Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire du mal ?

Les pièges relationnels !

Au fil de votre existence, vous déambulez à tâtons dans les ruelles sombres de vos difficultés relationnelles. Pas à pas, vous hésitez face à l’incapacité à pouvoir comprendre comment les autres fonctionnent. Alors vous dérivez d’un port à l’autre, vous marchez sur un fil en équilibre, pour ne pas chuter dans le gouffre de vos appréhensions, face à ces êtres parfois malveillants qui vous attendent pour tisser des toiles, qui leur servent à capturer ceux qui se laissent manipuler par leurs illusions, par leurs faux sourires et par leurs fausses attentions !

Vous prenez le cap de la vie, en vous jurant de rester éternellement fidèle à vos valeurs de sincérité et d’honnêteté,  et naïvement, vous imaginez que les autres en feront de même ! Vous ouvrez votre porte relationnelle à tous ceux qui par leur attitude semblent vous tendre les bras. Vous les accueillez en pensant que vous vous ressemblez suffisamment, pour interagir ensemble avec les mêmes valeurs et avec le respect mutuel comme base de relation à l’autre ! Aveuglé par la lumière de votre soleil intérieur, vous croyez en un monde de bienveillance et de tolérance, et vous avancez le cœur ouvert et généreux avec l’intention positive de demeurer altruiste, quoiqu’il advienne, en partageant avec les autres bien plus que de la convivialité, des moments de confidences intimes et privées !

Vous êtes alors loin de vous imaginer ce que sont les pièges des relations humaines ! Vous laissez entrevoir à l’autre jusqu’à votre âme et même un peu votre jardin secret ! Vous vous sentez, tellement en confiance et entouré,  sur la même longueur d’onde, que vous ne vous doutez pas encore qu’on joue avec vos sentiments et avec vos émotions pour vous contrôler !

La joie d’entrer en relation totalement et pleinement avec les autres, est pour vous comme la seule et unique manière de voir la vie. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas pour les autres ! Cela peut dégénérer très vite en un cauchemar indicible, et tout ce que vous  acceptez à contrecœur pour ne pas vexer l’autre, ou pour lui faire plaisir ne sert à rien au final, si vous tombez sur de fins manipulateurs qui le sourire aux lèvres n’auront qu’une seule et unique intention, vous faire souffrir !

Bas les masques !

Le carnaval se vit au quotidien. Combien de visages masqués et de cœurs fermés ! Lorsque vous tendez la main vers quelqu’un, vous ne savez pas encore que peut-être vous vous  liez à celui ou celle qui sèmera le trouble dans votre vie à jamais ! Pas un sourire, ni un regard ne peut laisser voir la duplicité et la fourberie de certains êtres malveillants, qui guettent des proies faciles pour les entraîner dans leur monde factice fait de mensonges et de ruses !

Quand vous découvrez la vraie personnalité d’un « pseudo ami », d’un collègue ou de quelqu’un de votre famille ou de votre entourage proche,  vous vous demandez parfois jusqu’à quel point vous vous êtes laissé tromper et  jusqu’à quel point on vous a laissé croire à des sornettes et à des balivernes pour vous amadouer, et pour vous faire penser qu’on vous appréciait ! Pourquoi vos yeux ont-ils refusé de voir les stratégies de l’autre, pourtant évidentes, ses manigances et ses plans machiavéliques pour vous faire du mal à votre insu ?

Et vous culpabilisez … ! C’est de votre faute, à faire confiance trop vite, vous avez  fini par tomber dans des pièges pourtant prévisibles ! Alors vous vous  promettez de ne plus jamais recommencer,  vous décidez de rester seul pour ne plus susciter de jalousie ni de trahison et pour ne plus être  maltraité !  Mais tout cela n’est pas normal en soi, surtout quand les personnes malfaisantes réussissent à vous faire porter la responsabilité de leurs propres agissements ! Ce n’est pas à vous de fuir ni de vous cacher ! Au contraire !

Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire souffrir ?

Vous prenez conscience que des signes existent dans les relations toxiques, comme ces étranges malaises qui vous prennent quand vous côtoyez ces vampires émotionnels ! Comme la difficulté à prendre votre place malgré vos efforts acharnés, alors que personne ne vous y aide ! Cette souffrance lancinante à chaque fois que vous osez vous affirmer ! Et ces nombreuses fois où vous préférez pardonner, tellement vous ne voulez pas perdre une relation, à force de trop aimer !

Aimer les autres, ce n’est pas anormal mais quand on accepte leur manque de respect par affectivité, on n’est plus dans l’empathie mais dans les conséquences et dans les effets désastreux  des relations perverses narcissiques et malsaines !

