Le mensonge est le poison des relations aux autres

Il faut cultiver la sincérité et l’ouverture d’esprit dans la relation aux autres !

Prendre soin de la qualité de sa relation aux autres, c’est prendre conscience que les personnes que vous côtoyez, méritent votre franchise et votre sincérité. Si vous vous respectez, vous ne pouvez devenir votre propre ennemi en cultivant le mensonge comme moyen de communication.  Rien ne sert de feindre d’accepter l’autre si c’est pour  inventer des histoires pour lui cacher la vérité ! L’honnêteté est la reine de la bonne entente. Pas besoin de faux-semblants, d’excuses, de prétextes. Tout se dit, rien n’est tabou et cela permet de crever tous les abcès et d’offrir à ceux qui vous aiment une base de relation saine et solide en toutes circonstances.

Dès que quelqu’un fait preuve de méfiance à l’égard de quelqu’un d’autre, cela signifie qu’il n’a pas  d’estime pour cette personne. Le lien qu’il tisse avec autrui ne peut que s’altérer progressivement et créer de nombreuses complications inutiles. Qui peut accepter qu’on lui mente ? La sincérité et l’honnêteté  sont  des valeurs indispensables pour conserver des relations basées sur la paix et l’harmonie.

Personne ne pourra jamais faire l’unanimité, il faut donc essayer d’être juste dans sa manière d’entrer en relation aux autres en offrant à chacun la même écoute, la même considération, le même respect. Cela est valable dans les relations familiales, amoureuses  amicales ou professionnelles… ! La priorité dans les relations humaines est et sera toujours le respect avant toute chose.  Le respect du caractère de l’autre, de sa personnalité, de son tempérament, de sa manière d’être et surtout de sa liberté d’être ! On ne peut condamner quelqu’un par ses mensonges et cela en toute impunité ! Tôt ou tard, la vérité finit par triompher !

Manquer de sincérité, c’est se mentir à soi-même

Lorsque un individu décide de mentir à une personne et pas à une autre, qu’est-ce qui dicte ses agissements, qu’est-ce qui motive sa décision, certainement pas l’amour ni  la confiance ? Cela démontre qu’il juge l’un plus digne de confiance que l’autre,  alors pourquoi s’obliger à parler à quelqu’un si on ne veut pas lui dire la vérité, autant le rayer de ses relations ? Sinon, n’est-ce pas manquer de sincérité envers soi-même ? Lorsqu’on est réduit à comparer les uns aux autres pour considérer la valeur de quelqu’un, on fait fausse route car la comparaison dans les relations est déplacée, personne ne ressemblera jamais à personne d’autre !  C’est d’ailleurs ce qui va nuire souvent à la qualité des relations et  sera aussi le point de départ des mésententes.

Comparer ses enfants, ses petits-enfants, ses amis, ses voisins, sa famille, à quoi cela mène t-il ? Vouloir à tout prix que quelqu’un corresponde à un modèle idéalisé selon ses critères, c’est prétentieux et c’est inévitablement le réduire à des exigences qui n’ont pas lieu d’être. Il n’y a pas de modèle d’enfant, de parent, de conjoint, de belle-fille, de gendre, de petit ami,… Alors pourquoi  juger quelqu’un  indigne de son affection en le confrontant sans cesse à des mensonges et à un manque de sincérité parce que l’on n’arrive pas à l’accepter?

Pourquoi  blesser autrui par des mensonges ? La personne qui ment ne doit pas croire que cela se fait sans conséquence mais admettre qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec elle-même. Il lui sera nécessaire de faire son examen de conscience pour comprendre quels sont ses réels problèmes qui l’obligent à agir ainsi de manière insensée et destructrice ? Ce n’est certainement pas par amour !

Quand le culte de la perfection est déraisonnable !

Personne ne peut se dire parfait. Aucun parent, ni collègue, ni ami, ni grands-parents, ni époux, …. ? On sait très bien que tout le monde a ses propres qualités et ses propres défauts ! Alors vers qui vont tous les reproches incessants que certains se permettent d’infliger aux autres?  N’est-ce pas le signe de leur propre déséquilibre personnel? N’est-ce pas parce qu’ils cachent aux autres leur réelle personnalité en s’acharnant à mentir à chaque fois pour dissimuler  leurs failles et leurs obscurités et en pointant toujours l’autre du doigt comme responsable ?

A trop rechercher  ce qui n’existe pas, on finit par tout perdre dans une relation. On ne peut alors que s’en prendre à soi-même ! Qu’est-ce qui est vraiment important au final dans une relation ? Les convenances, les exigences, les principes, les attentes ? Ou alors les moments heureux, les fous rires, les sourires, les partages, les conversations à bâtons rompus? Les beaux moments ou les crises et les reproches ?

