Le mensonge est le poison des relations aux autres

Il faut cultiver la sincérité et l’ouverture d’esprit dans la relation aux autres !

Prendre soin de la qualité de sa relation aux autres, c’est prendre conscience que les personnes que vous côtoyez, méritent votre franchise et votre sincérité. Si vous vous respectez, vous ne pouvez devenir votre propre ennemi en cultivant le mensonge comme moyen de communication.  Rien ne sert de feindre d’accepter l’autre si c’est pour  inventer des histoires pour lui cacher la vérité ! L’honnêteté est la reine de la bonne entente. Pas besoin de faux-semblants, d’excuses, de prétextes. Tout se dit, rien n’est tabou et cela permet de crever tous les abcès et d’offrir à ceux qui vous aiment une base de relation saine et solide en toutes circonstances.

Dès que quelqu’un fait preuve de méfiance à l’égard de quelqu’un d’autre, cela signifie qu’il n’a pas  d’estime pour cette personne. Le lien qu’il tisse avec autrui ne peut que s’altérer progressivement et créer de nombreuses complications inutiles. Qui peut accepter qu’on lui mente ? La sincérité et l’honnêteté  sont  des valeurs indispensables pour conserver des relations basées sur la paix et l’harmonie.

Personne ne pourra jamais faire l’unanimité, il faut donc essayer d’être juste dans sa manière d’entrer en relation aux autres en offrant à chacun la même écoute, la même considération, le même respect. Cela est valable dans les relations familiales, amoureuses  amicales ou professionnelles… ! La priorité dans les relations humaines est et sera toujours le respect avant toute chose.  Le respect du caractère de l’autre, de sa personnalité, de son tempérament, de sa manière d’être et surtout de sa liberté d’être ! On ne peut condamner quelqu’un par ses mensonges et cela en toute impunité ! Tôt ou tard, la vérité finit par triompher !

Manquer de sincérité, c’est se mentir à soi-même

Lorsque un individu décide de mentir à une personne et pas à une autre, qu’est-ce qui dicte ses agissements, qu’est-ce qui motive sa décision, certainement pas l’amour ni  la confiance ? Cela démontre qu’il juge l’un plus digne de confiance que l’autre,  alors pourquoi s’obliger à parler à quelqu’un si on ne veut pas lui dire la vérité, autant le rayer de ses relations ? Sinon, n’est-ce pas manquer de sincérité envers soi-même ? Lorsqu’on est réduit à comparer les uns aux autres pour considérer la valeur de quelqu’un, on fait fausse route car la comparaison dans les relations est déplacée, personne ne ressemblera jamais à personne d’autre !  C’est d’ailleurs ce qui va nuire souvent à la qualité des relations et  sera aussi le point de départ des mésententes.

Comparer ses enfants, ses petits-enfants, ses amis, ses voisins, sa famille, à quoi cela mène t-il ? Vouloir à tout prix que quelqu’un corresponde à un modèle idéalisé selon ses critères, c’est prétentieux et c’est inévitablement le réduire à des exigences qui n’ont pas lieu d’être. Il n’y a pas de modèle d’enfant, de parent, de conjoint, de belle-fille, de gendre, de petit ami,… Alors pourquoi  juger quelqu’un  indigne de son affection en le confrontant sans cesse à des mensonges et à un manque de sincérité parce que l’on n’arrive pas à l’accepter?

Pourquoi  blesser autrui par des mensonges ? La personne qui ment ne doit pas croire que cela se fait sans conséquence mais admettre qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec elle-même. Il lui sera nécessaire de faire son examen de conscience pour comprendre quels sont ses réels problèmes qui l’obligent à agir ainsi de manière insensée et destructrice ? Ce n’est certainement pas par amour !

Quand le culte de la perfection est déraisonnable !

Personne ne peut se dire parfait. Aucun parent, ni collègue, ni ami, ni grands-parents, ni époux, …. ? On sait très bien que tout le monde a ses propres qualités et ses propres défauts ! Alors vers qui vont tous les reproches incessants que certains se permettent d’infliger aux autres?  N’est-ce pas le signe de leur propre déséquilibre personnel? N’est-ce pas parce qu’ils cachent aux autres leur réelle personnalité en s’acharnant à mentir à chaque fois pour dissimuler  leurs failles et leurs obscurités et en pointant toujours l’autre du doigt comme responsable ?

