Apprendre à accueillir sa peur d’aimer !

Le mot « amour » et ses connotations émotionnelles !

Qu’on en parle ou pas, un mot revient dans tout ce que nous faisons, c’est bien le mot « amour » avec tous ces dérivés passionnels. « Manquer d’amour, avoir besoin d’amour, filer le parfait amour, l’amour de soi, un amour impossible, un amour à sens unique, la saison des amours, avoir peur de l’amour,  … »

Comment faire pour s’extraire de la résonance intérieure de ce mot qui nous effraie ?

Tout ce que nous entreprenons finit irrémédiablement par mener à l’idée que l’on s’en fait !  Notre vie toute entière respire à travers le sens et la place qu’on lui donne ! Est-ce un simple sentiment d’affection ressenti  pour quelqu’un, pour les autres, pour soi-même ou un besoin intense d’être en relation pour exister pleinement ?  Est-ce un cocon de tendresse où l’on souhaite  s’immerger à jamais ou une tempête  dévastatrice qui nous fait fuir dans le sens opposé ?

Certaines vont jurer qu’ils peuvent s’en passer, qu’ils n’en ont pas besoin, d’autres après avoir souffert un enfer, ne veulent même plus essayer, d’autres encore persévèrent et espèrent réussir à l’amadouer, à le maîtriser, à le posséder …On en parle comme d’un animal à la fois attirant et redoutable ! Il nous rend  peureux mais également irrésistiblement curieux!

Mille pensées l’accompagnent :

  • Combien de temps cela va-t-il durer ?
  • Quelqu’un va-t-il m’aimer ?
  • L’amour fait souffrir, à quoi bon !  
  • Il vaut mieux être seul que d’avoir le cœur brisé !

Pour résumer, l’amour s’affiche en grand comme un sentiment fort et  incontournable dans notre vie mais ce qui prédomine, ce sont avant tout les conséquences inévitables que l’on redoute : perdre sa liberté, être blessé, devenir dépendant, souffrir , être trahi, vivre l’infidélité, le mensonge, la manipulation…Ainsi tout en occupant la première place dans le hit-parade des émotions, l’amour est considéré comme un ennemi cruel et sournois qui va inévitablement tôt ou tard nous ronger l’âme et nous nuire, si on y succombe !

Pourtant quand on ferme les yeux, c’est à l’amour qu’on rêve . Au grand Amour ! A l’amour inconditionnel des autres ! A l’amour protecteur de soi ! On veut aimer et être aimé, c’est un leitmotiv comme une obsession inconsciente qui dicte tous nos faits et gestes, qui nous fait vivre avec le cœur ouvert ou fermé !

L’amour erre dans notre âme et  tourbillonne dans nos pensées intimes, il nous fait trembler.  Il nous attire comme on respire, il nous consume comme on frissonne. Il laisse notre cœur s’emballer, notre esprit divaguer et notre corps se brûler !

L’amour a des yeux envoûtants derrière son regard brûlant. Il a des lèvres exquises avec ses baisers fébriles. Il a des mains de velours qui nous parcourent jusqu’à en perdre la raison. Il chatouille nos envies sans répit, il nous entraîne dans la déraison pour nous basculer dans la passion !

Comment changer de rapport à la peur d’aimer ?

L’amour se définit avant tout par sa charge émotionnelle, son emprise « addictionnelle » et son rapport à la fois fusionnel et confusionnel qui ne  laisse personne indemne. C’est un peu comme si aimer signifiait se perdre quelque part pour  ne plus jamais se retrouver en entier!

Les expériences passées laissent un goût souvent amer qui freine tout élan ou qui  met d’emblée en résistance ! Ceux qui ne se sont jamais lancés, sont tétanisés par la souffrance qui semble l’accompagner! Ils ont peur de ne jamais s’en remettre comme s’il s’agissait d’une terrible et effrayante maladie !

A force d’entendre les autres en parler négativement, c’est comme si on attestait qu’il valait mieux ne pas éprouver de sentiment amoureux pour rester sain de corps et d’esprit pour continuer à contrôler sa vie.

D’ailleurs, par la même occasion, on se bloque aussi à la possibilité de s’ouvrir à l’amour de soi, comme si on ne le méritait pas suffisamment et que de toute façon, cela ne servait à rien ! Vivre à distance de soi et des autres semble être la meilleure voie pour moins souffrir, en tout cas c’est ce que certains se forcent à penser ! « Mieux vaut être seul que mal accompagné » !

Mais, au final, est-ce vrai ? Est-ce que se condamner à garder le cœur fermé n’est pas antinomique de la valeur profonde du sens de la vie ! Est-ce que bannir l’amour de nos pensées est vraiment possible quoiqu’on en dise ? Est-ce que ceux qui jurent ne pas avoir besoin d’éprouver des sentiments amoureux pour être bien dans leur peau, ne se mentent pas à eux-mêmes pour ne pas craindre de se tromper ! Est-ce que toutes les histoires d’amour finissent vraiment mal en général? Et puis, quand bien même n’est-ce pas donner du sens à sa vie que d’aimer, d’aimer et encore aimer ! Pourquoi s’en priver alors que cela tourne en boucle dans nos pensées comme associé à un manque, à une privation, à une malchance !

