Les blessures de manipulation laissent des traces indélébiles : comment apprendre à les atténuer ?

Ne plus souffrir de la manipulation

Maryse de Mes Mots de Vie

La manipulation, personne n’y échappe, petit ou grand, c’est comme une manière d’être ou de faire pour conquérir la vie comme s’il s’agissait d’un territoire à revendiquer.

Dès le plus jeune âge, cela commence avec les crises de larmes, de frustration face au non du parent qui capitule, pour ne pas se sentir indigne.

A l’adolescence, souffle aussi le vent de la révolte, certains adolescents traversent cette période en apprenant à se raisonner mais d’autres se laissent emporter par la tempête intérieure hormonale qui bouscule leur corps et crée dans leur esprit comme une opposition constante à tout.

A l’âge adulte, on est ce que l’on a été enfant, c’est-à-dire soit un enfant qui a su ruser de ses caprices pour obtenir tout ce qu’il voulait, soit un enfant qui garde en lui l’impression d’avoir été brimé, soit un enfant qui accepte son quotidien sans broncher, mais avec énormément de frustrations de passer toujours après les autres,….

L’enfant à l’intérieur de nous est là, au fond du fond de nous-mêmes, on ne pourra jamais l’ignorer puisque hormis l’âge qui marque la différence, nous sommes et serons toujours le même être, petit, grand ou âgé.

Lorsqu’on parle de l ‘enfant intérieur, il ne faut pas se tromper, il s’agit bien de la mémoire que nous gardons de notre enfance, des souvenirs au cours des étapes de notre croissance, de notre éducation alors que nous étions sous la responsabilité entière de nos parents, au travers de ce qu’ils nous ont inculqué comme valeurs morales, comme qualités humaines, comme modèle de croyances ou de références.

Aussi, souvent, lorsqu’on regarde un adulte, si on l’observe bien dans ses attitudes, on peut entrevoir encore le petit enfant qu’un jour, il a été. Ce n’est pas le changement physique ou morphologique qui parviendra à camoufler ses gestes, ses regards et ses mines qui sont encore en lien avec cette manière enfantine de réagir !

On peut le voir quand un adulte s’énerve, on s’imagine l’enfant frustré qui n’a jamais obtenu facilement ce dont il avait besoin ou ses envies non satisfaites. Lorsqu’un adulte pleure, c’est souvent les larmes du petit enfant triste et malheureux qui ruissellent sur ses joues. Quand un adulte rigole, il a gardé ses airs de petit garçon ou de petite fille un peu chafouin, un peu espiègle.

Lorsqu’on prend conscience de l’enfant qui est là, derrière chacun de ses pas, on comprend mieux la difficulté pour l’adulte de faire face parfois à un sentiment de détresse ou de solitude. Comment peut-il penser autrement, si dans l’enfance, il a dû subir une éducation douloureuse plutôt que de grandir sereinement et en toute sécurité?

Concernant la manipulation, l’adulte qui devient manipulateur est souvent un être qui est resté enfermé dans des blessures de l’enfance, et qui a sans doute subi la tyrannie d’une éducation parentale  où il n’a pas appris à prendre sa place dans la douceur, mais seulement en s’imposant par la force. Aussi à l’âge adulte, un tel individu peine à trouver des stratégies gagnantes pour exister pleinement et pense inconsciemment que pour réussir, il faut à tout prix manipuler les autres.

Qu’est-ce que cela signifie « manipuler » à tout prix ?

C’est cette incapacité à accorder sa confiance à quelqu’un sans pouvoir lui laisser la liberté de choisir ! Manipuler, c’est s’imposer dans le territoire de l’autre, c’est envahir jusqu’à sa manière de penser et d’être. C’est ôter à l’autre son pouvoir personnel, c’est le soumettre sans trouver cela inconvenant, c’est abuser de sa naïveté, de sa candeur ou même de sa grandeur d’âme sans scrupule. C’est se mentir à soi-même sur ses véritables intentions. C’est se dissimuler derrière des sentiments d’amour pour cacher ses propres errances psychiques. C’est faire croire à une soi-disant « pseudo-solidité » à travers un rapport de force et de contrôle incessant de la vie.

Le manipulateur ne sait que manipuler, il ne faut pas lui demander ce que cela signifie,  il vous répondra toujours que ce qu’il fait, c’est toujours dans l’intérêt de l’autre, pour son bien  car il sait mieux que l’autre ce qui est bon pour lui. Le manipulateur est tellement sans écoute des besoins réels de l’autre qu’il ne sait jamais voir ni comprendre ce que celui-ci pourrait lui reprocher même quand sa vie est le reflet catastrophique de ses agissements : excès de violence, rupture, séparation, conflits, tensions perpétuelles, souffrances à répétition….

Le manipulateur est verrouillé dans une attitude de commandant de la vie, il lui donne des ordres et fulmine quand les choses ne se passent pas comme il l’exige.

