Vivre dans la conscience supérieure

Les pensées négatives créent votre réalité…

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Au cours des pages qui se noircissent à chaque chapitre de notre histoire de vie, on se rend compte que nous abandonnons souvent nos désirs et nos objectifs pour nous laisser happer par le flot émotionnel. Les émotions nous submergent trop souvent et nous font plonger dans des péripéties dont on n’arrive pas à se libérer pour respirer la vie comme elle vient. On limite son flux naturel en refermant l’espace de  notre déploiement en cherchant sans cesse à nous comparer aux histoires des autres. Les points communs ne sont que des illusions qui nous rassurent. Notre regard est tenté d’aller cueillir à la volée, des bribes de ce qui  semble nous ressembler et que l’on s’oblige à intégrer dans nos stratégies personnelles, parce que l’on préfère penser que cela nous permettra d’être avec les autres.

Nous sommes sans cesse avec les autres par notre individualité, et dans cette seule et même unité qui nous lie les uns aux autres. Mais nous avons chacun aussi, notre manière de vivre l’expression de notre mission d’âme. C’est pourquoi chercher à plaire ou à exister pour l’autre, c’est comme entrer en résistance avec soi-même et s’auto-limiter. On s’étonne alors ne pas trouver un état de quiétude durable. Si chacun de nos actes n’est fait que par rapport à l’autre, alors on ne peut que récolter l’opposé de ce que l’on recherche, c’est-à-dire l’impression de ne pas réussir à atteindre ce que l’on désire vraiment.

Les attentes que l’on porte vers les autres, s’accompagne inexorablement d’une vague de plus en plus haute d’émotions négatives qui déferle avec de plus en plus de violence, pour nous montrer que  l’on ne va pas du tout dans la bonne direction, comme si on avait perdu le contrôle de nous-mêmes. Souvent, le conflit intérieur nous fait comprendre que si l’on n’arrive pas à trouver une zone de calme et de bien-être dans ce projet qu’on mène, cela signifie que nous faisons fausse route. Alors plutôt que de renoncer ou de se décourager, il convient d’analyser  le sens des émotions  qui nous assaillent, sans les refouler. En les laissant s’exprimer, on leur permet de nous délivrer un message pour faire apparaître  une stratégie à réajuster, une croyance à laisser partir, une manière de pensée qui ne permet pas de se déployer.

Aucun succès, aucun combat ne peut nous ramener « à la maison », au chaud dans notre cocon protecteur où règnent l’harmonie et la paix intérieures. Les émotions  ne sont que des révélateurs de ce qui est à comprendre, pour reprendre le bon chemin vers nos aspirations et nos zones de déploiement. Elles nous indiquent où se situent nos croyances limitantes qui n’ont rien à voir avec le vrai but de notre destinée.

Chercher cet accordage à chaque instant dans nos prises de décision demande une persévérance et une détermination à toute épreuve, sans jamais faillir, quand la tentation est trop forte de succomber à ce qui est facile et piégeur.

Vivre en étant connecté à sa conscience, c’est sortir du brouillard de nos pensées conditionnées par nos attentes, pour cultiver au-dessus de Soi, un soleil qui continue à briller malgré les circonstances et les expériences, et qui vient nourrir notre force intérieure et notre motivation à chaque instant.

Quand une émotion négative vient nous frôler, il ne faut pas feindre de ne pas la ressentir. Oui elle est là, et on doit se demander alors : « qu’est-ce qu’elle veut me dire ? » La connexion immédiate à la prise de conscience, permet de laisser l’émotion se dévoiler, pour se raconter, pour se dire puis pour circuler et pour repartir pour s’évaporer loin de nous. C’est ce qu’on appelle se laisser traverser par nos émotions.

