensée ? Celle qui va déterminer, qui vous êtes vraiment au fond de vous : êtes-vous serein ou inquiet ? Vers qui dirigez-vous votre première attention ? Vers vous-même ou  vers les autres immédiatement,  vers tous ceux qui vous agacent, qui vous confrontent, qui vous lassent,  qui vous hantent, ceux à qui vous voulez à tout prix plaire envers et contre toutes vos valeurs? Comme un défi qui vous obsède  depuis si longtemps pour espérer  mériter votre place !

Y-a-t-il dans votre esprit, chaque jour un défilé de tout ce qui vous empêche d’apprécier les premières minutes de votre réveil? Ces premiers instants  pourtant significatifs qui  vous rappellent qu’avant même d’aborder une journée, vous êtes déjà souvent pollué par ce qui vous stresse, ce qui épuise votre énergie vitale à grande vitesse, ce qui révèle que vous n’avez pas l’esprit sain ni serein et que vous vivez sans cesse tourné vers l’extérieur, vers ce qui n’est pas vraiment vous !

Vos premières pensées sont les plus importantes de la journée car elles sont révélatrices du rapport que vous entretenez à  votre propre vie.  Peut-être êtes-vous trop en attente du bonheur à travers les autres,  cela démontrerait  que vous n’êtes pas vraiment aux commandes de votre existence. Comment voulez-vous espérer alors « être en paix intérieurement» ?

Qu’est-ce qui vient ainsi troubler votre quiétude ? Pourquoi avez-vous du mal à rester centré sur vous-même ? Quelles peurs bloquent votre chemin de vie ?

Comment avoir l’esprit tranquille si vous n’avez aucune disponibilité intérieure ?

Citons un exemple pour illustrer cela :  votre travail occupe par exemple la majeure partie de votre temps, vous vivez presque le téléphone à la main, obsédé par les sollicitations continuelles. Les aléas de votre quotidien sont votre unique priorité et vous mettent la pression constamment même quand vous ne travaillez pas. Comme si le reste de votre bonheur pouvait bien attendre, ce n’est pas si urgent d’être heureux puisque vous n’avez pas une minute à vous et ce n’est certainement pas de votre faute!

Quelqu’un pourrait-il prendre en charge votre bonheur en attendant ! Réserver au restaurant, commander un bouquet de fleurs, prendre vos rendez-vous, faire vos courses…Combien de tâches déléguez-vous parce que vous n’avez pas le temps ? Que faites-vous là tout de suite ? Ah oui, vous consultez le fil d’actualité de vos réseaux, vous lisez vos mails professionnels en plein déjeuner au restaurant, vous répondez à vos messages malgré votre tête à tête en amoureux ! Ça ne peut pas attendre, c’est tellement plus urgent que ces précieuses secondes passées avec l’être aimé,  qui ne se renouvelleront jamais.

Chaque seconde de la vie n’est jamais la même ! Quand on en prend conscience, on se rend compte de toutes ces fois où on passe à côté des moments de bonheur de notre vie ! A courir après la vie, on ne la rattrape jamais !

Quelle est la dernière fois où vous avez fait quelque chose pour vous totalement, pleinement, l’esprit léger et libéré ?

Quelles sont les limites que vous mettez à ces perturbations?

Vous n’arrivez pas à vous mettre au centre de votre vie car vous n’avez pas le temps d’y penser, selon vous! D’ailleurs, vous êtes fortement convaincu qu’il n’y a que ceux qui n’ont rien à faire qui ont le temps de méditer, de se recentrer.  Qui peut s’arrêter un instant et  fermer les yeux pendant plus de 20 minutes alors que la vie est si pressante ? Certainement pas vous, car sans vous,la Terre risque de s’arrêter de tourner !

Vous savez bien que ce n’est pas vrai tout cela, que ce sont vos propres illusions, que ce ne sont que des affabulations de votre part, pour ne pas vous rapprocher de vous-même , par crainte de vous trouver sans doute trop vulnérable ou trop inintéressant!

Ne pas avoir l’esprit serein se voit d’ailleurs dans votre manière d’être, dans votre corps ! Comme  une agitation constante qu’on pourrait appeler « hyperactivité ». Comme un besoin de tout contrôler ! Les mille actions qui occupent vos journées sont des signes de votre difficulté à être en paix avec vous-même !