Combien de fois avez-vous le cœur déchiré par l’envie de tout dire pour obliger ceux qui agissent mal à affronter leurs mauvais comportements ? Mais à chaque fois, vous vous taisez car vous vous dites que vous souffrez sans doute d’un manque de confiance en soi qui vous fait voir le mal partout ! Et puis, qui va vouloir vous croire? Les manipulateurs savent brouiller les pistes et faire passer leur victime pour des mauvaises personnes et  l’attitude d’isolement et de renfermement sur soi-même pour se protéger ne peut que leur donner raison ! « Ce n’est pas quelqu’un de fiable ! » murmurent-ils dans votre dos à qui veut bien l’entendre, c’est ainsi qu’ils sèment la médisance autour de vous, n’ayant rien de mieux à faire ! Seuls ceux qui leur ressemblent finiront par  y croire. Ces êtres odieux  signent ainsi par leur agissement leur propre culpabilité !

Il est urgent d’ouvrir les yeux sur la vraie réalité !

Pas celle que vous fabriquez dans votre tête sur la relation que vous idéalisez, pas les efforts que vous faites de manière surhumaine pour vous faire aimer en vain ! Non, une relation se vit non pas comme un combat ou comme un territoire à conquérir mais juste dans l’élan d’un mouvement spontané de votre cœur vers celui ou vers celle avec qui vous voulez vous lier sans effort, sans attente, sans souffrance !

Vous pouvez passer une vie à vous laisser fourvoyer par des personnes malhonnêtes qui trahissent la confiance que vous leur donnez, sans vous en rendre compte. Tellement vous vous bercez d’illusions, vous ne voyez pas clair en leur jeu, comme s’ils vous aveuglaient pour vous tromper! Quand la vérité éclate au grand jour, à un moment souvent difficile de votre vie, il ne vous reste que vos yeux pour pleurer, d’avoir cru que vous étiez important pour ces personnes au point de vous oublier vous-même et de les laisser vous manquer de respect ! Vous vous sentez tellement trahi et sali par de telles manigances que vous avez du mal à vous en remettre !

Vous ne voulez plus  être victime de votre naïveté mais il est difficile, quand on a le cœur généreux de s’obliger à devenir « égoïste », comme si on devait fermer la porte à la vie elle-même définitivement. On est souvent  triste de ne pas savoir écouter cette petite voix intérieure qui nous murmure « stop » en cas de danger ! Plutôt que de baisser les bras, choisissez d’ activer votre pouvoir créateur et grâce à vos intuitions de mettre fin ainsi au règne de la malveillance et de la manipulation, en révélant toujours  au grand jour la vérité !

On ne peut jamais vraiment s’expliquer un fiasco relationnel. Tant d’énergie déployée à aimer, à pardonner, à valoriser, à estimer l’autre qui est concentré en vain sur ses propres intérêts personnels ou sur ses objectifs pour réussir à soumettre, pour contrôler pour parvenir à ses fins, sans jamais éprouver le moindre petit sentiment venant du cœur : de la manipulation à tout point de vue !

Tous ces moments perdus sont pénibles à vivre mais combien de fois fermez-vous les yeux sur ce qui paraît tellement évident ! C’est ce qu’on appelle laisser les autres dépasser  les limites du respect, qu’ils doivent à tout prix vous accorder dans toute relation !  A trop vous impliquer, vous finissez parfois par vous perdre. Vous oubliez de  protéger votre cœur en vous engageant trop vite, les yeux fermés !  Vous y allez avec votre générosité et votre envie de croire que quels que soient les défauts de l’autre, il finira par changer, pour vous accepter et pour vous aimer ! C’est là que vous vous trompez le plus ! Vous laissez l’autre pénétrer dans votre espace le plus intime jusqu’à lui laisser voler vos états d’âme et dérober  vos tourments pour s’en servir comme des points faibles  et ainsi  mieux vous dominer en vous faisant souffrir !

Plus vous devenez dépendant d’une relation, plus vous êtes incapable de  surmonter seul les difficultés de la vie ! Tout cela perdure un bon moment mais ne peut continuer indéfiniment ! La souffrance a des limites, quand vous décidez d’ouvrir vos yeux pour sortir de cet état d’isolement dans lequel on vous plonge,  vous décidez d’apprendre à mieux vous connaître pour essayer de comprendre cet étrange sentiment de malaise qui vous envahit dans cette relation jusqu’à vous rendre malade.  Soudain tout s’éclaire,  vous n’arrivez plus à supporter l’insatisfaction absurde que génère ce lien, et  arrive la goutte d’eau qui fait déborder le vase déjà trop plein de vos émotions et des nœuds intérieurs qui vous bloquent dans votre déploiement personnel! Vous comprenez alors que vous êtes traité depuis toujours comme un « chien dans un jeu de quille » ! Vous réussissez enfin à élucider la zone d’ombre et à voir l’illusion de la relation !

Qu’est ce qui vous fait mal dans cette relation ? Qu’est ce qui ne se dit pas et  empoisonne chaque interaction ? Qu’est-ce qui est caché derrière ces reproches et ces exigences qu’on a de plus en plus à votre égard ? Pourquoi vos réussites suscitent-elles de plus en plus de jalousie comme si on cherchait sans cesse à éteindre votre lumière, à diminuer votre valeur ? Qu’est-ce qu’on n’accepte pas dans votre personnalité et dans votre manière d’être ? Qu’est-ce  qui dérange  l’autre  au point de le fâcher et de vouloir sans cesse vous nuire ? Pourquoi est-ce nécessaire de se contraindre sans aucun rapport fluide ?