Lorsqu’on cesse de s’identifier à nos émotions négatives, on se met en action pour les célébrer comme des messagers qui mettent en évidence les reflets de nos états d’âme. Si on ressent de la joie, alors tout notre être en accueillant ce sentiment de légèreté rayonne et pétille à travers ce moment de bonheur, ce qui nous procure de la bonne humeur. Quand on ressent de la colère ou de la tristesse, c’est le même processus, tout notre être fait vibrer cet état négatif, ce qui influence tout ce qui nous environne pour l’envelopper comme d’un nuage « toxique », jusqu’à créer une réalité troublée et plus lourde à supporter.

Le poids des émotions négatives qui s’accumulent est totalement inconscient, de notre part mais palpable à travers notre attitude.  On le perçoit également dans nos fréquences vibratoires,  on se sent comme ralenti, découragé, déprimé comme tirer vers le bas, vers une faille qui vient engloutir toute notre bonne humeur pour nous envelopper d’une aura grise. Alors, on n’arrive plus à penser positivement. Le stress, l’inquiétude, l’anxiété viennent comme s’agglutiner à tous  nos actes et l’on a l’impression que la vie est une lutte.

Comprendre que nos émotions nous font plus de tort que les situations elles-mêmes, c’est apprendre à changer de rapport à ce qui nous perturbe dans notre quotidien. Activer la Conscience comme moteur de sa vie, c’est reléguer au second plan, le mental et ses illusions.

Être en paix, c’est exister au milieu du chaos sans être tourmenté, comme si on était ancré à  quelque chose de bien plus grand que notre simple condition d’être humain, comme si on était aussi immense que l’infini. Cette conscience élargie, elle est là, de fait, quand on médite, quand on se connecte à la nature, quand on contemple le silence, quand on éteint le mental. C’est notre véritable source de pouvoir, de réalisation, et de bienfait.

Plus on apprend à écouter nos sensations, plus on apprend à doser nos réactions. Qu’est-ce qui nous gêne dans cette circonstance, dans cet échange, dans ce commentaire ? L’autre n’est qu’un révélateur de nos émotions refoulées. Tant qu’on ne les laisse pas s’exprimer par des moments de conscientisation, on s’enferme dans sa spirale, jusqu’à ne plus accepter de voir et de reconnaître ce qui nous met en difficulté.

Pour faire le test de votre état émotionnel, jauger ce qui a une intensité extrême au cours d’une journée : combien de fois vous vous mettez en colère, vous vous sentez irrité ou agacé ? Combien de fois vous vous plaignez ? Combien de fois vous formulez des reproches ? Combien de fois vous changez d’humeur ?  Quel est votre dialogue intérieur ? Quels sentiments perdurent au moment de vous coucher ? Quel goût avez-vous gardé de ce que vous avez vécu,  pour pouvoir affirmer, que vous  avez passé une bonne ou une mauvaise journée ? Qu’est-ce qui a d’ailleurs le plus influencé votre état émotionnel : la comparaison, le jugement, la jalousie, les médisances, les critiques… ?

Chaque pensée, entraîne une émotion à travers un comportement qui  raconte notre histoire : nos blessures de l’enfance, nos mauvaises expériences, nos déceptions, nos exigences…Être capable de se regarder dans les yeux de son intériorité, en profondeur et sans peur, c’est atteindre le plus haut sommet de l’amour de soi que l’on puisse éprouver : « Je m’aime comme je suis et je me prends en charge dans mes émotions négatives pour trouver le sens de ce que je vis et aller à la reconquête de couleurs à apporter à ma vie. »

Faire preuve de compassion et de gratitude à notre égard, c’est rester ancré à notre force intérieure qui sait nous montrer la voie, vers ce qui nous permet de nous alléger de nos émotions négatives.

Notre mental nous mène par le bout du nez, il nous raconte des sornettes que nous voulons bien croire parce que ça nous arrange. Cela nous donne une bonne raison de ne pas aller creuser plus en profondeur à la racine même de nos stratégies de vie, relationnelles ou émotionnelles qui ne sont pas gagnantes.

Savez-vous exister sans vous plaindre, sans avoir pour refuge de vie vos histoires passées, sans admettre juste un instant, qu’on peut toujours faire mieux quand on veut vraiment accéder au niveau supérieur de son être et de son existence?