Il n’entendra jamais dans son comportement extrême, résonner autour de lui comme une impression d’abuser des autres à travers ses manipulations. C’est sa marque de fabrique malheureusement, ses repères pour exister et le mal qu’il commet en agissant ainsi ne semble jamais l’impacter. Il semble totalement hermétique à la détresse de ceux qu’il accable, par sa domination excessive et sa pression sur leur esprit.« Je t’aime donc je te commande et tu dois l’accepter sinon cela signifie que tu ne m’aimes pas » !

Les blessures de la manipulation sont difficiles à réparer !

Celui qui a subi sans arrêt la manipulation toxique par exemple, de ses parents depuis son enfance, a du mal à exister, sans avoir sans cesse l’impression à l’âge adulte, qu’ils sont encore là au-dessus de lui, pour lui reprocher ses échecs, en levant le fouet invisible de leur châtiment , comme s’ils semblaient lui dire: «  Tu es un mauvais enfant, c’est pour cela qu’il t’arrive des problèmes puisque tu ne nous obéis pas ! » . C’est ce qui semble résonner incessamment dans les pensées de cet adulte qui autrefois était un enfant brimé, bien malgré lui, comme un regard malveillant qui pèse continuellement sur ses actes et qui l’empêche d’être libre.

L’adulte enchaîné à cette manipulation abusive, aura alors des difficultés à s’affranchir de ce joug qui demeure malgré l’éloignement, la distance ou la séparation définitive.

L’adulte n’est qu’un enfant dans un corps d’homme ou de femme, certes, il a gagné en maturité mais ses blessures sont toujours là enfouies. Dans la fleur de l’âge, il arrive à les gérer mais  ses blessures deviennent de plus en plus vivaces au fil des ans, surtout lorsqu’il commence à vieillir. Comme si cela n’avait jamais été vraiment conscientisé ni réparé et qu’inévitablement les blessures finissaient par remonter à la surface pour lui donner un mal-être indicible.

Ces traces indélébiles  poursuivent la personne qui a été manipulée jusqu’à lui faire ressentir un profond sentiment de culpabilité qui domine, dans sa personnalité tourmentée, à cause de ce qu’elle a subi. Elle se sent comme coupable de cette manipulation dont elle n’a pas pu ou su se protéger ! Et c’est à travers la colère intérieure qui demeure et qui gronde en elle que transparaît encore ses blessures qui se ravivent, et on peut y lire la détresse de son âme !

Comment ne plus souffrir de ces blessures de manipulation que vous avez subies ou que vous subissez encore dans votre vie?

Vivre en se mentant à soi-même,  c’est ça qui n’est pas possible ! Vous ne pouvez pas feindre d’être heureux alors que règne à l’intérieur de vous le chaos ! Enrubanner vos détresses ne les aidera pas à s’éteindre ! Faire comme si que tout allait bien n’est pas sain et a des conséquences destructrices  au bout d’un moment ! Vous entraînez même d’autres personnes dans vos tourments sans chercher à vouloir guérir  ce qui ne va pas !

Il faut savoir vous regarder en face et voir où se situent encore les traces de ces blessures !

Apprendre à les réparer, signifie ne plus les taire, pour mieux comprendre et assainir les différents points de vue, ça peut vous faire du bien ! Pratiquer l’écriture thérapeutique ou toute autre méthode douce pour vous réaligner avec votre propre histoire de vie, en nettoyant ces parts de vous qui méritent toute votre attention et aussi toute votre bienveillance.

Il est en tout cas urgent de rassembler toutes vos parts blessées pour ne pas vivre à moitié comme  une part de souffrance  délaissée qui éteint votre vie avec des tonalités souvent grises jusqu’à empêcher la joie de rayonner dans votre personnalité qui est étouffée!

La meilleure façon de les atténuer jusqu’à les voir disparaître, c’est revenir à une question fondamentale : qui êtes-vous vraiment quand vous n’êtes plus dans l’obligation de plaire à vos parents  pour ce qu’ils voudraient que vous soyez depuis toujours ?

A quel moment sortez-vous de ce regard éternel de vos parents, de leur jugement à votre égard,  pour vous autoriser à être vraiment celui ou celle que vous voulez être ? Que vous ont-ils imposé qui n’était pas dans vos choix personnels ou dans vos goûts? A quel moment avez-vous eu la liberté d’être vous-même ?  Peut-être avez-vous-même pris cette liberté ?

Devenez qui vous êtes, lorsque vous enlevez tous les formatages de votre éducation reçue ! Accueillez dans vos bras, ce petit garçon ou cette petite fille qui n’a pas pu montrer ce qu’il ou elle avait comme aspiration ou envie. Et donnez vie à vos rêves !

Relookez votre âme, votre esprit aux couleurs de votre essence intérieure ! Réajustez votre manière de penser ou de regarder la vie. Ne voyez plus la vie avec les yeux de vos parents. Ne portez pas leurs souffrances ni leurs détresses, cela leur appartient ! Au contraire, ayez pour intention de réparer ce passé, pas de le porter sur vos propres épaules, comme une charge trop lourde, qui vous déprime et  qui vous accable encore et encore à travers ce que vous ne savez pas ou ce qui ne vous appartient pas !