Plus on s’ouvre à la chaleur humaine, plus on devient conscient du chemin de la vérité comme seule voie possible pour cultiver des relations harmonieuses! On ne peut malmener quelqu’un injustement et espérer que cette personne vous aime !

Il n’y a pas d’excuse au mensonge…

Aucune excuse ne peut justifier le mensonge. C’est une décision que l’on prend et que l’on assume ! Cela commence parfois par des petites omissions volontaires pour ne pas dire ce que l’on souhaite cacher puis cela devient très vite  un engrenage infernal qui emprisonne aussi bien celui qui ment que celui à qui l’on ment ! A partir du moment où l’on trahit la confiance d’une personne, on sait très bien que cette relation ne pourra durer. Si on choisit de planter les bases d’une relation dans le mensonge, on la condamne volontairement à se terminer avec des dégâts irréversibles!

Connaissez-vous quelqu’un qui n’a jamais été démasqué pour ses mensonges ? La vérité finit toujours par éclater. Il n’y a pas de petit mensonge ! On ne peut pas se justifier d’avoir menti. Dans tous les cas, le mensonge fait mal car c’est une ignoble trahison !

Mentir, c’est faire le choix de ne pas dire la vérité !

Tout commence le jour où une personne fait le choix malsain de ne pas dire la vérité. Affirmer, se justifier, être sur la défensive et même demander à quelqu’un d’autre d’appuyer la véracité de ses dires, c’est montrer son manque de sincérité. Lorsqu’on se contente de raconter les choses comme elles se sont déroulées, le mouvement de la vie circule naturellement et rien ne vient gêner la communication vers l’autre. Si on choisit le mauvais canal, le langage du corps sera révélateur et racontera la vérité par ses gestes et par ses mimiques. Rien ne sert de s’engluer dans cette stratégie perdante si on aime quelqu’un ! Il faut fuir le mensonge, et faire place à la vérité !

La méfiance n’est pas bonne conseillère !

Malheureusement, la plupart du temps, les mensonges finissent mal. On finit par récolter les conséquences des actes malveillants , ce qui minera  les relations jusqu’à les détruire. Progressivement, on finit par perdre sa dignité, sa tranquillité d’esprit ainsi que l’affection de ceux que l’on malmène ! On ne peut considérer celui qui ment comme quelqu’un de  fiable, d’honnête et de confiance. C’est plutôt un signe d’une relation toxique !

Pourquoi choisir de mentir quand on prétend aimer quelqu’un ?

A quoi bon mentir ?  La confiance que l’on installe dans l’interaction aux autres est aussi garant de la relation durable. N’est-il pas préférable de mettre un terme à une relation plutôt que mentir? Si vous ne voulez pas  dire la vérité à quelqu’un, cela signifie que cette relation ne compte pas vraiment pour vous. L’amour ne connaît pas l’obscurité des mensonges ! Quand on aime, c’est avant tout en pleine lumière pas caché dans les alcôves de la méfiance et des reproches !

Prendre conscience de son engagement à dire la vérité dans une relation, c’est se donner plus de chances de la conserver. Faire preuve de solidarité, de fraternité, de non-calcul, de respect, c’est ouvrir une communication saine et sereine avec ceux que l’on fréquente. Comment peut-on encore se regarder dans le miroir quand on ment à tout va ? Comment fait-on pour se rappeler de tout ce que l’on a dit ? N’est-ce pas choisir de se compliquer l’existence en agissant ainsi ?

Parfois, certains préfèrent « mentir pour se protéger » diront-ils ! De quoi ? D’eux-mêmes sans aucun doute ! Parce qu’ils ne veulent pas affronter la réalité, parce qu’ils préfèrent se bercer d’illusions que de faire face à la vérité. Parce qu’ils détestent révéler leurs stratégies souvent perverses et machiavéliques  pour prendre le pouvoir sur les autres ! S’habituer aux mensonges, c’est destructeur ! C’est aller à contre-sens de l’amour !

Il faut se poser la question sur les mensonges, tout le monde mérite d’être respecté, il est plus important  de regarder  la vie en face que de travers en décidant de sortir la tête du sable ! Il n’y a que la vérité qui construit les relations.  Il faut s’aimer soi-même suffisamment, pour devenir plus fort en choisissant la vérité à chaque seconde.

Il n’est jamais trop tard pour changer et pour se renouveler dans son rapport à soi-même, aux autres et à la vie ! Les personnes que l’on aime et qui vous aiment, le méritent !