A trop rechercher  ce qui n’existe pas, on finit par tout perdre dans une relation. On ne peut alors que s’en prendre à soi-même ! Qu’est-ce qui est vraiment important au final dans une relation ? Les convenances, les exigences, les principes, les attentes ? Ou alors les moments heureux, les fous rires, les sourires, les partages, les conversations à bâtons rompus? Les beaux moments ou les crises et les reproches ?

Plus on s’ouvre à la chaleur humaine, plus on devient conscient du chemin de la vérité comme seule voie possible pour cultiver des relations harmonieuses! On ne peut malmener quelqu’un injustement et espérer que cette personne vous aime !

Il n’y a pas d’excuse au mensonge…

Aucune excuse ne peut justifier le mensonge. C’est une décision que l’on prend et que l’on assume ! Cela commence parfois par des petites omissions volontaires pour ne pas dire ce que l’on souhaite cacher puis cela devient très vite  un engrenage infernal qui emprisonne aussi bien celui qui ment que celui à qui l’on ment ! A partir du moment où l’on trahit la confiance d’une personne, on sait très bien que cette relation ne pourra durer. Si on choisit de planter les bases d’une relation dans le mensonge, on la condamne volontairement à se terminer avec des dégâts irréversibles!

Connaissez-vous quelqu’un qui n’a jamais été démasqué pour ses mensonges ? La vérité finit toujours par éclater. Il n’y a pas de petit mensonge ! On ne peut pas se justifier d’avoir menti. Dans tous les cas, le mensonge fait mal car c’est une ignoble trahison !

Mentir, c’est faire le choix de ne pas dire la vérité !

Tout commence le jour où une personne fait le choix malsain de ne pas dire la vérité. Affirmer, se justifier, être sur la défensive et même demander à quelqu’un d’autre d’appuyer la véracité de ses dires, c’est montrer son manque de sincérité. Lorsqu’on se contente de raconter les choses comme elles se sont déroulées, le mouvement de la vie circule naturellement et rien ne vient gêner la communication vers l’autre. Si on choisit le mauvais canal, le langage du corps sera révélateur et racontera la vérité par ses gestes et par ses mimiques. Rien ne sert de s’engluer dans cette stratégie perdante si on aime quelqu’un ! Il faut fuir le mensonge, et faire place à la vérité !

La méfiance n’est pas bonne conseillère !

Malheureusement, la plupart du temps, les mensonges finissent mal. On finit par récolter les conséquences des actes malveillants , ce qui minera  les relations jusqu’à les détruire. Progressivement, on finit par perdre sa dignité, sa tranquillité d’esprit ainsi que l’affection de ceux que l’on malmène ! On ne peut considérer celui qui ment comme quelqu’un de  fiable, d’honnête et de confiance. C’est plutôt un signe d’une relation toxique !

Pourquoi choisir de mentir quand on prétend aimer quelqu’un ?

A quoi bon mentir ?  La confiance que l’on installe dans l’interaction aux autres est aussi garant de la relation durable. N’est-il pas préférable de mettre un terme à une relation plutôt que mentir? Si vous ne voulez pas  dire la vérité à quelqu’un, cela signifie que cette relation ne compte pas vraiment pour vous. L’amour ne connaît pas l’obscurité des mensonges ! Quand on aime, c’est avant tout en pleine lumière pas caché dans les alcôves de la méfiance et des reproches !

Prendre conscience de son engagement à dire la vérité dans une relation, c’est se donner plus de chances de la conserver. Faire preuve de solidarité, de fraternité, de non-calcul, de respect, c’est ouvrir une communication saine et sereine avec ceux que l’on fréquente. Comment peut-on encore se regarder dans le miroir quand on ment à tout va ? Comment fait-on pour se rappeler de tout ce que l’on a dit ? N’est-ce pas choisir de se compliquer l’existence en agissant ainsi ?