C’est ici que se situe la vérité dans cette incapacité à s’entendre durablement avec quelqu’un au fil du temps et quel qu’en soit le sujet! Comme si à chaque fois, vous devez vous forcer pour que l’autre ne soit pas en colère ! Qui doit à chaque fois céder, concéder ou se sacrifier dans cette relation? Si c’est vous, alors vous avez compris que cette relation est vouée à l’échec et que l’autre dissimule la vraie nature de ses sentiments, inutile d’insister, vous perdez votre temps ainsi que votre santé, tôt ou tard, tout finira par basculer !

Quand vous reprenez les rênes de votre vie, vous n’acceptez plus de laisser l’autre vous manquer de respect, en bafouant votre personnalité, pour vous obliger à jouer le rôle d’une personne  négative et agressive que vous  n’êtes pas. Seules les personnes toxiques réussissent à faire ressortir les défauts de quelqu’un ! Mieux vaut tard que jamais!

Cela nécessitera une véritable reconstruction émotionnelle, après une telle catastrophe relationnelle. Se faire  maltraiter pendant des années laisse de lourdes traces émotionnelles, comme si vous vous étiez perdu très loin de vous-même !  Vous devez mettre un terme à toute relation malsaine, c’est la seule manière de vous accorder un long moment de guérison intérieure pour réussir à faire taire la souffrance qui demeure après une relation ratée !

Ne laissez plus jamais personne vous faire du mal ! Réagissez dès les premiers signes de malaise. Quand vous vous sentez mal au contact de quelqu’un, faites confiance à votre radar relationnel, il ne se trompe jamais ! Dites-vous surtout que dans toute relation, la première règle obligatoire et non négociable, c’est l’amour et le respect de soi :  l’autre doit vous accepter  comme vous êtes, sinon ce n’est pas la peine d’insister !

Croyez en vos propres valeurs et en votre liberté d’action, ne laissez plus personne mal vous traiter, vous méritez l’amour et la bienveillance, soyez-en convaincu ! Croyez en vous et  les autres devront faire acte de sincérité et d’authenticité . Fuyez les gens superficiels et préférez les gens vrais, vous ressentirez même à distance, la chaleur de leur cœur connecté à leur âme ! Refusez les relations désincarnées !

Maryse de Mes Mots de vie

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Ne pas savoir aimer est destructeur

L’amour est un sentiment pur, noble et précieux. Il se définit par ce lien d’affection qu’on noue aux autres dans une intention de réciprocité animée par la chaleur du cœur.

L’amour n’est donc en aucune façon ni manipulation, ni domination ni soumission.

Le pouvoir de l’amour vrai est immense tant il nourrit tous les élans et active toutes les plus hautes aspirations. Aimer c’est beau, c’est délicat, c’est être attentionné à l’autre en lui souhaitant à chaque instant  le meilleur pour l’élever vers ses idéaux même si cela l’éloigne de vous.

Quand ce sentiment se perd dans le brouillard des illusions, il est difficile de comprendre les agissements de ceux qui pervertissent l’amour en un sentiment d’obligation.

Même si on aime amoureusement ou affectueusement comme au sein des familles ou dans des relations amicales, l’amour reste toujours libre, il n’a jamais des nuances obscures, il se décline dans des tonalités douces et vives, il est le symbole même de la lumière dans toute sa vérité. Il n’y a pas d’amour dans les reproches, il n’y a pas d’amour dans les critiques ni dans les mensonges ni dans les actes malveillants et encore moins dans la jalousie ou dans les reproches.

On ne fait pas du mal à l’autre par amour. On ne se venge pas par amour pour pousser l’autre à admettre ses fautes. Agir ainsi est très loin, très loin de l’amour. A ce moment-là, ce sentiment qui doit toujours être positif et valorisant est remplacé par son opposé au pouvoir terrible et destructeur car on le sait, « il n’y a qu’un pas de l’amour à la haine »…

Bien sûr celui qui ne sait pas aimer, accuse toujours les autres de tous les travers, du manque de reconnaissance, du manque de compréhension, du manque de proximité. Vous avez donc compris que celui qui souffre lui-même d’un manque d’amour n’est pas capable d’aimer pleinement sans vouloir priver l’autre de sa liberté.

S’aimer est plus fort que tout

Avant de vouloir faire porter la responsabilité aux autres de vos difficultés à aimer, tout individu doit avant tout, commencer par analyser sa relation à l’amour. Très vite, les réponses vont le renvoyer à l’enfance et à ses blessures qui laissent malheureusement des traces indélébiles qui doivent être guéries impérativement  par des thérapies adaptées. Le risque serait de faire rejaillir sur les autres, tous les manques dont on a pu souffrir  à n’importe quel âge ! Ne pas savoir aimer n’est donc pas un défaut que l’on ne peut changer.  Il faut s’engager à développer l’amour de soi comme un élixir puissant qui vous permettra de pouvoir aimer l’autre.