Maryse de Mes Mots de vie


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Le jour où j’ai réussi à lâcher prise … je me suis enfin trouvée !

Comment reprendre les rênes de sa vie ? 

Le jour où j’ai arrêté de vouloir « assurer » à tout prix, j’ai enfin autorisé la vie à circuler librement… Je l’ai laissée être elle-même sans lui donner des ordres impérativement. Je lui ai donné le droit de se dérouler sans vouloir combler mes exigences obligatoirement et malgré toutes ses imperfections inévitablement!  Je l’ai regardée exister et j’y ai participé activement. J’ai pris conscience au fil du temps que plus je voulais la contrôler, plus la vie m’échappait comme pour me laisser face à mes difficultés malheureusement, pour me montrer qu’elle seule avait le pouvoir de décider évidemment, et qu’elle détestait être commandée autoritairement.

Je devais me contenter de poser mes intentions comme des repères et toujours avec douceur, cela lui suffisait pour m’ouvrir le chemin sans exiger de délai imposé. Qu’il me fallait ainsi apprendre à sortir de mes frustrations de ne pas obtenir ce que je désirais si ardemment et d’accepter au contraire de cultiver la patience et la persévérance renouvelées comme mission. Quand j’ai commencé à poser mes désirs autrement , si je n’obtenais pas satisfaction, je comprenais immédiatement que c’était parce que ce n’était pas possible pour le moment et qu’il me fallait juste attendre, sans désespérer et sans me plaindre.

Le jour où j’ai redonné son pouvoir à la vie, mon rapport à elle, s’est radouci. J’ai compris que si jusqu’à présent, je croyais la diriger, ce n’était qu’un leurre de mon égo. J’ai su que si elle devait me rendre heureuse, elle le ferait instantanément, si cela était possible selon mes choix de vie et les circonstances ! J’ai compris qu’elle n’y pouvait rien si je créais moi-même mes insatisfactions, que lorsque je désirais quelque chose, c’était à elle de me l’offrir en  la laissant faire sans focaliser sur le but recherché.

Le jour où j’ai cessé de vouloir tout prendre à cœur, j’ai eu la sensation qu’un poids énorme qui écrasait tout mon être se relâchait pour m’alléger et me redonner foi. J’ai su enfin ce que cela voulait dire profiter de la vie et prendre goût pour l’inconnu. J’ai commencé à vivre enfin pour moi et pas uniquement pour les autres ! J’ai accepté les jugements sans y accorder plus d’importance. Chacun a repris sa place et  ses responsabilités ! Je n’étais plus le faire-valoir ni le souffre-douleur de quiconque !

Le jour où je n’ai plus voulu être comme un ordinateur de bord qui devait tout prévoir et tout organiser avec succès, j’ai arrêté de forcer les choses en  m’impliquant plus que nécessaire dans ce qui pouvait au final me faire terriblement mal. Je n’ai plus cherché  à  régler des comptes pour avoir le droit d’exister et pour ramener la vérité, seule la vie avait cette  autorisation de tout réajuster. J’ai refusé aussi  d’endosser la responsabilité de ce qui ne m’appartenait pas. J’ai arrêté ainsi de me sacrifier pour ceux qui ne s’assumaient pas.

Le jour où j’ai laissé faire le mouvement de la vie qui ne cessait de me murmurer: « Tout ce tu sais c’est que tu ne sais rien, laisse-moi t’apprendre… !». Je n’ai plus voulu être la « superwoman » qui devait tout braver. J’ai arrêté de vouloir tout faire à la place des autres. J’ai rendu à chacun son choix et sa liberté. J’ai préféré avancer un pas après l’autre lentement sans foncer tête baissée et sans me précipiter. Je me suis arrêtée pour ne plus me prendre le mur de mes entêtements mais j’ai décidé de me battre enfin  pour mes vraies convictions, mes vraies valeurs celles qui me ressemblaient. J’ai laissé la vie m’ouvrir une petite porte cachée pour traverser les obstacles en lui faisant confiance totalement dans la foi  de celle que j’étais. J’ai arrêté de porter les autres sur mon dos au risque de ne pas me relever. J’ai rangé mes peurs aux oubliettes. J’ai eu alors la sensation que tout se renouvelait que tout reprenait sa juste place. Il n’y avait plus aucune restriction juste la liberté de vivre comme seule aspiration.