Et c’est pour ça qu’on souffre, qu’on souffre encore et encore, et c’est pour ça qu’on pleure qu’on pleure toutes les larmes de notre corps, à côtoyer le gouffre de si près, à souffler le doute sur ce que l’on redoute si fort, qu’on finit par se brûler intérieurement de ne pas aimer, de ne pas s’aimer parce qu’on craint d’avoir tort !

Et si on dédramatisait un peu tout ça ! Si on sortait de toutes ces envolées contestataires autour du sentiment d’aimer pour revenir à une idée plus légère de l’amour ! Si on le « désincarcérait » de cette prison des émotions mal gérées, des ordres et des croyances qui l’engluent dans son aspect le plus hideux ! Et si on arrêtait d’y mettre des enjeux démesurés comme un ordre qu’on donne à  l’autre à qui on confie la mission de nous aimer, pour devenir responsable de notre bonheur ?

Et si aimer n’était plus ni une obligation ni une interdiction mais juste un mouvement libre vers le plus beau et le plus grand de soi ? Vers cette énergie  qui nous invite dans son élan. Vers cette nécessité intérieure qui fait battre notre cœur ? Vers cet appel qui vibre au plus profond de nous pour nous faire aimer la vie tout simplement !

Quelle importance donne-t-on au final à cette intention d’aimer et d’être aimé! Quel poids veut-on lui faire porter ? Avec quelle attitude intérieure accompagne-t-on cette démarche vers l’autre, vers soi, vers la vie ?

Si on avance ainsi verrouillé dans la cage de nos émotions, dans la forteresse de nos peurs, comment vouloir vivre l’amour sereinement ? Comment  vouloir vivre tout simplement?

Il faut choisir de se guérir de cette peur d’aimer en arrêtant de comparer ce que l’on veut vivre à un imaginaire, à un idéal imposé  par la Société !

Quelle dimension choisissez-vous de donner à cette force d’aimer, à cet art de co-créer avec l’autre un morceau ou tout un chemin ensemble ! Il n’y a pas de petite ou de grande histoire d’amour ! Il y  a juste un fil d’or qui s’étire entre deux cœurs pour s’emmêler et les lier le temps d’un partage d’émotions, de sentiments, de vibrations pour former une romance ou  une destinée !

C’est dans l’intensité de ce verbe créateur « aimer » que l’on peut mieux comprendre notre passage sur Terre le temps d’une incarnation ! De blessures en fêlures, de peines en détresse, de maux en mots, tout mène à la guérison, à la réparation, à la réconciliation avec soi-même jusqu’à retrouver la paix intérieure. Celle qui jamais ne s’ébranle, si on sait la retrouver là au fond dans notre intériorité intacte qui devient  comme notre refuge pour filtrer ce qui nous effraie, pour apprendre à nous renouveler et à nous réajuster à chaque seconde.

On ne peut jamais se couper de cette vague intérieure qui nous anime l’âme, même quand le cœur est abîmé, il reste cette force puissante et agissante en nous, pour nous pousser à nous relever et à repartir de plus belle, pour  conquérir la vie et les multiples projets qu’elle a pour nous !

Aimer, c’est ne jamais oublier qu’on est tous fait de cette énergie, celle du cœur , c’est le moteur de notre être, notre motivation intérieure !

Bien sûr, il faut attendre que le temps panse les plaies les plus difficiles à cicatriser. Bien sûr, il faut accepter  de se dire co-responsable du fait de souffrir ! Bien sûr, il ne faut pas y renoncer comme s’il s’agissait d’un sacrifice innommable !

Mais guérir de la peur d’aimer, c’est le plus beau cadeau à s’offrir,  pour reprendre goût à la vie, pour rééquilibrer ce qui vous fait souffrir, pour s’offrir un nouveau départ, avec une nouvelle flamme à entretenir, à raviver, à maintenir, un peu comme si c’était ce qui vous maintenait en vie !

Alors choisissez de vivre pour guérir cette peur d’aimer en suivant votre mouvement intérieur, votre force d’aimer, rien d’autre, en vous laissant guider par un vent plus léger, une envie  de vous amuser, de vous lancer le défi de ne pas abandonner, de ne pas vous décourager ! Plus vous enlèverez à l’amour ce poids trop lourd qui l’accable, plus vous vous laisserez porter par ses ailes de légèreté et de gaieté qui allègeront votre rapport à  l’amour en lui donnant plus de fluidité !

Maryse de Mes Mots de Vie

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Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire du mal ?

Les pièges relationnels !

Au fil de votre existence, vous déambulez à tâtons dans les ruelles sombres de vos difficultés relationnelles. Pas à pas, vous hésitez face à l’incapacité à pouvoir comprendre comment les autres fonctionnent. Alors vous dérivez d’un port à l’autre, vous marchez sur un fil en équilibre, pour ne pas chuter dans le gouffre de vos appréhensions, face à ces êtres parfois malveillants qui vous attendent pour tisser des toiles, qui leur servent à capturer ceux qui se laissent manipuler par leurs illusions, par leurs faux sourires et par leurs fausses attentions !