Parfois, certains préfèrent « mentir pour se protéger » diront-ils ! De quoi ? D’eux-mêmes sans aucun doute ! Parce qu’ils ne veulent pas affronter la réalité, parce qu’ils préfèrent se bercer d’illusions que de faire face à la vérité. Parce qu’ils détestent révéler leurs stratégies souvent perverses et machiavéliques  pour prendre le pouvoir sur les autres ! S’habituer aux mensonges, c’est destructeur ! C’est aller à contre-sens de l’amour !

Il faut se poser la question sur les mensonges, tout le monde mérite d’être respecté, il est plus important  de regarder  la vie en face que de travers en décidant de sortir la tête du sable ! Il n’y a que la vérité qui construit les relations.  Il faut s’aimer soi-même suffisamment, pour devenir plus fort en choisissant la vérité à chaque seconde.

Il n’est jamais trop tard pour changer et pour se renouveler dans son rapport à soi-même, aux autres et à la vie ! Les personnes que l’on aime et qui vous aiment, le méritent !

Maryse de Mes Mots de vie


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Êtes-vous victime du jugement des autres ?


Personne ne doit juger l’autre sans savoir !

Lorsque vous vivez au quotidien, vous croisez des personnes autour de vous, que ce soit dans la rue, dans votre travail, dans votre famille… et inévitablement, comme chez tout être humain, vous voyez  cette propension à vouloir juger l’autre, c’est-à-dire à « Décider en bien ou en mal de son mérite, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions » et cela, juste en posant sur lui un regard critique sans même savoir qui il est vraiment , juste en observant son apparence extérieure. D’ailleurs vous en êtes vous-même victime, au point de vous sentir mal, quand vous sentez peser sur vous ces regards malveillants.

Les personnes qui jugent facilement les autres doivent se poser les questions suivantes :

Que savent –elles vraiment des autres quand elles décident de les juger sans appel ? Se fient-elles  uniquement à leurs certitudes, à leurs interprétations ? Est-ce qu’elles peuvent décider de la valeur de quelqu’un uniquement en observant par exemple ses vêtements, sa coiffure, sa voiture, son statut social, son attitude ?….


Un être humain ne se résume pas à son reflet extérieur, il porte en lui sa véritable identité.

Le jugement que chacun porte donc sur autrui peut être très sévère et destructeur, le pire c’est que tout le monde est convaincu d’avoir raison et s’amuse à le faire au détriment des autres sans penser aux conséquences.  Comme si en voulant rabaisser quelqu’un, on se donnait de l’importance, comme si en dévalorisant l’autre, cela permettait de ne pas voir ses propres défauts. On critique pour se rendre intéressant et pour se faire plaindre!

Souvent ceux qui jugent, se cachent derrière des suppositions infondées en fabriquant mentalement une version  qui les arrange pour se donner raison de ce qu’il croit connaître et réussir ainsi à convaincre les autres sans preuve concrète de leur analyse vide de sens.

Pourquoi tout le monde trouve cela normal de juger les autres ?

N’est-ce pas à cause d’un esprit trop critique qui se développe souvent dans des groupes? Ou d’une difficulté personnelle à laisser à l’autre le droit d’être comme il est en l’obligeant à répondre à des normes? Quel bien cela peut-il  faire de dire du mal des autres ou d’avoir des pensées négatives à son encontre ? N’est-ce pas l’écho de son propre mal-être intérieur qui s’exprime par ce comportement indigne que chacun préfère excuser en trouvant cela normal voire banal.


Critiquez sans savoir est destructeur, c’est indéniable.

Pourquoi faire des procès injustes à des personnes qui ne peuvent se défendre ? Certains se justifieront en arguant que ce n’est pas par méchanceté mais uniquement parce que c’est dans la nature humaine de tout commenter. En dressant de l’autre un mauvais portrait, qu’est-ce qu’on a à y gagner ? N’est-ce pas une façon de donner de soi une bien mauvaise image car la médisance est l’obscurité de l’esprit et la noirceur du cœur !