Ne pas savoir aimer est terrible et destructeur ! Cela signifie que si on se voile la face en évoquant des sentiments d’amour pour l’autre alors qu’on est incapable de s’aimer soi-même, très probablement la relation souffrira de ce manque et finira par des conflits.

Qu’est-ce que cela signifie « s’aimer soi-même » ?

Apprendre à  vous aimer vous-même  c’est apprendre à vous connaître par cœur : vos goûts, vos talents, vos points faibles, vos points forts, vos limites, votre potentiel ! C’est vous assumer comme vous êtes sans vouloir manipuler ou prendre le pouvoir sur autrui dans l’intention de lui faire croire que vous l’aimez plus que tout. L’amour ne s’encombre pas de cette idée de combler l’autre de cadeaux pour soi-disant lui prouver votre amour. Au contraire, s’aimer c’est laisser à l’autre tout l’espace nécessaire pour son total épanouissement. C’est occuper la juste place qui laisse à l’autre la possibilité d’exister à son tour. Il ne faut pas créer de déséquilibre néfaste à l’amour. S’aimer soi-même c’est se respecter totalement et ne jamais donner aux autres la possibilité de vous manquer de respect !

Ne pas savoir s’aimer soi-même, c’est donc ne pas accepter qui vous êtes au final, votre statut, votre histoire de vie, votre origine, votre personnalité, … la liste est longue. C’est se trouver souvent tous les défauts de la Terre.

Ne pas s’aimer c’est être tellement mal avec vous-même que vous attendez que quelqu’un arrive pour vous sauver. L’amour n’est pas une histoire de secours.

De même  se percher très haut sur son piédestal pour faire croire qu’on maîtrise le monde, qu’on est omnipotent, et ce afin d’attirer l’autre, c’est une attitude de faiblesse qui cache  un manque de confiance en soi masqué par cette assurance déguisée et ce besoin de tout contrôler.

Quand on aime, on partage tout, on n’a pas besoin  d’envahir l’espace de l’autre !

S’aimer  n’est en rien synonyme d’égoïsme ou de narcissisme, c’est éprouver pour soi-même ce que vous voudriez que les autres ressentent pour vous. S’aimer c’est cette joie ineffable de pouvoir  se retrouver seul  à des moments choisis pour prendre soin de soi, pour avoir du temps pour soi, pour s’offrir à soi-même beaucoup de tendresse et de compréhension. S’aimer c’est avoir pour soi autant de compassion  qu’on en a pour les autres. Lorsqu’on s’aime, on reste totalement libre de ses choix, de ses décisions, de ses projets. Lorsqu’on s’aime, on se comprend, on apprend de ses propres attitudes, de ses propres comportements. Lorsqu’on s’aime, on s’ouvre à l’amour des autres sans peur, sans méfiance car on ne craint rien…

Ne pas s’aimer est destructeur car lorsque vous allez offrir votre amour aux autres, vous allez l’obliger à vous aimer, à combler vos manques, à réparer vos fêlures, à compenser vos failles et à répondre à toutes vos attentes. Cela n’est pas sain, il n’est pas envisageable de demander à quelqu’un d’autre de faire à votre place ce travail d’introspection nécessaire pour vous réconcilier avec vous-même, pour vous réparer afin de partager des relations plus apaisées.

Ce sentiment de « ne pas savoir aimer l’autre » existe dans tout type de relation. Par exemple, une mère qui a une défaillance dans son rapport à elle-même peut attendre de ses enfants cette obligation de dévouement insoutenable et toxique qui va détruire la vie de ses enfants, il en est de même dans un couple, ou entre amis …

L’amour est donc un sentiment complexe, il ne suffit pas de dire « Je t’aime », encore faut-il en percevoir tout le sens de cet engagement envers l’autre, toutes les concessions nécessaires, tous les accordages à faire pour ne pas forcer l’autre à vous aimer, pour laisser déborder naturellement  la chaleur et l’ouverture du cœur sans emprisonner l’autre dans une cage dorée, sans limiter son territoire , sans le pousser à se réduire ou à se restreindre par amour.

L’amour est la plus grande des libertés, aimer l’autre avec le cœur ouvert c’est le laisser libre de ses actes, de ses mots, de sa vie. C’est le regarder s’épanouir sans crainte de le perdre, c’est vouloir le pousser vers ses plus hautes ambitions, c’est l’aider toujours à garder sa liberté d’être.

On peut apprendre à aimer si on a l’impression de ne pas savoir  le faire, en être conscient, c’est s’autoriser à découvrir le vrai sens du verbe « aimer » et à vivre dans l’amour inconditionnel qui vibrera alors tout autour de vous dans un halo magique destiné à déborder de votre cœur vers le cœur des autres. L’amour n’a pas de chaîne…

Maryse de Mes Mots de vie

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Le sentiment d’abandon durcit votre rapport à la vie

Pourquoi votre blessure d’abandon a-t-elle un effet destructeur dans votre vie ? Soigner ce sentiment d’abandon vous permettra-t-il d’avoir plus d’équilibre dans votre vie ?  Et comment guérir cette blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon vous prive de votre liberté d’être !