A quel moment vous posez-vous vraiment pour vous reposer ? Jamais, ce n’est pas important ! Vous avez trop peur de ne pas pouvoir vous remettre en action ! Ou alors cette pause vous la faites le téléphone à la main, ou devant vos écrans préférés !  Se vider l’esprit à quoi bon ? Ce n’est que  par la distraction que vous pensez atteindre la joie ! Ce moment pour vous vous suffit amplement ! Mais que vous apporterait-il s’il était vraiment un temps de détente et de déconnexion de ce qui vous agite ?

Vous  ignorez que prendre le temps de vivre avec un esprit apaisé donnerait de nouvelles couleurs, de nouvelles saveurs à votre existence ! Comme le vrai goût de vivre au final, celui qui n’est altéré par aucune fausseté, aucune fausse croyance, aucun faux-semblant !

Avoir la conscience tranquille !

Le deuxième élément qui nuit à la sérénité, c’est votre conscience ! Comment avoir un esprit apaisé si vous n’avez pas la conscience tranquille ! Qu’est-ce que cela signifie vraiment : avoir bonne conscience ? C’est ne pas être perturbé par des mauvaises pensées, des mauvaises intentions, des mauvais agissements, la jalousie, la colère, le mensonge… !

Plus vous apprendrez à regarder en face ce qui vous empêche d’être serein, plus vous retrouverez votre harmonie ! Si vous avez l’habitude de remettre à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui, changez cette manière de vous mettre en difficulté par votre manque d’organisation, cela ne peut que vous donnez un esprit agité ! Si vous avez des choses à faire, ne les négligez pas car c’est ce qui mène à l’échec et vous fait culpabiliser ! On paie très cher la procrastination ! « Ce qui est fait n’est plus à faire », c’est cela que vous devez apprendre. En agissant ainsi vous libèrerez immédiatement  plus de place pour vous sentir bien avec vous-même !

Plus vous œuvrez pour votre satisfaction personnelle sans rien faire de mal, de répréhensible de malhonnête, plus vous aurez bonne conscience et cela deviendra comme un booster de motivation pour toujours faire mieux. Et votre vie s’améliorera à la lumière de vos efforts sans chercher à  tromper, à duper ou à manipuler ! Avoir la conscience tranquille, c’est n’avoir rien, absolument rien à se reprocher ! Pouvoir regarder les autres en face, sans avoir une dent contre eux, sans penser qu’ils sont seuls responsables de vos difficultés !

Même s’il n’est pas toujours facile d’avoir la conscience tranquille, vous pouvez agir en respectant vos valeurs, votre authenticité, de manière cohérente sans jouer un rôle pour plaire et vouloir à tout prix gagner  l’admiration des autres !

Ne laissez personne troubler votre quiétude ! Soyez honnête avec vous-même à chaque fois que vous faites une action : demandez-vous si elle est bonne ou mauvaise, juste pour vous !

Ainsi pour trouver la paix intérieure durablement, commencez par des temps de reconnexion à vous-même absolument indispensable. Plus vous êtes préoccupé par les agitations autour de vous, moins vous êtes présent à vos propres soucis !

La présence à soi est un atout pour vivre plus sereinement !

La première question à se poser, c’est de quelle manière j’aborde mes journées ?

Comment je vis chaque action que j’entreprends ? Dans mon attitude, suis-je posé ou sans cesse stressé ?

Revenir à soi à chaque instant, c’est ne pas s’échapper du temps qui passe par des absences à soi-même !

Il  s’agit d’avoir un rapport moins dur à la vie ! Mais d’apprendre à accepter ce qui se passe sans vouloir immédiatement mener une lutte. «  J’accepte puis je  réfléchis aux solutions possibles » C’est une manière de ne pas foncer tête baissée dans le mur de vos exigences, avec impatience ! Passer à l’action est plus efficace que de s’encombrer l’esprit par des idées négatives et sombres !

Plus vous créez une bulle apaisante, plus vous apprenez à ne pas laisser le négatif prendre le pas dans votre vie. Vous devenez plus patient, plus persévérant, moins colérique et vous chassez tous vos ressentiments !

Si à chaque fois que vous menez une réflexion sur une problématique, vous n’êtes pas dans l’opposition mais plutôt dans la construction d’une passerelle vers une ouverture différente, vous vous libérez de votre mauvaise conscience d’être inactif et passif et vous vous sentez plus utile, une simple  contribution qui vous apaise l’âme !