Est-ce que ceux qui passent leur temps à critiquer connaissent ce proverbe qu’ils pourraient appliquer à toutes ces situations négatives : « Ne jamais faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse »!

Si ces personnes arrêtaient de juger les autres, peut-être amélioreraient-elles en retour leurs propres relations ? Et peut-être même que les autres ne les jugeraient plus ? C’est souvent ceux qui ne sont pas très exemplaires et qui ont beaucoup de choses à se reprocher qui se permettent d’agir de manière vile et honteuse !


Juger l’autre, c’est se juger soi-même !

C’est cette loi de la réciprocité qu’il faut garder en tête. Si quelqu’un adore juger les autres, il ouvrira facilement la voie à la critique qui sera exercée à son tour contre lui.  Ce n’est donc pas le bon choix à faire ! Que ressentirait-il si on le jugeait mal ? La réponse à cette question l’aidera à bannir cette mauvaise habitude en se mettant à la place de celui qui subit ce jet de méchanceté. Il comprendra alors que subir le jugement alors qu’on est coupable de rien, c’est tirer à boulets rouges sur quelqu’un qui n’a rien demandé. C’est injuste et méchant à la fois !


Ne plus juger, c’est accueillir l’autre dans sa singularité et le laisser nous surprendre par ce qu’il pourrait faire en restant dans une posture de neutralité active qui permet à chacun de prendre sa place plus facilement. C’est ouvrir une voie vers l’acceptation et le non jugement, et voir s’illuminer dans sa vie d’autres manières d être. Il n’y a plus de modèle ni d’exemple. C’est accepter autrui sans vouloir le changer ou le faire entrer dans un moule. On le laisse libre, et tout est plus simple et plus spontané.

Plus chacun se libère de la critique négative et toxique, plus il agit avec un esprit plus ouvert, plus tolérant. Si on a du mal à changer ce rapport aux autres, il faut se poser  la question suivante : « quelles souffrances intérieures  m’enferment  vraiment au fond de moi à travers ces reproches que je fais à la vie?

Prendre conscience de la négativité d’un jugement hâtif, c’est amener chacun à se repositionner dans sa manière de voir les autres. Plus nous serons nombreux à ne plus participer à ces échanges de critique, à ces jugements infondés, plus les relations humaines s’embelliront du sens profond du mot « respect » et deviendront plus sereines et plus saines.

Devenez conscient que par cette attitude blessante, celui qui juge , ferme la voie à l’empathie et à la chaleur humaine. Nul n’est parfait alors laissez à chacun une chance d’exister comme il est, et si cela ne vous plaît pas, vous pouvez toujours passer votre chemin sans vous arrêter. Ce n’est jamais constructif d’avoir un avis trop arrêté sur quelqu’un ! Nul ne fait jamais l’unanimité et pourtant chacun a le mérite d’exister à sa manière.

Lorsqu’une personne juge trop vite l’autre, elle évite de se remettre en question. N’est-ce pas la résonance de quelque chose qui la dérange au fond d’elle-même et qui  l’amène à le reprocher aux autres, peut-être même est-ce par envie ou par jalousie . C’est difficile d’accepter cette idée, pourtant, pourquoi le fait-on? Ou pourquoi le font-ils tous ? N’est-ce pas l’écho assourdissant d’un mal-être personnel? Sinon, on n’a pas besoin de dénigrer l’autre sans raison . Il faut se tourner vers soi pour se dire que le problème est chez celui qui juge et non chez celui qui est jugé !

Beaucoup de raisons expliquent cette fâcheuse tendance à vouloir dénigrer autrui. Parfois, il faudrait juste se demander : « qui est celui qu’on juge ? Est-ce qu’on connaît vraiment  tout de lui? Est-ce qu’on a suffisamment d’information pour se faire un avis fiable ? Peut-être pourrait-on s’arrêter un moment et s’interroger :

Est-ce que je connais les peines et les souffrances de celui qui croise ma route ? Quelle épreuve  a-t-il traversé ? Quelle est son histoire de vie? Ai-je envie de me mettre à sa place pour mieux le comprendre?