Lorsque vous souffrez de la blessure d’abandon, vos interactions aux autres sont teintées de la peur qu’on vous abandonne, alors soit vous faites  tout pour leur plaire, soit vous gérez vos relations avec beaucoup de distance car vous êtes persuadé de leur fin inéluctable programmée! Pour vous, une relation est synonyme de souffrance et de trahison, de ce fait vous n’ouvrez pas facilement votre cœur aux autres et vous refusez de créer des liens, car vous êtes traumatisé par vos expériences malheureuses.  Vous craignez de vous attacher et ensuite d’être déçu une fois de plus!

Inconsciemment, vous construisez une vie où résonne cette difficulté relationnelle en écho à cette blessure d’abandon activée en vous par des souvenirs d’enfance encore vivaces.  Vous ne voulez plus créer de dépendance affective aux autres car vous vous dites que cela n’en vaut pas la peine et que vous avez encore du mal à digérer les nombreuses fois où l’on vous a brisé le cœur !

Pourquoi ce sentiment d’abandon est-il si difficile à réprimer ? Pourquoi demeure-t-il encore en vous comme une peur constante de l’enfant délaissé qui a  cette impression constante de ne pas réussir à compter suffisamment pour l’autre ?  Quel est ce sentiment d’existence qui est brimé à l’intérieur de vous, comme  emprisonné dans les fausses croyances  d’une époque à présent révolue?

On a souvent  du mal à le croire, pourtant les problèmes des blessures du passé se répètent et  perdurent même quand le temps passe, si on ne l’accompagne pas d’une prise de conscience nécessaire pour nettoyer et épurer  votre âme de ce qui continue à la tourmenter.

Quel est cet effet destructeur de la blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon se définit avant tout comme un sentiment profond d’insécurité du petit enfant comme si ses parents n’avaient pas réussi à lui donner une éducation dans un environnement serein, sécuritaire et apaisant pour lui permettre de grandir en toute quiétude, sans créer en lui cette peur terrible d’être abandonné à tout moment! L’enfant, lorsqu’il n’est pas le centre d’attention  de ses parents, devient  souvent anxieux, en s’imaginant ne pas compter suffisamment dans leur vie. Il a alors l’impression angoissante d’être  souvent laissé pour contre sans en comprendre les raisons.

L’enfant a à cœur d’essayer de tout faire pour garder ses parents près de lui. Au fond de lui  grandit  cette peur terrible de  perdre ce repère fort même pendant une seule seconde, et il dresse souvent une barrière entre les autres et lui pour qu’ils ne gâchent jamais sa relation fusionnelle avec ses parents. Les autres sont  considérés comme des ennemis qui peuvent nuire à cet équilibre c’est pourquoi il négligera souvent les interactions sociales pour rester dans sa bulle de protection avec ses parents et se sentira  inquiet sans leur présence à ses côtés. Il se laissera facilement surprotéger par eux et cultivera ce lien de dépendance affective. L’angoisse d’abandon l’empêchera  de se développer et de croître pleinement !

Vivre avec la blessure d’abandon.

Lorsqu’on souffre de la blessure d’abandon, c’est un peu comme si on s’abandonnait soi-même, c’est-à-dire qu’on se tournait parfois vers les autres pour leur supplier presque de s’intéresser à nous. Par conséquent, tous nos actes sont consacrés à chercher à faire plaisir et à mettre les autres en valeur ! On valorise tout le temps les autres et on finit par s’oublier et même par se dévaloriser soi-même!

On néglige ses goûts personnels et on n’apprend pas à se connaître soi-même puisque l’autre est  une priorité de chaque instant. On attend d’autrui une constante validation !

L’engagement pour aider les autres devient une manière de se rendre important à leurs yeux car on se juge incapable de pouvoir attirer leur intérêt autrement, sans rien avoir à leur offrir en échange !

La blessure d’abandon finit par vous verrouiller à l’intérieur de vous-même dans une détresse permanente face à votre solitude d’âme ! Vous avez peur de tout et vous avez le sentiment de devoir toujours tout faire seul  car vous êtes convaincu de ne pas être indispensable aux yeux des autres qui finiront par vous abandonner inévitablement !

Malheureusement, quand on souffre du sentiment d’abandon, on crée inconsciemment des situations où l’on va finir irrémédiablement par être laissé de côté. On pense tellement que les autres finiront par  nous abandonner qu’au premier signe de difficulté, on devance  cet abandon en prenant nous-mêmes de la distance ! De toute façon, on pense que c’est tout ce que l’on  mérite car on porte la blessure d’abandon comme un capteur qui colore notre vie négativement à chaque instant ! On se sent coupable d’être abandonné comme si on était responsable par notre comportement !