Écrire sa vie, c’est savoir aussi l’accueillir sans la craindre pour pouvoir se convaincre que les maux finissent par  se dissiper quand on les regarde à travers les yeux transparents de notre conscience supérieure et non avec le regard déformé et étriqué de notre égo, qui sait si bien nous duper, pour tout transformer, pour  nous faire douter, culpabiliser et nous empêcher de donner le meilleur de nous-mêmes.

A chaque fois qu’on restreint l’amplitude du rayonnement positif de notre Soi, on devient comme l’ombre de  notre vie,  parce qu’on a peur de ne pas être reconnu, compris et soutenu. Alors,  on oublie que l’amour de soi à son plus haut degré n’a plus besoin de validation. On ne recherche plus la satisfaction des autres,et  on comprend que le vrai bonheur est sans limite,  car il est intérieur, quand on sait vivre dans la justesse de ce qui nous rassure, de ce qui nous protège, de ce qui nous élève…

N’ayons  plus peur de donner le meilleur de nous-mêmes à tous et pour tout,  si notre intention est de nous accorder au flux  spontané de la vie, on peut remplacer les émotions négatives, par un océan de gratitude afin d’aller vers  les plus belles réalisations dans l’instant.

Respirer la vie dans ses possibles, c’est apprendre de chaque souffle, encore et toujours, sans regret, sans retenue, pour le meilleur et jusqu’à l’infini de soi.

Maryse de Mes Mots de vie

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Le miroir de l’instant

Le pouvoir de l’instant présent radoucit la vie…

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Fermez les yeux puis rouvrez-les et regardez autour de vous. Quelle est votre réalité, là tout de suite, maintenant ? Que voyez-vous comme éléments représentatifs de vos sentiments du moment ? Quelles sont les traces des empreintes de vos pensées et de leurs marques inconscientes ?

Regardez-vous dans ce miroir très personnel. Peut-être êtes-vous en train de travailler et que vous voyez se refléter ce que vous ressentez dans cette ambiance dans laquelle vous exercez votre activité : une énergie de chaleur et d’entraide, ou une froideur calculée avec quelques éclats d’orgueil et de prétention… ?

Regardez dans le miroir de la nature : en quoi ce brouillard qui enveloppe votre paysage résonne t-il avec le flou des incertitudes qui agitent votre mental ? Ou peut-être le doux soleil fait-il briller vos envies de vous renouveler ?

Regardez-vous dans le miroir de l’autre, des autres, de celui qui est là juste à côté de vous, en quoi sa présence vous ressemble, en quoi est-elle différente ?

Regardez-vous dans le miroir du Monde, quels sont les événements qui vous font réagir ? Qu’est-ce qui vous émeut, qu’est-ce qui vous agace ? De quoi parlent vos émotions ? De tristesse, de joie, de colère, de tendresse, d’amour, de frustration ?

L’instant présent est riche de symboles et de signes à interpréter comme des évidences de ce que l’on n’arrive pas à se dire à soi-même, de ces vérités masquées qui pourtant chantent leurs complaintes à nos oreilles.

Pourquoi avons-nous du mal à interpréter consciemment ce qu’évoque le reflet de tous ces miroirs dans lesquels on se regarde ?

Si nous sommes happés par certaines informations, certaines personnalités ou caractères, certaines tendances ou influences, tout cela parle de nous, à nous d’en être conscients.

Suis-je conscient de ces pensées qui m’empêchent d’aller bien ? Suis-je capable de lire dans les signes palpables autour de moi, de ces bouts de moi-même portés par le souffle de l’instant ? Suis-je apte à concevoir ce qui me ressemble dans ce que je vois dans le miroir de la vie ?

Le miroir de l’instant me montre où j’en suis à chaque instant avec moi-même, avec les autres…

Suis-je en phase avec ce que je ressens dans mon présent ? Est-ce que ce que je vis dans l’instant me ressemble vraiment ? En quoi je m’accorde à ces fragments de ma vie qui m’emportent dans mon quotidien ?