 Prenons le temps de mieux  connaître les autres  et cela pourra changer  la face du monde et l’impact des relations humaines sur le développement personnel de chaque individu. C’est dans le regard des autres qu’on s’édifie, qu’on se construit, qu’on devient, qu’on s épanouit.

Devenons bienveillant et tolérant, le monde a besoin d’être guéri de ce terrible poison qui fait beaucoup de peine aux uns et aux autres et à tout âge. Nous avons tous déjà été victimes du jugement des autres alors mettons fin à cette chaîne de la calomnie, ouvrons nos cœurs et nos âmes pour faire briller l’étincelle qui anime chaque être humain, développons de meilleures compétences humaines ! Mettons fin aux critiques faciles …

Maryse de Mes Mots de vie

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Libérez votre mental pour vivre mieux

La météo de vos humeurs

Chaque matin, lorsque vous abordez votre journée, vous ressentez dès que vous ouvrez les yeux, votre humeur du jour positive ou négative. Elle apparaît naturellement sans que vous y pensiez vraiment le temps de quelques secondes. Un peu comme si en dormant, vous  aviez débranché votre mental pour vous autorisez à lâcher prise.

Puis, très rapidement au saut du lit, votre mental reprend le contrôle : les tâches à effectuer, les préoccupations du moment… Votre dialogue intérieur se met en route à la vitesse grand V, à travers de nombreuses pensées qui défilent à un rythme effréné : les pensées d’anticipation, les pensées du passé, les pensées d’organisation, les pensées parasites, de doute, de crainte, de dévalorisation…  Bref, elles vous assaillent toutes comme une véritable armée, sans répit et vous laissant en proie à une impression d’avoir mille tiroirs qui s’ouvrent en même temps avec mille points d’interrogation. Elles se mélangent pêle-mêle, toutes ces pensées, vous agitant intérieurement sans pouvoir rien y faire.

Des scénarios se jouent dans votre tête comme si c’était réel :

  • «  Pourquoi …? »
  • « Est-ce que …?»
  • « Comment…? »
  • « Il faut… »
  • « Je dois… »
  • « Oui… »
  • « Non … »
  • « Et si et si et si  … ? »

Et c’est encore pire si vous avez commencé la journée par des tonnes de mauvaises nouvelles en direct du monde entier. C’est comme si vous deveniez un ordinateur de bord prêt à gérer votre vie comme s’il s’agissait d’une entreprise en danger. Alors vous croulez  sous le poids de votre mental omniprésent qui écrase votre volonté.

Et si vous changiez votre manière de vous réveiller ?

Et si vous remplaciez ces pensées inévitables par un petit rituel simple et efficace :

  • au réveil, quand  vous ouvrez les yeux, observez intérieurement ce qui colore votre état d’esprit. Accueillez ce qui vient et relâchez-vous dans votre corps sans opposer aucune résistance puis le temps de quelques petits exercices de respiration ample et profonde,  chassez  vos pensées en les remplaçant par la visualisation d’un souvenir ou d’une image qui vous fait du bien : le sourire de votre enfant, votre dernier fou rire, les mots gentils qu’on vous a écrit, peut-être le pépiement de l’oiseau qui égaye la nature extérieure comme une invitation… Puis écoutez une chanson ou une musique que vous aimez bien… Chantonnez,  souriez de vous sentir ainsi vivant, remerciez la vie en formulant des intentions positives pour votre journée. Levez-vous en mettant votre corps en mouvement en effectuant  quelques gestes simples, lents ou dynamiques  comme une gestuelle ou une danse et savourez leurs effets en fermant quelques secondes les yeux…

Et hop rempli de cette énergie renouvelée, vous pouvez à présent vous lancer dans vos activités… Tout cela n’aura pris que quelques minutes pour vous accorder ce petit nettoyage nécessaire de ce mental trop dominant qui vous vide de votre énergie dès votre réveil, si vous n’en prenez pas soin. N’est-ce pas aussi important que la douche que vous prenez chaque matin ?