« A tout problème, il y a toujours une solution. » Avoir conscience de cela, vous empêche de vous décourager et vous permet de porter un regard plus serein sur la vie.

« Je crée ce que je veux voir dans le Monde », c’est ainsi que vous devez concevoir votre vie ! Comme un espace de création infini !

Vivre ici et maintenant, toujours en lien avec la Nature et le Monde en étant  reconnaissant à chaque instant, c’est déjà une excellent façon de vous engager vers une vie plus apaisée !

Votre paix intérieure n’attend que vous ! Elle s’acquiert par les efforts justes que vous ferez pour libérer votre esprit et votre conscience de tout ce qui vous pèse ! La pause mentale vous rend plus fort  et plus solide. Le silence est la clé pour obtenir cet apaisement puissant et réparateur !

Ne négligez pas votre sérénité, elle est nécessaire pour vivre votre vie en restant ouvert à ce qui vient à chaque instant !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le manque de douceur rend insensible !

Notre vie est marquée, depuis notre naissance par notre rapport au Monde. Dès l’enfance, nous avons été projetés brutalement dans sa dure réalité, à travers  les relations difficiles et les situations tendues et conflictuelles qui nous entouraient ! On peut ainsi constater qu’on apprend  plus facilement à un enfant  à devenir dur plutôt qu’à être doux !

Un enfant, porte sur le monde un regard  très innocent, naïf, fait de promesses d’affection comme de somptueux cadeaux de la vie qui l’attendent. Blotti au creux des  bras de ses parents, il s’imagine protégé de toutes les souffrances ! Très vite, son point de vue change ! Il passe de l’insouciance de ses jeunes et belles années  à l’inquiétude qu’il perçoit d’emblée chez les adultes qu’il côtoie!  Les étoiles qu’il croyait voir briller dans leurs yeux finissent très vite par s’éteindre, pour faire place à des mines  assombries  par les soucis d’un quotidien pas si facile et qui n’épargne en rien les enfants !

Les larmes d’un enfant témoignent souvent de toutes ses  incompréhensions, face aux duretés ressenties autour de lui, et deviennent des ruisseaux intarissables face à la peur qu’il  ressent quand le voile se lève sur la réalité obscure de la vraie vie, faite de problématiques incontournables ! Les éclats de rire deviennent des éclats de voix ! Les parents peinent alors à masquer ce qui les confronte et ce qui les rend si tristes ! Ils échouent dans leur belle intention à  protéger leurs enfants et à leur offrir un espace sécuritaire pour leur épanouissement ! Ils s’enferment dans des attitudes dures en raison de leurs propres souffrances, sans se rendre compte de l’impact sur la sensibilité du jeune enfant !

L’enfant se fait une image du monde dans lequel il évolue, à travers ce qu’il en découvre parfois précocement ! Ce qu’il a entendu ou vu, se grave pour toujours dans son inconscient, jusqu’à modifier son comportement ! Certains enfants deviennent émotifs et craintifs face au désarroi des parents dans leurs problématiques de vie ! D’autres deviennent plus rebelles et se mettent à faire les pires bêtises ! Chaque enfant réagit à sa manière ! Il associe des situations à des tensions ! Il entend des conversations bien malgré lui.  Il épie ce qui se passe à travers son prisme de petit enfant et  découvre l’envers du décor de ce petit monde de « l’innocence » bafouée et gâchée par tant d’instants pénibles à surmonter : au final, il comprend très vite que tout le  monde n’est pas si gentil !

Le doux rêve de l’enfance se perd dans dans la brume de toutes ces turpitudes ! L’enfant se demande tristement : « où est donc caché ce petit monde d’amour dont on parle dans  les contes ? »  C’est la grande désillusion dans son petit cœur d’enfant, ce moment où il découvre que  le monde des « Bisounours » n’existe pas, que Nounours ne va pas venir au-dessus de sa maison sur son nuage magique, pour l’aider à s’endormir au pays des rêves , ou toute autre histoire pour éviter les cauchemars du soir qu’on lui avait fait croire ! Il comprend  que tout ce qu’on raconte dans les dessins animés ou dans les films n’est qu’imaginaire, que le Père Noël n’est qu’un vaste mensonge collectif !

Mentir est autorisé au final dans son esprit d’enfant, puisque tous les grands en abusent ! C’est dans les bras de son ours en peluche préféré qu’il réussit à se consoler de ce manque affectif qu’il ressent profondément !  Il finit par se créer dans sa tête, son petit univers féérique et s’enferme dans sa bulle, pour essayer de ne plus subir toute cette souffrance !