J’ai arrêté depuis d’être déçue et j’accueille à présent les belles surprises de la vie comme de précieux cadeaux. J’accepte ses défis malgré les difficultés que cela peut créer et je laisse couler son énergie sans lui faire barrage à moi-même. J’apprends chaque jour à faire de mon mieux avec ce que je peux ! Je ris quand elle le veut en me connectant à ma joie d’être et je pleure quand je m’oppose farouchement à elle et qu’elle vient me narguer tendrement ! Alors, je lâche prise…

J’ai cessé le bras de fer en choisissant de danser avec la vie en duo. Je suis ses pas quand elle me conduit en avant pour passer à l’action. Je la laisse faire quand elle me ramène en arrière pour  prendre du recul et me permettre de me repositionner autrement. J’esquisse un pas à droite puis à gauche quand elle veut que je réfléchisse. Elle me redresse vers le haut quand  je m’élève vers mes aspirations. Et elle me dépose vers le bas dans toute ma globalité quand  je me recentre  pour retrouver mon équilibre, mon ancrage et ma solidité. Elle me tourbillonne quand elle veut m’étourdir et me faire réagir ! Mais elle m’aide à ne pas perdre pied en ma ramenant dans ma stabilité et ma verticalité car elle est toujours là pour m’accompagner !

J’ai rendu aussi à chacun sa vie. J’ai compris que je ne peux pas assurer pour les autres ni à leur place. J’ai cessé d être leur bouclier ou l’éponge qui absorbe leur toxicité. En fait, je me  laisse à présent porter sans résister car  à force de m’opposer, je finis par m’ épuiser inutilement. Je n’ai plus aujourd’hui  l’envie de lutter et je préfère laisser aller  pour me retrouver… C’est une manière d’être  salvatrice car  la vie est devenue depuis, mon alliée, ma complice, ma confidente,  ma destinée. Plus je l’aime, plus elle m’aime. Elle me montre la porte ouverte à de nouveaux possibles bien plus nombreux.

Le jour où j’ai arrêté de vouloir « assurer » à tout prix, toutes mes angoisses se sont dissipées, comme effacées faisant place à plus de confiance pour l’imprévisible et pour l’inconnu  en cessant de la redouter et de la craindre. Alors, j’ai commencé à vivre vraiment ! J’ai redonné le sourire à mes opportunités en cultivant la force de la nouveauté. Je souris  mon tour à la vie, à chaque fois qu’elle me fait un petit clin d’œil complice, j’apprends à la remercier. Je me sens plus présente et impliquée . J’accepte mes peines et je cherche le réconfort là où je peux le trouver en écoutant les intuitions qui me guident dans la chaleur de mon intériorité !

Le jour où  j’ai décidé d’arrêter de me prendre la tête quand quelque chose me chiffonnait,  j’ai aussi appris à vivre dans un espace infini et disponible et  j’ai changé de rapport  en cessant toute résistance vaine et inutile. J’ai compris que certaines expériences sont nécessaires dans notre mission de vie pour grandir et s’améliorer pour aller vers la meilleure version de soi-même !

Le jour où j’ai appris à m’aimer, j’ai embrassé chaque parcelle de mon être et de mon âme, j’ai senti mon cœur s’ouvrir et se pâmer d’aise et de plaisir pour me réchauffer au creux de moi-même. J’ai reçu par réciprocité l’amour des autres dans un flux harmonieux, sans effort à faire juste à apprécier !

Le jour où j’ai pris conscience que si l’on ne s’aime pas assez on ne peut que se sentir malheureux, que l’essentiel ce n’est pas de plaire mais de faire rayonner sa singularité, ce jour-là, oui ce jour-là je suis vraiment née à moi-même…

Maryse de Mes Mots de Vie

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Comment faire face aux critiques !

Lorsque la médisance s’exerce sans cesse contre vous, qu’est-ce que cela signifie ?

Pensez-vous être à ce point une mauvaise personne pour expliquer  les critiques dont vous êtes la cible ?
Avez-vous l’impression de mal vous comporter au point d’attirer sur vous les foudres du monde entier ?
N’est-ce pas plutôt parce que vous prônez avant toute chose la franchise et la sincérité ?
N’est-ce pas parce que vous détestez les mensonges et l’hypocrisie et que vous préférez confronter ceux qui dénigrent sans savoir ?
Peut-être avez-vous l’habitude de mettre les personnes face à leur propre responsabilité ?
Et peut-être même que vous avez l’habitude de dire ce que vous pensez sans crainte d’être rejeté ?

Vous faites donc partie de ces personnes qui attirent à elle les critiques car vous n’agissez pas comme les autres et que comme pour vous l’honnêteté et la loyauté sont les valeurs indispensables des vraies relations humaines saines et sereines, vous les privilégiez aux fausses relations superficielles et intéressées !

Pourquoi la médisance fait-elle autant souffrir ?