Vous prenez le cap de la vie, en vous jurant de rester éternellement fidèle à vos valeurs de sincérité et d’honnêteté,  et naïvement, vous imaginez que les autres en feront de même ! Vous ouvrez votre porte relationnelle à tous ceux qui par leur attitude semblent vous tendre les bras. Vous les accueillez en pensant que vous vous ressemblez suffisamment, pour interagir ensemble avec les mêmes valeurs et avec le respect mutuel comme base de relation à l’autre ! Aveuglé par la lumière de votre soleil intérieur, vous croyez en un monde de bienveillance et de tolérance, et vous avancez le cœur ouvert et généreux avec l’intention positive de demeurer altruiste, quoiqu’il advienne, en partageant avec les autres bien plus que de la convivialité, des moments de confidences intimes et privées !

Vous êtes alors loin de vous imaginer ce que sont les pièges des relations humaines ! Vous laissez entrevoir à l’autre jusqu’à votre âme et même un peu votre jardin secret ! Vous vous sentez, tellement en confiance et entouré,  sur la même longueur d’onde, que vous ne vous doutez pas encore qu’on joue avec vos sentiments et avec vos émotions pour vous contrôler !

La joie d’entrer en relation totalement et pleinement avec les autres, est pour vous comme la seule et unique manière de voir la vie. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas pour les autres ! Cela peut dégénérer très vite en un cauchemar indicible, et tout ce que vous  acceptez à contrecœur pour ne pas vexer l’autre, ou pour lui faire plaisir ne sert à rien au final, si vous tombez sur de fins manipulateurs qui le sourire aux lèvres n’auront qu’une seule et unique intention, vous faire souffrir !

Bas les masques !

Le carnaval se vit au quotidien. Combien de visages masqués et de cœurs fermés ! Lorsque vous tendez la main vers quelqu’un, vous ne savez pas encore que peut-être vous vous  liez à celui ou celle qui sèmera le trouble dans votre vie à jamais ! Pas un sourire, ni un regard ne peut laisser voir la duplicité et la fourberie de certains êtres malveillants, qui guettent des proies faciles pour les entraîner dans leur monde factice fait de mensonges et de ruses !

Quand vous découvrez la vraie personnalité d’un « pseudo ami », d’un collègue ou de quelqu’un de votre famille ou de votre entourage proche,  vous vous demandez parfois jusqu’à quel point vous vous êtes laissé tromper et  jusqu’à quel point on vous a laissé croire à des sornettes et à des balivernes pour vous amadouer, et pour vous faire penser qu’on vous appréciait ! Pourquoi vos yeux ont-ils refusé de voir les stratégies de l’autre, pourtant évidentes, ses manigances et ses plans machiavéliques pour vous faire du mal à votre insu ?

Et vous culpabilisez … ! C’est de votre faute, à faire confiance trop vite, vous avez  fini par tomber dans des pièges pourtant prévisibles ! Alors vous vous  promettez de ne plus jamais recommencer,  vous décidez de rester seul pour ne plus susciter de jalousie ni de trahison et pour ne plus être  maltraité !  Mais tout cela n’est pas normal en soi, surtout quand les personnes malfaisantes réussissent à vous faire porter la responsabilité de leurs propres agissements ! Ce n’est pas à vous de fuir ni de vous cacher ! Au contraire !

Jusqu’à quel point laissez-vous les autres vous faire souffrir ?

Vous prenez conscience que des signes existent dans les relations toxiques, comme ces étranges malaises qui vous prennent quand vous côtoyez ces vampires émotionnels ! Comme la difficulté à prendre votre place malgré vos efforts acharnés, alors que personne ne vous y aide ! Cette souffrance lancinante à chaque fois que vous osez vous affirmer ! Et ces nombreuses fois où vous préférez pardonner, tellement vous ne voulez pas perdre une relation, à force de trop aimer !

Aimer les autres, ce n’est pas anormal mais quand on accepte leur manque de respect par affectivité, on n’est plus dans l’empathie mais dans les conséquences et dans les effets désastreux  des relations perverses narcissiques et malsaines !

Combien de fois avez-vous le cœur déchiré par l’envie de tout dire pour obliger ceux qui agissent mal à affronter leurs mauvais comportements ? Mais à chaque fois, vous vous taisez car vous vous dites que vous souffrez sans doute d’un manque de confiance en soi qui vous fait voir le mal partout ! Et puis, qui va vouloir vous croire? Les manipulateurs savent brouiller les pistes et faire passer leur victime pour des mauvaises personnes et  l’attitude d’isolement et de renfermement sur soi-même pour se protéger ne peut que leur donner raison ! « Ce n’est pas quelqu’un de fiable ! » murmurent-ils dans votre dos à qui veut bien l’entendre, c’est ainsi qu’ils sèment la médisance autour de vous, n’ayant rien de mieux à faire ! Seuls ceux qui leur ressemblent finiront par  y croire. Ces êtres odieux  signent ainsi par leur agissement leur propre culpabilité !

Il est urgent d’ouvrir les yeux sur la vraie réalité !

Pas celle que vous fabriquez dans votre tête sur la relation que vous idéalisez, pas les efforts que vous faites de manière surhumaine pour vous faire aimer en vain ! Non, une relation se vit non pas comme un combat ou comme un territoire à conquérir mais juste dans l’élan d’un mouvement spontané de votre cœur vers celui ou vers celle avec qui vous voulez vous lier sans effort, sans attente, sans souffrance !