La blessure d’abandon vous rend froid et distant ! Vous craignez tellement le rejet des autres que vous préférez  vous enfermer avec votre égo blessé qui devient le masque que vous affichez dans les relations humaines ! Comme si vous étiez constamment sur la défensive et  blessé à chaque fois  par l’incompréhension des autres qui deviennent comme des bourreaux avant même qu’ils n’agissent! Cette attitude négative devient le rôle social que vous endossez! Cette crainte de ne pas être aimé et accepté dicte tous vos faits et gestes et selon son intensité devient un poison dans votre vie !

Votre estime de soi est brimée et vous avez tout le temps l’impression de ne pas être à la hauteur malgré vos réussites et vos talents évidents ! Vous êtes en demande constante d’amour et il est difficile de vous combler !

Vos attentes envers les autres sont excessives et démesurées et le manque d’amour qui en résulte peut effrayer ceux qui viennent vers vous malgré tout !

Vous paraissez tourmenté perpétuellement, torturé par cet idéal affectif qui n’existe pas !

Pour essayer de faire face à cela vous devenez dépendant des autres, de leur affection, de leurs attentes, de leurs ordres jusqu’à ce que vous finissiez par les repousser puisqu’ils n’arrivent pas à vous comprendre ! Vous les abandonnez car vous pensez que c’est ce qu’ils finiront par faire.

Comment guérir votre blessure d’abandon ?

Il est important de reprogrammer totalement votre manière d’entrer en relation avec autrui. Voici quelques règles simples :

  1. Se reconstruire émotionnellement à tout point de vue en commençant par une meilleure connaissance de soi est indispensable !
  2. Se libérer de toute forme de colère liée à votre enfance ou aux autres en faisant la paix avec votre histoire de vie, en vous pardonnant !
  3. Consoler votre enfant intérieur en le rassurant et en l’aidant à accueillir tout ce qui lui a manqué pour son développement serein et stable par l’affirmation de qui vous êtes vraiment aujourd’hui dans votre authenticité!
  4. Nettoyer vos croyances limitantes sur vous-même ! Arrêtez de vous juger, de vous dévaloriser, de vous sous-estimer.
  5. Vaincre la dépendance affective ! Développer une autonomie en cultivant l’amour de soi comme principe de croissance personnelle !
  6. Travailler sur soi permet de devenir plus résilient ! L’acceptation de ce que l’on ne peut changer est nécessaire pour sortir du syndrome de la victime  que l’on peut devenir bien malgré nous !
  7. Il est indispensable de mieux comprendre votre enfance en prenant du recul sur les sentiments ressentis et en renouvelant votre regard sur vous-même !
  8. Vous n’êtes pas responsable des circonstances de votre enfance mais vous devenez responsable de votre vie d’adulte ! A vous de réparer ce que l’on vous a fait subir en vous réappropriant chaque part de vous-même et en ne laissant aucune perte de votre entièreté !
  9. Dissipez votre sentiment de culpabilité, si on vous a fait ressentir ce sentiment d’abandon, ce n’est pas de votre faute mais il convient à présent de vous en libérer !
  10. Vous avez aujourd’hui la possibilité de vous transformer en changeant vos faiblesses en forces de vie inaltérables !

Ne craignez plus jamais d’être abandonné !

Remettez votre mental à sa place quand il veut vous enfermer dans des pensées sombres sur vous-même ! Replacez-vous dans votre cœur, le centre de votre énergie de vie. Tout part de là, vivez et pensez avec votre cœur et avec votre corps et plus jamais avec vos blessures du passé !

Éteignez votre mental négatif et aliénant et répétez-vous : « je ne suis plus aujourd’hui un enfant qu’on abandonne, je suis un adulte autonome et responsable de mon bien-être, j’ose être libre d’être moi-même!»

Affirmez-le encore et encore et devenez aussi léger qu’une plume en vous ôtant enfin ce poids trop lourd à porter qui vous écrase et bloque votre déploiement et votre envol ! Personne ne pourra jamais vous abandonner si vous apprenez à vous détacher des situations qui ne sont pas de votre responsabilité ! Devenez plus confiant de votre valeur !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment réparer la blessure d’injustice en renouvelant votre regard?

A quoi reconnaît-on la blessure d’injustice ?

D’où vient cette résonance du sentiment d’injustice dans votre histoire de vie ? Quel est ce point commun incessant à toutes vos problématiques ?

Bien plus que cela, quelle est cette blessure inconsciente qui a toujours teinté de ses nuances les plus sombres votre manière de vivre ?

Qu’est-ce qui vous fait vous sentir mal soudainement ? N’est-ce pas le regard que vous portez autour de vous et qui vous montre les nombreuses injustices dont souffre la société, ce qui fait écho à l’intérieur de vous dans cette impression de ne jamais être entendu dans vos demandes directes ou indirectes et de ne jamais ressentir un équilibre juste des choses !

Vous êtes-vous déjà demandé ce qui altérait votre regard sur la vie, ce qui rendait flou l’image de sa vérité, ce qui voilait l’éclat de sa splendeur ?