Lorsque vous libérez votre conscience du poids de ces blessures manipulatoires s’ouvre alors un champ à explorer avec de meilleures qualités morales, vous ne luttez plus pour vivre, vous ne vous sentez plus en conflit avec la vie, vous ne vous voyez plus comme rival des autres, vous devenez plus honnête moins manipulateur vous-même !

Quand vous observez votre vie, vous êtes fier de vos actes qui ne sont jamais teintés de fausseté, de manipulation pour parvenir à vos fins. Vous ne vivez plus pour des intérêts personnels. Vous les mettez de côté  pour rester en lien avec votre mission d’âme, qui est de partager, de collaborer, d’œuvrer sans chercher à vouloir dominer les autres ou à les éclipser. C’est seulement à ce moment-là que vous vous réparez vraiment de ce que vous avez subi, pas en le reproduisant !

Croyez que la vie est bienveillante pour rester dans une qualité de présence à vous-même pour entendre ce que la vie vous murmure chaque jour, qu’elle est ouverte, et que votre esprit fermé  l’enferme dans vos exigences !

Faites-vous du bien et valorisez  l’honnêteté et la douceur comme règles de vie pour espérer réparer ces blessures  de manipulation même ancestrales qui peuvent  influencer votre manière d’être et vous empêcher de percevoir le monde comme un lieu où il y aura toujours de la place pour tout le monde, sans avoir à se marcher les uns sur les autres. Soyez grand et magnanime et faites-vous confiance !

Pour plus de sérénité et d’équilibre! Et apprenez à pratiquer l’écriture pour vous réparer et mieux gérer vos émotions.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment transformer votre blessure de rejet pour combler votre manque affectif

La blessure de rejet émet des ondes négatives dans votre vie.

Entre l’enfance et jusqu’à l’âge adulte, vous êtes happé  sans arrêt par ce vide intérieur que représente la blessure de rejet qui résonne sans cesse  dans vos peurs, dans vos pleurs, dans vos manques, dans votre mal-être. Toutes vos interactions difficiles se résument aux effets néfastes de cette blessure émotionnelle passée, tapie au fond de vous.

Pas à pas, vous grandissez en gardant à l’intérieur de vous comme  une entaille profonde qui devient l’écho silencieux de ce qui vous rend souvent triste, comme si vous étiez en décalage par rapport au monde extérieur. La difficulté à vous faire comprendre est récurrente, et c’est le signe fort de cette cicatrice qui  marque votre identité et vous empêche de vous déployer totalement, comme si vous étiez bloqué par  cette barrière intérieure inconsciente.

Vous vous sentez souvent seul, délaissé, rejeté comme si vous n’aviez pas la possibilité de vous faire aimer ou accepter des autres. Alors, vous expliquez cela par vos prétendues imperfections qui sont pour vous, le symbole de ce rejet. Vous faites une liste de tout ce qui ne va pas  à vos yeux, vos défauts, de votre physique à votre caractère en passant par vos goûts.

Vous concluez que votre sentiment de rejet vient de là. Au fil du temps, vous vous voyez changer, améliorer, renouveler et pourtant les conséquences négatives demeurent malgré vos efforts pour plaire. Vous restez toujours à l’écart, sur le banc de touche, à l’extérieur de la vie qui tourne autour de vous mais qui vous évite dans ses joies et dans ses moments les plus heureux. Pourquoi ? Vous n’arrivez pas trop à en comprendre les raisons, vous en souffrez et vous vous sentez comme coupable de votre inaptitude à développer des relations épanouissantes, en raison de ce rejet constant que vous ressentez!

Vous errez en vain, vous êtes souvent triste, malheureux, mal dans votre peau. Au point de vous trouver difficile à vivre, trop à fleur de peau. Alors vous vous durcissez, vous vous fermez, vous vous refusez le droit d’être léger et enthousiaste, vous devenez presque intolérant, presque insensible, presque indifférent comme verrouillé dans la peur lourde et grise de ne jamais réussir à exister pour ce que vous êtes.

Malgré les combats, les compromis, les tentatives de solution vers une destinée plus lumineuse, vous vous heurtez en chemin, et au fil de l’âge, aux mêmes angles morts non résolus. Vous êtes comme prisonnier de ce sentiment d’être incompris. Et c’est ce filtre déformant qui vous renvoie à chaque fois comme une illusion de la réalité.

Les traces de la blessure de rejet vous poursuivent !

La blessure de rejet teinte vos expériences d’amertume et au fil de votre vie, les traces du manque affectif sont des obstacles sur votre parcours. Au cœur de vos plus grandes réussites, vous vous sabordez en laissant s’ouvrir encore et encore cette plaie  qui jamais ne se referme pour vous lier éternellement à  l’incapacité de vous réaliser pleinement. Vous demeurez insatisfait, frustré, agité, torturé même. Vous tendez vers le perfectionnisme pour combler ce vide mais rien n’y fait, au contraire vous vous éloignez de plus en plus de vous-mêmes !