Si vous êtes sceptique, je vous conseille d’essayer  pendant une petite semaine et vous constaterez les effets garantis par vous-même et vous comprendrez ainsi mieux l’expression « se lever du bon ou du mauvais pied ? » C’est à vous de décider en inversant la tendance…

« Bougez vos émotions, c’est la meilleure façon de ne pas les subir ! »

Chacun pourra modifier cette routine à sa guise, en l’adaptant avec sa recette personnelle, il s’agira de démarrer la journée avec ce qui vous met de bonne humeur et ce qui booste votre énergie, les idées sont nombreuses …

Le corps et l’esprit sont les meilleurs amis

Vivre avec son mental, c’est laisser  comme une prédominance de votre esprit sur votre corps en permanence pour vous mettre sous contrôle de cet excès. Il convient de maintenir l’équilibre « corps et esprit » en établissant un lien de non-prédominance nécessaire. Vous avez autant besoin du mental que de votre corps. Il n’y a pas d’opposition entre les deux mais au contraire une belle complicité et une réciprocité. Quand vous apprenez à relâcher votre mental, en invitant le silence dans vos pensées, vous relâchez toutes vos tensions internes et vous sentez s’ouvrir votre cœur pour suivre ses intuitions. Il y a une sensation de globalité à construire progressivement pour que vous appreniez à agir avec tout de vous.  Vous goûterez à un autre rapport à votre vie plus fluide, plus léger et plus savoureux.  Vivre dans sa tête, c’est ne pas être présent à la réalité de l’instant. Lorsque vous relâchez votre mental par une attention à la perception de votre corps, vous reprenez contact avec ce qui vous anime vraiment, avec ce qui est et non à la fabrication mentale de ce que vous en faites.

« Vivre dans votre globalité corporelle, c’est reprendre le pouvoir dans votre vie »

Observez –vous tout au long de la journée, combien de fois êtes-vous dans votre tête à réfléchir, à analyser, à juger, à ressasser ? Combien de fois êtes-vous perdu dans vos pensées en perdant le contact avec l’ ici et maintenant ? Combien de fois échafaudez-vous des plans sur ce que vous voyez, entendez  sans que cela ne soit bien réel?

Passez à l’action, c’est sortir du dictat du mental pour accueillir un autre rapport à sa vie, plus en harmonie avec ce qui est bon pour vous en remplaçant les pensées par des actions.  Si vos tracas vous minent le moral, mettez de la musique et dansez puis respirez profondément et cherchez la solution. Ne restez pas des heures à brasser du négatif sans action véritable. Ce serait perdre pied et  vous noyer dans vos problématiques.

Bien évidemment, vous direz que selon la gravité des problèmes rencontrés, il est difficile d’envisager tout de suite d’élargir son regard pour prendre du recul. Il est certain que il ne s’agit pas de vivre dans le déni, juste de se donner le temps de digérer les choses, de regarder ses émotions difficiles en face sans les refuser, puis de mettre en place des stratégies pour s’en sortir en relevant le défi d’aller mieux. C’est la meilleure façon de prendre soin de vous et de votre vie et de vous forger un mental d’acier. Libérez son mental, c’est pas le fuir, mais faire de la place à ce qui advient à travers  un regard plus panoramique qui vous permettra de ne pas perdre de vue votre objectif de vie.

« Plus vous serez focalisé sur le problème, moins vous en verrez la solution »

Vivre dans la perception en écoutant le mouvement de vie qui nous anime c’est vivre vraiment. Il n’y a plus d’attentes mais une ouverture aux possibles, on n’a plus les yeux rivés sur le vide on prend conscience du plein de toute éventualité et de toute expérience.
Le chemin peut être long mais l’enjeu est vital…

Quand vous remplacez les pensées négatives par des pensées en harmonie avec votre bonheur et votre vie, vous acceptez enfin de créer votre bonheur. Alors n’hésitez plus,  libérez votre mental pour vivre mieux, il n’y a pas de meilleur remède pour votre santé!

Maryse de Mes Mots de vie

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Pourquoi êtes vous si souvent triste?


Qu’est-ce que la tristesse ?
La tristesse se définit comme un état de chagrin ou comme un état de mélancolie.