Qu’est-ce qui vous rend à chaque fois si morose pour vous empêcher de cueillir l’instant présent dans sa vigueur et pour ne jamais faiblir dans votre intention de l’honorer ?

Qu’est-ce qui vous met des freins dans vos envies ? Pourquoi avez-vous du mal à vous laisser tomber dans les bras de votre destinée et à vous laisser porter plus légèrement vers ce qu’il y a de plus grand à vivre ?

Souvent, lorsque vous cherchez à comprendre vos insatisfactions, à décoder vos incompréhensions, à déverrouiller votre esprit fermé, vous vous heurtez à la difficulté de voir la vie comme elle et non  pas telle que vous voudriez qu’elle soit,  mais juste à lire et à interpréter son sens visible et clair.

Vos yeux semblent comme aveuglés  par  vos déceptions et par vos blessures comme si c’était le seul goût que vous aviez de la vie ! Comme si vous vous prépariez à l’avance à vivre des échecs !

D’ailleurs, ce qui vous est arrivé hier, est toujours présent aujourd’hui dans les secondes qui s’affichent sur votre cadran et demeurera sans doute encore longtemps dans votre mémoire, comme si celle-ci aimait capturer le temps pour l’empêcher d’être libre.

Mais qu’est-ce qui vous trouble autant ? Qu’est-ce qui vous bloque le passage vers ce que vous désirez si ardemment ? Qu’est-ce qui fait obstacle depuis toujours à  vos rêves et à vos espoirs ? Qu’est-ce qui se refuse à vous constamment sans raison consciente ?

La réponse est en vous, là sous l’épais manteau de vos désillusions qui vous empêche de vous mouvoir librement, pour laisser circuler le flow intense de la vie qui palpite pourtant  au cœur de vos résistances et qui vous emprisonne dans un rapport sans cesse négatif.

Une nouvelle fois,  il convient de se plonger dans l’enfance pour retrouver l’origine de la blessure d’injustice infligée au petit enfant entre 4 ans et 8 ans. Vous avez sans doute subi un traumatisme qui a laissé en vous de forts  ressentiments et même si ces injustices ne vous ont pas impactés directement mais plutôt un membre de notre famille, cela peut vous donner sans cesse un sentiment de victimisation à chaque fois qu’une problématique émerge !

Quelles sont les manifestations de cette blessure dans votre état psychique ?

Et si vous preniez le temps d’écouter vos pensées, de ressentir la souffrance qui se donne en vous, goutte à goutte  et qui empoisonne lentement vos aspirations. Et si vous alliez questionner un peu plus profondément vos crispations ! N’est-ce pas un étau qui broie votre intériorité inconsciemment ?

Souvent, vous vous sentez tourmenté sans comprendre vraiment d’où vient cette baisse de moral ou ce découragement. Vous vous sentez las, démotivé, comme affaibli, et vous en ignorez la cause. Cela vous entraîne bien malgré vous, dans un état d’âme pessimiste qui vient nouer  tout votre corps et qui freine jusqu’à votre élan pour rendre difficile votre rapport aux autres !

Quel est au fond de vous cet écho lancinant qui résonne dans votre manière de regarder la vie ? Que voyez-vous de si sombre que les autres ne voient pas ? Quel ombre vous masque à vous-même ? Avez-vous oublié de vider la corbeille de vos expériences passées ?

Pourquoi respirez-vous avec difficulté comme si  l’air était  vicié ? Qu’est-ce qui vous oppresse et vous angoisse à un point tel que vous refusez de faire confiance à la vie elle-même et aux autres en particulier? Pourquoi tout vous agace ? Pourquoi avez-vous cette tendance fâcheuse à tout critiquer sans laisser une chance au positif !

Quels sont les fardeaux que vous portez si lourdement sur vos épaules si bien que vous paraissez à ce point découragé ?  Avez-vous sans cesse  ce goût d’amertume qui vous empêche de croquer dans la nouveauté et d’ouvrir votre curiosité au plaisir de vivre l’instant présent?

Avez-vous cette terrible impression d’être condamné à  ne jamais obtenir la reconnaissance que vous méritez pour tous vos efforts ?

Traînez-vous dans votre sillage la blessure de ne jamais être compris ni entendu dans vos demandes, comme si les autres faisaient exprès de vous voler à vous-même ? Entendez-vous gronder en vous de plus en plus souvent  la rage de  devoir faire toujours plus sans qu’on ne vienne jamais vous réconforter ?

La blessure d’injustice est la plus violente de tous les tourments de l’esprit. Elle provoque des sentiments tellement désagréables que la vie ressemble à un combat acharné où vous avez l’impression d’être toujours perdant quels que soient vos succès car vous vous sentez perpétuellement lésés dans toutes les situations ,  ce qui déclenche en vous  des ouragans de plaintes, de colères et de mal-être !