La médisance est un fléau de la pire espèce ! Insidieusement, elle se glisse dans les conversations les plus banales pour diffuser son venin sournoisement et diviser les uns contre les autres dans un climat délétère! Chacun se sent offensé et se met à son tour à critiquer et commence alors une chaîne interminable !

Qui a dit quoi ? A qui ? Pourquoi ? Non ce n’est pas moi, c’est lui ! Et pourquoi ? Et comment ? Est-ce que tu sais que … ? Chacun y va de sa propre interprétation en donnant sa version des faits et se met à répéter ce qu’il a entendu ! On s’éloigne petit à petit de la vérité et les ragots se déchainent comme une tempête qui souffle, qui ébranle, qui déracine jusqu’à tout détruire sur son passage !

Et commence la surenchère en théories fumeuses de toutes sortes où chacun affute son arme préférée : sa langue et ses petits potins ! Ceux qui sèment la discorde, récoltent inévitablement des orages qui ne cessent de gronder ! Parler aux autres devient comme « risqué » ! Sans devenir parano, même parler de la pluie et du beau temps paraît « dangereux » !

 On constate qu’il règne souvent au sein de certains milieux professionnels, familiaux ou amicaux  et surtout sur les réseaux sociaux comme un vent de rumeur constant qui alimente sans cesse les échanges et symbolise un reflet du mal-être de la société!

Juste écouter l’humeur de quelqu’un qui se confie à vous devient suspicieux tant la tendance est à la méfiance ! On ne connaît jamais les intentions des autres ! Et un simple petit mot peut être retourné contre vous et devenir l’objet de médisance !  Même quand on se met à converser de banalités, cela dérape très vite vers  des échanges de critiques contre les uns ou contre les autres. Plutôt que de tirer au clair une situation qui paraît confuse, chacun se contente de faire des commentaires douteux ou de donner sa propre analyse malveillante de ce qu’il pense être la vérité et cela crée indéniablement des flots de critiques dont certains raffolent.

Tout est déformé à la seconde ! Info ou intox, il faut apprendre à démêler le vrai du faux et quand cela se passe au sein des relations humaines, on ne sait plus qui ment ou qui dit la vérité ! Tout devient compliqué comme un écheveau de fils emmêlés, on doit tenter de retrouver la bonne information. Mais qui va le faire vraiment ! Tous se contentent de ce qu’ils ont entendu même si cela est répété par les mêmes personnes médisantes ! La délation devient donc une arme stratégique pour régler ses comptes et pour alimenter les ragots ! On dénonce pour cacher ses propres mensonges et ses propres failles ! On adore voir l’autre en difficulté et on se venge comme on peut !

Tout cela est affligeant, comment penser qu’un être humain se comporte d’une manière aussi abjecte en s’abreuvant de la calomnie et en se nourrissant de la haine et cela sans scrupule ? La critique cause énormément de dégâts et même collatéraux ! On peut perdre ses amis, sa famille, son travail voire sa santé à cause de la calomnie ! Il faut en être conscient ! Celui qui critique a toujours une mauvaise intention et a un esprit très destructeur. Il est donc important de s’en protéger !

Comment faire face à la critique malsaine ?Jeter l’opprobre sur l’autre, c’est vouloir l’affaiblir parce qu’il dérange! A chaque fois qu’un individu cherche à   critiquer quelqu’un d’autre, cela signifie que sa manière d’être  ne lui plaît pas, que sa  part de mystère l’intrigue, que son côté trop personnel l’irrite, que sa réussite l’agace ! Ceux qui  jalousent vont tout faire pour atteindre par le feu de leurs critiques celui qui est dans leur collimateur et cela souvent  de manière insidieuse dans son dos !

Pourquoi se sentir  en danger  face à quelqu’un au point de se comporter de la pire des façons? Pourquoi chercher à  le discréditer aux yeux des autres ? Quel intérêt a-t-on à se comporter ainsi ? Est-ce un rival, un adversaire redoutable ?

N’est-ce pas plutôt une manière de faire rejaillir sur les autres ses propres problématiques de vie ? Peut-être même est-ce de la jalousie, de la rancune, de la méchanceté ! Tout cela démontre qu’il n’y a aucun intérêt à médire si ce n’est à vouloir  nuire à l’autre ! Exercer la critique sans arrêt  est donc un défaut terrible!

Pour s’en protéger, il est nécessaire de cultiver la neutralité dans sa manière de penser en ne répliquant jamais aux critiques formulées. Lorsqu’on sait rester stable dans ses propres opinions et qu’on les assume, on ne se laisse pas entraîner dans cette ambiance où règne la médisance. On partage son avis mais on fait attention à qui on a à faire ! On ne donne pas forcément sa confiance mais on reste toujours bienveillant sans jugement hâtif.