Lorsque j’observe dans le miroir de l’instant les contours de mon existence, de ma présence, de ma conscience dans le silence de mon âme, je vois…Oui je vois tout ce qui paraît invisible pourtant. Je vois le chaos du Monde dans lequel je cherche mes pas, je vois les masques du mystère relationnel qui m’empêchent d’être moi-même, je vois les agitations, les trépignements, les impatiences de ceux qui n’ont pas envie d’attendre pour sauter dans le gouffre de l’impossible de leurs exigences. Je vois des agglutinements de foule, je vois des cœurs éteints, je vois des sourires sans paraboles, je vois les supercheries du destin.

Dans le miroir de la vie, tout est visible pour celui qui regarde avec les yeux de la Conscience, sans peur, sans égo, sans mensonge, sans façade. Le voile qui recouvre les yeux des blessures de l’âme, se lève et l’on voit comme dans l’eau pure de la rivière qui s’écoule avec lenteur, le jeu de la vie.

Une à une se dissipent les mille et une couches de brume qui pèsent sur le reflet de la réalité, lorsqu’on ouvre les yeux bien grands, on voit avec les yeux du cœur ou de l’esprit, toutes les particules éclatées de l’être perdu entre le paraître et le devenir et on comprend mieux les enjeux cachés derrière chaque intention.

Où est passée la joie de laisser la vie s’écouler sereinement et  légèrement pour créer l’instant et le diffuser comme un effluve d’amour, de bienveillance, de partage ? A quel moment le temps a-t-il englouti les désirs et ses déclinaisons ?

Dans le miroir de la vie, tout est gris, tout est sombre, même la lumière ne reflète que des ombres. Lorsqu’on se regarde à travers notre histoire, on voit apparaître tans de visages différents que nous ne sommes pas. Qui est cet inconnu que je ne connais pas ? Qui est cet imposteur qui a pris ma place ? Qui est ce Moi que je ne reconnais pas ?

O toi qui me regarde à travers le miroir de ton égo me vois-tu vraiment ou ne suis-je qu’un mouvement invisible à tes yeux, impalpable lueur que tu ne perçois pas, intouchable chaleur que tu ne ressens pas. Qu’as-tu fait de tes sens perceptifs ? Les as-tu remplacés par des écrans artificiels ? Sais-tu encore comment dessiner les contours de ton visage sans regarder dans tes selfies omniprésents ?

Te vois-tu dans le brouillard des autres ? Arrives-tu encore à distinguer tes traits sans les confondre à ceux des autres ?

Reviens dans ta présence à l’instant, que vois-tu dans le miroir de ton âme connectée ?

N’est-ce pas un cœur en manque d’affection, une bouche sans baisers, des yeux sans éclat, et ce nez sent-il vraiment le doux parfum de la vie qui n’attend que toi pour batifoler au vent ? Et ce corps qu’a-t-il perdu ? Où s’est-il égaré ? N’est-il qu’une silhouette inhabitée ?

Reste dans ta présence et ressens la douceur de l’instant qui se pose au cœur de ton être pour te rappeler à quel point tu es vivant quand tu habites le miroir de tes pensées positives et joyeuses, quand tu animes ton regard des belles couleurs de ta conscience éveillée, quand tu redonnes à chaque seconde le goût de l’éternité.

Oui, il t’appartient d’aimer la vie même quand elle est plus dure, pour lui permettre de se réchauffer dans ta foi de croire en toi.

Oui, tu peux rallumer la flamme et faire briller ton reflet pour habiter l’instant et ne jamais te quitter.

Respire la joie d’être là, juste de te percevoir dans ta présence et regarde-toi dans le miroir de la vie , tu verras les mêmes reflets scintiller autour de toi même qu’un peu.

C’est en redevenant à chaque instant l’Espoir que l’on recherche qu’on permet au reflet de la vie de nous emporter dans son flux apaisé au cœur de notre paix intérieure, elle est de notre responsabilité pour ensuite aller vers les autres, sans paraître absent à l’instant.