Il existe des tristesses éprouvantes qui naissent de situations dramatiques de la vie, elles sont à accueillir pendant le temps nécessaire pour s’en remettre, pour apprendre à se relever  et à « vivre avec », malgré tout. Elles ont des raisons très claires et un accompagnement professionnel est parfois nécessaire pour surmonter cet état de profond chagrin.
Ensuite, il existe cette autre forme de tristesse assourdissante qui résonne parfois au fond de vous sans que vous en compreniez vraiment les causes. Comme une sensation de tourment intérieur qui vient vous nouer le ventre, serrer votre gorge et vous rendre plus sensible, comme fragilisé et plus vulnérable . On pourrait appeler cela  « anxiété » ou « mal-être ».

Mais le fait que cette tristesse pleure à l’intérieur de vous de manière récurrente, peut aussi mettre en évidence comme une incapacité à laisser s’exprimer ce qui vous bouleverse. Comme si vous étiez en proie à une crise de votre être intérieur…

Ce sentiment de tristesse vous envahit inopinément, le matin au réveil ou le soir au coucher, quelque soit la journée passée, lorsque vous vous sentez fatigué ou en baisse d’énergie, vous perdez le goût de vivre et vous ressentez comme une baisse de moral. Comme si, soudain vous étiez  « à fleur de peau » et que vous aviez besoin de vous enfermer dans une carapace plus dure pour affronter le monde et ses sollicitations en restant sur la défensive. Comme si vous deveniez hermétique  à ce qui allait bien dans votre vie pour vous focaliser essentiellement sur tous les aspects les plus difficiles. Comme un état d’esprit un peu fermé qui  vous fait voir tout en noir, et vous donne l’envie de vous plaindre et de « négativiser » , à travers un sentiment irrépressible et incontrôlable contre lequel vous n’arrivez pas à résister.

Pour les femmes, cette période un peu déprimante peut coïncider avec les symptômes du cycle féminin et de ses phases tumultueuses comme si la baisse des hormones venait perturber votre équilibre, pour vous ôter jusqu’à votre joie de vivre. Mais, en général cet état est assez passager et ne perdure pas au-delà d’une certaine période.

Par contre, si cette émotion de tristesse s’installe, lourdement en vous et vient plomber toutes vos tentatives d’action, il est nécessaire de vous poser quelques questions pour ne pas sombrer dans un état plus dépressif :

  • Qu’est ce qui vous met dans cet état de tristesse de manière récurrente ?
  • Qu’est-ce qui vous rend mélancolique au cœur de vous ?
  • Quels sont les manques qui vous affligent ?
  • Quels sont les besoins qui vous oppressent ?
  • Quelles sont vos frustrations ou vos incompréhensions ?

Même si vous ne voulez pas l’admettre, il y a quelque chose qui vous attriste, sans doute une amertume intérieure, un mécontentement, une vie trop endurcie, des vieilles émotions sédimentées, la peur de faire face à la vie,  l’inquiétude de ne pas réussir à trouver votre place…?
Peut-être est-ce le souvenir désagréable de problème de votre passé non résolu, ou comme une blessure réactivée, ou un ressentiment, ou une difficulté à pardonner, peut-être même un manque d’affection de la part de votre entourage, ou encore un sentiment de solitude qui vous pèse, ou des peurs inconscientes face à l’avenir incertain, peut-être malheureusement est-ce un peu de tout cela à la fois ?

Comme vous pouvez le constater les causes sont nombreuses et très variées. Une introspection est indispensable pour mieux vous connaître vraiment. Faire son bilan c’est se mettre en route vers sa guérison intérieure…

Comment réagir face à cette tristesse accablante ?

Il ne s’agit surtout pas de l’ignorer, mais d’en dessiner tous ses contours. Apprendre à mieux connaître ce qui vous fait du mal, vous permettra de ne plus lutter contre un ennemi inconnu mais d’accepter en vous cette part qui vous appartient aussi sans culpabiliser, comme un défi que vous pouvez vous donner  pour  comprendre ce qui vous assombrit de l’intérieur et pour tenter de reprendre le contrôle de vos émotions . Lorsque vous reverrez ensuite cette tristesse pointer le bout de son nez maussade pour vous entraîner dans son humeur, vous l’identifierez plus vite pour lui accorder moins d’importance et pour mettre en place assez vite un nouveau plan de vie afin de changer d’état psychique plus rapidement et ainsi retrouver votre gaieté.