On apprend à repérer ceux qui ont des intérêts personnels à « diviser pour mieux régner ». On n’hésite pas à remonter à la source de la critique. On met en difficulté ceux qui médisent en se donnant pour mission la recherche constante de la vérité ! On reste dans ses valeurs de dignité et de respect humain !

Qui aime critiquer ?

Le profil de ces personnes qui critiquent à tout va, est facile à reconnaître. Ce sont le plus souvent des individus qui se sentent mal dans leur propre vie et qui ont des pensées négatives qui tournent en boucle dans leur tête au point de les assombrir dans leur rapport aux autres, au monde et à eux-mêmes. Ils se méfient de tout le monde ! Et comme ils ont l’habitude de critiquer à tout va, ils s’imaginent que tout le monde est comme eux ! Plutôt que de réfléchir à comment s’améliorer, ils observent les autres et les envient ! Bien sûr, vous comprendrez que lorsqu’on a  un discernement juste, on arrête de croire que « l’herbe est toujours plus verte chez les autres » et on apprend à se satisfaire de sa vie et à regarder l’autre avec plus de bienveillance et sans le juger!

Lorsqu’on sait accepter l’autre comme il est, pour lui accorder la place qu’il mérite, cela signifie qu’on ne se sent pas en danger par sa personnalité et qu’on le laisse totalement libre de ses opinions et de ses choix ! Il ne s’agit plus de chercher à le soumettre ou à le dominer ou même à l’utiliser comme une marionnette désarticulée qu’on juge faible et incapable de se défendre ! Et alors on n’a  plus aucune raison de le critiquer !

Lorsque quelqu’un critique, c’est qu’il a l’habitude de le faire et on découvre  que ce n’est pas quelqu’un de fiable ! Certains prêchent le faux pour  faire réagir ! Il faut déjouer les ruses diaboliques de ce type de personne ! Par eux, la rumeur enfle sans cesse et  se répand à la vitesse de l’éclair ! Ils peuvent nuire à la réputation de quelqu’un par pure méchanceté !

Il est très facile de reconnaître celui  ou celle qui vous critique !

Il suffit de regarder l’autre dans les yeux quand il vous parle : le regard fuyant est un signe de sa difficulté à vous faire face car il a du mal à cacher sa fausseté ! Sa tendance à ne pas vous écouter,  c’est une manière de vous dévaloriser et de nier votre liberté de penser ! Critiquer c’est vouloir affaiblir l’autre car on ne peut  l’atteindre autrement !

Avez-vous remarqué que certaines personnes se manifestent à vous uniquement quand vous avez des problèmes ? On a le drôle d’impression qu’ils se réjouissent en secret de votre malheur et profitent de la situation pour se mettre en avant ! Ce n’est pas de la compassion mais de la manipulation malsaine avec une manière de dire  « Je suis indispensable ! » Mais  ils se mettent à vous critiquer dès que vous avez le dos tourné ! Cela montre  les relations toxiques qu’ils entretiennent avec les autres et de tels comportements ne peuvent qu’engendrer le mal-être et des conflits !

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Faites fuir les médisants, les « rageux », les haineux, les « ragoteurs » !

Lorsque la critique s’exerce sur vous, il vous faut faire front et rester fort et digne malgré les tentatives de vos détracteurs de vous déstabiliser.

Apprenez à accueillir les critiques comme une force et non comme une faiblesse ! C’est vrai que ce n’est pas facile ! Surtout, si  on dresse toute une meute contre vous ! Mais il faut apprendre à faire face à l’adversité en restant fidèle à soi-même ! Quelque soit ce qu’on pourrait dire sur vous, ce n’est pas la vérité,  vous le savez ! C’est donc  à vous de continuer à cultiver votre liberté d’être ! Si cela déplaît, n’en tenez pas compte ! Cela est destiné à vous mettre des bâtons dans les roues ! Ne changez pas ! Apprenez plutôt à rebondir en étant toujours plus fier de qui vous êtes vraiment ! Gardez votre signature authentique !

Ne cherchez pas à confronter celui qui vous critique, c’est ce qu’il attend sournoisement, cela ne fera que lui donner de l’importance comme s’il avait raison ! Contentez-vous de l’ignorer, cela l’agacera car comme il veut vous dévaloriser, il ne faut surtout pas entrer dans son petit jeu ! C’est là le plus difficile ! Celui qui critique cherche le plus souvent à régler des comptes, à en découdre ! Ne tombez pas dans son piège !