Alors, vous passez des heures à ruminer, à ressasser ou à ressentir ce mal -être intérieur qui cogne de manière assourdissante tel un martèlement incessant, avec des souvenirs toujours plus vivaces de tous ces moments marqués par l’indifférence, par la dévalorisation, par l’inattention et par les incompréhensions. Une longue liste, comme pour vous donner raison de croire impossible la guérison de  votre blessure de rejet comme si c’était une fatalité à porter toute votre vie sans jamais rien pouvoir y faire, pour espérer changer votre regard.

D’ailleurs, les autres deviennent souvent pour vous, comme un véritable enfer, comme  un écran noir où se reflètent vos peines les plus tenaces :  à chaque remarque, c’est une  vexation vécue, à chaque commentaire, c’est un rejet ressenti, à chaque regard, c’est un jugement qui vous meurtrit.

Quand vient l’âge où vous  changez physiquement, la blessure de rejet se fait encore plus forte dans ses résonances, donnant une dimension  encore plus dramatique aux expériences malheureuses d’une vie, comme une empreinte indélébile qui vous rappelle ce moule déformant dans lequel vous vous êtes  façonné depuis l’enfance, sans le savoir!

Et chaque difficulté à être devient plus lourde à vivre, à chaque changement physique, physiologique, psychologique, vous avez l’impression de subir encore plus de rejets. Vous prenez alors  conscience que tant que cette blessure de rejet dictera vos faits et gestes, tant que ce sera à travers sa résonance que vous vivrez, alors vous gaspillerez votre énergie  à vous battre inutilement sans jamais réussir à l’enfouir, sans vraiment vous débarrasser de ses effets désastreux , sans avoir conscience  que le rejet n’existe que dans  l’interprétation négative que vous donnez aux situations, ce qui déforme et grossit les détails pour vous faire souffrir davantage.

Il est temps de prendre le temps de trouver une voie de passage vers vous-même!

La seule voie de passage possible est d’apprendre à vous donner beaucoup plus d’amour, encore plus d’amour, plus d’attention, énormément de  compassion et le  pardon à chaque seconde, d’avoir cru que la vie était un cauchemar fait de rejet et de manque affectif. Le processus de réparation nécessite une introspection.

Vous vous souvenez tout d’abord comment tout cela a commencé depuis l’enfance : cette impression de ne pas être accepté dans votre famille, d’être rejeté par les autres,  dévalorisé, humilié, d’être différent, de ne pas être aimé suffisamment, d’être incompris, invisible, inintéressant, délaissé, malmené, brimé, abandonné… Votre difficulté à trouver votre place!

Puis, pour développer votre amour de soi, vous devez accepter de prendre le temps  de vous asseoir un moment pour comprendre ce qui vous empêche de vivre pleinement votre vie.

C’est en vous  posant, en fermant les yeux pour ressentir intensément cette blessure de rejet, là dans votre cœur, dans votre âme, dans votre corps, que vous allez voir tous ces nœuds : la gorge serrée, le ventre noué, le rythme cardiaque accéléré, l’esprit  tourmenté par mille pensées négatives.

Ancré dans l’instant présent, vous allez ensuite porter  votre attention sur le silence extérieur puis intérieur, pour percevoir au fond de vous immédiatement, ce mal-être récurrent,  cette tristesse qui pleure sans raison apparente, ce manque affectif qui se lamente sous le même ciel toujours gris de vos pensées. En vous alliant à l’immobilité de cet instant méditatif , vous allez pouvoir observer en surplomb, toutes les sensations corporelles qui vous étouffent de l’intérieur.

C’est dans cette connexion à l’instant présent que vous allez alors accueillir  le silence qui tel un magicien, vous enveloppe, pour bercer vos chagrins de petit enfant blessé, il devient comme un point d’appui où vous pouvez vous laissez agir dans le non-agir, vous pouvez vous laisser bouger dans vos émotions sans bouger. Vous pouvez alors vous déposer progressivement au cœur de cette blessure rejet. Vous la côtoyez enfin de près. Vous pouvez la regarder, cette faille  immense et effrayante qui aspire toute votre joie  et vous pouvez ressentir les émotions désagréables qui vous serrent le cœur, les frissons qui vous glacent le corps, le découragement qui vous freine dans tous vos projets.

Prenez alors la décision de marquer comme un temps d’arrêt intérieur comme si tout se figeait pendant quelques secondes.