C’est la blessure la plus dévastatrice qui laisse se déchainer  en vous de bourrasques violentes de vents tempétueux qui assombrissent le ciel de vos pensées pour laisser poindre des orages de plus en plus fréquents. Vous trouvez tout injuste, inadmissible ! C’est comme si tous complotaient contre vous pour vous donner toujours la même vision du monde inéquitable et ingrat ! Alors vous vous sentez sans cesse furieux!

Souffrir de la blessure d’injustice est destructeur pour vous mais aussi pour les autres qui vous côtoient. On ne sait jamais comment vous allez prendre les choses. On ne discerne pas le flou de  vos errances dans votre manière d’être ! On vous craint car vous êtes intraitable si on marche sur vos plates-bandes. Vous donnez l’impression extérieurement que vous êtes calme mais nul ne peut percevoir le raz-de-marée qui vous submerge à chaque fois que vous êtes face à une injustice !

Vous avez d’ailleurs de plus en plus de mal à partager vos idées, tant vous subissez à chaque fois  la mauvaise expérience de vivre des trahisons d’idées sans aucune reconnaissance ni récompense !

Ressentir de l’injustice est une source continue de frustrations, vous n’arrivez jamais à vous faire comprendre pour espérer mettre plus d’harmonie dans votre vie, tant s’accumulent des situations où l’on vous prive de ce que vous méritez ! Et ce schéma devient tellement récurrent que vous baissez les bras et vous ne voulez plus faire aucun effort ! Vous perdez votre  motivation !

Au final, vous ne savez pas que tout s’explique dans votre manière de voir la vie, c’est ce rapport  qu’il convient de changer. Comment espérer obtenir des résultats différents si vous pensez que tout est injuste ! C’est un cercle vicieux, plus on souffre des injustices, plus on se ferme, et plus on a du mal à croire possible un changement !

Souvent on se résigne et on sombre dans un profond mal-être, on regarde les autres obtenir facilement ce que l’on doit s’évertuer à arracher à la sueur de son front, alors on désespère de voir les choses changer ! On capitule et on laisse nos idées au placard, on devient l’ombre de nous-même! On perd notre élan!

C’est là où se trouve le problème, à force de croire que tout sera toujours plus difficile pour vous, inconsciemment vous attirez à vous des situations d’injustice dans votre manière de concevoir les choses, vous finissez par en tirer les mêmes conclusions : « La vie est tellement injuste ! »

Il est donc vital pour votre bien-être de changer de rapport  pour vaincre une bonne fois pour toute ce sentiment négatif ! Si l’autre se comporte d’une manière qui ne correspond pas à votre vision du monde, ce n’est pas de votre faute ! C’est votre façon de juger ce qui est juste et ce qui ne l’est pas,  qui va  influencer votre manière de penser.  C’est à partir de votre subjectivité marquée par vos expériences malheureuses que vous allez vivre  vos problématiques avec plus de négativité et moins d’ouverture d’esprit !

Comment guérir votre sentiment d’injustice ?

Vous devez impérativement  renouveler votre regard :

  • Vivez les situations qui se donnent  sans rien anticiper sur les conséquences éventuelles.
  • Faites davantage confiance aux autres et à vous-même! Il existe des personnes honnêtes !
  • Sortez de votre repli intérieur par peur de  nouvelles déceptions et ouvrez la porte à un monde plus lumineux.
  • Accueillez  la vie comme une nouvelle partie à jouer, amusez-vous davantage sans craindre des conséquences fâcheuses !
  • N’ayez pas peur des critiques !  Les autres ne sont pas dangereux si on fait confiance à la vie !
  • Laissez votre cœur libre d’aimer, libre de penser, libre d’être lui-même ! Ne réfrénez pas ce qui demande à s’exprimer !
  • Ne recherchez plus la justice mais l’harmonie et l’équilibre dans la justesse !
  • Prenez conscience du fait que vous n’êtes pas un justicier mais un être humain, un héros de la vie qui croit en sa magie, un alchimiste du cœur qui préfère penser qu’il y a toujours une solution à tout !
  • Percevez de plus en plus ce qui vous unit aux autres et non ce qui vous sépare ! Laissez de côté vos clivages et accueillez la diversité du monde dans une volonté de partage et en étant plus tolérant. Ayez foi en la bonté de tous et de chaque expérience à vivre !

Plus votre regard se réajustera, plus vous cesserez de voir la vie déformée et injuste. Vous changerez enfin de rapport pour opter pour une stratégie plus gagnante. C’est ainsi que votre blessure d’injustice s’effacera de plus en plus jusqu’à disparaître complètement !

A chaque fois que vous faites une action, regardez-la autrement avec un autre goût, celui de pouvoir incarner ce que vous souhaitez vraiment au fond de votre cœur et ressentez votre communion parfaite avec la vie qui mettra  alors un baume plus doux sur toutes vos blessures pour laisser enfin votre âme sourire !

La justesse n’est pas dans votre mental mais avant tout dans votre cœur ! Pour un monde plus juste dans l’harmonie collective…

Maryse de Mes Mots de Vie

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