Vous pouvez passer une vie à vous laisser fourvoyer par des personnes malhonnêtes qui trahissent la confiance que vous leur donnez, sans vous en rendre compte. Tellement vous vous bercez d’illusions, vous ne voyez pas clair en leur jeu, comme s’ils vous aveuglaient pour vous tromper! Quand la vérité éclate au grand jour, à un moment souvent difficile de votre vie, il ne vous reste que vos yeux pour pleurer, d’avoir cru que vous étiez important pour ces personnes au point de vous oublier vous-même et de les laisser vous manquer de respect ! Vous vous sentez tellement trahi et sali par de telles manigances que vous avez du mal à vous en remettre !

Vous ne voulez plus  être victime de votre naïveté mais il est difficile, quand on a le cœur généreux de s’obliger à devenir « égoïste », comme si on devait fermer la porte à la vie elle-même définitivement. On est souvent  triste de ne pas savoir écouter cette petite voix intérieure qui nous murmure « stop » en cas de danger ! Plutôt que de baisser les bras, choisissez d’ activer votre pouvoir créateur et grâce à vos intuitions de mettre fin ainsi au règne de la malveillance et de la manipulation, en révélant toujours  au grand jour la vérité !

On ne peut jamais vraiment s’expliquer un fiasco relationnel. Tant d’énergie déployée à aimer, à pardonner, à valoriser, à estimer l’autre qui est concentré en vain sur ses propres intérêts personnels ou sur ses objectifs pour réussir à soumettre, pour contrôler pour parvenir à ses fins, sans jamais éprouver le moindre petit sentiment venant du cœur : de la manipulation à tout point de vue !

Tous ces moments perdus sont pénibles à vivre mais combien de fois fermez-vous les yeux sur ce qui paraît tellement évident ! C’est ce qu’on appelle laisser les autres dépasser  les limites du respect, qu’ils doivent à tout prix vous accorder dans toute relation !  A trop vous impliquer, vous finissez parfois par vous perdre. Vous oubliez de  protéger votre cœur en vous engageant trop vite, les yeux fermés !  Vous y allez avec votre générosité et votre envie de croire que quels que soient les défauts de l’autre, il finira par changer, pour vous accepter et pour vous aimer ! C’est là que vous vous trompez le plus ! Vous laissez l’autre pénétrer dans votre espace le plus intime jusqu’à lui laisser voler vos états d’âme et dérober  vos tourments pour s’en servir comme des points faibles  et ainsi  mieux vous dominer en vous faisant souffrir !

Plus vous devenez dépendant d’une relation, plus vous êtes incapable de  surmonter seul les difficultés de la vie ! Tout cela perdure un bon moment mais ne peut continuer indéfiniment ! La souffrance a des limites, quand vous décidez d’ouvrir vos yeux pour sortir de cet état d’isolement dans lequel on vous plonge,  vous décidez d’apprendre à mieux vous connaître pour essayer de comprendre cet étrange sentiment de malaise qui vous envahit dans cette relation jusqu’à vous rendre malade.  Soudain tout s’éclaire,  vous n’arrivez plus à supporter l’insatisfaction absurde que génère ce lien, et  arrive la goutte d’eau qui fait déborder le vase déjà trop plein de vos émotions et des nœuds intérieurs qui vous bloquent dans votre déploiement personnel! Vous comprenez alors que vous êtes traité depuis toujours comme un « chien dans un jeu de quille » ! Vous réussissez enfin à élucider la zone d’ombre et à voir l’illusion de la relation !

Qu’est ce qui vous fait mal dans cette relation ? Qu’est ce qui ne se dit pas et  empoisonne chaque interaction ? Qu’est-ce qui est caché derrière ces reproches et ces exigences qu’on a de plus en plus à votre égard ? Pourquoi vos réussites suscitent-elles de plus en plus de jalousie comme si on cherchait sans cesse à éteindre votre lumière, à diminuer votre valeur ? Qu’est-ce qu’on n’accepte pas dans votre personnalité et dans votre manière d’être ? Qu’est-ce  qui dérange  l’autre  au point de le fâcher et de vouloir sans cesse vous nuire ? Pourquoi est-ce nécessaire de se contraindre sans aucun rapport fluide ?

C’est ici que se situe la vérité dans cette incapacité à s’entendre durablement avec quelqu’un au fil du temps et quel qu’en soit le sujet! Comme si à chaque fois, vous devez vous forcer pour que l’autre ne soit pas en colère ! Qui doit à chaque fois céder, concéder ou se sacrifier dans cette relation? Si c’est vous, alors vous avez compris que cette relation est vouée à l’échec et que l’autre dissimule la vraie nature de ses sentiments, inutile d’insister, vous perdez votre temps ainsi que votre santé, tôt ou tard, tout finira par basculer !

Quand vous reprenez les rênes de votre vie, vous n’acceptez plus de laisser l’autre vous manquer de respect, en bafouant votre personnalité, pour vous obliger à jouer le rôle d’une personne  négative et agressive que vous  n’êtes pas. Seules les personnes toxiques réussissent à faire ressortir les défauts de quelqu’un ! Mieux vaut tard que jamais!

Cela nécessitera une véritable reconstruction émotionnelle, après une telle catastrophe relationnelle. Se faire  maltraiter pendant des années laisse de lourdes traces émotionnelles, comme si vous vous étiez perdu très loin de vous-même !  Vous devez mettre un terme à toute relation malsaine, c’est la seule manière de vous accorder un long moment de guérison intérieure pour réussir à faire taire la souffrance qui demeure après une relation ratée !