Vous pouvez appréciez alors ce moment suspendu rempli de grâce, où vous assistez sans rien faire à un temps de réconciliation et de paix intérieur qui favorise la rencontre entre votre blessure de rejet et votre mouvement de vie, cette force intérieure de résilience, cette lumière. En laissant chaque goutte de votre chaleur incarnée venir combler vos vides, vos sillons creusés, vos bosses, vos aspérités, vos  duretés, tout ce qui faisait obstacle jusqu’à présent à la libre circulation de la joie dans votre corps, disparaît…

Au cœur de la blessure de rejet, lorsque vous cessez de penser, d’imaginer, de supposer ce que la vie n’est pas, votre  mental s’éteint et  le silence vous pénètre encore plus profondément.  Plus vous entrez dans cette relation intime avec le silence intérieur, plus le trou béant de vos rejets semble se remplir d’un pouvoir doux et lumineux qui se diffuse jusqu’à atténuer la blessure et la transformer.

Alors vous vous pouvez vous apaiser, et le flux d’énergie libéré vient dilater votre cœur qui peut enfin s’exprimer, sortir de sa cage, déposer ses armes . Il n’y a plus de larmes,  plus d’espace resserré, étriqué, au contraire un délicieux mouvement qui s’invite pour malléabiliser les derniers résidus de cette blessure de rejet qui résiste encore un moment, puis capitule enfin et laisse votre intériorité comme nettoyée, purifiée, libérée. Vous avez la sensation qu’un nouvel espace intérieur s’ouvre pour laisser se relâcher progressivement  ce poids de rejet  si longtemps porté tel un fardeau douloureux et pour vous ouvrir à votre transformation!

La lumière intérieure se tamise et  devient le baume réparateur final,  avec un jeu de luminosité et de nuances plus douces, bleutées, orangées, rosées,  qui  viennent se déposer sur tous les manques, sur toutes les tristesses et arrive le moment fort où  le silence, l’immobilité, la lumière et le mouvement fusionnent et scellent définitivement la réparation de cette blessure qui fond alors pour laisser place à une énergie vitale renouvelée, tissée avec des fils de soie, symboles de l’amour pur, qui peut se répandre à présent sans entrave, au cœur de votre matière vivante qui devient plus souple, plus flexible, plus adaptable.

La blessure de rejet n’a plus de miroir intérieur ni extérieur. Elle est recousue de fils rouges et dorés puis plongée dans ce bain de couleurs magiques, jusqu’à se remplir totalement de belles nuances qui  remplacent définitivement  le gris de la mélancolie perçu jusqu’à lors pour laisser exploser un feu d’artifice de joie et de douceur.

Lorsque vous apprenez à  regarder votre blessure de rejet sans la fuir, elle n’a plus de place pour empoisonner votre vie et vous comprenez enfin son sens caché. C’est ainsi que vous pouvez enlever votre masque de fuyant et chasser vos amertumes. C’est à ce moment là seulement que vous apprenez vraiment à vous aimer et à vous auto-réparer et telle l’huître, qui dans son mécanisme d’auto-défense face à un corps étranger, fabrique une belle perle , vous pouvez à votre tour laisser la blessure de rejet se combler, pour se recouvrir de la texture nacrée de l’amour de soi  décuplé qui vous mène alors à une merveilleuse et brillante métamorphose, dans votre attitude et dans votre manière d’être  !

Pour donner vie à votre vraie nature, vous devez décider de vous libérer de votre blessure de rejet, grâce à votre pouvoir créateur intérieur, qui se développe avec beaucoup de persévérance et de courage! La motivation pour aller mieux ne peut que porter ses fruits ! Personne ne peut prendre cette décision à votre place mais vous pouvez vous faire accompagner dans votre développement personnel à vous transformer et à vous épanouir grâce à votre force intérieure.

Maryse Ligdamis de mesmotsdevie.fr

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Résolutions 2023, cessez de vous voir comme une victime de votre vie et prenez enfin le pouvoir !

Et si vous profitiez de vos résolutions de nouvelle année, pour apporter un réel changement dans  votre manière de considérer votre vie. Posez-vous juste une question pour faire votre bilan personnel : quelle image avez-vous de vous-même ?

Vous voyez vous comme une victime, de votre travail, de votre famille, de vos relations amicales, ou amoureuses, du temps qui passe… ? Ou peut-être même d’un peu de tout cela à la fois?
Lorsque vous rencontrez des problèmes, vous dites-vous facilement : « c’est parce que je suis victime de … », comme si vous subissiez  votre existence sans pouvoir agir dans une attitude passive, résignée et fataliste.
Qu’est-ce que cela signifie d’ailleurs se sentir victime de … ? A ne pas confondre avec le sens plus large du mot « victime »  qui  concerne toute personne qui subit un réel préjudice corporel, matériel ou moral.

Se sentir victime de sa vie, c’est comme devoir se sacrifier pour espérer être heureux.  À force de voir la vie comme un combat, elle le devient, en effet,  comme si on était né pour survivre et lutter et non pour vivre et apprécier.  Se voir comme un souffre-douleur, c’est se réduire à être minuscule et sans défense dans un monde impitoyable.