Prenez de la hauteur pour observer la situation sous un autre angle de vue, la posture en surplomb vous permettra de ne pas vous laisser atteindre et vous évitera de vous rabaisser en descendant dans le caniveau de la médisance!

Certaines critiques sont constructives mais quand il s’agit de reproches sans discussion possible, cela ne mène à rien si ce n’est à faire du mal et à faire souffrir !

 Faites le choix de votre liberté de penser et ne laissez personne vous faire plier face à la critique ! Fuyez ceux qui répètent sans cesse les critiques des autres pour votre tranquillité d’esprit, ce sont les complices de ces ragots car ils deviennent responsables de cette chaîne de la calomnie ! Œuvrez  pour  le respect et pour l’harmonie dans les relations humaines.

Il est  important de ne pas vous laisser emporter par le vent de la haine et de faire rayonner sans cesse plus d’énergie positive ! C’est l’amour qui construit et la lumière qui édifie, sortez donc des ténèbres de la médisance et ouvrez-vous à la vie ! Mettez fin aux critiques faciles et repoussez avec force tous ceux qui veulent vous entraîner dans ces sentiers épineux et sans issue !

Vivre c’est laisser l’autre libre ! Alors si vous vous donnez comme vrai sens à la vie de lutter contre les vagues de médisance, vous ressentirez de plus en plus les effets de la chaleur humaine renouvelée autour de vous !

Maryse de mes mots de vie !

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Êtes-vous victime du jugement des autres ?


Personne ne doit juger l’autre sans savoir !

Lorsque vous vivez au quotidien, vous croisez des personnes autour de vous, que ce soit dans la rue, dans votre travail, dans votre famille… et inévitablement, comme chez tout être humain, vous voyez  cette propension à vouloir juger l’autre, c’est-à-dire à « Décider en bien ou en mal de son mérite, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions » et cela, juste en posant sur lui un regard critique sans même savoir qui il est vraiment , juste en observant son apparence extérieure. D’ailleurs vous en êtes vous-même victime, au point de vous sentir mal, quand vous sentez peser sur vous ces regards malveillants.

Les personnes qui jugent facilement les autres doivent se poser les questions suivantes :

Que savent –elles vraiment des autres quand elles décident de les juger sans appel ? Se fient-elles  uniquement à leurs certitudes, à leurs interprétations ? Est-ce qu’elles peuvent décider de la valeur de quelqu’un uniquement en observant par exemple ses vêtements, sa coiffure, sa voiture, son statut social, son attitude ?….


Un être humain ne se résume pas à son reflet extérieur, il porte en lui sa véritable identité.

Le jugement que chacun porte donc sur autrui peut être très sévère et destructeur, le pire c’est que tout le monde est convaincu d’avoir raison et s’amuse à le faire au détriment des autres sans penser aux conséquences.  Comme si en voulant rabaisser quelqu’un, on se donnait de l’importance, comme si en dévalorisant l’autre, cela permettait de ne pas voir ses propres défauts. On critique pour se rendre intéressant et pour se faire plaindre!

Souvent ceux qui jugent, se cachent derrière des suppositions infondées en fabriquant mentalement une version  qui les arrange pour se donner raison de ce qu’il croit connaître et réussir ainsi à convaincre les autres sans preuve concrète de leur analyse vide de sens.

Pourquoi tout le monde trouve cela normal de juger les autres ?

N’est-ce pas à cause d’un esprit trop critique qui se développe souvent dans des groupes? Ou d’une difficulté personnelle à laisser à l’autre le droit d’être comme il est en l’obligeant à répondre à des normes? Quel bien cela peut-il  faire de dire du mal des autres ou d’avoir des pensées négatives à son encontre ? N’est-ce pas l’écho de son propre mal-être intérieur qui s’exprime par ce comportement indigne que chacun préfère excuser en trouvant cela normal voire banal.


Critiquez sans savoir est destructeur, c’est indéniable.

Pourquoi faire des procès injustes à des personnes qui ne peuvent se défendre ? Certains se justifieront en arguant que ce n’est pas par méchanceté mais uniquement parce que c’est dans la nature humaine de tout commenter. En dressant de l’autre un mauvais portrait, qu’est-ce qu’on a à y gagner ? N’est-ce pas une façon de donner de soi une bien mauvaise image car la médisance est l’obscurité de l’esprit et la noirceur du cœur !

Est-ce que ceux qui passent leur temps à critiquer connaissent ce proverbe qu’ils pourraient appliquer à toutes ces situations négatives : « Ne jamais faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse »!