Ne laissez plus jamais personne vous faire du mal ! Réagissez dès les premiers signes de malaise. Quand vous vous sentez mal au contact de quelqu’un, faites confiance à votre radar relationnel, il ne se trompe jamais ! Dites-vous surtout que dans toute relation, la première règle obligatoire et non négociable, c’est l’amour et le respect de soi :  l’autre doit vous accepter  comme vous êtes, sinon ce n’est pas la peine d’insister !

Croyez en vos propres valeurs et en votre liberté d’action, ne laissez plus personne mal vous traiter, vous méritez l’amour et la bienveillance, soyez-en convaincu ! Croyez en vous et  les autres devront faire acte de sincérité et d’authenticité . Fuyez les gens superficiels et préférez les gens vrais, vous ressentirez même à distance, la chaleur de leur cœur connecté à leur âme ! Refusez les relations désincarnées !

Maryse de Mes Mots de vie

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Les bleus de l’enfance sont des traumatismes qui pèsent sur votre cœur d’adulte

Les bleus de l’enfance sont faits de ces moments perdus indicibles, de ces incompréhensions malhabiles, de ces errances sans parole libre. Ce sont nos blessures d’enfance.

Les bleus de l’enfance déposent dans des âmes fragiles, le poids de fardeaux à porter qui restent invisibles jusqu’à ce moment où tout se dévoile, tout se révèle au hasard d’un fragment du temps qui s’arrête, pour éclairer les zones d’ombre qui se donnent pour être réparées.

Les bleus de l’enfance sont souvent physiques, mais surtout psychiques et verrouillent des histoires biographiques à double tour pour ne pas être dévoilées, pour ne pas avoir à assumer des actes ou des oublis de ce qu’on appelle l’irresponsabilité.

Derrière chaque regard d’un adulte, se cache souvent le cœur d’un petit enfant brimé, maltraité, dévalorisé, humilié. La mémoire telle une huître se referme sur ces plaies cachées pour taire ce qui paraît insupportable à dire, comme si on était coupable d’avoir été mal traité. C’est avec cette tempête intérieure que l’adulte se construit et pense pouvoir oublier ce qui l’empêche de respirer sereinement.

Le prisme de l’enfance est si réduit que les yeux du tout-petit  ne voient que le visible et préfèrent ignorer tout ce qui le sensibilise, le fragilise, le terrorise. Ces mots qui touchent, ces caresses qui attouchent, ces coups qui pleuvent, ces réprimandes qui affligent, ces colères qui oppressent, ces jeux teintés d’obscurité…

La violence éducative marque de son empreinte sombre  les souvenirs de tant de  petits êtres innocents et freine la croissance de leurs possibles, en soufflant comme une tempête dévastatrice  sur leurs espoirs et sur leurs rêves avortés.

Lorsqu’on se pose un instant au cœur de ses souvenirs d’enfance, on recherche parfois l’odeur de la fête foraine, le goût des pommes d’amour, la douceur d’une barbe à papa . Pourquoi a-t-on si souvent  du mal à les retrouver au milieu de tout ce qu’on a oublié, jusqu’à cette impression d’ignorer  l’insouciance liée à  l’enfance ?

Pourquoi alors qu’on essaie de se rappeler de ces moments heureux où l’enfant apprend normalement à explorer la vie, pourquoi y-a-t-il cette impossibilité à  se replonger dans cette période soi-disant heureuse et tant vantée par les parents comme s’ils n’avaient pas vécu la même réalité ?

A quel moment s’inventent-t-ils à eux-mêmes ce passé infructueux, ce temps nostalgique où ils préfèrent taire tout ce qui n’est pas à raconter ? Pourquoi l’album de famille ne révèle-t-il que des photos plaquées ? Pourquoi choisir de  taire ce qui est plus proche de la vérité ?

Redonner du sens à ses souvenirs, c’est apprendre à se réparer !

L’enfance est souvent séparée de son contexte. Chacun romance son histoire de vie pour se dire heureux comme s’il était inconvenant d’avouer tous ces moments affligeants,  pour choisir d’ignorer ce qui pèse sur le cœur!

Souvent quand on demande à un adulte de raconter son enfance, ses yeux se voilent de tristesse, sa voix se serre et son souffle devient plus court. C’est avec un petit air gêné qu’il s’excuse d’avoir oublié ou de ne pas avoir envie d’en parler…

Pourquoi a-t-on si peur de regarder dans le rétroviseur du passé ? A-t-on à ce point vécu des aventures insensées ? Des histoires innommables. ?  Le doigt sur la bouche,  pour  ne pas en parler, comme pour  dire chut… de ne rien révéler… !

Pourquoi a-t-on des difficultés à s’exprimer et à communiquer sur ce temps  mélancolique ? Qu’est-ce qui empêche la parole de l’enfant de se libérer dans sa bouche d’adulte ?  Qu’est-ce qui reste étouffé  à l’intérieur de son corps  qui devient comme une caisse de résonance pour amplifier  toutes les émotions mal digérées jusqu’à faire entendre une profonde amertume!