Si vous faites ce constat, il est important de  renouveler votre rapport à vous-même en changeant d’angle de vue. Voir la vie comme un vaste champ de bataille, c’est forcément vous faire plus d’ennemis que d’amis.

Si vous abordez chaque nouvelle journée, comme  si vous deviez vous « armer jusqu’aux dents », pour pouvoir résister à tout ce qui vous arriverait, vous ne pouvez que vous sentir mal au point de vous sentir victime.

Si, depuis votre enfance,  tout vous paraît dangereux, inaccessible ou impossible à obtenir, comment voulez-vous sourire à la vie et à ses belles surprises ?

C’est le moment de poser un nouveau regard sur le Monde et sur ce qu’il peut vous apporter de positif. Et si vous cessiez de vous voir ou de vous croire victime des autres, n’êtes-vous pas avant tout victime de vous-même ! Si vous véhiculez des énergies de peur et de méfiance, comment voulez-vous attirer l’amour et la confiance ?

A partir d’aujourd’hui, apprenez à voir la vie comme un vaste jardin aux mille fleurs à butiner,  aux multiples recoins à explorer,  en gardant votre âme d’enfant et votre curiosité et ce, quel que soit votre âge.
C’est le cœur en avant et  l’esprit déployé que vous devez être chaque jour  plus inventif pour créer la vie que vous souhaitez avoir, toujours dans l’envie de  vous amuser, de rire, de vous inventer de nouveaux scénarios où tout devient possible, sans rester figé dans des habitus dépassés qui vous pèsent et vous rendent pessimiste.

Il est temps de prendre conscience qu’à force de se voir victime, on finit  vraiment par le devenir.

Et si vous choisissiez  plutôt de vous laisser tourbillonner comme dans un grand carrousel où à chaque tour, vous aviez la possibilité de changer  de sièges et de fantaisie tout en étant emporté par  la féerie du mouvement et le rythme enchanté de la musique.

Si vous avez jusqu’à présent endossé le rôle de la victime, peut-être, est-ce enfin venu le moment de  revêtir la cape d’un super héros pour vous sentir moins fragile à vos yeux ? Vous voilà grâce à la baguette magique  de vos belles résolutions, dans la peau d’un conquérant, d’un aventurier prêt à tout, pour trouver son bonheur, pour transformer les embûches  qui se présentent  sur son parcours, en  marches qui vous permettront de gravir la fabuleuse montagne des possibles.

Voyez-vous la haute porte qui s’ouvre sur votre passage comme pour accueillir un héros qui vient sauver le Monde ? Plus vous allez vous regarder comme un courageux guerrier pacifique qui veut semer des graines de lumière pour éclairer sa vie et celles des autres, plus le chemin vous semblera lumineux et positif.

Chaque expérience bonne ou mauvaise n’est qu’un apprentissage pour oser être enfin qui l’on veut vraiment.

Lorsqu’on cesse de se considérer comme une victime, c’est comme si on soufflait sur ses mauvaises expériences une poudre magique qui aurait le pouvoir de métamorphoser tout ce qui est négatif en pouvoir positif et universel,  pour en faire des paliers d’accès au meilleur  de  soi-même ! Souvent, il nous arrive de dire que si on n’avait pas vécu tel événement, on n’aurait jamais découvert le merveilleux cadeau  qu’il cachait.

Bien sûr, il s’agit ici des problématiques les moins graves,  on peut aussi évoluer autrement mais si on a tendance à amplifier les détails négatifs, sachez qu’en changeant juste de point de vue, on peut voir apparaître des nouvelles pistes à découvrir.

Pour les faits les plus graves et les plus dramatiques, n’oubliez pas de vous féliciter pour votre courage, pour votre ténacité et pour votre résilience. Lorsqu’on ne peut pas choisir ce qui nous arrive, on ne doit pas se considérer comme fautif  ni d’une situation, ni d’une personne, ni d’un fait.

Faites la liste de tout ce qui vous a  marqué négativement et associez-le à ce que vous en avez fait : un nouveau travail plus épanouissant, une relation plus harmonieuse, un déménagement réussi…
Comment avez-vous pu  vous relever et  surmonter vos difficultés ? Qu’avez-vous mis en place pour ne pas vous laisser affaiblir? Qu’avez-vous déployé comme force extraordinaire pour vous surpasser ? Vous en croyiez-vous seulement capable ? Qu’avez-vous appris et qu’est-ce que cela a modifié dans votre vie ?

Faites la liste de tout ce qui vous a changé positivement dans votre évolution personnelle. C’est en s’introspectant, qu’on apprend ! C’est parfois difficile à faire mais cela ne peut que vous empêcher de vous décourager et de perdre pied.
On se redresse alors plus vite,  on enfile comme  un costume de « Warrior » pour aller puiser dans l’amour de soi intérieur,  un élan vital qui réveille notre pouvoir créateur.

Se sentir victime, c’est se morfondre, s’apitoyer, se décourager. Se sentir au contraire comme un conquérant, c’est être patient, persévérant, combatif  pour soi- même !