Se réconcilier avec cet état intérieur qui vous trouble, c’est apprendre à l’accepter  comme faisant partie de votre histoire biographique avec douceur et avec bienveillance.

Peut-être, y-a-t-il des moments précis qui génèrent ces sentiments désagréables, par exemple l’approche des fêtes, les réunions de famille,  le jour de votre anniversaire, la période de confinement, l’approche de l’hiver, la relation aux autres… ?

Mettre des mots sur ce qui vous rend triste, vous permettra d’apprendre à  regarder en face ce qui vous dérange sans être dans le déni et ainsi vous permettre de vous auto-accompagner vers un désir de vivre avec plus de joie intérieure.

Plus vous allez embrasser en vous cette tristesse, comme si vous preniez soin d’un petit enfant qui aurait besoin d’attention et de compréhension, plus vous allez être cette épaule réconfortante que vous recherchez pour vous-même.

Vous pourrez vous dire mentalement : « oui, je suis triste,  je l’admets, et je consens à cet état sans lutter , je l’accueille en moi et je l’accepte. A partir de maintenant, je décide  de ne plus la subir en  la transformant avec des intentions de joie, pour trouver une voie de passage vers des vibrations plus positives de bonheur et de joie »

Être animé de votre douceur intérieure est un excellent antidote à la tristesse.

Vous devez laisser aller le passé et vous concentrer sur l’instant présent en vous manifestant à vous-même de l’amour, c’est ainsi vous donner le droit de combler vos besoins, en ouvrant votre cœur à la vie sans peur, pour trouver le chemin vers le mieux-être en méritant cette joie de vivre.Vous devez être plus actif et prendre votre vie en main sans la vivre dans la soumission et la passivité de votre état mental.

Il faut impérativement sortir de la grisaille du quotidien en vous connectant à votre pouvoir créateur et en bougeant vos émotions.

Un retour au corps est indispensable. Vous devez vous donner toutes les conditions nécessaires pour retrouver votre confiance en la vie. Quand vous fermez les yeux et que vous tournez votre regard vers votre intériorité  et que votre humeur est à la tristesse, portez votre attention sur votre corps, relâchez-le comme si vous déposiez à vos pieds un lourd fardeau. Puis observez dans le silence intérieur, la modification de votre état psychique.  A travers vos paupières fermées, observez la variation de tonalités lumineuses. Les larmes et les émotions lourdes sont vite remplacées par une sensation de dilatation comme une ouverture vers une globalité corporelle qui permet au corps et à l’esprit de se rejoindre pour s’accorder. Le vide de la tristesse se remplit alors de votre chaleur et de votre présence intérieure.Et vous percevez comme un mouvement, une animation, un élan qui poussent vos pensées à se relâcher totalement pour prendre appui dans votre corps en mouvement. Invitez de la douceur dans votre rapport à la vie et souriez et riez plus souvent …

Admettez que vous avez besoin de joie pour sortir de l’inertie démotivante et retrouver votre dynamisme. Sortez votre agenda pour planifier  votre vie :

  • Écrivez de nouveaux objectifs
  • Nommez votre projet intérieur
  • Suivez pas à pas les étapes de reconstruction de votre équilibre intérieur.
  • Décrivez ce qui vous remet à chaque fois dans cet état de tristesse pour le voir progressivement se diluer et s’évaporer
  • Apprenez à gérer de mieux en mieux vos émotions

Après la prise de conscience,  il est donc temps de passer à l’action, chassez la tristesse, et faites de la quête de  la joie votre mission prioritaire.  Des lueurs dorées illumineront votre motivation renouvelée.  Vous avez le droit de vivre vous aussi…Vous le méritez ! Libérez l’espace pour aller mieux !

Maryse de Mes Mots de vie

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