Lorsqu’on prend la décision de se réapproprier chaque parcelle de sa vie, on apprend aussi à ouvrir les yeux sur toutes ces blessures mal cicatrisées. Ce n’est pas pour se plaindre ou pour reprocher  mais seulement pour  prendre conscience qu’il est absolument  nécessaire d’éclairer la part d’ombre qui ne cesse de provoquer des remous et de perturber la progression d’une vie.

On doit à un moment donné avoir pour mission  de décoller  toutes les étiquettes dans lesquelles les parents enferment souvent les enfants pour expliquer ou pour excuser des comportements inappropriés à son égard, des peurs qui le bloquent encore émotionnellement aujourd’hui et qui l’empêchent de vivre librement en tant qu’adulte.

Lorsqu’on a été un enfant maltraité ou délaissé, la question qui se pose, c’est de savoir à quel moment les parents n’ont pas su créer  un environnement rassurant et sécuritaire ?

Les parents ont une mission importante dans l’éducation de leurs enfants : savoir  les protéger ou du moins leur expliquer ce qui n’est pas évident à  leurs yeux. A quel moment manquent-ils  à ce rôle,  sciemment ou inconsciemment ?

Pourquoi remplacent-t-ils souvent par  une réprimande, par une violence, par une colère ou par un coup,  l’attention nécessaire pour dissoudre les craintes d’un enfant au lieu de le rassurer ou de le consoler…

Les bleus de l’enfance sont en lien avec tous les traumatismes subis, tous ces moments d’inquiétude qui ont remplacé un développement positif  impossible.  Tous ces épisodes d’une histoire souvent ratée encore obscure pour l’adulte qui préfère tout oublier !

A quel moment la parole vient-elle expliquer ce qui est encore si troublé, si opaque, si difficile à comprendre à l’âge adulte?

Les bleus de l’enfance portent en eux la  maltraitance éducative qui s’exerce quand un enfant est différent, hypersensible, singulier …C’est cette violence qui s’acharne  pour l’obliger à être autrement et qui l’enferme dans un schéma de vie qui ne correspond pas à son authenticité.

L’adulte qui transporte dans son histoire le cœur d’un enfant tourmenté, a du mal à se positionner dans son identité véritable, il est comme inconnu à lui-même, et semble jouer un rôle de personnage factice dans le film de sa vie. Il se débat dans des conflits intérieurs entre être lui-même  en toute transparence ou correspondre à un modèle imposé par les autres !

Les bleus de l’enfance sont parfois difficiles à effacer tant la résonance de cette histoire non réglée continue à  perturber l’équilibre recherché tout au long d’une destinée. Ce n’est pas le baume du temps qui passe,  qui va réparer le bleu permanent tatoué  sur l’âme !

Comment guérir définitivement ces blessures de l’enfance ?

En premier lieu, il ne faut pas avoir peur de les regarder en face sans se mentir à soi-même ou sans en avoir honte. Lorsqu’une blessure se révèle au fil de sa vie,on doit se donner le temps de la compréhension de son histoire, en  accueillant toutes les émotions qui y sont associées.

On garde en mémoire des bribes des illusions perdues, des miettes des envies ralenties par le poids de ce qui n’est pas guéri. Un soupçon d’amour de soi vient réconforter le cœur de cet enfant intérieur qui s’autorise alors à  parler librement de ce qui le fait encore souffrir.

Quand le voile se lève sur des absences de sens, la lumière projette la vérité sur le rideau jusqu’alors tiré sur l’esprit d’enfant  apeuré.  On peut capturer l’essence des émotions enfouies en les laissant se révéler sur la scène des introspections qui amènent l’adulte à se réconcilier avec lui-même!

Défile alors sans scrupule et  sans gêne,  tout ce qui était caché dans le coffre-fort de ses sentiments alourdis par l’interdiction de laisser s’exprimer les non-dits qui sont en fait, les clés véritables de  l’histoire de vie de chaque individu, quand les baillons sont arrachés et les masques déchirés !

En second lieu, prendre le temps de faire la paix avec soi-même, en se donnant l’autorisation d’admettre les failles d’une éducation subie, c’est se permettre de recommencer à croître dans son développement personnel sans désobéir au diktat de l’éducation parentale.

On aime ses parents mais on sème aussi pour soi, sur son parcours, des graines d’espoirs pour réparer  jusqu’à toute une génération réprimée et enfermée dans des schémas ancestraux qui ne cessent de se  rejouer quand on préfère les ignorer.

La répétition des mêmes situations difficiles est un excellent indice de ce qui demande à être nettoyé pour faire de la place à une construction plus saine et plus sereine de son projet de vie.

Quand la résilience s’installe pour permettre d’accepter ce qui  a créé tant de souffrances, la guérison est possible pour extraire la force intérieure qui sera le pilier de l’épanouissement d’un être!

En dernier lieu, quand le poids des blessures de l’enfance arrête  de peser, alors l’adulte redevient aussi léger que l’innocence qu’on lui a volée par tant de négligences ou d’indifférences!  Ses ailes se remettent à se déployer pour reprendre son envol vers sa croissance  personnelle interrompue, comme si le temps suspendait son cours pour lui permettre de combler tous les manques qui l’avaient figé dans une version fabriquée de lui-même, à l’opposé de sa vraie personnalité .