Lorsqu’on arrête de se voir victime des autres, on apprend à lire chaque visage comme une carte aux mille paysages humains. Et on développe son  adaptabilité. On accepte les traits de caractère des uns et des autres, sans se croire petit, au contraire on se défend et on apprend à se faire respecter des autres.

On utilise une  image de soi plus valorisante et positive pour en faire comme une bannière, pour dire : «  Je ne veux plus être  victime! »

Alors en 2023, changez cette image que vous avez de vous-même ! Ne soyez plus la victime de votre vie ! Accordez-vous la première place, vous le méritez tellement et dites « Je veux être le conquérant de ma vie!

Maryse de Mes Mots de Vie

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Le sentiment d’abandon durcit votre rapport à la vie

Pourquoi votre blessure d’abandon a-t-elle un effet destructeur dans votre vie ? Soigner ce sentiment d’abandon vous permettra-t-il d’avoir plus d’équilibre dans votre vie ?  Et comment guérir cette blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon vous prive de votre liberté d’être !

Lorsque vous souffrez de la blessure d’abandon, vos interactions aux autres sont teintées de la peur qu’on vous abandonne, alors soit vous faites  tout pour leur plaire, soit vous gérez vos relations avec beaucoup de distance car vous êtes persuadé de leur fin inéluctable programmée! Pour vous, une relation est synonyme de souffrance et de trahison, de ce fait vous n’ouvrez pas facilement votre cœur aux autres et vous refusez de créer des liens, car vous êtes traumatisé par vos expériences malheureuses.  Vous craignez de vous attacher et ensuite d’être déçu une fois de plus!

Inconsciemment, vous construisez une vie où résonne cette difficulté relationnelle en écho à cette blessure d’abandon activée en vous par des souvenirs d’enfance encore vivaces.  Vous ne voulez plus créer de dépendance affective aux autres car vous vous dites que cela n’en vaut pas la peine et que vous avez encore du mal à digérer les nombreuses fois où l’on vous a brisé le cœur !

Pourquoi ce sentiment d’abandon est-il si difficile à réprimer ? Pourquoi demeure-t-il encore en vous comme une peur constante de l’enfant délaissé qui a  cette impression constante de ne pas réussir à compter suffisamment pour l’autre ?  Quel est ce sentiment d’existence qui est brimé à l’intérieur de vous, comme  emprisonné dans les fausses croyances  d’une époque à présent révolue?

On a souvent  du mal à le croire, pourtant les problèmes des blessures du passé se répètent et  perdurent même quand le temps passe, si on ne l’accompagne pas d’une prise de conscience nécessaire pour nettoyer et épurer  votre âme de ce qui continue à la tourmenter.

Quel est cet effet destructeur de la blessure d’abandon ?

La blessure d’abandon se définit avant tout comme un sentiment profond d’insécurité du petit enfant comme si ses parents n’avaient pas réussi à lui donner une éducation dans un environnement serein, sécuritaire et apaisant pour lui permettre de grandir en toute quiétude, sans créer en lui cette peur terrible d’être abandonné à tout moment! L’enfant, lorsqu’il n’est pas le centre d’attention  de ses parents, devient  souvent anxieux, en s’imaginant ne pas compter suffisamment dans leur vie. Il a alors l’impression angoissante d’être  souvent laissé pour contre sans en comprendre les raisons.

L’enfant a à cœur d’essayer de tout faire pour garder ses parents près de lui. Au fond de lui  grandit  cette peur terrible de  perdre ce repère fort même pendant une seule seconde, et il dresse souvent une barrière entre les autres et lui pour qu’ils ne gâchent jamais sa relation fusionnelle avec ses parents. Les autres sont  considérés comme des ennemis qui peuvent nuire à cet équilibre c’est pourquoi il négligera souvent les interactions sociales pour rester dans sa bulle de protection avec ses parents et se sentira  inquiet sans leur présence à ses côtés. Il se laissera facilement surprotéger par eux et cultivera ce lien de dépendance affective. L’angoisse d’abandon l’empêchera  de se développer et de croître pleinement !

Vivre avec la blessure d’abandon.

Lorsqu’on souffre de la blessure d’abandon, c’est un peu comme si on s’abandonnait soi-même, c’est-à-dire qu’on se tournait parfois vers les autres pour leur supplier presque de s’intéresser à nous. Par conséquent, tous nos actes sont consacrés à chercher à faire plaisir et à mettre les autres en valeur ! On valorise tout le temps les autres et on finit par s’oublier et même par se dévaloriser soi-même!

On néglige ses goûts personnels et on n’apprend pas à se connaître soi-même puisque l’autre est  une priorité de chaque instant. On attend d’autrui une constante validation !

L’engagement pour aider les autres devient une manière de se rendre important à leurs yeux car on se juge incapable de pouvoir attirer leur intérêt autrement, sans rien avoir à leur offrir en échange !