Les parents ne réussissent pas à répondre à ce besoin intense d’affection, à cette demande viscérale de tendresse et d’attention ! Ils se noient tellement dans leurs problématiques qu’ils ne  sont pas, bien malgré eux, à la hauteur de leur rôle de parents. Ils accumulent des maladresses et broient inconsciemment entre leurs mains, le destin de ces petits êtres innocents ! Ils ignorent d’ailleurs, les conséquences réelles de ce manque affectif qui seront transmises de génération en génération. Un petit cœur brisé dans l’enfance, c’est un adulte en souffrance pour le reste de sa vie !

Manquer d’affection, c’est ne pas avoir eu son petit cœur d’enfant rempli d’amour suffisamment, c’est ne pas avoir reçu sa dose de douceur quotidiennement, c’est ne pas avoir été comblé dans son désir de tendresse. Le petit enfant est amené à supporter des charges émotionnelles trop fortes qui l’éloignent à jamais de la candeur et du bonheur faciles ! Tout semble tellement compliqué! Ce stress permanent et omniprésent qui tue tous les instants de bonheur où chacun compte le temps qui défile en suivant son tempo effrayant !  Alors la vie prend d’emblée une signification dure!

L’adulte en devenir est obligatoirement marqué par cette histoire et porte en lui les stigmates de cette enfance illusoire!

Pour les enfants hypersensibles, c’est encore pire ! Les émotions, ils ne connaissent que ça ! Ils ne lisent pas les lettres ou les mots aussi vite qu’ils ne déchiffrent les émotions ! Rien ne leur échappe ! Chaque vibration négative résonne comme un glas terrible ! Chaque énergie sombre est perçue comme autant de sentiments de malaise et de mal-être ! Parfois, ils pleurent pour faire comprendre leur détresse ! Parfois, ils s’agitent car tout va trop vite, trop de résonances en eux de ces souffrances qui les perturbent à chaque instant !

Jusqu’à quel point les parents savent-ils répondre au  besoin d’être rassuré de chaque enfant constamment, d’être compris dans son émotivité à fleur de peau, d’être réconforté face à ses incompréhensions de la vie ? « L’enfant hypersensible » se sent sans arrêt, vulnérable et en danger. C’est dans les bras de ses parents qu’il se protège le mieux ! C’est dans leur cœur à cœur à deux qu’il puise un espace de sécurité pour ne plus craindre la relation aux autres. Le monde lui semble tellement hostile, qu’il voudrait s’en protéger en s’isolant ou en se mettant à distance des autres ! Ses attentes sont incomprises, on le qualifie d’enfant difficile, étrange ou fragile alors qu’il attend du monde un tremplin vers la douceur !

Les adultes tentent de masquer ce qui les trouble mais l’enfant  détecte chaque seconde d’hésitation, chaque frisson d’émotions, chaque visage en colère, chaque tension palpable, chaque contrariété, chaque éclat de verre !

Il se fait tout petit pour ne par risquer de faire chavirer le Monde embarqué dans ses dérives ! Il tremble intérieurement à chaque souffle glacial, à chaque murmure effrayant ! Alors il en appelle à la tendresse, il lance un SOS de détresse pour plus de douceur, pour plus de caresse ! On pointe alors sa fragilité, sa vulnérabilité ! « Il faut que tu t’endurcisses », c’est ce qu’on lui répond en criant, quand il ose manifester ses émotions ! Sa différence d’hypersensible  effraie et  ils préfèrent tous alors ignorer ce manque dont souffre pourtant  la société toute entière  : le manque de douceur à travers l’écho de tous ces cœurs souffrant !

Les « sensibles » versus les « insensibles » !

C’est comme si alors, la vie devenait un ring  avec deux camps, d’un côté ceux qui se disent « sensibles » mais qui le voient comme un défaut, une faiblesse ! Et de l’autre côté, les « durs », les « insensibles », ceux qui se disent forts, dominants, supérieurs, et qui masquent leurs émotions!

Chaque enfant devient un adulte avec un caractère différent :  il y a ceux qui en prennent conscience et qui apprennent à se gérer ! Ceux qui disent ne rien ressentir, verrouillés dans leur armure émotionnelle rouillée ! D’autres encore qui écrasent les autres de leur caractère odieux en masquant leurs propres blessures  ! Enfin ceux qui souffrent plus intensément  et qui se font malmener dans leur émotivité !