Le miroir de l’instant est toujours fidèle à ce que l’on ressent.

Parce que l’unique fréquence de la vie, c’est celle de votre présence à l’instant, vibrez haut et fort ici et maintenant, le reste n’est qu’illusion.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Slow coffee ou slow life : L’art de prendre son temps !

Quand on laisse couler goutte à goutte l’essence de l’inspiration

Qu’on laisse se répandre les effluves enivrants de la créativité

On s’abandonne à la légèreté de simplement « être » sans crier gare

Le seul fait de vivre chaque instant dans toute l’étendue de ses possibles

D’apprécier l’immensité d’une précieuse seconde…

On réapprend à exister pour soi

On se redonne une place importante

On s’abandonne au temps

On s’offre entièrement à l’instant

Il n’y a rien de plus beau que ce sentiment « d’avoir le temps »

Tout dépend de ce qu’on recherche vraiment

Pourquoi avoir peur de « perdre son temps » ?

Où est-ce qu’on court ? Après qui et comment?

Je regarde s’extraire l’élixir de mon âme

Les gouttes tombent une à une délicatement dans la coupe de cristal

J’y sens un arôme, une complexité

J’y goûte une amertume, une acidité

J’y perçois un caractère, une sucrosité

Et au-delà des apparences, je peux discerner un profil, une présence…

Ressentir ce qui l’anime

Discerner sa vibrance

Dessiner ses contours

Peindre ses nuances

Apprécier son goût unique

Sa texture si douce et éclectique

Teintée de couleurs à la fois denses et magnétiques

Je réalise alors que l’extraction douce du café me fait penser à la danse lente de la vie

Qui se donne à savourer quand je prends le temps de la laisser glisser délicatement sans la forcer et la presser

Lorsqu’elle coule sans se hâter, elle m’invite à explorer la richesse infinie de ce qui est disponible au cœur de mon être

La lenteur entre chaque goutte extraite suit la justesse d’un rythme naturel qui respecte l’authenticité sans dénaturer l’entièreté et l’identité

Ce moment suspendu est un espace déployé pour me connecter à l’instant présent dans toute sa beauté et dans toute sa volupté

Pour faire de la vie un Tout accompli, pour être pleinement vivant dans la singularité face à l’impatience du Monde qui est toujours trop pressé, en mode expresso sinon rien!

La patience est bel et bien une vertu qui se mérite pour se préparer au meilleur à extraire pour un millésime de bonheur aux saveurs envoûtantes de chaque expérience qui se délecte ici et maintenant.

Comme dans la méthode du Slow Coffee, adopte toi aussi la philosophie du Slow Life et de sa fantaisie et laisse-toi le temps de vivre cette merveilleusement symphonie. Développe chaque parcelle de ton âme pour écouter la musique suave de la vie qui sait où elle va, quand on la respecte dans sa cadence et dans son mouvement qui étirent le temps, pour en distiller des secondes toujours plus savoureuses et plus intenses à travers une dégustation les yeux fermés, comme dans un cocon réconfortant, pour accueillir la grâce et la magie de l’Instant Présent .

PS : Ne t’inquiète plus et capture ce moment, on a toujours plus de temps qu’il n’en faut si on le décide maintenant!

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Les Vœux de MMDV

Que 2024 laisse s’écouler goutte à goutte, dans votre vie, les notes d’Amour, de douceur et d’équilibre pour une année riche en joyeuses surprises. 

Joie, Harmonie, Amour et Paix.

Nous vous remercions pour votre fidélité sur Mes Mots De Vie.

En 2024, nous continuons de vous accompagner avec des mots vibrants d’énergie pour vous aider à déployer toujours plus d’Amour de Soi dans votre vie et pour vous ouvrir à des prises de conscience nécessaires.

Faites rayonner la joie d’être pleinement vous, libres et affirmés.

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Avec MMDV, soyez fiers de vous en toutes circonstances !

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