Si ces personnes arrêtaient de juger les autres, peut-être amélioreraient-elles en retour leurs propres relations ? Et peut-être même que les autres ne les jugeraient plus ? C’est souvent ceux qui ne sont pas très exemplaires et qui ont beaucoup de choses à se reprocher qui se permettent d’agir de manière vile et honteuse !


Juger l’autre, c’est se juger soi-même !

C’est cette loi de la réciprocité qu’il faut garder en tête. Si quelqu’un adore juger les autres, il ouvrira facilement la voie à la critique qui sera exercée à son tour contre lui.  Ce n’est donc pas le bon choix à faire ! Que ressentirait-il si on le jugeait mal ? La réponse à cette question l’aidera à bannir cette mauvaise habitude en se mettant à la place de celui qui subit ce jet de méchanceté. Il comprendra alors que subir le jugement alors qu’on est coupable de rien, c’est tirer à boulets rouges sur quelqu’un qui n’a rien demandé. C’est injuste et méchant à la fois !


Ne plus juger, c’est accueillir l’autre dans sa singularité et le laisser nous surprendre par ce qu’il pourrait faire en restant dans une posture de neutralité active qui permet à chacun de prendre sa place plus facilement. C’est ouvrir une voie vers l’acceptation et le non jugement, et voir s’illuminer dans sa vie d’autres manières d être. Il n’y a plus de modèle ni d’exemple. C’est accepter autrui sans vouloir le changer ou le faire entrer dans un moule. On le laisse libre, et tout est plus simple et plus spontané.

Plus chacun se libère de la critique négative et toxique, plus il agit avec un esprit plus ouvert, plus tolérant. Si on a du mal à changer ce rapport aux autres, il faut se poser  la question suivante : « quelles souffrances intérieures  m’enferment  vraiment au fond de moi à travers ces reproches que je fais à la vie?

Prendre conscience de la négativité d’un jugement hâtif, c’est amener chacun à se repositionner dans sa manière de voir les autres. Plus nous serons nombreux à ne plus participer à ces échanges de critique, à ces jugements infondés, plus les relations humaines s’embelliront du sens profond du mot « respect » et deviendront plus sereines et plus saines.

Devenez conscient que par cette attitude blessante, celui qui juge , ferme la voie à l’empathie et à la chaleur humaine. Nul n’est parfait alors laissez à chacun une chance d’exister comme il est, et si cela ne vous plaît pas, vous pouvez toujours passer votre chemin sans vous arrêter. Ce n’est jamais constructif d’avoir un avis trop arrêté sur quelqu’un ! Nul ne fait jamais l’unanimité et pourtant chacun a le mérite d’exister à sa manière.

Lorsqu’une personne juge trop vite l’autre, elle évite de se remettre en question. N’est-ce pas la résonance de quelque chose qui la dérange au fond d’elle-même et qui  l’amène à le reprocher aux autres, peut-être même est-ce par envie ou par jalousie . C’est difficile d’accepter cette idée, pourtant, pourquoi le fait-on? Ou pourquoi le font-ils tous ? N’est-ce pas l’écho assourdissant d’un mal-être personnel? Sinon, on n’a pas besoin de dénigrer l’autre sans raison . Il faut se tourner vers soi pour se dire que le problème est chez celui qui juge et non chez celui qui est jugé !

Beaucoup de raisons expliquent cette fâcheuse tendance à vouloir dénigrer autrui. Parfois, il faudrait juste se demander : « qui est celui qu’on juge ? Est-ce qu’on connaît vraiment  tout de lui? Est-ce qu’on a suffisamment d’information pour se faire un avis fiable ? Peut-être pourrait-on s’arrêter un moment et s’interroger :

Est-ce que je connais les peines et les souffrances de celui qui croise ma route ? Quelle épreuve  a-t-il traversé ? Quelle est son histoire de vie? Ai-je envie de me mettre à sa place pour mieux le comprendre?

 Prenons le temps de mieux  connaître les autres  et cela pourra changer  la face du monde et l’impact des relations humaines sur le développement personnel de chaque individu. C’est dans le regard des autres qu’on s’édifie, qu’on se construit, qu’on devient, qu’on s épanouit.

Devenons bienveillant et tolérant, le monde a besoin d’être guéri de ce terrible poison qui fait beaucoup de peine aux uns et aux autres et à tout âge. Nous avons tous déjà été victimes du jugement des autres alors mettons fin à cette chaîne de la calomnie, ouvrons nos cœurs et nos âmes pour faire briller l’étincelle qui anime chaque être humain, développons de meilleures compétences humaines ! Mettons fin aux critiques faciles …

Maryse de Mes Mots de vie

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