Chaque jour,  on peut observer  cette forme de « maltraitance humaine », en raison du manque de douceur, surtout dans les relations humaines. On se heurte à ces personnes dures qui oublient toujours de penser aux autres, de faire attention à eux , d’être plus à l’écoute et moins égocentrés ! Ils se disent souvent agacés par les pleurnicheries de ceux qu’ils considèrent comme trop faibles et qui sont pourtant plus respectueuses du vivre ensemble collectif où chacun doit apprendre à prendre soin des autres!

Ces êtres « odieux »  ne se rendent pas compte que « être sensible » est  une forme d’intelligence qui révèle de réelles compétences humaines indispensables pour l’équilibre du monde ! Les guerres d’égo et d’orgueil  ne mènent qu’aux disputes et aux querelles voire à la guerre ! La douceur  est l’unique passerelle vers l’amour ! L’amour se conjugue avec toutes les nuances de la douceur : la tendresse, l’attention envers l’autre, l’écoute,  l’affection,  le respect, la liberté…

Il n’existe pas d’amour sans douceur !

Certains assimilent négativement la douceur à la vulnérabilité, à la fragilité ! La douceur, c’est pour les faibles ! Loin de là ! Celui qui ne sait pas être doux, est souvent caractériel et égoïste, il malmène la vie et les autres avec ! D’ailleurs, il est incapable d’aimer vraiment car son manque de douceur révèle une incapacité à se donner à l’autre, à accepter de consentir à un sentiment de partage et de réciprocité, à accueillir l’autre comme une part de lui-même, à créer un espace de douceur nécessaire comme un baume sur les duretés et les souffrances de la vie !

On compte à chaque seconde les exemples de ces comportements détestables! Un automobiliste qui insulte un cycliste  parce qu’il le ralentit ! Un être horrible qui maltraite un animal sans raison ! Un enfant frappé par ses parents parce qu’ils refusent de manger ! Un employeur qui parle à son employé avec dureté ! Dans une seule journée, on voit s’accumuler tant de maltraitances dues à ce refus de douceur, à ce rejet de la sensibilité, à cette difficulté à maitriser sa colère, son impatience ou ses exigences ! L’orgueil est le pire obstacle à la douceur !

Apprenons à devenir doux ensemble !

Nous entendons en ce moment beaucoup de personnes commenter les catastrophes de la guerre ! Combien ne sont pas conscients malheureusement des « guerres personnelles » qu’ils mènent contre les autres par leurs comportements odieux, leurs médisances terribles, leurs manigances pour faire tomber ceux qui sont dans leurs collimateurs ? Ils trouvent tous de bonnes raisons à leurs actes ! Pour être cohérent dans ces discours pour la paix, encore faudrait-il moins maltraiter les autres! La comparaison pourrait sembler discutable mais c’est une manière de comprendre que chaque petite dureté correspond à une souffrance qu’on inflige à l’autre qui le vit, selon sa sensibilité, plus ou moins mal !

En devenant conscient de la douceur nécessaire pour plus d’harmonie sur cette Terre, pour vivre davantage dans la paix et dans la sérénité, on peut créer des petites solutions pour un monde meilleur ! Si chaque enfant pouvait grandir sereinement à travers la douceur de ses parents, peut-être que chaque adulte n’aurait pas à vivre avec des blessures émotionnelles destructrices !

 Devenir parent c’est un engagement à aimer son enfant et à l’entourer d’une affection totale sans égo ni orgueil, sans impatience ni excuse, sans tourment ni violence dans une disponibilité totale!  Ce n’est pas évident mais c’est possible, si on  prend sérieusement son rôle à cœur comme une obligation à transmettre plus de douceur !

Chaque adulte dans les relations humaines doit apprendre à mettre plus de douceur dans ses propres duretés, en prenant conscience de son comportement destructeur pour les autres. Se remettre en question, c’est faire un pas dans la bonne direction. Tout le monde souffre, c’est indéniable, mais ce n’est pas une raison pour faire rejaillir sur les autres ce qu’on pourrait apprendre à gérer en s’en donnant les moyens ! Une obligation de douceur pour tous,  pour rééquilibrer le chaos du monde actuel !

Apprenons ensemble à devenir plus doux en mettant de la douceur au cœur de nos duretés et le monde ira mieux !

Maryse de Mes Mots de Vie

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