Parfois, ce n’est que très tard qu’une personne se dévoile dans ce qu’on ne connaît pas encore d’elle, comme si durant de nombreuses années, elle n’avait pas su se délivrer de ce qui la bloquait , comme prisonnière d’elle-même! Il n’y a plus de conflit, plus de mal à dire, plus de pleurs, plus de mensonges, l’horizon s’éclaircit et laisse présager  d’un avenir meilleur où l’amour de soi prend le relais pour remplir chaque petit interstice à présent transmuté, alors l’enfant intérieur et l’adulte fusionnent   pour former un merveilleux duo plus harmonieux au cœur de leur histoire de vie et de nouveaux choix deviennent possibles !

Quand les bleus de l’âme s’estompent, les roses du cœur fleurissent et rendent notre existence allégée, parfumée aux senteurs de la liberté retrouvée.

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment apaiser la blessure de dévalorisation qui vous empêche d’avoir confiance en vous ?

Comment reconnaître la blessure de dévalorisation ?

Prenez-vous les choses trop à cœur ? Êtes-vous à ce point perfectionniste comme si vous étiez responsable de chaque petit détail et que vous n’aviez pas le droit de mal faire ? Avez-vous tendance à  faire une affaire personnelle des critiques que vous entendez ? Placez-vous toujours la barre très haut à travers de nombreuses exigences inconscientes? Êtes-vous souvent très jugeant envers vous-même comme si vous aviez l’obligation d’ «assurer» pour  survivre, plutôt que vivre pleinement ? Pourquoi au fond de vous, avez-vous cette impression que quelque soit ce que vous puissiez faire, ce ne sera  jamais assez bien pour personne et certainement pas pour vous-même ? Quelle est la dernière fois où vous avez été totalement fier de vous ? A contrario, quel est le dernier reproche que vous vous êtes adressé ? Ils sont  nombreux, n’est-ce pas ! Dans votre miroir par exemple, ce matin en vous recoiffant une énième fois, sans jamais vous plaire tout à fait?

Ou alors dans ce dialogue intérieur constant où vous entendez cette petite voix qui vous répète inlassablement, que vous ne méritez  pas mieux que ce que vous avez, jusqu’à vous rendre facilement coupable de tout ce qui ne va pas! Vous avez donc dans votre manière d’agir des croyances qui vous limitent, comme un écho permanent d’une blessure qui pleure en vous et qui vous tourmente constamment en vous donnant cette impression d’être condamné à porter le poids du Monde sur vos épaules comme Atlas dans la mythologie grecque.

Ce profil correspond bien évidemment à celui de quelqu’un qui a du mal à se satisfaire de lui-même comme si des reproches ou des jugements le pourchassaient dans sa tête, dans son corps pour l’affaiblir et éteindre sa confiance en soi et le pousser à toujours se surpasser pour réussir quelque chose dans la souffrance et dans les épreuves.

Nous pouvons y lire comme  le signe d’une profonde  blessure de dévalorisation née de l’enfance et qui se cache depuis en lui  pour l’obliger à toujours être irréprochable à ses propres yeux jusqu’à le torturer dans son esprit ! « Suis-je suffisamment parfait pour exister, semble t-il se dire ? » « C’est normal de souffrir pour réussir ! » «  Je dois faire à la place des autres si je veux être accepté.» « Je dois m’en sortir seul car personne n’a le temps ni l’envie de m’aider ! »

D’où vient cette terrible  blessure qui vous a rendu si pessimiste ?

Il est nécessaire pour commencer de faire un petit retour en arrière dans votre enfance, pour vous souvenir, si cela est possible de cette situation humiliante  qui vous a traumatisé au point d’avoir laissé une trace indélébile qui vous enferme dans cet état d’âme négatif. Peut-être même avez-vous subi plusieurs événements traumatiques qui vous ont  dévalorisé au point d’avoir développé en vous comme un complexe d’infériorité par rapport aux autres : vos frères et sœurs par exemple…jusqu’à vous sous-estimer dans vos capacités réelles ?

Qu’est-ce que vous avez vécu au point de blesser si profondément l’enfant innocent et candide que vous étiez alors, et d’avoir aujourd’hui encore au fond de vous, comme une empreinte de ces moments, comme une sensation à la fois psychique et corporelle d’avoir été démoli intérieurement dans votre estime de soi jusqu’à vous faire douter de vous-même !

Qu’est-ce qui résonne en vous à chaque fois que vous avez l’impression qu’on vous juge sur votre apparence physique, sur vos compétences, sur votre niveau intellectuel, sur vos origines, sur votre histoire personnelle… ?

Soyez conscient que nous sommes nombreux à avoir ressenti un jour ce sentiment de déconsidération, la question est de savoir pourquoi cela vous touche toujours aussi intensément malgré le temps qui passe ? Est-ce qu’il vous arrive de penser  que vous n’êtes pas assez bien pour vos parents, pour vos proches, pour vos amis, pour vos voisins, pour vos collègues, ou pour tout un chacun, et ce tout au long de votre vie ? La liste serait encore longue des échos que cette blessure de dévalorisation peut laisser dans votre quotidien.

On pourrait  résumer ce que vous ressentez à une seule phrase : vous avez du mal avec les relations humaines car vous avez du mal à exister comme vous êtes vraiment et à prendre votre place sans crainte d’être jugé!