La blessure d’abandon finit par vous verrouiller à l’intérieur de vous-même dans une détresse permanente face à votre solitude d’âme ! Vous avez peur de tout et vous avez le sentiment de devoir toujours tout faire seul  car vous êtes convaincu de ne pas être indispensable aux yeux des autres qui finiront par vous abandonner inévitablement !

Malheureusement, quand on souffre du sentiment d’abandon, on crée inconsciemment des situations où l’on va finir irrémédiablement par être laissé de côté. On pense tellement que les autres finiront par  nous abandonner qu’au premier signe de difficulté, on devance  cet abandon en prenant nous-mêmes de la distance ! De toute façon, on pense que c’est tout ce que l’on  mérite car on porte la blessure d’abandon comme un capteur qui colore notre vie négativement à chaque instant ! On se sent coupable d’être abandonné comme si on était responsable par notre comportement !

La blessure d’abandon vous rend froid et distant ! Vous craignez tellement le rejet des autres que vous préférez  vous enfermer avec votre égo blessé qui devient le masque que vous affichez dans les relations humaines ! Comme si vous étiez constamment sur la défensive et  blessé à chaque fois  par l’incompréhension des autres qui deviennent comme des bourreaux avant même qu’ils n’agissent! Cette attitude négative devient le rôle social que vous endossez! Cette crainte de ne pas être aimé et accepté dicte tous vos faits et gestes et selon son intensité devient un poison dans votre vie !

Votre estime de soi est brimée et vous avez tout le temps l’impression de ne pas être à la hauteur malgré vos réussites et vos talents évidents ! Vous êtes en demande constante d’amour et il est difficile de vous combler !

Vos attentes envers les autres sont excessives et démesurées et le manque d’amour qui en résulte peut effrayer ceux qui viennent vers vous malgré tout !

Vous paraissez tourmenté perpétuellement, torturé par cet idéal affectif qui n’existe pas !

Pour essayer de faire face à cela vous devenez dépendant des autres, de leur affection, de leurs attentes, de leurs ordres jusqu’à ce que vous finissiez par les repousser puisqu’ils n’arrivent pas à vous comprendre ! Vous les abandonnez car vous pensez que c’est ce qu’ils finiront par faire.

Comment guérir votre blessure d’abandon ?

Il est important de reprogrammer totalement votre manière d’entrer en relation avec autrui. Voici quelques règles simples :

  1. Se reconstruire émotionnellement à tout point de vue en commençant par une meilleure connaissance de soi est indispensable !
  2. Se libérer de toute forme de colère liée à votre enfance ou aux autres en faisant la paix avec votre histoire de vie, en vous pardonnant !
  3. Consoler votre enfant intérieur en le rassurant et en l’aidant à accueillir tout ce qui lui a manqué pour son développement serein et stable par l’affirmation de qui vous êtes vraiment aujourd’hui dans votre authenticité!
  4. Nettoyer vos croyances limitantes sur vous-même ! Arrêtez de vous juger, de vous dévaloriser, de vous sous-estimer.
  5. Vaincre la dépendance affective ! Développer une autonomie en cultivant l’amour de soi comme principe de croissance personnelle !
  6. Travailler sur soi permet de devenir plus résilient ! L’acceptation de ce que l’on ne peut changer est nécessaire pour sortir du syndrome de la victime  que l’on peut devenir bien malgré nous !
  7. Il est indispensable de mieux comprendre votre enfance en prenant du recul sur les sentiments ressentis et en renouvelant votre regard sur vous-même !
  8. Vous n’êtes pas responsable des circonstances de votre enfance mais vous devenez responsable de votre vie d’adulte ! A vous de réparer ce que l’on vous a fait subir en vous réappropriant chaque part de vous-même et en ne laissant aucune perte de votre entièreté !
  9. Dissipez votre sentiment de culpabilité, si on vous a fait ressentir ce sentiment d’abandon, ce n’est pas de votre faute mais il convient à présent de vous en libérer !
  10. Vous avez aujourd’hui la possibilité de vous transformer en changeant vos faiblesses en forces de vie inaltérables !

Ne craignez plus jamais d’être abandonné !

Remettez votre mental à sa place quand il veut vous enfermer dans des pensées sombres sur vous-même ! Replacez-vous dans votre cœur, le centre de votre énergie de vie. Tout part de là, vivez et pensez avec votre cœur et avec votre corps et plus jamais avec vos blessures du passé !

Éteignez votre mental négatif et aliénant et répétez-vous : « je ne suis plus aujourd’hui un enfant qu’on abandonne, je suis un adulte autonome et responsable de mon bien-être, j’ose être libre d’être moi-même!»

Affirmez-le encore et encore et devenez aussi léger qu’une plume en vous ôtant enfin ce poids trop lourd à porter qui vous écrase et bloque votre déploiement et votre envol ! Personne ne pourra jamais vous abandonner si vous apprenez à vous détacher des situations qui ne sont pas de votre responsabilité ! Devenez plus confiant de votre valeur !

Maryse de Mes Mots de Vie

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