Vous avez l’impression que le regard de l’autre transperce votre âme pour y lire vos pires défauts. Vous détestez la plaisanterie car cela évoque pour vous des moqueries.  Vous avez du mal à vous intégrer au sein des groupes.Prendre la parole en public vous fait peur car vous ne vous sentez pas à la hauteur. Vous êtes souvent sur la défensive car vous vous sentez agressé. On vous dit susceptible et rancunier alors que vous ne vous sentez pas compris et respecté. Vous préférez la solitude à la foule car  elle vous effraie. Vous n’acceptez pas les invitations facilement car vous craignez de ne pas réussir à vous amuser en faisant preuve de légèreté. Vous ne pensez pas mériter des amis car vous n’avez pas envie de partager votre intimité. Vous détestez être sous les feux des projecteurs car vous craignez d’être jalousé. Vous préférez vivre caché car c’est mieux ainsi !

Mais qu’est-ce qui vous rend à ce point méfiant ? Qu’est-ce qui vous empêche aujourd’hui d’être pleinement vous-même. Qu’est-ce qui fait que vous avez du mal à trouver votre propre style, à assumer votre propre manière d’être ?

Pourquoi  avez-vous besoin sans arrêt d’en faire toujours plus pour espérer plaire aux autres mais en vain. Pourquoi agissez-vous comme un comédien dans votre propre vie comme si vous deviez jouer un rôle tout le temps, celui de l’être parfait, pour espérer être accepté ?

Voici un résumé clair  des conséquences de cette blessure de dévalorisation  en vous. C’est elle qui dicte vos choix et vous fait vous sentir mal  dans votre peau constamment.
Non, vous n’avez plus a subir cela! Non, vous n’êtes pas obligé de vous forcer pour faire ce que les autres veulent de vous! Non, vous n’avez pas à suivre ce qu’ils pensent être bon pour vous ! Non, vous n’avez pas à être soumis ! Il est temps, plus que temps, de guérir de cette blessure  en travaillant activement  à la valorisation de votre être! Vous verrez que vous finirez par y prendre du plaisir pour retrouver le goût intense de la vie!

Il est temps d’être à la hauteur de vos belles qualités inexploitées !

Commencez par définir clairement et précisément qui vous êtes véritablement. Comme une carte d’identité de votre être intérieur qui se dénude pour enfin se dévoiler dans la profondeur de son authenticité. Enlevez tous les filtres, tous les masques, tout ce qui vous cache encore à vous-même. Retrouvez votre essentialité. Listez tous vos succès, toutes vos qualités, tout ce qui vous fait vibrer quand vous parlez de vous-même, de vos aspirations, de vos envies !

Qu’est-ce qui vous ferez vous sentir infiniment libre ? Danser sous la pluie, sauter en élastique, défiler sur un catwalk, chanter devant un public, … Qu’est-ce que vous ne vous êtes jamais autorisé à faire alors que vous en rêviez ? Quel enfant auriez-vous été si vous n’aviez pas été humilié, dévalorisé, rejeté ?

Il est temps d’effacer de votre mémoire, cette personne que  vous n’avez jamais été pour devenir enfin celle que vous êtes vraiment, au cœur de vous-même, quand votre âme d’enfant sourit et que vous retrouvez votre confiance épurée, nettoyée de tous ces faux-jugements.

Enlacez votre enfant intérieur et embrassez-le, rassurez-le en regardant ce que vous avez pu tout de même accomplir, malgré cette blessure. Ressentez la fierté de cette force intérieure qui reste intacte malgré tout et renaissez à vous-même guéri et heureux et répétez encore et encore  « Je suis de plus en plus puissant » !

Aujourd’hui vous êtes un adulte et cette histoire qui vous appartient vous a appris à  évoluer, malgré tout pour surmonter la honte, la timidité, la colère, le ressentiment. Regardez la beauté de cette personne que vous êtes intérieurement quand vous rayonnez  de votre estime de soi revalorisée. Oui, c’est cette personne que vous êtes ! Aucune humiliation ne doit plus jamais vous atteindre, vous êtes à présent renouvelé pour devenir la meilleure version de vous-même, celle que vous vous autorisez à être sans vous cacher ! Il n’y a plus personne pour vous freiner ! Et c’est dans cet élan que vous devez à présent considéré votre vie, dans cette ouverture au plus grand. Ressentez ce que cela vous fait de vous regarder avec d’autres yeux, ceux de l’amour de soi qui est en votre cœur. Dites-vous à haute voix à quel point vous vous aimez ! Personne d’autre ne pourra le répéter avec cette même intensité.

Remplissez chaque recoin de votre âme de cette énergie d’amour réparatrice ! Dites à vous-même tout au long de la journée : « Je m’accepte comme je suis et je m’aime ! »  Nourrissez-vous de cet amour à chaque fois que quelqu’un essaiera de vous faire douter de vous-même. Devenez ainsi le gardien de votre temple intérieur !

Aimez-vous encore plus fort chaque jour, offrez-vous de la douceur à travers un cadeau qui vous rappellera votre valeur à chaque fois qu’on cherchera à vous déstabiliser. Récompensez vos efforts avec tout ce qui vous pourra vous faire vibrer, pour vous faire rayonner du plaisir d’être vous-même pour exister !

Maryse de Mes Mots de vie

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